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7 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Philosophie de l'homme' 




Titre : La philosophie face au handicap Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Quentin (1968-...) , Auteur
Mention d'édition : Prix Dagnan-Bouveret décerné par l'Académie des sciences morales et politiques en 2013 Editeur : Ramonville Saint-Agne : Éditions Érès Année de publication : 2013 Collection : Connaissances de la Diversité Importance : 179 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7492-3820-3 Prix : 20 € Note générale : Voir aussi, en hyperlien, la note de lecture de Jacques Trémintin, LS n°1133, p. 39 : "Le handicap n’a jamais été une question centrale pour les philosophes. Socrate, tout à son amour pour la beauté, l’harmonie physique et la perfection corporelle, se demandait si la vie valait d’être vécue avec un corps en loques et en ruine. Discours paradoxal, puisqu’il démontrait combien sa propre laideur esthétique pouvait être compensée par l’accomplissement de sa richesse intellectuelle. Les stoïciens, quant à eux, préconisaient de noyer les enfants difformes. Il est vrai que le déficit physique faisait bien plus peur que celui atteignant l’esprit ; la folie étant interprétée comme une forme d’émanation divine. Cicéron sera d’ailleurs l’un des premiers philosophes à considérer la maladie mentale comme potentiellement curable, en la comparant aux maladies physiologiques. Au XVIIe siècle, Pascal considérait que la dignité de l’homme tient entièrement dans sa pensée, semant le doute quant au sort des déficients mentaux. John Locke n’hésitera pas à situer ces derniers entre l’animal et l’être humain, le philosophe anglais et ses successeurs évaluant notre espèce à l’aune de ses performances intellectuelles. Ce que l’on retrouve peu ou prou dans une société contemporaine cherchant à enfermer les existences dans le diktat de l’efficience et des critères de résultats. L’obsession du déclin colorant la réflexion de Nietzsche, ils seront un certain nombre à son époque, craignant une dégénérescence de la race humaine, à revendiquer un eugénisme social destiné à s’opposer à la reproduction de sa version inesthétique et non efficiente. La confrontation à la fragilité de l’être humain contraint la philosophie à repenser ce que peut être l’homme. Le handicap est parfois plus lié à l’exclusion due à la déficience qu’à cette déficience elle-même. S’il fait peur, c’est parce qu’il est la caricature vivante de ce que nous sommes tous et que nous ne voulons pas être : imparfaits." Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : Philosophie de l'homme Handicap Philosophie handicapé Sociologie Handicapés Philosophie sociale Index. décimale : F-40 Handicap(é-e)s Résumé : Donnant la parole aux grands philosophes, Q. Bertrand s'interroge sur la place du handicap dans la société, sur le rapport de la personne handicapée à autrui mais aussi avec elle-même. Il interroge ainsi ce qui fonde l'humanité d'un homme et l'origine des peurs que suscite le handicap.
4e de couv. : "« Qu'est-ce qu'un handicapé ? Celui qui rassure le badaud de sa normalité propre et de sa solide identité. Celui qui voudra dépasser le regard du badaud pourra se voir en miroir dans la personne en situation de handicap. Notre identité est un acquis plus fragile qu'il n'y paraît. Soyons donc ouverts à la fragilité qui est si proche de nous-mêmes. La personne handicapée ne fait que révéler objectivement une figure possible de l'étrangeté. Elle offre en même temps la possibilité pour chacun de nous de reconnaître la part d'étrangeté qui est la nôtre. » B.Q.
Le handicap force la philosophie à repenser ce qu'est un homme. Platon demandait « si la vie valait la peine d'être vécue avec un corps en loques et en ruines ». Il nous parlait ainsi d'une société qui n'était pas prête à envisager la situation de handicap. Mais la philosophie n'est pas un savoir mort. C'est une pratique sans cesse à réactiver. Bertrand Quentin ne se contente pas de donner la parole aux grands philosophes de l'histoire, il se risque à proposer de nouveaux concepts l'empathie égocentrée, les compensations inopportunes...) et à poser des questions gênantes : la personne qui ne pense pas est-elle un humain ? La médecine a-t-elle à résoudre les problèmes posés par le handicap ? Pourquoi avons-nous davantage peur de la ressemblance avec la personne handicapée que de sa différence ?"Note de contenu : Sommaire :
Introduction.
La personne en situation de handicap est-elle un homme ?
Peur pour l'espèce devant l'étrangeté physique.
Que penser de celui qui ne pense pas ?
Peur devant l'étrangeté psychique ou mentale : le fou est-il un homme ?
Intermède. Penser le handicap à la manière stoïcienne.
Petit travail de philosophie pratique : de l'"empathie égocentrée" aux "compensations inopportunes"
L'empathie égocentrée.
L'analogie abusive
Les compensations inopportunes.
Peut-on penser une politique philosophiquement cohérente face au handicap ?
La politique médicale a-t-elle à résoudre les problèmes posés par le handicap ?
Entrer en politique.
Rendre possible une participation effective.
Conclusion.
Appendice. Descartes exclut-il les fous ?En ligne : http://www.lien-social.com/spip.php?article4166&id_groupe=8 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=74645 La philosophie face au handicap [texte imprimé] / Bertrand Quentin (1968-...), Auteur . - Prix Dagnan-Bouveret décerné par l'Académie des sciences morales et politiques en 2013 . - Ramonville Saint-Agne (11 rue des alouettes, 31520) : Éditions Érès, 2013 . - 179 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Connaissances de la Diversité) .
ISBN : 978-2-7492-3820-3 : 20 €
Voir aussi, en hyperlien, la note de lecture de Jacques Trémintin, LS n°1133, p. 39 : "Le handicap n’a jamais été une question centrale pour les philosophes. Socrate, tout à son amour pour la beauté, l’harmonie physique et la perfection corporelle, se demandait si la vie valait d’être vécue avec un corps en loques et en ruine. Discours paradoxal, puisqu’il démontrait combien sa propre laideur esthétique pouvait être compensée par l’accomplissement de sa richesse intellectuelle. Les stoïciens, quant à eux, préconisaient de noyer les enfants difformes. Il est vrai que le déficit physique faisait bien plus peur que celui atteignant l’esprit ; la folie étant interprétée comme une forme d’émanation divine. Cicéron sera d’ailleurs l’un des premiers philosophes à considérer la maladie mentale comme potentiellement curable, en la comparant aux maladies physiologiques. Au XVIIe siècle, Pascal considérait que la dignité de l’homme tient entièrement dans sa pensée, semant le doute quant au sort des déficients mentaux. John Locke n’hésitera pas à situer ces derniers entre l’animal et l’être humain, le philosophe anglais et ses successeurs évaluant notre espèce à l’aune de ses performances intellectuelles. Ce que l’on retrouve peu ou prou dans une société contemporaine cherchant à enfermer les existences dans le diktat de l’efficience et des critères de résultats. L’obsession du déclin colorant la réflexion de Nietzsche, ils seront un certain nombre à son époque, craignant une dégénérescence de la race humaine, à revendiquer un eugénisme social destiné à s’opposer à la reproduction de sa version inesthétique et non efficiente. La confrontation à la fragilité de l’être humain contraint la philosophie à repenser ce que peut être l’homme. Le handicap est parfois plus lié à l’exclusion due à la déficience qu’à cette déficience elle-même. S’il fait peur, c’est parce qu’il est la caricature vivante de ce que nous sommes tous et que nous ne voulons pas être : imparfaits."
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : Philosophie de l'homme Handicap Philosophie handicapé Sociologie Handicapés Philosophie sociale Index. décimale : F-40 Handicap(é-e)s Résumé : Donnant la parole aux grands philosophes, Q. Bertrand s'interroge sur la place du handicap dans la société, sur le rapport de la personne handicapée à autrui mais aussi avec elle-même. Il interroge ainsi ce qui fonde l'humanité d'un homme et l'origine des peurs que suscite le handicap.
4e de couv. : "« Qu'est-ce qu'un handicapé ? Celui qui rassure le badaud de sa normalité propre et de sa solide identité. Celui qui voudra dépasser le regard du badaud pourra se voir en miroir dans la personne en situation de handicap. Notre identité est un acquis plus fragile qu'il n'y paraît. Soyons donc ouverts à la fragilité qui est si proche de nous-mêmes. La personne handicapée ne fait que révéler objectivement une figure possible de l'étrangeté. Elle offre en même temps la possibilité pour chacun de nous de reconnaître la part d'étrangeté qui est la nôtre. » B.Q.
Le handicap force la philosophie à repenser ce qu'est un homme. Platon demandait « si la vie valait la peine d'être vécue avec un corps en loques et en ruines ». Il nous parlait ainsi d'une société qui n'était pas prête à envisager la situation de handicap. Mais la philosophie n'est pas un savoir mort. C'est une pratique sans cesse à réactiver. Bertrand Quentin ne se contente pas de donner la parole aux grands philosophes de l'histoire, il se risque à proposer de nouveaux concepts l'empathie égocentrée, les compensations inopportunes...) et à poser des questions gênantes : la personne qui ne pense pas est-elle un humain ? La médecine a-t-elle à résoudre les problèmes posés par le handicap ? Pourquoi avons-nous davantage peur de la ressemblance avec la personne handicapée que de sa différence ?"Note de contenu : Sommaire :
Introduction.
La personne en situation de handicap est-elle un homme ?
Peur pour l'espèce devant l'étrangeté physique.
Que penser de celui qui ne pense pas ?
Peur devant l'étrangeté psychique ou mentale : le fou est-il un homme ?
Intermède. Penser le handicap à la manière stoïcienne.
Petit travail de philosophie pratique : de l'"empathie égocentrée" aux "compensations inopportunes"
L'empathie égocentrée.
L'analogie abusive
Les compensations inopportunes.
Peut-on penser une politique philosophiquement cohérente face au handicap ?
La politique médicale a-t-elle à résoudre les problèmes posés par le handicap ?
Entrer en politique.
Rendre possible une participation effective.
Conclusion.
Appendice. Descartes exclut-il les fous ?En ligne : http://www.lien-social.com/spip.php?article4166&id_groupe=8 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=74645 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13606 F-40 QUE Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Handicap Disponible Documents numériques
Titre : Condition de l'homme moderne / BU de Lettres Titre original : The Human condition Type de document : document électronique Auteurs : Hannah Arendt (1906-1975), Auteur ; Georges Fradier (1915-1985), Traducteur ; Paul Ricoeur (1913-2005), Préfacier, etc. Mention d'édition : Autre(s) tirage(s) : 1993, 2009, 2011, 2016, 2017 Editeur : Paris : Calmann-Lévy Année de publication : 1983 Collection : Liberté de l'esprit (Paris. 1947), ISSN 0768-1801 Importance : 1 vol. (XXVIII-368 p.) Format : 140 x 210 mm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7021-1275-5 Prix : 21,50 € Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : Sociologie, sciences sociales Sciences Humaines et Essais Philosophie de l'homme Résumé : Condition de l'homme moderne (1958) prend place dans l'oeuvre de Hannah Arendt, à la suite des Origines du totalitarisme (1951.Témoin des grands séismes de l'histoire et de la raison. Hannah Arendt s'est particulièrement attachée à réfléchir sur les conditions de la liberté et d'une pensée libre. Ce livre rappelle avec force que la vraie liberté politique n'est pas la retraite paisible dans la sphère de la vie privée, si précieuse soit-elle, mais aussi et d'abord l'action publique menée avec des égaux et reposant sur des choix individuels. Examinant les concepts de travail, d'oeuvre et d'action, Hannah Arendt nous parle du règne de la nécessité, de la capacité de création et de la révélation de l'homme dans la parole et dans l'action. Se fondant sur la philosophie grecque, elle étudie les questions majeures de notre temps : la réhabilitation de l'action politique individuelle, les limites de toute souveraineté, les périls mortels du déterminisme historique et social, la fragilité de la liberté, le caractère imprévisible de l'histoire des hommes. Hannah Arendt aimait citer René Char : "Notre héritage n'est précédé d'aucun testament." Cette réédition de l'oeuvre philosophique majeure d Hannah Arendt est précédée d'une importante préface de Paul Ricoeur, qui analyse l'apport de l'auteur à la pensée politique contemporaine et situe ce livre dans l'eouvre de Hannah Arendt. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=242676 Condition de l'homme moderne / BU de Lettres = The Human condition [document électronique] / Hannah Arendt (1906-1975), Auteur ; Georges Fradier (1915-1985), Traducteur ; Paul Ricoeur (1913-2005), Préfacier, etc. . - Autre(s) tirage(s) : 1993, 2009, 2011, 2016, 2017 . - Paris : Calmann-Lévy, 1983 . - 1 vol. (XXVIII-368 p.) ; 140 x 210 mm. - (Liberté de l'esprit (Paris. 1947), ISSN 0768-1801) .
ISBN : 978-2-7021-1275-5 : 21,50 €
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : Sociologie, sciences sociales Sciences Humaines et Essais Philosophie de l'homme Résumé : Condition de l'homme moderne (1958) prend place dans l'oeuvre de Hannah Arendt, à la suite des Origines du totalitarisme (1951.Témoin des grands séismes de l'histoire et de la raison. Hannah Arendt s'est particulièrement attachée à réfléchir sur les conditions de la liberté et d'une pensée libre. Ce livre rappelle avec force que la vraie liberté politique n'est pas la retraite paisible dans la sphère de la vie privée, si précieuse soit-elle, mais aussi et d'abord l'action publique menée avec des égaux et reposant sur des choix individuels. Examinant les concepts de travail, d'oeuvre et d'action, Hannah Arendt nous parle du règne de la nécessité, de la capacité de création et de la révélation de l'homme dans la parole et dans l'action. Se fondant sur la philosophie grecque, elle étudie les questions majeures de notre temps : la réhabilitation de l'action politique individuelle, les limites de toute souveraineté, les périls mortels du déterminisme historique et social, la fragilité de la liberté, le caractère imprévisible de l'histoire des hommes. Hannah Arendt aimait citer René Char : "Notre héritage n'est précédé d'aucun testament." Cette réédition de l'oeuvre philosophique majeure d Hannah Arendt est précédée d'une importante préface de Paul Ricoeur, qui analyse l'apport de l'auteur à la pensée politique contemporaine et situe ce livre dans l'eouvre de Hannah Arendt. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=242676 Exemplaires
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Titre de série : Qu'appelle-t-ton panser ? Au-delà de l’Entropocène, 1 Titre : L'immense régression Type de document : document électronique Auteurs : Bernard Stiegler (1er avril 1952 (Villebon-sur-Yvette, Essonne)-6 août 2020) Editeur : Paris : Éditions Les Liens qui Libèrent (LLL) Année de publication : 2018 Importance : 320 p. Format : 22 x 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-209-0550-5 Prix : 24,50 € Note générale : Après le succès de librairie de «Dans la disruption», faisant même entrer le terme « disruptif » dans le Larousse, le philosophe Bernard Stiegler s'intéresse à l'ère de la post-vérité. Un ouvrage important pour comprendre les grandes mutations à l'oeuvre dans nos sociétés contemporaines Mots-clés : Société / Comportement et vie sociale / Evolution sociale Causes de changement Évolution sociale Sociologie Philosophie de l'homme changement social, sociologie, philosophie sociale Résumé : À présent que l’événement Anthropocène, l’épreuve de la post-vérité, le désespoir que cela suscite et tout ce qui constitue l’immense régression en cours accablent tout un chacun, il apparaît que la pensée sous toutes ses formes est absolument démunie. Elle arrive trop tard, mettant en danger l'humanité. Il n'est cependant jamais trop tard pour la pensée comme soin, pour panser. Note de contenu : 4e de couv. : "Qu'appelle-t-on panser ? A-t-on bien entendu Frédéric Nietzsche lorsqu'il posait en 1879 et comme point de départ que sa philosophie devait « commencer non par l'étonnement, mais par l'effroi » ? A-t-on vraiment compris Félix Guattari lorsqu'il pronostiquait en 1989 dans Les Trois Écologies que « l'implosion barbare n'est nullement exclue » (signalant dans le même ouvrage la dangerosité d'un businessman nommé Donald Trump) ? A-t-on mesuré l'enjeu de ce que Gilles Deleuze théorisait trois ans avant le lancement du world wide web comme avènement des sociétés de contrôle ? À présent que « l'événement Anthropocène » (dont Heidegger avait appréhendé les contours sous le nom de Gestell), l'épreuve de la post-vérité, le désespoir que cela suscite et tout ce qui constitue l'immense régression en cours accablent tout un chacun, il apparaît que la pensée sous toutes ses formes est absolument démunie. Elle arrive trop tard. Et cette fois-ci son retard serait fatal à l'humanité - et, au-delà, à toutes les formes supérieures de la vie. Il n'est cependant jamais trop tard pour panser. Et si la pensée est démunie, c'est parce qu'elle a cessé de se penser comme soin : comme panser. Mais qu'appelle-t-on panser ?" En ligne : https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20170111.RUE6138/berna [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=208207 Qu'appelle-t-ton panser ? Au-delà de l’Entropocène, 1. L'immense régression [document électronique] / Bernard Stiegler (1er avril 1952 (Villebon-sur-Yvette, Essonne)-6 août 2020). - Paris : Éditions Les Liens qui Libèrent (LLL), 2018 . - 320 p. ; 22 x 15 cm.
ISBN : 979-10-209-0550-5 : 24,50 €
Après le succès de librairie de «Dans la disruption», faisant même entrer le terme « disruptif » dans le Larousse, le philosophe Bernard Stiegler s'intéresse à l'ère de la post-vérité. Un ouvrage important pour comprendre les grandes mutations à l'oeuvre dans nos sociétés contemporaines
Mots-clés : Société / Comportement et vie sociale / Evolution sociale Causes de changement Évolution sociale Sociologie Philosophie de l'homme changement social, sociologie, philosophie sociale Résumé : À présent que l’événement Anthropocène, l’épreuve de la post-vérité, le désespoir que cela suscite et tout ce qui constitue l’immense régression en cours accablent tout un chacun, il apparaît que la pensée sous toutes ses formes est absolument démunie. Elle arrive trop tard, mettant en danger l'humanité. Il n'est cependant jamais trop tard pour la pensée comme soin, pour panser. Note de contenu : 4e de couv. : "Qu'appelle-t-on panser ? A-t-on bien entendu Frédéric Nietzsche lorsqu'il posait en 1879 et comme point de départ que sa philosophie devait « commencer non par l'étonnement, mais par l'effroi » ? A-t-on vraiment compris Félix Guattari lorsqu'il pronostiquait en 1989 dans Les Trois Écologies que « l'implosion barbare n'est nullement exclue » (signalant dans le même ouvrage la dangerosité d'un businessman nommé Donald Trump) ? A-t-on mesuré l'enjeu de ce que Gilles Deleuze théorisait trois ans avant le lancement du world wide web comme avènement des sociétés de contrôle ? À présent que « l'événement Anthropocène » (dont Heidegger avait appréhendé les contours sous le nom de Gestell), l'épreuve de la post-vérité, le désespoir que cela suscite et tout ce qui constitue l'immense régression en cours accablent tout un chacun, il apparaît que la pensée sous toutes ses formes est absolument démunie. Elle arrive trop tard. Et cette fois-ci son retard serait fatal à l'humanité - et, au-delà, à toutes les formes supérieures de la vie. Il n'est cependant jamais trop tard pour panser. Et si la pensée est démunie, c'est parce qu'elle a cessé de se penser comme soin : comme panser. Mais qu'appelle-t-on panser ?" En ligne : https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20170111.RUE6138/berna [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=208207 Exemplaires
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Titre : Être au monde, quelle expérience commune ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Descola (1949-...), Auteur ; Tim Ingold (1948-...), Auteur ; Michel Lussault (1960-...) , Editeur scientifique
Editeur : Lyon : PUL (Presses Universitaires de Lyon) Année de publication : 2014 Collection : Grands débats : mode d'emploi Importance : 75 p. Format : 18 x 11 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7297-0887-0 Prix : 10 € Note générale : Travaux issus du débat entre Ph. Descola et T. Ingold animé par Michel Lussault tenu à la MC2 de Grenoble dans le cadre du festival "Mode d'emploi" organisé par la Villa Gillet le 13 novembre 2013. textes de Tim Ingold traduits de l'anglais par Benjamin Fau (1977-...) Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : Société / Sociologie, anthropologie / Philosophie, histoire et enseignement SHS Sociologie et anthropologie Monde (philosophie) Anthropologie Philosophie de l'homme Individu et société Communauté Existence (philosophie) Méthodologie Philosophie Ontologie Index. décimale : D-10 Ethnologie - Anthropologie Résumé : Lors d'un débat organisé en novembre 2013 à la MC2 de Grenoble, les anthropologues T. Ingold et P. Descola répondent aux questions du géographe M. Lussault. Au-delà des différences de conception de l'être au monde en fonction des cultures, ils s'interrogent sur la possibilité d'un point de vue neutre qui permettrait de comparer les différentes philosophies de l'existence. Note de contenu : Notes bibliogr. 4e de couv. : "L'anthropologie a mis au jour que tous les êtres humains n'ont pas la même compréhension du monde ni de ce que signifie être au monde ; parmi ces ontologies, aucune ne surclasse les autres. Existe-t-il alors un point de vue neutre à partir duquel les étudier et les comparer ? Dans ces manières d'être et de « composer des mondes », quelle est la part du processus ? Quelle est la part de l'inscription de l'homme dans l'enchevêtrement des existences et celle de l'observateur dans son objet ? Telles étaient les questions posées dans le cadre du festival « Mode d'emploi » organisé par la Villa Gillet en novembre 2013, lors du débat de Philippe Descola et Tim Ingold, animé par Michel Lussault. Le livre conçu aujourd'hui à partir de ce débat propose une ouverture par Michel Lussault, un dialogue réagencé et révisé où alternent les voix de Philippe Descola et de Tim Ingold, enfin un post-scriptum de la main de chacun des deux intervenants." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=153742 Être au monde, quelle expérience commune ? [texte imprimé] / Philippe Descola (1949-...), Auteur ; Tim Ingold (1948-...), Auteur ; Michel Lussault (1960-...), Editeur scientifique . - Lyon : PUL (Presses Universitaires de Lyon), 2014 . - 75 p. ; 18 x 11 cm. - (Grands débats : mode d'emploi) .
ISBN : 978-2-7297-0887-0 : 10 €
Travaux issus du débat entre Ph. Descola et T. Ingold animé par Michel Lussault tenu à la MC2 de Grenoble dans le cadre du festival "Mode d'emploi" organisé par la Villa Gillet le 13 novembre 2013. textes de Tim Ingold traduits de l'anglais par Benjamin Fau (1977-...)
Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : Société / Sociologie, anthropologie / Philosophie, histoire et enseignement SHS Sociologie et anthropologie Monde (philosophie) Anthropologie Philosophie de l'homme Individu et société Communauté Existence (philosophie) Méthodologie Philosophie Ontologie Index. décimale : D-10 Ethnologie - Anthropologie Résumé : Lors d'un débat organisé en novembre 2013 à la MC2 de Grenoble, les anthropologues T. Ingold et P. Descola répondent aux questions du géographe M. Lussault. Au-delà des différences de conception de l'être au monde en fonction des cultures, ils s'interrogent sur la possibilité d'un point de vue neutre qui permettrait de comparer les différentes philosophies de l'existence. Note de contenu : Notes bibliogr. 4e de couv. : "L'anthropologie a mis au jour que tous les êtres humains n'ont pas la même compréhension du monde ni de ce que signifie être au monde ; parmi ces ontologies, aucune ne surclasse les autres. Existe-t-il alors un point de vue neutre à partir duquel les étudier et les comparer ? Dans ces manières d'être et de « composer des mondes », quelle est la part du processus ? Quelle est la part de l'inscription de l'homme dans l'enchevêtrement des existences et celle de l'observateur dans son objet ? Telles étaient les questions posées dans le cadre du festival « Mode d'emploi » organisé par la Villa Gillet en novembre 2013, lors du débat de Philippe Descola et Tim Ingold, animé par Michel Lussault. Le livre conçu aujourd'hui à partir de ce débat propose une ouverture par Michel Lussault, un dialogue réagencé et révisé où alternent les voix de Philippe Descola et de Tim Ingold, enfin un post-scriptum de la main de chacun des deux intervenants." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=153742 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 02842 D-10 DES Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Anthropologie-Ethnologie Disponible Qu'est-ce que l'humanisme ? / Abdennour Bidar in Les Grands dossiers des sciences humaines / BU de l'IUT et Cairn.info, n°61 (décembre 2020 - janvier - février 2021)
[article]
Titre : Qu'est-ce que l'humanisme ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdennour Bidar, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 6-8 Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Philosophie:École philosophique:Humanisme Mots-clés : Philosophie de l'homme Résumé : L'humanisme place l'homme au centre de ses valeurs. Mais quel homme ? Celui qu'il est ou celui qui travaille à se dépasser lui-même, au risque d'en oublier toute mesure et remettre en question sa place ? Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=258873
in Les Grands dossiers des sciences humaines / BU de l'IUT et Cairn.info > n°61 (décembre 2020 - janvier - février 2021) . - p. 6-8[article] Qu'est-ce que l'humanisme ? [texte imprimé] / Abdennour Bidar, Auteur . - 2020 . - p. 6-8.
Langues : Français (fre)
in Les Grands dossiers des sciences humaines / BU de l'IUT et Cairn.info > n°61 (décembre 2020 - janvier - février 2021) . - p. 6-8
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Philosophie:École philosophique:Humanisme Mots-clés : Philosophie de l'homme Résumé : L'humanisme place l'homme au centre de ses valeurs. Mais quel homme ? Celui qu'il est ou celui qui travaille à se dépasser lui-même, au risque d'en oublier toute mesure et remettre en question sa place ? Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=258873 PermalinkLes Belges de la fin du monde / Julien Winkel in Alter Echos : pour décoder l'info sociale / Alter.be, 468 (Novembre 2018)
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