[article]
Titre : |
Les érections priapiformes : que doit savoir et faire un sexologue ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
P. BONDIL, Auteur ; D. CARNICELLI, Auteur |
Année de publication : |
2020 |
Article en page(s) : |
p. 137-145 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Priapisme Physiopathologie Traitement Etiologie Sexologue |
Résumé : |
Quoique rarement confronté, le sexologue doit savoir qu’une érection « priapiforme », c’est-à-dire, consciente supérieure à 15minutes hors tout contexte sexuel, est anormale et devient potentiellement dangereuse après une heure. Jusqu’à preuve du contraire, c’est une urgence thérapeutique en raison du risque de séquelles érectiles (si non traité avant la 24e heure) spécifique au type veineux aigu (95 % des cas). Les trois points-clé du traitement sont de préciser la durée, le mécanisme physiopathologique et l’étiologie. Dans la majorité des cas, la clinique et, si besoin, la gazométrie distinguent le type veineux chronique, subaigu ou aigu (le plus dangereux) du rarissime type artériel. |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=251016 |
in Sexologies : revue européenne de sexologie et de santé sexuelle / ScienceDirect > Vol. 29, n°3 (Juillet/Septembre 2020) . - p. 137-145
[article] Les érections priapiformes : que doit savoir et faire un sexologue ? [texte imprimé] / P. BONDIL, Auteur ; D. CARNICELLI, Auteur . - 2020 . - p. 137-145. Langues : Français ( fre) in Sexologies : revue européenne de sexologie et de santé sexuelle / ScienceDirect > Vol. 29, n°3 (Juillet/Septembre 2020) . - p. 137-145
Mots-clés : |
Priapisme Physiopathologie Traitement Etiologie Sexologue |
Résumé : |
Quoique rarement confronté, le sexologue doit savoir qu’une érection « priapiforme », c’est-à-dire, consciente supérieure à 15minutes hors tout contexte sexuel, est anormale et devient potentiellement dangereuse après une heure. Jusqu’à preuve du contraire, c’est une urgence thérapeutique en raison du risque de séquelles érectiles (si non traité avant la 24e heure) spécifique au type veineux aigu (95 % des cas). Les trois points-clé du traitement sont de préciser la durée, le mécanisme physiopathologique et l’étiologie. Dans la majorité des cas, la clinique et, si besoin, la gazométrie distinguent le type veineux chronique, subaigu ou aigu (le plus dangereux) du rarissime type artériel. |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=251016 |
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