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192 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'RELATION PROFESSIONNELLE' 



Le Ministère du Travail et les secteurs tertiaires : la régulation des relations professionnelles dans le secteur du grand commerce alimentaire de 1950 à nos jours. / Sophie LE CORRE ; Jean SAGLIO in Revue française des affaires sociales, RFAS / Cairn.info, N°2 (4/6/2007)
Syndicalisme et nanotechnologies. De l’espace des relations professionnelles à l’espace public des risques / Patrick Chaskiel in Sociologie du travail / BU de Lettres, journals.openedition et ScienceDirect, Vol.55 - N°4 (Octobre - Décembre 2013)
[article]
Titre : Syndicalisme et nanotechnologies. De l’espace des relations professionnelles à l’espace public des risques Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Chaskiel, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp454-474 Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe Mots-clés : SYNDICALISME RELATION PROFESSIONNELLE NANOTHECHNOLOGIE ESPACE PUBLIC RISQUE PRECAUTION INNOVATION Résumé : Les prises de position des organisations syndicales, européennes ou françaises, sur les nanotechnologies permettent de mettre au jour un déplacement de l’agir syndical. Le syndicalisme a classiquement inscrit son approche des risques au travail dans l’espace des relations professionnelles en accompagnant le « progrès technique » par des demandes formulées en termes de prévention. Avec les nanotechnologies, les revendications syndicales relèvent d’un processus de précaution, qui pose des conditions en termes de protection de l’environnement et de la santé, situées en amont du déploiement de l’innovation. Dans cette perspective, on montrera comment a évolué l’appropriation syndicale de la question des nanotechnologies, passant d’une approche d’abord professionnelle à une approche faisant valoir des enjeux publics dépassant les thèmes syndicaux traditionnels. Note de contenu : Bibliographie Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=170427
in Sociologie du travail / BU de Lettres, journals.openedition et ScienceDirect > Vol.55 - N°4 (Octobre - Décembre 2013) . - pp454-474[article] Syndicalisme et nanotechnologies. De l’espace des relations professionnelles à l’espace public des risques [texte imprimé] / Patrick Chaskiel, Auteur . - 2013 . - pp454-474.
Langues : Français (fre)
in Sociologie du travail / BU de Lettres, journals.openedition et ScienceDirect > Vol.55 - N°4 (Octobre - Décembre 2013) . - pp454-474
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe Mots-clés : SYNDICALISME RELATION PROFESSIONNELLE NANOTHECHNOLOGIE ESPACE PUBLIC RISQUE PRECAUTION INNOVATION Résumé : Les prises de position des organisations syndicales, européennes ou françaises, sur les nanotechnologies permettent de mettre au jour un déplacement de l’agir syndical. Le syndicalisme a classiquement inscrit son approche des risques au travail dans l’espace des relations professionnelles en accompagnant le « progrès technique » par des demandes formulées en termes de prévention. Avec les nanotechnologies, les revendications syndicales relèvent d’un processus de précaution, qui pose des conditions en termes de protection de l’environnement et de la santé, situées en amont du déploiement de l’innovation. Dans cette perspective, on montrera comment a évolué l’appropriation syndicale de la question des nanotechnologies, passant d’une approche d’abord professionnelle à une approche faisant valoir des enjeux publics dépassant les thèmes syndicaux traditionnels. Note de contenu : Bibliographie Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=170427 CHANGEMENTS ET CONSTRUCTION DES IDENTITÉS PROFESSIONNELLES : LES TRAVAILLEURS SOCIAUX PÉNITENTIAIRES : rapport remis à l'administration pénitentiaire en juillet 2007 / Dominique Lhuilier
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Titre : CHANGEMENTS ET CONSTRUCTION DES IDENTITÉS PROFESSIONNELLES : LES TRAVAILLEURS SOCIAUX PÉNITENTIAIRES : rapport remis à l'administration pénitentiaire en juillet 2007 Type de document : document électronique Auteurs : Dominique Lhuilier (1957?-...), Directeur de la recherche Mention d'édition : Disponible en document attaché Editeur : PSY FORM Année de publication : 2007 Importance : 125 p. Note générale : Equipe de recherche : Sid ABDELLAOUI, Sandra AMADO, Xavier GUILLER et Dominique ROLLAND Langues : Français (fre) Mots-clés : Personnel pénitentiaire Travailleur social Conseiller pénitentiaire d'insertion et de probation (CPIP) Profession Identité professionnelle Formation Professionnalisation Travail social Organisation Prise en charge socio-éducative Milieu fermé Milieu ouvert Relation professionnelle Service pénitentiaire d'insertion et de probation (SPIP) Nouvelle procédure d'aménagement des peines (NPAP) Réforme milieu pénitentiaire prison Résumé : L’étude réalisée s’inscrit dans le cadre de l’appel d’offre de la direction de l’Administration Pénitentiaire concernant « l’identité professionnelle des travailleurs sociaux dans un contexte d’évolution ». La méthode d’investigation associe une enquête qualitative (105 entretiens individuels, 11 entretiens collectifs dans 9 services, à l’ENAP et auprès des différents syndicats) et une enquête quantitative (questionnaire, 330 répondants) Un retour sur l’histoire du travail social à l’AP montre une progressive démarginalisation par une collaboration plus étroite avec les autorités judiciaires et pénitentiaires, et une intégration attendue dans des politiques transversales comme celle de la ville et de la sécurité. Aussi, le travail social doit s’ouvrir vers l’extérieur dans une démarche partenariale et s’appuyer sur des dispositifs de droit commun. Dans le même temps, la juridicisation du travail socio-judiciaire l’éloigne de l’ensemble générique des travailleurs sociaux. L’absence d’unité perçue de la profession de TS tient à des trajectoires de professionnalisation différentes, à l’existence de 2 corps, CIP et AS, de 2 lieux d’exercice, le milieu ouvert et le milieu fermé ayant chacun des logiques propres, de 2 cadres institutionnels, la Justice et l’Administration pénitentiaire. Cette segmentation est manifeste à travers les contrastes observés dans les conceptions du métier et les pratiques. Mais ces divergences tiennent plus fondamentalement à l’absence de conditions permettant la construction de référents collectifs fondant l’identité de métier partagé. L’organisation du travail contribue à un isolement tendanciel du TS qui se voit attribuer une zone géographique (MO) et/ou une zone de détention (MF) ; et ceci n’est pas compensé par la stimulation et la formalisation d’un travail en équipe (carence d’espace-temps d’échange, réflexion, élaboration, organisation). De plus, le « cœur » du métier reste l’entretien individuel : la place faite à la conception et la mise en œuvre de dispositifs collectifs destinés à l’accompagnement des PPSMJ est très marginale. Aussi quand un travail d’équipe existe, c’est « malgré tout » et dans le registre de l’informel. Dans ce contexte, la solidarité entre TS apparaît plus assise sur l’idée d’un sort commun (dans le rapport à l’institution) que sur l’idée d’une tâche commune, d’une conception partagée des activités. Et la prévalence de l’interpersonnel caractérise les relations des TS avec leurs interlocuteurs (collègues, partenaires internes et externes) : la qualité de ces relatons fonctionne comme support à la transmission des savoir-faire, à la mise en commun des ressources, à la résolution des difficultés, à la coopération. Le TS se situe toujours au carrefour de logiques, de demandes contradictoires, l’essentiel de son travail consistant dans la construction d’un équilibre entre les attentes des personnes suivies et celles des institutions qui le mandatent. Mais les transformations socioéconomiques comme les changements législatifs, réglementaires, organisationnels cumulés sur une période relativement courte (environ 15 ans) contribuent à brouiller les attentes institutionnelles, à déstabiliser les fonctionnements informels, à accroître les difficultés rencontrées dans le travail.La construction d’un ajustement entre le pôle accompagnement-insertion et le pôle contrôle-probation du métier suppose une certaine latitude dans ces oscillations de posture professionnelle en fonction des personnes suivies, des objectifs visé. Latitude réduite aujourd’hui par un travail en flux tendu, « un travail à la chaîne », entendu comme traitement superficiel de dossiers. L’interrogation autour de ce que doit être « un vrai travail socio-judiciaire » témoigne d’une recherche de sens et d’efficience des activités des TS. L’appréciation de ces activités renvoie à trois espaces d’évaluation : l’espace institutionnel, l’espace du métier, celui de la relation aux PPSMJ. L’espace du métier apparaît à développer, non pas dans la nostalgie du passé, mais pour que le métier reste ajusté aux exigences du travail réel et de ses évolutions. Source, en hyperlien Note de contenu : SOMMAIRE
INTRODUCTION
1 - Objet de la recherche ... 4
2 - Méthodologie de la recherche ... 4
I – LE TRAVAIL SOCIAL : PERSPECTIVE HISTORIQUE ... 8
1 - Les transformations du travail social ... 8
2 - Le travail social à l’administration pénitentiaire .... 12
II - TRAJECTOIRES ET PROFESSIONNALISATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DE L’AP ... 18
1 - Trajectoires professionnelles avant l’entrée à l’ENAP ou à l’AP ... 18
2 - Le recrutement des CIP ... 21
3 – Professionnalisation ... 23
4 - La formation continue ... 29
III - ORGANISATION DU TRAVAIL ET ACTIVITES ... 30
1 - Organisation du travail ... 30
2 - Travail prescrit et missions professionnelles des travailleurs sociaux ... 32
3 – L’activité ou le travail réel ... 36
IV - LES REFORMES ET LEUR IMPACT SUR L’ACTIVITE ET LES MISSIONS PROFESSIONNELLES ... 42
1 – La création du corps des CIP ... 42
2 – La réforme des SPIP ... 43
3 - La juridictionnalisation de l’application des peines ... 44
4 - La nouvelle procédure d’application des peines (NPAP) ... 45
5 – La loi organique relative aux lois de finances (LOLF) ... 46
6 – L’ensemble des réformes ... 46
V - LES RELATIONS DE TRAVAIL ...48
1 - Les collègues et le travail en équipe ... 48
2 - Encadrement et hiérarchie ... 51
3 - Les magistrats ... 56
4 - Les autres partenaires internes ... 59
5 - Les partenaires externes ... 61
6 - Les personnes placées sous main de justice ... 63
VI - L’EXERCICE DU METIER ... 67
VII - L’IDENTITE PROFESSIONNELLE ... 82
1 - L’image sociale de la profession ... 83
2 - L’absence ou le caractère flou de l’image sociale de la profession ...84
3 - L’identité générique des travailleurs sociaux ...85
4 - L’image du travailleur social en interne ...87
5 - Une profession segmentée ...89
6 - Vers quelle identité professionnelle ?...90
7 - L’avenir professionnel ...93
CONCLUSION...95
Bibliogr., p. 102-103
ANNEXES...104
- Guide d’entretien individuel...105
- Guide d’entretien collectif ...107
- Questionnaire travailleurs sociaux...108En ligne : http://criminocorpus.hypotheses.org/985 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=74613 CHANGEMENTS ET CONSTRUCTION DES IDENTITÉS PROFESSIONNELLES : LES TRAVAILLEURS SOCIAUX PÉNITENTIAIRES : rapport remis à l'administration pénitentiaire en juillet 2007 [document électronique] / Dominique Lhuilier (1957?-...), Directeur de la recherche . - Disponible en document attaché . - [S.l.] : PSY FORM, 2007 . - 125 p.
Equipe de recherche : Sid ABDELLAOUI, Sandra AMADO, Xavier GUILLER et Dominique ROLLAND
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Personnel pénitentiaire Travailleur social Conseiller pénitentiaire d'insertion et de probation (CPIP) Profession Identité professionnelle Formation Professionnalisation Travail social Organisation Prise en charge socio-éducative Milieu fermé Milieu ouvert Relation professionnelle Service pénitentiaire d'insertion et de probation (SPIP) Nouvelle procédure d'aménagement des peines (NPAP) Réforme milieu pénitentiaire prison Résumé : L’étude réalisée s’inscrit dans le cadre de l’appel d’offre de la direction de l’Administration Pénitentiaire concernant « l’identité professionnelle des travailleurs sociaux dans un contexte d’évolution ». La méthode d’investigation associe une enquête qualitative (105 entretiens individuels, 11 entretiens collectifs dans 9 services, à l’ENAP et auprès des différents syndicats) et une enquête quantitative (questionnaire, 330 répondants) Un retour sur l’histoire du travail social à l’AP montre une progressive démarginalisation par une collaboration plus étroite avec les autorités judiciaires et pénitentiaires, et une intégration attendue dans des politiques transversales comme celle de la ville et de la sécurité. Aussi, le travail social doit s’ouvrir vers l’extérieur dans une démarche partenariale et s’appuyer sur des dispositifs de droit commun. Dans le même temps, la juridicisation du travail socio-judiciaire l’éloigne de l’ensemble générique des travailleurs sociaux. L’absence d’unité perçue de la profession de TS tient à des trajectoires de professionnalisation différentes, à l’existence de 2 corps, CIP et AS, de 2 lieux d’exercice, le milieu ouvert et le milieu fermé ayant chacun des logiques propres, de 2 cadres institutionnels, la Justice et l’Administration pénitentiaire. Cette segmentation est manifeste à travers les contrastes observés dans les conceptions du métier et les pratiques. Mais ces divergences tiennent plus fondamentalement à l’absence de conditions permettant la construction de référents collectifs fondant l’identité de métier partagé. L’organisation du travail contribue à un isolement tendanciel du TS qui se voit attribuer une zone géographique (MO) et/ou une zone de détention (MF) ; et ceci n’est pas compensé par la stimulation et la formalisation d’un travail en équipe (carence d’espace-temps d’échange, réflexion, élaboration, organisation). De plus, le « cœur » du métier reste l’entretien individuel : la place faite à la conception et la mise en œuvre de dispositifs collectifs destinés à l’accompagnement des PPSMJ est très marginale. Aussi quand un travail d’équipe existe, c’est « malgré tout » et dans le registre de l’informel. Dans ce contexte, la solidarité entre TS apparaît plus assise sur l’idée d’un sort commun (dans le rapport à l’institution) que sur l’idée d’une tâche commune, d’une conception partagée des activités. Et la prévalence de l’interpersonnel caractérise les relations des TS avec leurs interlocuteurs (collègues, partenaires internes et externes) : la qualité de ces relatons fonctionne comme support à la transmission des savoir-faire, à la mise en commun des ressources, à la résolution des difficultés, à la coopération. Le TS se situe toujours au carrefour de logiques, de demandes contradictoires, l’essentiel de son travail consistant dans la construction d’un équilibre entre les attentes des personnes suivies et celles des institutions qui le mandatent. Mais les transformations socioéconomiques comme les changements législatifs, réglementaires, organisationnels cumulés sur une période relativement courte (environ 15 ans) contribuent à brouiller les attentes institutionnelles, à déstabiliser les fonctionnements informels, à accroître les difficultés rencontrées dans le travail.La construction d’un ajustement entre le pôle accompagnement-insertion et le pôle contrôle-probation du métier suppose une certaine latitude dans ces oscillations de posture professionnelle en fonction des personnes suivies, des objectifs visé. Latitude réduite aujourd’hui par un travail en flux tendu, « un travail à la chaîne », entendu comme traitement superficiel de dossiers. L’interrogation autour de ce que doit être « un vrai travail socio-judiciaire » témoigne d’une recherche de sens et d’efficience des activités des TS. L’appréciation de ces activités renvoie à trois espaces d’évaluation : l’espace institutionnel, l’espace du métier, celui de la relation aux PPSMJ. L’espace du métier apparaît à développer, non pas dans la nostalgie du passé, mais pour que le métier reste ajusté aux exigences du travail réel et de ses évolutions. Source, en hyperlien Note de contenu : SOMMAIRE
INTRODUCTION
1 - Objet de la recherche ... 4
2 - Méthodologie de la recherche ... 4
I – LE TRAVAIL SOCIAL : PERSPECTIVE HISTORIQUE ... 8
1 - Les transformations du travail social ... 8
2 - Le travail social à l’administration pénitentiaire .... 12
II - TRAJECTOIRES ET PROFESSIONNALISATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DE L’AP ... 18
1 - Trajectoires professionnelles avant l’entrée à l’ENAP ou à l’AP ... 18
2 - Le recrutement des CIP ... 21
3 – Professionnalisation ... 23
4 - La formation continue ... 29
III - ORGANISATION DU TRAVAIL ET ACTIVITES ... 30
1 - Organisation du travail ... 30
2 - Travail prescrit et missions professionnelles des travailleurs sociaux ... 32
3 – L’activité ou le travail réel ... 36
IV - LES REFORMES ET LEUR IMPACT SUR L’ACTIVITE ET LES MISSIONS PROFESSIONNELLES ... 42
1 – La création du corps des CIP ... 42
2 – La réforme des SPIP ... 43
3 - La juridictionnalisation de l’application des peines ... 44
4 - La nouvelle procédure d’application des peines (NPAP) ... 45
5 – La loi organique relative aux lois de finances (LOLF) ... 46
6 – L’ensemble des réformes ... 46
V - LES RELATIONS DE TRAVAIL ...48
1 - Les collègues et le travail en équipe ... 48
2 - Encadrement et hiérarchie ... 51
3 - Les magistrats ... 56
4 - Les autres partenaires internes ... 59
5 - Les partenaires externes ... 61
6 - Les personnes placées sous main de justice ... 63
VI - L’EXERCICE DU METIER ... 67
VII - L’IDENTITE PROFESSIONNELLE ... 82
1 - L’image sociale de la profession ... 83
2 - L’absence ou le caractère flou de l’image sociale de la profession ...84
3 - L’identité générique des travailleurs sociaux ...85
4 - L’image du travailleur social en interne ...87
5 - Une profession segmentée ...89
6 - Vers quelle identité professionnelle ?...90
7 - L’avenir professionnel ...93
CONCLUSION...95
Bibliogr., p. 102-103
ANNEXES...104
- Guide d’entretien individuel...105
- Guide d’entretien collectif ...107
- Questionnaire travailleurs sociaux...108En ligne : http://criminocorpus.hypotheses.org/985 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=74613 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
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Synthèse rapport final Lhuilier : Changements et construction des identites professionnelles : le cas des travailleurs sociaux pénitentiaires (125 p., PDF)URL![]()
Synthèse rapport final Lhuilier : Changements et construction des identites professionnelles : le cas des travailleurs sociaux pénitentiaires (8 p., PDF)URLMalaise dans la relation : des sentiments dans le travail social / Guy Schmitt in Le Sociographe : recherches en travail social / Cairn et ITS, n° 36 (septembre 2011)
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[article]
Titre : Malaise dans la relation : des sentiments dans le travail social Type de document : document électronique Auteurs : Guy Schmitt, Directeur de la recherche ; Guy-Noël Pasquet, Auteur ; Madeleine PELLOIS RENAUDAT, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 128 p. Langues : Français (fre) Catégories : H TRAVAIL SOCIAL - POLITIQUE SOCIALE Mots-clés : RENCONTRE EMPATHIE RESEAU ACCOMPAGNEMENT AFFECT DISTANCE IME RELATION PROFESSIONNELLE ASSISTANT DE SERVICE SOCIAL SUBJECTIVITE ACTION COLLECTIVE DON RELATION EDUCATIVE EMOTION ADOLESCENT AMITIE Index. décimale : H-10 Travail social - Domaines d'action des travailleurs sociaux Note de contenu : [Voir aussi la note de lecture dans "Lien social" n°1040, p. 30 / Jacques Trémintin en hyperlien : "Il est de coutume de considérer que la valeur économique accordée à une activité professionnelle serait inversement proportionnelle aux sentiments qui lui sont attachés. On ne travaillerait bien que dans une relation désaffectivée à l’autre, débarrassée de toutes les émotions parasites. Or, ce sont ces mêmes sentiments à l’égard d’autrui qui constituent le soubassement de toute relation d’aide. Ce paradoxe est au cœur du malaise des professions sociales. On ne peut comprendre cette problématique qu’en fonctionnant en permanence sur deux registres contigus. Le premier est celui de l’empathie. Cette démarche est fondée sur une profonde intolérance à la souffrance et à l’injustice. Il ne s’agit pas de souffrir avec l’usager, mais de pénétrer son état d’esprit pour mieux cerner ses émotions et son vécu et lui témoigner d’une attitude inconditionnellement bienveillante qui fasse de lui une personne digne d’attention et d’intérêt.
Cette perméabilité présente, toutefois, le risque permanent de voir la souffrance de l’usager entrer en résonance avec le vécu et l’histoire de l’intervenant… et de le confronter à autant de désirs, d’attentes, de projections réciproques, quant à une réparation, un remplacement, une adoption ou à un rapt, avec toute la charge affective que cela induit. S’ils ne sont pas suffisamment compris et maîtrisés, tous ces sentiments et fantasmes qui émergent ainsi peuvent faire de gros dégâts. Et c’est bien là la seconde facette du paradoxe déjà évoqué : on ne peut être suffisamment disponible à l’autre, si l’on cherche à travers lui à satisfaire surtout ses propres besoins émotionnels. D’où la nécessité d’élaborer une posture professionnelle qui permette de conscientiser ces sentiments, plus ou moins diffus, qui innervent toute relation d’aide. Il ne s’agit donc pas de les enfouir dans un quelconque déni, mais de les mettre au travail. L’éthique, la raison, le travail réflexif, la mise à distance sont autant d’outils pour y arriver. Le cadre institutionnel, et plus particulièrement la zone tempérée que doit constituer la réunion de l’équipe professionnelle, permet de limiter les risques d’une privatisation de la relation d’aide et de prévenir la réalisation de certains désirs qui perdaient de vue que la priorité de l’autre est bien la finalité première. Dans les métiers socio-éducatifs, on est passé d’une motivation religieuse et vocationnelle de l’« amour du prochain », à une professionnalisation fondée sur l’illusion d’un savoir-faire technique qui permettrait de s’affranchir de toute la dimension affective. Le travail social implique la technicité. Mais la gestion de l’économie des sentiments qu’induisent les expériences émotionnelles inévitablement générées par toute relation, lui est tout aussi indispensable."]En ligne : http://www.lien-social.com/spip.php?article3633 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=46913
in Le Sociographe : recherches en travail social / Cairn et ITS > n° 36 (septembre 2011) . - 128 p.[article] Malaise dans la relation : des sentiments dans le travail social [document électronique] / Guy Schmitt, Directeur de la recherche ; Guy-Noël Pasquet, Auteur ; Madeleine PELLOIS RENAUDAT, Auteur ; et al., Auteur . - 2011 . - 128 p.
Langues : Français (fre)
in Le Sociographe : recherches en travail social / Cairn et ITS > n° 36 (septembre 2011) . - 128 p.
Catégories : H TRAVAIL SOCIAL - POLITIQUE SOCIALE Mots-clés : RENCONTRE EMPATHIE RESEAU ACCOMPAGNEMENT AFFECT DISTANCE IME RELATION PROFESSIONNELLE ASSISTANT DE SERVICE SOCIAL SUBJECTIVITE ACTION COLLECTIVE DON RELATION EDUCATIVE EMOTION ADOLESCENT AMITIE Index. décimale : H-10 Travail social - Domaines d'action des travailleurs sociaux Note de contenu : [Voir aussi la note de lecture dans "Lien social" n°1040, p. 30 / Jacques Trémintin en hyperlien : "Il est de coutume de considérer que la valeur économique accordée à une activité professionnelle serait inversement proportionnelle aux sentiments qui lui sont attachés. On ne travaillerait bien que dans une relation désaffectivée à l’autre, débarrassée de toutes les émotions parasites. Or, ce sont ces mêmes sentiments à l’égard d’autrui qui constituent le soubassement de toute relation d’aide. Ce paradoxe est au cœur du malaise des professions sociales. On ne peut comprendre cette problématique qu’en fonctionnant en permanence sur deux registres contigus. Le premier est celui de l’empathie. Cette démarche est fondée sur une profonde intolérance à la souffrance et à l’injustice. Il ne s’agit pas de souffrir avec l’usager, mais de pénétrer son état d’esprit pour mieux cerner ses émotions et son vécu et lui témoigner d’une attitude inconditionnellement bienveillante qui fasse de lui une personne digne d’attention et d’intérêt.
Cette perméabilité présente, toutefois, le risque permanent de voir la souffrance de l’usager entrer en résonance avec le vécu et l’histoire de l’intervenant… et de le confronter à autant de désirs, d’attentes, de projections réciproques, quant à une réparation, un remplacement, une adoption ou à un rapt, avec toute la charge affective que cela induit. S’ils ne sont pas suffisamment compris et maîtrisés, tous ces sentiments et fantasmes qui émergent ainsi peuvent faire de gros dégâts. Et c’est bien là la seconde facette du paradoxe déjà évoqué : on ne peut être suffisamment disponible à l’autre, si l’on cherche à travers lui à satisfaire surtout ses propres besoins émotionnels. D’où la nécessité d’élaborer une posture professionnelle qui permette de conscientiser ces sentiments, plus ou moins diffus, qui innervent toute relation d’aide. Il ne s’agit donc pas de les enfouir dans un quelconque déni, mais de les mettre au travail. L’éthique, la raison, le travail réflexif, la mise à distance sont autant d’outils pour y arriver. Le cadre institutionnel, et plus particulièrement la zone tempérée que doit constituer la réunion de l’équipe professionnelle, permet de limiter les risques d’une privatisation de la relation d’aide et de prévenir la réalisation de certains désirs qui perdaient de vue que la priorité de l’autre est bien la finalité première. Dans les métiers socio-éducatifs, on est passé d’une motivation religieuse et vocationnelle de l’« amour du prochain », à une professionnalisation fondée sur l’illusion d’un savoir-faire technique qui permettrait de s’affranchir de toute la dimension affective. Le travail social implique la technicité. Mais la gestion de l’économie des sentiments qu’induisent les expériences émotionnelles inévitablement générées par toute relation, lui est tout aussi indispensable."]En ligne : http://www.lien-social.com/spip.php?article3633 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=46913
Titre : Ce qu'enfermer des jeunes veut dire : enquête dans un centre éducatif fermé Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud Frauenfelder, Auteur ; Eva Nada, Auteur ; Géraldine Bugnon (1982-...), Auteur Editeur : Zürich [Suisse] : Editions Seismo Année de publication : 2018 Collection : Terrains des sciences sociales Importance : 240 p. Présentation : couv ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-88351-079-1 Note générale : Sur les enjeux des politiques visant à garantir les droit et les impacts sur les jeunes délinquants dans un contexte d'enfermement.
Analyse sur les rivalités des territoires, la diversité des conceptions éducatives et les différents rapports de l'institution à l'environnement extérieur. L'enquête de terrain a été réalisée dans un CEF en Suisse romande.
Comment les professionnels s'approprient-ils leur espace de travail et la raison qu'ils confèrent à leur mission ? Quelles mesures sont prises pour garantir la dignité des jeunes et quelle prise en charge disciplinaire ? quel renforcement sécuritaire et quelles sanctions disciplinaires sont mis en oeuvre ?
Fondé sur une enquête menée dans un centre éducatif fermé de Suisse romande, cet ouvrage analyse les ambivalences qui animent la question de l'enfermement des jeunes délinquants, entre discours sécuritaires, fermeté et reconnaissance des jeunes comme sujets de droit. La diversité des approches éducatives, des rapports avec l'environnement extérieur et le rôle essentiel des agents sont examinés.
Voir aussi « Mon frère », "la violence du silence dans les centres éducatifs fermés, sorti le 31/07/2019. Le troisième long-métrage de Julien Abraham sort ce mercredi 31 juillet en salles. « Mon frère » décrit la violence des centres éducatifs fermés. Le rappeur MHD y incarne Teddy, un adolescent sans problèmes dont la vie bascule après la mort de son père. Julien Abraham signait en 2013 le film « La cité rose » où on observait la dualité des parcours de deux frères originaires d’une banlieue pauvre. Djibril, l’aîné, était en ascension sociale, terminant ses études de droit à Paris tandis que le cadet, Isma, suivait les traces de la délinquance en entamant un boulot de guetteur. Ce teen-movie montrait une image plutôt juste des réalités sociales dans les quartiers populaires. Compte-tenu de la litanie de navets issus de ce genre cinématographique, La cité rose était un essai réussi.
Avec Mon frère, Julien Abraham réalise un nouveau film pour adolescents, à la tonalité beaucoup plus mature et décrivant une réalité bien plus dure. La narration se veut également plus complexe et plus intéressante grâce à des flashbacks bien réalisés. L’action se déroule dans un centre éducatif fermé (CEF), dans le nord de la France. Teddy (incarné par le rappeur MHD), un lycéen, est inculpé pour le meurtre de son père. Issu d’un milieu social aisé, il détonne dans le décor et suscite la curiosité et l’incompréhension des autres jeunes.
Ce qui frappe au premier abord, c’est la mise en scène permanente de la virilité. Le quotidien du centre ressemble à un combat de coq perpétuel où les adolescents se provoquent entre eux. Ils défient les éducateurs, à l’exception de Papou (interprété par Almamy Kanouté) qui les domine par la force. Au sein de cette prison miniature, se joue un jeu de pouvoir dont les armes sont l’intimidation et l’humiliation. Les faiblesses des uns et des autres sont scrutées pour faire plier les potentiels adversaires.
Le projet du film est né de l’intérêt du réalisateur pour la psychoboxe, un concept théorisé par Richard Helbrunn dans les années 1980. Le psychanalyste se sert de la boxe comme outil de psychothérapie. Sur le ring, les jeunes du CEF libère leurs émotions et leur parole en affrontant Claude (jouée par Aïssa Maiga).
Julien Abraham réussit ainsi à maintenir, tout au long du film, une grande tension. La violence enfouie chez les protagonistes est palpable et prête à exploser. La violence du secret. La violence de ne pas pouvoir poser des mots sur sa violence. Un film à voir. Coulisses du film
Le recrutement des jeunes comédiens s’est fait à partir du réseau de centres sociaux, culturels et éducatifs qui ont accueilli des projections du film La cité rose. Almamy Kanouté, acteur et coscénariste dans Mon frère, a déjà travaillé comme éducateur. Un documentaire sur les métiers du cinéma a été réalisé en parallèle du tournage. Le documentaire circulera ensuite dans les différentes structures éducatives pour susciter de nouvelles vocations.
" < https://www.saphirnews.com/Mon-frere--la-violence-du-silence-dans-les-centres-educatifs-fermes_a26522.html >Langues : Français (fre) Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : Centres pour jeunes délinquants -- Suisse romande -- 1990-... délinquance juvénile Éducation surveillée Prisons CEF enfermement éducateur éducation spécialisée spécialisé DETENTION SANCTION CONTRAINTE EQUIPE PLURIDISCIPLINAIRE CONFLIT RELATION PROFESSIONNELLE TRAVAIL EDUCATIF RELATION EQUIPE EDUCATIVE-FAMILLE Politique pénale Prison (Etudes générales) question carcérale suisse romande délinquance mineur mineure enquête analyse entre éducatif fermé justice pénale des mineurs agent professionnel Droit et justice / Criminalité / Prisons, établissements pénitentiaires SHS Suisse Enquêtes établissement pénitentiaire, éducation surveillée, Suisse Index. décimale : F-31 Délinquance juvénile - Drogue - Violence - Criminalité Résumé : Cet ouvrage revisite la « question carcérale » en décortiquant ses enjeux contemporains. En Suisse comme en Europe, la délinquance juvénile attise les sensibilités publiques et nourrit les discours sécuritaires. Parallèlement, les mineur e s sont progressivement reconnus comme des sujets de droit, dont il faut protéger l’intégrité physique et morale. Ce contexte politique et moral contraint les institutions d’enfermement à garantir plus de « dignité » dans la vie quotidienne des jeunes (réduction des temps d’encellulement, prise en charge pluridisciplinaire), tout en imposant davantage de « fermeté » (renforcement des aménagements sécuritaires,
sanctions disciplinaires).
Les auteur e s explorent cette ambivalence à partir d’une enquête de terrain réalisée dans un centre éducatif fermé de Suisse romande. Comment les acteurs professionnels s’approprient-ils leur espace de travail ? Quelle raison d’être confèrent-ils à leur mission professionnelle ? L’ouvrage analyse les rivalités de territoires, met en évidence la diversité des conceptions éducatives et les différents rapports de l’institution à l’environnement extérieur. Il s’attache ainsi à saisir les formes de recomposition de l’économie morale de l’enfermement des jeunes. Cette analyse sociologique de la justice pénale des mineur e s « par le bas » souligne combien les pratiques de l’État, dans cet univers particulier, s’expriment d’abord par le travail de ses agents.Note de contenu : TdM :
Remerciements, p9
INTRODUCTION : LES CENTRES EDUCATIFS FERMES, ENTRE SECURISATION ET HUMANISATION,p11
* Ni une prison, ni un foyer : le sens de l'enfermement des mineurs en question, p13
* Comprendre une institution "par le bas" : une approche sociologique, p15
* Plan de l'ouvrage, p19
* La situation d'enquête, p23
- "Savez-vous où vous mettez les pieds ?", p24.- Une approche par entretiens compréhensifs, p29. 1/DES AGENTS D'ENCADREMENT SOUS INFLUENCES? P33
*De l'héritage d'un mode d'enfermement spécifique aux mineurs délinquants...,p33
- Le principe de coupure du mineur délinquant de son milieu, p34. - Une déresponsabilisation du jeune de son infraction, p35.- Un rapport social à la "protection des enfants" ambivalent, p38
*...aux critiques d'un complexe tutélaire,p39
- Une prise en charge jugée trop paternaliste, p40.- Une volonté de conjuguer sanctions et éducations, p41. - Un rapprochement de savoirs cliniques autour de la contrainte, p43.
*Une institution décloisonnée? les contraintes juridico-architecturales d'ouverture, p45
- le rapatriement du "secteur d'observation", p47. - Une institution enjointe à diminuer les temps d'encellulement, p49.
2/ CONTROVERSES PROFESSIONNELLES DANS UN CHAMP EN MUTATION, p51
*Eduquer ou "surveiller et punir",p52
- L'arrivée des agents de détention : une demande d'ordre soutenue par des discours-experts, p53. - "vous êtes des matons" : un accueil réservé, p56. - des professionnels du maintien de l'ordre disqualifiés par leurs pairs, p57. - négocier son rôle dans un espace carcéral partagé, p59. - Les préoccupations éducatives des agents de détention invisibilisées, p63
* Eduquer ou soigner, p68
- Un éthos médical heurté par l'univers carcéral, p69. - Protéger le secret médical dans le cadre carcéral : le funambulisme du corps médical, p75. - des controverses réactivées autour de la distribution des médicaments, p77. - un souci partagé de vouloir "être dans la relation", p81.
*Eduquer et instruire, p87
- des obstacles administratifs, p87. - donner l'impression d'être dans une classe, p89. - un rôle d'enseignant souvent méconnu par les groupes installés, p93
*Eduquer versus "apprendre à travailler", p95
- "à l'époque, tout le monde pouvait tout faire", p96. - ateliers et activités : controverses autour de l'utilité sociale, p98. - rumeurs, p102. - ce que "faire du social" veut dire, p105. - l'interprofessionalité au coeur des controverses,p110
*Ce que "bien éduquer" veut dire, p115
. Un encadrement à plusieurs visages, p115. - l'isolement, p119.- les ateliers, p.120. - les activités, p121. - Enseignements, p122. - activités diverses menées sur l'extérieur, p122. des conceptions éducatives plurielles, p123. - l'éducation comme travail de "responsabilisation des jeunes détenus, p128. - l'éducation comme travail de "socialisation comportementale, p131. - l'éducation comme "travail biographique", p141. - l'éducation comme "art de faire avec", p141. . Des conceptions socialement situées, p144. 4/ ENFERMER POUR MIEUX REINSERER ? LA PRISON FACE A SON ENVIRONNEMENT EXTERIEUR, p 156.
* Justifier l'enfermement, p158. - La prison, un "mal nécessaire", p160. - la rhétorique du "choc carcéral", un classique revisité ? , p162.
* s'ouvrir sur l'extérieur : les ambivalences de l'humanisation de la prison, p165
- Ouvrir la prison à des nouveaux corps professionnels, p167. - Mettre le jeune à l'épreuve du monde extérieur : une liberté surveillée, p170. - Diminuer le temps d'encellulement : une menace pour l'ordre interne ?, p172. *Préparer la sortie : le CEF face aux familles et aux exigences d'insertion, p174. - Assurer la continuité entre intérieur et extérieur, p175. - "travailler l'alliance" avec les familles, p178. - "maintenant, il n'y a plus de boîtes qui prennent des gens comme eux" : l'insertion compromise?P184.
*Une ouverture institutionnelle tout relative, p190
CONCLUSION: l'éducatif sous contrainte, laboratoire d'une nouvelle économie morale de l'enfermement?, p193.- Division morale du travail et recomposition des "territoires" d'interveneiotn, p195.- conceptions éducatives et distance sociale intégale à la légitimité, p199.- Une institution "enveloppante" qui demeure... par-delà son ouverture sur la réalité extérieure, p201.- "s'autonomiser en détention" : une justification de l'enfermement réinventée, p207
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES, p210. SOURCES DOCUMENTAIRES, p222. ANNEXES, p225
1. tableau des caractéristiques des personnes intervieuwées, p227. 2. Les guides d'entretiens utilisés, p228
Bibliogr. p. 210-223. Notes bibliogr.En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-culture/le-cinema-pour-ouvrir-les [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=226996 Ce qu'enfermer des jeunes veut dire : enquête dans un centre éducatif fermé [texte imprimé] / Arnaud Frauenfelder, Auteur ; Eva Nada, Auteur ; Géraldine Bugnon (1982-...), Auteur . - Zürich (Suisse) : Editions Seismo, 2018 . - 240 p. : couv ill. ; 23 cm. - (Terrains des sciences sociales) .
ISBN : 978-2-88351-079-1
Sur les enjeux des politiques visant à garantir les droit et les impacts sur les jeunes délinquants dans un contexte d'enfermement.
Analyse sur les rivalités des territoires, la diversité des conceptions éducatives et les différents rapports de l'institution à l'environnement extérieur. L'enquête de terrain a été réalisée dans un CEF en Suisse romande.
Comment les professionnels s'approprient-ils leur espace de travail et la raison qu'ils confèrent à leur mission ? Quelles mesures sont prises pour garantir la dignité des jeunes et quelle prise en charge disciplinaire ? quel renforcement sécuritaire et quelles sanctions disciplinaires sont mis en oeuvre ?
Fondé sur une enquête menée dans un centre éducatif fermé de Suisse romande, cet ouvrage analyse les ambivalences qui animent la question de l'enfermement des jeunes délinquants, entre discours sécuritaires, fermeté et reconnaissance des jeunes comme sujets de droit. La diversité des approches éducatives, des rapports avec l'environnement extérieur et le rôle essentiel des agents sont examinés.
Voir aussi « Mon frère », "la violence du silence dans les centres éducatifs fermés, sorti le 31/07/2019. Le troisième long-métrage de Julien Abraham sort ce mercredi 31 juillet en salles. « Mon frère » décrit la violence des centres éducatifs fermés. Le rappeur MHD y incarne Teddy, un adolescent sans problèmes dont la vie bascule après la mort de son père. Julien Abraham signait en 2013 le film « La cité rose » où on observait la dualité des parcours de deux frères originaires d’une banlieue pauvre. Djibril, l’aîné, était en ascension sociale, terminant ses études de droit à Paris tandis que le cadet, Isma, suivait les traces de la délinquance en entamant un boulot de guetteur. Ce teen-movie montrait une image plutôt juste des réalités sociales dans les quartiers populaires. Compte-tenu de la litanie de navets issus de ce genre cinématographique, La cité rose était un essai réussi.
Avec Mon frère, Julien Abraham réalise un nouveau film pour adolescents, à la tonalité beaucoup plus mature et décrivant une réalité bien plus dure. La narration se veut également plus complexe et plus intéressante grâce à des flashbacks bien réalisés. L’action se déroule dans un centre éducatif fermé (CEF), dans le nord de la France. Teddy (incarné par le rappeur MHD), un lycéen, est inculpé pour le meurtre de son père. Issu d’un milieu social aisé, il détonne dans le décor et suscite la curiosité et l’incompréhension des autres jeunes.
Ce qui frappe au premier abord, c’est la mise en scène permanente de la virilité. Le quotidien du centre ressemble à un combat de coq perpétuel où les adolescents se provoquent entre eux. Ils défient les éducateurs, à l’exception de Papou (interprété par Almamy Kanouté) qui les domine par la force. Au sein de cette prison miniature, se joue un jeu de pouvoir dont les armes sont l’intimidation et l’humiliation. Les faiblesses des uns et des autres sont scrutées pour faire plier les potentiels adversaires.
Le projet du film est né de l’intérêt du réalisateur pour la psychoboxe, un concept théorisé par Richard Helbrunn dans les années 1980. Le psychanalyste se sert de la boxe comme outil de psychothérapie. Sur le ring, les jeunes du CEF libère leurs émotions et leur parole en affrontant Claude (jouée par Aïssa Maiga).
Julien Abraham réussit ainsi à maintenir, tout au long du film, une grande tension. La violence enfouie chez les protagonistes est palpable et prête à exploser. La violence du secret. La violence de ne pas pouvoir poser des mots sur sa violence. Un film à voir. Coulisses du film
Le recrutement des jeunes comédiens s’est fait à partir du réseau de centres sociaux, culturels et éducatifs qui ont accueilli des projections du film La cité rose. Almamy Kanouté, acteur et coscénariste dans Mon frère, a déjà travaillé comme éducateur. Un documentaire sur les métiers du cinéma a été réalisé en parallèle du tournage. Le documentaire circulera ensuite dans les différentes structures éducatives pour susciter de nouvelles vocations.
" < https://www.saphirnews.com/Mon-frere--la-violence-du-silence-dans-les-centres-educatifs-fermes_a26522.html >
Langues : Français (fre)
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : Centres pour jeunes délinquants -- Suisse romande -- 1990-... délinquance juvénile Éducation surveillée Prisons CEF enfermement éducateur éducation spécialisée spécialisé DETENTION SANCTION CONTRAINTE EQUIPE PLURIDISCIPLINAIRE CONFLIT RELATION PROFESSIONNELLE TRAVAIL EDUCATIF RELATION EQUIPE EDUCATIVE-FAMILLE Politique pénale Prison (Etudes générales) question carcérale suisse romande délinquance mineur mineure enquête analyse entre éducatif fermé justice pénale des mineurs agent professionnel Droit et justice / Criminalité / Prisons, établissements pénitentiaires SHS Suisse Enquêtes établissement pénitentiaire, éducation surveillée, Suisse Index. décimale : F-31 Délinquance juvénile - Drogue - Violence - Criminalité Résumé : Cet ouvrage revisite la « question carcérale » en décortiquant ses enjeux contemporains. En Suisse comme en Europe, la délinquance juvénile attise les sensibilités publiques et nourrit les discours sécuritaires. Parallèlement, les mineur e s sont progressivement reconnus comme des sujets de droit, dont il faut protéger l’intégrité physique et morale. Ce contexte politique et moral contraint les institutions d’enfermement à garantir plus de « dignité » dans la vie quotidienne des jeunes (réduction des temps d’encellulement, prise en charge pluridisciplinaire), tout en imposant davantage de « fermeté » (renforcement des aménagements sécuritaires,
sanctions disciplinaires).
Les auteur e s explorent cette ambivalence à partir d’une enquête de terrain réalisée dans un centre éducatif fermé de Suisse romande. Comment les acteurs professionnels s’approprient-ils leur espace de travail ? Quelle raison d’être confèrent-ils à leur mission professionnelle ? L’ouvrage analyse les rivalités de territoires, met en évidence la diversité des conceptions éducatives et les différents rapports de l’institution à l’environnement extérieur. Il s’attache ainsi à saisir les formes de recomposition de l’économie morale de l’enfermement des jeunes. Cette analyse sociologique de la justice pénale des mineur e s « par le bas » souligne combien les pratiques de l’État, dans cet univers particulier, s’expriment d’abord par le travail de ses agents.Note de contenu : TdM :
Remerciements, p9
INTRODUCTION : LES CENTRES EDUCATIFS FERMES, ENTRE SECURISATION ET HUMANISATION,p11
* Ni une prison, ni un foyer : le sens de l'enfermement des mineurs en question, p13
* Comprendre une institution "par le bas" : une approche sociologique, p15
* Plan de l'ouvrage, p19
* La situation d'enquête, p23
- "Savez-vous où vous mettez les pieds ?", p24.- Une approche par entretiens compréhensifs, p29. 1/DES AGENTS D'ENCADREMENT SOUS INFLUENCES? P33
*De l'héritage d'un mode d'enfermement spécifique aux mineurs délinquants...,p33
- Le principe de coupure du mineur délinquant de son milieu, p34. - Une déresponsabilisation du jeune de son infraction, p35.- Un rapport social à la "protection des enfants" ambivalent, p38
*...aux critiques d'un complexe tutélaire,p39
- Une prise en charge jugée trop paternaliste, p40.- Une volonté de conjuguer sanctions et éducations, p41. - Un rapprochement de savoirs cliniques autour de la contrainte, p43.
*Une institution décloisonnée? les contraintes juridico-architecturales d'ouverture, p45
- le rapatriement du "secteur d'observation", p47. - Une institution enjointe à diminuer les temps d'encellulement, p49.
2/ CONTROVERSES PROFESSIONNELLES DANS UN CHAMP EN MUTATION, p51
*Eduquer ou "surveiller et punir",p52
- L'arrivée des agents de détention : une demande d'ordre soutenue par des discours-experts, p53. - "vous êtes des matons" : un accueil réservé, p56. - des professionnels du maintien de l'ordre disqualifiés par leurs pairs, p57. - négocier son rôle dans un espace carcéral partagé, p59. - Les préoccupations éducatives des agents de détention invisibilisées, p63
* Eduquer ou soigner, p68
- Un éthos médical heurté par l'univers carcéral, p69. - Protéger le secret médical dans le cadre carcéral : le funambulisme du corps médical, p75. - des controverses réactivées autour de la distribution des médicaments, p77. - un souci partagé de vouloir "être dans la relation", p81.
*Eduquer et instruire, p87
- des obstacles administratifs, p87. - donner l'impression d'être dans une classe, p89. - un rôle d'enseignant souvent méconnu par les groupes installés, p93
*Eduquer versus "apprendre à travailler", p95
- "à l'époque, tout le monde pouvait tout faire", p96. - ateliers et activités : controverses autour de l'utilité sociale, p98. - rumeurs, p102. - ce que "faire du social" veut dire, p105. - l'interprofessionalité au coeur des controverses,p110
*Ce que "bien éduquer" veut dire, p115
. Un encadrement à plusieurs visages, p115. - l'isolement, p119.- les ateliers, p.120. - les activités, p121. - Enseignements, p122. - activités diverses menées sur l'extérieur, p122. des conceptions éducatives plurielles, p123. - l'éducation comme travail de "responsabilisation des jeunes détenus, p128. - l'éducation comme travail de "socialisation comportementale, p131. - l'éducation comme "travail biographique", p141. - l'éducation comme "art de faire avec", p141. . Des conceptions socialement situées, p144. 4/ ENFERMER POUR MIEUX REINSERER ? LA PRISON FACE A SON ENVIRONNEMENT EXTERIEUR, p 156.
* Justifier l'enfermement, p158. - La prison, un "mal nécessaire", p160. - la rhétorique du "choc carcéral", un classique revisité ? , p162.
* s'ouvrir sur l'extérieur : les ambivalences de l'humanisation de la prison, p165
- Ouvrir la prison à des nouveaux corps professionnels, p167. - Mettre le jeune à l'épreuve du monde extérieur : une liberté surveillée, p170. - Diminuer le temps d'encellulement : une menace pour l'ordre interne ?, p172. *Préparer la sortie : le CEF face aux familles et aux exigences d'insertion, p174. - Assurer la continuité entre intérieur et extérieur, p175. - "travailler l'alliance" avec les familles, p178. - "maintenant, il n'y a plus de boîtes qui prennent des gens comme eux" : l'insertion compromise?P184.
*Une ouverture institutionnelle tout relative, p190
CONCLUSION: l'éducatif sous contrainte, laboratoire d'une nouvelle économie morale de l'enfermement?, p193.- Division morale du travail et recomposition des "territoires" d'interveneiotn, p195.- conceptions éducatives et distance sociale intégale à la légitimité, p199.- Une institution "enveloppante" qui demeure... par-delà son ouverture sur la réalité extérieure, p201.- "s'autonomiser en détention" : une justification de l'enfermement réinventée, p207
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES, p210. SOURCES DOCUMENTAIRES, p222. ANNEXES, p225
1. tableau des caractéristiques des personnes intervieuwées, p227. 2. Les guides d'entretiens utilisés, p228
Bibliogr. p. 210-223. Notes bibliogr.En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-culture/le-cinema-pour-ouvrir-les [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=226996 Réservation
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