Titre : |
La virginité féminine : mythes, fantasmes, émancipation / BU de Lettres |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Yvonne Knibiehler (1922-...) , Auteur |
Mention d'édition : |
La couv. porte en plus : "histoire" |
Editeur : |
Paris : Éditions Odile Jacob |
Année de publication : |
impr. 2012 |
Importance : |
220 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7381-2767-9 |
Prix : |
23,90 € |
Note générale : |
Correspondance croisée avec Yvonne Knibiehler et des femmes témoignant de leur expérience autour de la virginité. En hyperlien, LSD du 19/09/2012 (54') : "Pendant tout le XIXe siècle, la culture dominante en Occident voulait que l’on préserve l’innocence des filles c’est-à-dire leur ignorance des choses du sexe afin de les protéger contre les tentations et de les garder pure c’est-à-dire vierge jusqu’au mariage. Yvonne Knibiehler
Aujourd’hui, pour la jeune génération la virginité est définie par les individus n’ayant jamais eu de rapport sexuel.Si l’on remonte aux parents et aux grands-parents, la définition se veut plus exhaustive : il y aura alors une notion de « blancheur de l’âme, de pureté, d’innocence, d’honneur, de valeur et d’estime de soi . »Pour tenter de comprendre ce culte de la virginité, des femmes interrogent Yvonne Knibiehler, historienne et féministe engagée qui tente d’éclairer ces mystères.Avec :
Caroline, Sarah, Laila, Catherine, Marianne, Nathalie
Yvonne Knibiehler, historienne et spécialiste de l’histoire des femmes
Un documentaire de Johanna Bedeau, réalisé par Diphy Mariani" |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Virginité Vie sexuelle défloration mythe Femmes -- Histoire Aspect social Sexualité féminine -- Virginity -- History Social aspects Socio-anthopological history |
Résumé : |
En notre temps de sexualité triomphante, la virginité féminine semble avoir, en Occident, perdu toute signification et toute valeur. Pourtant, en milieu musulman, l’hyménoplastie progresse. Pourtant, les vierges consacrées « laïques » se multiplient discrètement parmi les chrétiens. Pourtant, le mouvement NO SEX prospère aux États-Unis. Survivances ou permanences ?
Pour les féministes, la virginité est une invention masculine, un fantasme masculin. Mais pourquoi les hommes ont-ils éprouvé le besoin de fantasmer sur un tel sujet depuis l’Antiquité ? Et pourquoi y renonceraient-ils de nos jours ? Et puis, comment oublier que, côté femmes, bon nombre de filles ont pendant les siècles chrétiens préservé leur virginité comme une forme de liberté, une source de pouvoir, exprimant grâce à elle leur part d’initiative et d’autonomie, leur « virilité » ?
Pour tenter de comprendre ces contradictions, le nouveau livre d’Yvonne Knibiehler interroge Pallas Athéna et la Vierge Marie, les houris d’Allah, Jeanne d’Arc et Thérèse d’Avila, les anatomistes, les théologiens, les anthropologues, sans oublier les filles d’aujourd’hui. Sœur aînée de la chasteté, la virginité symbolise une part de l’humain qui résiste à l’emprise de la sexualité. Cette résistance, les Grecs la confiaient déjà à des déesses, non à des dieux. La même question demeure, aujourd’hui encore : pourquoi ? |
Note de contenu : |
Bibliogr. p. 209-216 |
En ligne : |
https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/virginite-je-me [...] |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=228458 |
La virginité féminine : mythes, fantasmes, émancipation / BU de Lettres [document électronique] / Yvonne Knibiehler (1922-...)  , Auteur . - La couv. porte en plus : "histoire" . - Paris : Éditions Odile Jacob, impr. 2012 . - 220 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm. ISBN : 978-2-7381-2767-9 : 23,90 € Correspondance croisée avec Yvonne Knibiehler et des femmes témoignant de leur expérience autour de la virginité. En hyperlien, LSD du 19/09/2012 (54') : "Pendant tout le XIXe siècle, la culture dominante en Occident voulait que l’on préserve l’innocence des filles c’est-à-dire leur ignorance des choses du sexe afin de les protéger contre les tentations et de les garder pure c’est-à-dire vierge jusqu’au mariage. Yvonne Knibiehler
Aujourd’hui, pour la jeune génération la virginité est définie par les individus n’ayant jamais eu de rapport sexuel.Si l’on remonte aux parents et aux grands-parents, la définition se veut plus exhaustive : il y aura alors une notion de « blancheur de l’âme, de pureté, d’innocence, d’honneur, de valeur et d’estime de soi . »Pour tenter de comprendre ce culte de la virginité, des femmes interrogent Yvonne Knibiehler, historienne et féministe engagée qui tente d’éclairer ces mystères.Avec :
Caroline, Sarah, Laila, Catherine, Marianne, Nathalie
Yvonne Knibiehler, historienne et spécialiste de l’histoire des femmes
Un documentaire de Johanna Bedeau, réalisé par Diphy Mariani" Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Virginité Vie sexuelle défloration mythe Femmes -- Histoire Aspect social Sexualité féminine -- Virginity -- History Social aspects Socio-anthopological history |
Résumé : |
En notre temps de sexualité triomphante, la virginité féminine semble avoir, en Occident, perdu toute signification et toute valeur. Pourtant, en milieu musulman, l’hyménoplastie progresse. Pourtant, les vierges consacrées « laïques » se multiplient discrètement parmi les chrétiens. Pourtant, le mouvement NO SEX prospère aux États-Unis. Survivances ou permanences ?
Pour les féministes, la virginité est une invention masculine, un fantasme masculin. Mais pourquoi les hommes ont-ils éprouvé le besoin de fantasmer sur un tel sujet depuis l’Antiquité ? Et pourquoi y renonceraient-ils de nos jours ? Et puis, comment oublier que, côté femmes, bon nombre de filles ont pendant les siècles chrétiens préservé leur virginité comme une forme de liberté, une source de pouvoir, exprimant grâce à elle leur part d’initiative et d’autonomie, leur « virilité » ?
Pour tenter de comprendre ces contradictions, le nouveau livre d’Yvonne Knibiehler interroge Pallas Athéna et la Vierge Marie, les houris d’Allah, Jeanne d’Arc et Thérèse d’Avila, les anatomistes, les théologiens, les anthropologues, sans oublier les filles d’aujourd’hui. Sœur aînée de la chasteté, la virginité symbolise une part de l’humain qui résiste à l’emprise de la sexualité. Cette résistance, les Grecs la confiaient déjà à des déesses, non à des dieux. La même question demeure, aujourd’hui encore : pourquoi ? |
Note de contenu : |
Bibliogr. p. 209-216 |
En ligne : |
https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/virginite-je-me [...] |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=228458 |
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