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57 - janvier-mars 2009 (2009/1) - Cultures populaires : populisme et émancipation sociale (Bulletin de Mouvements : sociétés, politique, culture / Cairn.info)
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[n° ou bulletin]
Titre : 57 - janvier-mars 2009 (2009/1) - Cultures populaires : populisme et émancipation sociale Titre original : Cultures populaires ; populisme et émancipation sociale Type de document : document électronique Année de publication : 2009 Importance : 184 p. Format : 24 x 16 cm Prix : 15,30 € Langues : Français (fre) Catégories : PER Mots-clés : Société / Comportement et vie sociale / Lien social (groupes et individu dans la société) Sous-cultures Culture populaire culture, culture de masse, culture urbaine, identité culturelle, contre-culture, culture contemporaine Index. décimale : PER D-0 MOU Mouvements Résumé : Ce dossier tente de comprendre les ambivalences de la modernité culturelle en questionnant différents aspects. Point sur la configuration culturelle actuelle qui renoue avec des codes et des valeurs populaires.
Note de contenu : L'explosion de nouvelles formes artistiques inspirées par la rue, la ville, les espaces collectifs et les modes de vie ainsi que celle d'une « communication de l'intime » promulguée par les blogs et la téléréalité nous placent devant une configuration culturelle renouant avec des codes et des valeurs populaires. Pourtant dans ce paysage redessiné d'innovations, les formes d'engagement les plus radicales côtoient les mythologies du star System ou les valeurs régressives liées au culte de la performance, au risque de vouer leur vocation émancipatrice première à l'uniformisation par le cliché puis à l'atomisation culturelle. Ces modes contemporains de création, de circulation et d'échange sont-ils symbole d'un désir accru d'émancipation sociale ou masquent-ils au contraire le basculement de leurs rituels de célébration populaire dans le populisme ? Sans prétendre trancher dans les ambivalences de la modernité culturelle, ce dossier se propose de tenter de les comprendre en en questionnant différents aspects.
Le travail sait la santé
Peinant à s'imposer sur la scène politique, la santé au travail revient par la porte sociale : des suicides suscitent interrogations et compassion de la part des commentateurs ; des collectifs s'emparent d'une dimension problématique des conditions de travail et portent le fer avec patronat et pouvoirs publics. L'éparpillement de ces apparitions périodiques ne doit pas faire oublier que les débats sur la santé des travailleurs ont tenu une place centrale dans l'histoire du salariat. Mouvements souhaite revenir sur ces enjeux : qu'entend-on par atteintes à la santé physique, à la santé mentale ? Quels liens nouent-elles avec l'organisation du travail ? Quels sont les acteurs collectifs engagés dans les luttes de définition et de reconnaissance de ces maux ? Que nous apprennent les expériences en la matière ?En ligne : http://www.cairn.info/revue-mouvements-2009-1.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=161 [n° ou bulletin] 57 - janvier-mars 2009 (2009/1) - Cultures populaires : populisme et émancipation sociale = Cultures populaires ; populisme et émancipation sociale [document électronique] . - 2009 . - 184 p. ; 24 x 16 cm .
15,30 €
Langues : Français (fre)
Catégories : PER Mots-clés : Société / Comportement et vie sociale / Lien social (groupes et individu dans la société) Sous-cultures Culture populaire culture, culture de masse, culture urbaine, identité culturelle, contre-culture, culture contemporaine Index. décimale : PER D-0 MOU Mouvements Résumé : Ce dossier tente de comprendre les ambivalences de la modernité culturelle en questionnant différents aspects. Point sur la configuration culturelle actuelle qui renoue avec des codes et des valeurs populaires.
Note de contenu : L'explosion de nouvelles formes artistiques inspirées par la rue, la ville, les espaces collectifs et les modes de vie ainsi que celle d'une « communication de l'intime » promulguée par les blogs et la téléréalité nous placent devant une configuration culturelle renouant avec des codes et des valeurs populaires. Pourtant dans ce paysage redessiné d'innovations, les formes d'engagement les plus radicales côtoient les mythologies du star System ou les valeurs régressives liées au culte de la performance, au risque de vouer leur vocation émancipatrice première à l'uniformisation par le cliché puis à l'atomisation culturelle. Ces modes contemporains de création, de circulation et d'échange sont-ils symbole d'un désir accru d'émancipation sociale ou masquent-ils au contraire le basculement de leurs rituels de célébration populaire dans le populisme ? Sans prétendre trancher dans les ambivalences de la modernité culturelle, ce dossier se propose de tenter de les comprendre en en questionnant différents aspects.
Le travail sait la santé
Peinant à s'imposer sur la scène politique, la santé au travail revient par la porte sociale : des suicides suscitent interrogations et compassion de la part des commentateurs ; des collectifs s'emparent d'une dimension problématique des conditions de travail et portent le fer avec patronat et pouvoirs publics. L'éparpillement de ces apparitions périodiques ne doit pas faire oublier que les débats sur la santé des travailleurs ont tenu une place centrale dans l'histoire du salariat. Mouvements souhaite revenir sur ces enjeux : qu'entend-on par atteintes à la santé physique, à la santé mentale ? Quels liens nouent-elles avec l'organisation du travail ? Quels sont les acteurs collectifs engagés dans les luttes de définition et de reconnaissance de ces maux ? Que nous apprennent les expériences en la matière ?En ligne : http://www.cairn.info/revue-mouvements-2009-1.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=161 Contient
- Cultures populaires : populisme culturel ou émancipation sociale ? / Patricia Osganian in Mouvements : sociétés, politique, culture / Cairn.info, 57 (janvier-mars 2009 (2009/1))
- Les cultures immigrées sont-elles solubles dans les cultures populaires ? / Angéline Escafré-Dublet in Mouvements : sociétés, politique, culture / Cairn.info, 57 (janvier-mars 2009 (2009/1))
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12738 PER D-0 MOU Livres Périodiques Centre de Documentation Carrières Sociales Périodiques empruntables Disponible Contre-cultures ! : [actes du colloque Contre-cultures : de la révolution culturelle au dépassement de l'art, 27 juin au 4 juillet 2011, Centre culturel international de Cerisy-la-Salle] / Christophe Bourseiller
Titre : Contre-cultures ! : [actes du colloque Contre-cultures : de la révolution culturelle au dépassement de l'art, 27 juin au 4 juillet 2011, Centre culturel international de Cerisy-la-Salle] Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Bourseiller (1957-...), Directeur de la recherche ; Olivier Penot-Lacassagne (1962-...), Directeur de la recherche Editeur : Paris : Éditions du CNRS, Centre national de la recherche scientifique Année de publication : 2013 Importance : 1 vol. (314 p.-[36] p. de pl.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-271-07507-9 Prix : 25 € Note générale : Table des matières :
Qu'est-ce qu'une contre-culture ? 3
Olivier Penot-Lacassagne
« C'est en secret que tout repousse » 21
Christophe Bourseiller
I.
Contre-culture et avant-garde
Vol au-dessus d'un nid d'ignus : surréalisme et contre-culture. 33
Jérôme Duwa
Dérives psychogéographiques de la gauche lettriste et situationniste 47
Patrick Tacussel
Les situationnistes, précurseurs des contre-cultures ? 56
Christophe Bourseiller
« Les Situs heureux ». Alain Montesse et le groupe pro-situationniste de l'IDHEC (1968-1972) 59
Christian Lebrat
Note sur Les Situs heureux 68
Alain Montesse
L'art brut, à l'encontre de la culture 71
Barbara Safarova
Gatti dedans/dehors : de l'avant-garde aux contre-cultures 81
Catherine Brun
Avant-garde ou contre-culture 97
Christian Prigent (entretien avec Olivier Penot-Lacassagne)
Christian Prigent : une Beat gestation ? 107
Bénédicte Gorrillot
II.
Révolution politique, révolution culturelle
Vers une contre-culture américaine des sixties 123
Frédéric Robert
Beat Generation ou constellation beat ? 136
Olivier Penot-Lacassagne
« Social commentators » : le cas Lenny Bruce 141
Steve Krief
La contre-culture québécoise par la méthode, lieux de distinction 145
Simon-Pier Labelle-Hogue
Herbert Marcuse : Le Grand Refus 155
Olivier Penot-Lacassagne
Timothy Leary : révolution ou délire psychédélique ? 160
Olivier Penot-Lacassagne
Deleuze et Foucault, philosophes du contre et de l'anti 165
Diogo Sardinha
L'extrême gauche léniniste face à la contre-culture 179
Christophe Bourseiller
Universités « libres », à l'avant-garde de la société 183
Olivier Penot-Lacassagne
La presse parallèle française des années 1968, entre transferts culturels et spécificités nationales 193
Michaël Rolland
III.
Ruptures contre-culturelles : / Blank generation et new wave
1968-1978 : les métamorphoses de la contre-culture 211
Olivier Penot-Lacassagne
Journal de Californie (suite et fin) 232
Olivier Penot-Lacassagne
La New Wave, une « réaction » culturelle ? 235
Christophe Bourseiller
Genesis Breyer P-Orridge 239
Jeran-Pierre Turmel
Le metal : une culture de l'ubris 243
Alexis Mombelet
Le théâtre black metal de la cruauté 254
Christophe Bourseiller
IV.
Le temps du pluriel
Tribus et contre-cultures 259
Olivier Penot-Lacassagne
Vers une contre-culture « brune » ? 263
Christophe Bourseiller
L'Atlantide. Propos sur le cinéma expérimental 267
Nicole Brenez
Le mal (re)vient de l'intérieur, ou la portée contre-culturelle du Nouvel Hollywood 273
Jonathan Degenève
Un parcours paradoxal 285
Kenneth White (entretien avec Olivier Penot-Lacassagne)
La stratégie de la mutation 295
Kenneth White
Les auteurs 305Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Contre-culture - Arts politique - Congrès Culture médias / Histoire des idées et des mentalités SHS Sous-cultures Actes de congrès Résistance politique -- 1945-... sociologie de la culture Index. décimale : J-01 Culture - Essais sur... Résumé : Actes du colloque du Centre culturel international, Cerisy-la-Salle, du 24 juin au 4 juillet 2011 : réflexions et analyse du phénomène pluriel de la contre-culture qui, depuis les années 1950 et à travers ses différentes manifestations (beat generation, rock culture, punk, new wave, etc.), bouleverse les mentalités et entend porter la révolution dans la vie quotidienne. Note de contenu :
Notes bibliogr. La 4e de couv. indique : "Qu'est-ce qu'une contre-culture ? Comment interpréter le sens général des contestations et des ruptures culturelles,de la seconde moitié du XXe siècle ? Comment reconstituer ces tendances et ces styles d'expression qui, dès les années 1950, ont bouleversé les mentalités ? Les discours sur la notion de culture, sur les altérations qu'elle subit, sur la diversité des influences qui la transforment, abondent ; mais ces discours font peu de place à la notion de contre-culture. Il est pourtant impossible d'en ignorer les innombrables expressions : Beat Generation, pop philosophie, rock culture, révolution psychédélique, mouvement punk, new wave, black metal... En insistant sur la richesse et l'éclectisme de ces manifestations, cet ouvrage montre que les contre-cultures entendent porter la révolution dans la vie quotidienne. Une réflexion novatrice sur un phénomène pluriel, porté par le désir d'une transformation radicale de la société."Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=74577 Contre-cultures ! : [actes du colloque Contre-cultures : de la révolution culturelle au dépassement de l'art, 27 juin au 4 juillet 2011, Centre culturel international de Cerisy-la-Salle] [texte imprimé] / Christophe Bourseiller (1957-...), Directeur de la recherche ; Olivier Penot-Lacassagne (1962-...), Directeur de la recherche . - Paris : Éditions du CNRS, Centre national de la recherche scientifique, 2013 . - 1 vol. (314 p.-[36] p. de pl.) : ill., couv. ill. en coul. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-271-07507-9 : 25 €
Table des matières :
Qu'est-ce qu'une contre-culture ? 3
Olivier Penot-Lacassagne
« C'est en secret que tout repousse » 21
Christophe Bourseiller
I.
Contre-culture et avant-garde
Vol au-dessus d'un nid d'ignus : surréalisme et contre-culture. 33
Jérôme Duwa
Dérives psychogéographiques de la gauche lettriste et situationniste 47
Patrick Tacussel
Les situationnistes, précurseurs des contre-cultures ? 56
Christophe Bourseiller
« Les Situs heureux ». Alain Montesse et le groupe pro-situationniste de l'IDHEC (1968-1972) 59
Christian Lebrat
Note sur Les Situs heureux 68
Alain Montesse
L'art brut, à l'encontre de la culture 71
Barbara Safarova
Gatti dedans/dehors : de l'avant-garde aux contre-cultures 81
Catherine Brun
Avant-garde ou contre-culture 97
Christian Prigent (entretien avec Olivier Penot-Lacassagne)
Christian Prigent : une Beat gestation ? 107
Bénédicte Gorrillot
II.
Révolution politique, révolution culturelle
Vers une contre-culture américaine des sixties 123
Frédéric Robert
Beat Generation ou constellation beat ? 136
Olivier Penot-Lacassagne
« Social commentators » : le cas Lenny Bruce 141
Steve Krief
La contre-culture québécoise par la méthode, lieux de distinction 145
Simon-Pier Labelle-Hogue
Herbert Marcuse : Le Grand Refus 155
Olivier Penot-Lacassagne
Timothy Leary : révolution ou délire psychédélique ? 160
Olivier Penot-Lacassagne
Deleuze et Foucault, philosophes du contre et de l'anti 165
Diogo Sardinha
L'extrême gauche léniniste face à la contre-culture 179
Christophe Bourseiller
Universités « libres », à l'avant-garde de la société 183
Olivier Penot-Lacassagne
La presse parallèle française des années 1968, entre transferts culturels et spécificités nationales 193
Michaël Rolland
III.
Ruptures contre-culturelles : / Blank generation et new wave
1968-1978 : les métamorphoses de la contre-culture 211
Olivier Penot-Lacassagne
Journal de Californie (suite et fin) 232
Olivier Penot-Lacassagne
La New Wave, une « réaction » culturelle ? 235
Christophe Bourseiller
Genesis Breyer P-Orridge 239
Jeran-Pierre Turmel
Le metal : une culture de l'ubris 243
Alexis Mombelet
Le théâtre black metal de la cruauté 254
Christophe Bourseiller
IV.
Le temps du pluriel
Tribus et contre-cultures 259
Olivier Penot-Lacassagne
Vers une contre-culture « brune » ? 263
Christophe Bourseiller
L'Atlantide. Propos sur le cinéma expérimental 267
Nicole Brenez
Le mal (re)vient de l'intérieur, ou la portée contre-culturelle du Nouvel Hollywood 273
Jonathan Degenève
Un parcours paradoxal 285
Kenneth White (entretien avec Olivier Penot-Lacassagne)
La stratégie de la mutation 295
Kenneth White
Les auteurs 305
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Contre-culture - Arts politique - Congrès Culture médias / Histoire des idées et des mentalités SHS Sous-cultures Actes de congrès Résistance politique -- 1945-... sociologie de la culture Index. décimale : J-01 Culture - Essais sur... Résumé : Actes du colloque du Centre culturel international, Cerisy-la-Salle, du 24 juin au 4 juillet 2011 : réflexions et analyse du phénomène pluriel de la contre-culture qui, depuis les années 1950 et à travers ses différentes manifestations (beat generation, rock culture, punk, new wave, etc.), bouleverse les mentalités et entend porter la révolution dans la vie quotidienne. Note de contenu :
Notes bibliogr. La 4e de couv. indique : "Qu'est-ce qu'une contre-culture ? Comment interpréter le sens général des contestations et des ruptures culturelles,de la seconde moitié du XXe siècle ? Comment reconstituer ces tendances et ces styles d'expression qui, dès les années 1950, ont bouleversé les mentalités ? Les discours sur la notion de culture, sur les altérations qu'elle subit, sur la diversité des influences qui la transforment, abondent ; mais ces discours font peu de place à la notion de contre-culture. Il est pourtant impossible d'en ignorer les innombrables expressions : Beat Generation, pop philosophie, rock culture, révolution psychédélique, mouvement punk, new wave, black metal... En insistant sur la richesse et l'éclectisme de ces manifestations, cet ouvrage montre que les contre-cultures entendent porter la révolution dans la vie quotidienne. Une réflexion novatrice sur un phénomène pluriel, porté par le désir d'une transformation radicale de la société."Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=74577 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1003 J-01 BOU Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Art / Culture Disponible 4 - 19 juin 2015 - Bons baisers de la pop culture : l'abécédaire des idées (Bulletin de Panorama des idées) / Aurélien Fouillet
[n° ou bulletin]
Titre : 4 - 19 juin 2015 - Bons baisers de la pop culture : l'abécédaire des idées Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélien Fouillet (1982-...) , Editeur scientifique ; Marc Gauchée (1964-...), Editeur scientifique
Année de publication : 2015 Importance : 176 p. Format : 21 x 13 cm Prix : 16 € Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Culture et médias / Culture / Sociologie de la culture Sous-cultures pop culture Olivier Donnat hiérarchie culturelle pratique pratiques cullturelles valeur valeurs reconnaissance légitimation institutions participative Richard Memeteau Index. décimale : J-01 Culture - Essais sur... Résumé : Un ensemble d'articles explorant la diversité et les ressorts de la culture populaire, de la bande dessinée au cinéma en passant par la musique, les jeux, les séries télévisées et les cultures alternatives. Note de contenu : Cédric Villani, médaille Fields de la pop culture
Hard metal scandinave
Catherine Ribeiro
Esprit du cool, es-tu là ?
Dorothée, Dexter et cosplay
Du journalisme gonzo
Anthropologie du catch
La théorie du Mème Internet
Psychanalyse des super-héros
Vu de la rue de Valois
La pop philosophie à l'assaut de la citadelle interdite
Culture hackerPermalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=37065 [n° ou bulletin] 4 - 19 juin 2015 - Bons baisers de la pop culture : l'abécédaire des idées [texte imprimé] / Aurélien Fouillet (1982-...), Editeur scientifique ; Marc Gauchée (1964-...), Editeur scientifique . - 2015 . - 176 p. ; 21 x 13 cm .
16 €
Langues : Français (fre)
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Culture et médias / Culture / Sociologie de la culture Sous-cultures pop culture Olivier Donnat hiérarchie culturelle pratique pratiques cullturelles valeur valeurs reconnaissance légitimation institutions participative Richard Memeteau Index. décimale : J-01 Culture - Essais sur... Résumé : Un ensemble d'articles explorant la diversité et les ressorts de la culture populaire, de la bande dessinée au cinéma en passant par la musique, les jeux, les séries télévisées et les cultures alternatives. Note de contenu : Cédric Villani, médaille Fields de la pop culture
Hard metal scandinave
Catherine Ribeiro
Esprit du cool, es-tu là ?
Dorothée, Dexter et cosplay
Du journalisme gonzo
Anthropologie du catch
La théorie du Mème Internet
Psychanalyse des super-héros
Vu de la rue de Valois
La pop philosophie à l'assaut de la citadelle interdite
Culture hackerPermalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=37065 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5001 J-01 FOU Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Art / Culture Exclu du prêt Le savant et le populaire : misérabilisme et populisme en sociologie et en littérature / Claude Grignon
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Titre : Le savant et le populaire : misérabilisme et populisme en sociologie et en littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude Grignon (1936-...), Auteur ; Jean-Claude Passeron (1930-...) , Auteur
Mention d'édition : Autres tirages : 2000, 2003, 2015 Editeur : Gallimard / Le Seuil Année de publication : 1989 Autre Editeur : Paris cedex 06 : Éditions de l'EHESS, École des Hautes Études en Sciences Sociales Collection : Hautes études, ISSN 0291-4026 Importance : 265 p. Présentation : ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-011391-5 Note générale : Contient un choix de textes de divers auteurs. Voir la relecture de chercheurs en SHS en 2017, en hyperlien Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : SOCIOLOGIE REPRESENTATION Société / Comportement et vie sociale / Lien social (groupes et individu dans la société) Sous-cultures Philosophie et théorie Culture Classe populaire Littérature Populisme (mouvement littéraire) Culture populaire Sociologie de la culture Dans la littérature Ethnocentrisme -- Aspect social Popular culture Popular culture in literature Popular culture -- Social aspects Index. décimale : D-0 Sociologie Résumé : Ce que la littérature tant romanesque que sociologique apporte à la genèse de la représentation dominante des cultures populaires. Texte issu d'un séminaire tenu à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, EHESS Note de contenu : Bibliogr. p. [259]-260. Notes bibliogr. Index En ligne : http://www.bssg.univ-paris8.fr/index.html Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=3854 Le savant et le populaire : misérabilisme et populisme en sociologie et en littérature [texte imprimé] / Claude Grignon (1936-...), Auteur ; Jean-Claude Passeron (1930-...), Auteur . - Autres tirages : 2000, 2003, 2015 . - [S.l.] : Gallimard / Le Seuil : Paris cedex 06 (54, bvd Raspail, 75270) : Éditions de l'EHESS, École des Hautes Études en Sciences Sociales, 1989 . - 265 p. : ill. ; 24 cm. - (Hautes études, ISSN 0291-4026) .
ISBN : 978-2-02-011391-5
Contient un choix de textes de divers auteurs. Voir la relecture de chercheurs en SHS en 2017, en hyperlien
Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : SOCIOLOGIE REPRESENTATION Société / Comportement et vie sociale / Lien social (groupes et individu dans la société) Sous-cultures Philosophie et théorie Culture Classe populaire Littérature Populisme (mouvement littéraire) Culture populaire Sociologie de la culture Dans la littérature Ethnocentrisme -- Aspect social Popular culture Popular culture in literature Popular culture -- Social aspects Index. décimale : D-0 Sociologie Résumé : Ce que la littérature tant romanesque que sociologique apporte à la genèse de la représentation dominante des cultures populaires. Texte issu d'un séminaire tenu à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, EHESS Note de contenu : Bibliogr. p. [259]-260. Notes bibliogr. Index En ligne : http://www.bssg.univ-paris8.fr/index.html Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=3854 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4119 D-0 GRI Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Sociologie Disponible Documents numériques
Système DIY : [faire soi-même à l'ère du 2.0 ; boîte à outils & catalogue de projets] / SUDOC / Etienne Delprat
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Titre : Système DIY : [faire soi-même à l'ère du 2.0 ; boîte à outils & catalogue de projets] / SUDOC Type de document : document électronique Auteurs : Etienne Delprat (1983-...) , Auteur
Editeur : Paris : Éditions Alternatives Année de publication : 2013 Autre Editeur : Paris Cedex 07 : Éditions Gallimard Collection : Design Importance : 238 p. Présentation : ill. Format : 25 x 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86227-803-2 Prix : 25 € Note générale : DIY = Do it yourself. Voir en hyperlien Etienne DELPRAT, DIY – Do It Yourself, mis en ligne le 03 septembre 2017 : "On assiste aujourd’hui à un retour du « Do It Yourself ». Outre de nombreuses publications et événements abordant et questionnant cette forme de pensée et de travail, de plus en plus de lieux, de structures et de personnes revendiquent à nouveau le DIY comme éthique et méthode de travail.
Pourquoi ce retour à des pratiques DIY, particulièrement en Europe ? Les projets qui s’y associent sont nombreux et hétérogènes, mais une ligne commune semble néanmoins émerger. Cette nouvelle vague DIY se situe dans la filiation des mouvements « historiques » précédents. Partageant une volonté commune d’alternatives concrètes, elle s’insère dans un contexte social et politique différent où se mêlent crise économique et problématiques écologiques nouvelles.
Généalogie fragmentaire
Do It !
Pour lui donner cette consistance culturelle et historique de concept et d’idée qui dépasse la simple pratique du « bricolage », un petit détour historique, occasion d’ouvrir à quelques lectures, s’imposait. Dessinée, une généalogie du mouvement DIY, de ses courants, de ses rapports de filiation ne prendrait sûrement pas la forme d’un arbre mais d’un réseau, d’une carte en écriture permanente, faite de strates et de connexions multiples. Au cœur de l’esprit de la contre-culture, l’état d’esprit DIY a traversé de nombreux projets et mouvements – certains devenus fameux, d’autres restés dans l’ombre – pour lesquels il pouvait constituer tant une éthique de vie, une pratique du quotidien, qu’une tactique de combat et de revendication sociale et politique. Le DIY est peut-être même ce qui caractérise et réunit le mieux tous les mouvements associés à la contre-culture [1].
Quelles qu’en aient été les ambitions, toutes et tous, au travers de leurs actions, de leurs manières de faire, partageaient un état d’esprit.
C’est dans les années 60, semble-t-il, que ce dernier a trouvé un nom, ou plutôt un mot d’ordre : « Do It Yourself ». Le DIY est alors devenu un concept que certains ont commencé à théoriser, notamment dans sa dimension politique et éthique. C’est là que son histoire a commencé à s’écrire…
« Do It ! », tel était l’appel de Jerry Rubin en 1970 qui avait donné ce titre à son livre éponyme, souvent présenté comme le manifeste du mouvement Yippie. Propre au contexte américain de ces années-là, l’appel de Jerry Rubin s’adressait avant tout à la jeunesse de son pays. Mais son injonction s’est rapidement universalisée, elle est devenue un appel à la résistance politique, à la mise en acte d’un projet de transformation, social et culturel, pour ici et maintenant, fondant ainsi les bases éthiques de ce mouvement.
Le Whole Earth Catalog, sous-titré Access to Tools, dirigé par Stewart Brand et publié entre 1968 et 1972 en est la seconde trace américaine la plus marquante. L’intention de Brand était de fournir des « outils d’accès » et d’éducation pour que les lecteurs puissent « trouver leur propre inspiration, former leur propre environnement et partager leurs aventures avec quiconque était intéressé pour le faire » [2].
Née aux USA, l’expérience trouva rapidement un écho outre Atlantique, et notamment en France avec la publication du célèbre « Catalogue des Ressources », publié aux éditions Alternatives, et dont le premier tome paraîtra en 1975. De nombreux acteurs du mouvement firent pèlerinage aux U.S.A. à cette époque devenant des acteurs actifs de son déploiement en France, dans le domaine de l’art et de l’architecture en autres [3].
Everything was a fucking act
Parti d’un idéal utopique d’autonomie vis-à-vis du système capitaliste, le concept évolue avec les mouvements punk des années 70 et 80. On passe alors d’un état d’esprit pacifiste à une rage d’opposition et d’affirmation qui fait du DIY une stratégie pragmatique d’action et de résistance. Généralement anticapitaliste et anarchiste, l’action se dirige alors contre le système. L’attitude et les formes d’action évoluent. L’importance des médias et celle des modes d’expression deviennent centrales et multiples (musique, fanzines…) faisant du DIY une esthétique qui a fortement marqué l’imaginaire collectif. Le DIY punk se fonde sur un esprit de subversion qui détourne les codes, joue de la dérision pour contester l’ordre établi [4].
Génération diY ?
User de la notion de génération dans une approche sociologique est toujours controversé. Néanmoins, on remarque que la génération Y, qui regroupe des personnes nées approximativement entre la fin des années 70, ou début des années 80 (selon certains sociologues) et le début des années 2000, porte en elle le ferment de cette nouvelle vague DIY. Imprégnés de la culture des années 60 et 70, parfois avec une certaine nostalgie, ils ont connu des transformations politiques et sociales singulières : crise économique des années 80, fragilisation et remise en question du modèle économique et managérial, émergence des problématiques environnementales et des mouvements écologistes… Son rapport au travail, à la production, à la consommation s’est vu modifié. Cette génération (Occidentale avant tout), relativement jeune lors de l’introduction massive de l’informatique grand public et de l’électronique portable, a facilement intégré les technologies de l’information, et Internet en particulier. On l’associe souvent à l’ensemble des technologies et applications que l’on nomme aujourd’hui le Web 2.0, ce qui se traduit par un autre rapport aux outils de communication et d’échange (blogs, outils collaboratifs, réseaux sociaux …), tant culturels qu’économiques.
Prise dans ces évolutions, la démarche DIY s’est vue redynamisée, renouvelée notamment dans sa dimension collective et collaborative qui s’est intensifiée. Rapport à l’autre et aux autres, production collective, réciprocité, co-révolution ; attention portée à l’environnement – recyclage, récupération, up-cycle [5]… –, expérimentations concrètes d’un autre monde envisagé comme possible – production de ses propres outils, réappropriation des biens et des services à disposition, autres modes de consommation –, ce DIY 2.0 recouvre des pratiques très diverses qui appartiennent à cette génération, son contexte et son époque. [...]"Mots-clés : Do it yourself (mouvement punk) Culture et médias / Culture / Histoire des idées et des mentalités Sous-cultures Autosuffisance Autoconstruction Web 2.0 Résumé : Introduction au mouvement d'action et de pensée du DIY (Do it yourself). Ce mouvement, issu de la culture punk est caractérisé par une culture du rejet de l'existant au profit d'un "fais-le toi-même". Note de contenu : Notes bibliogr. En ligne : http://encyclopedie.fabriquesdesociologie.net/dit-do-it-yourself/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=153512 Système DIY : [faire soi-même à l'ère du 2.0 ; boîte à outils & catalogue de projets] / SUDOC [document électronique] / Etienne Delprat (1983-...), Auteur . - Paris : Éditions Alternatives : Paris Cedex 07 : Éditions Gallimard, 2013 . - 238 p. : ill. ; 25 x 18 cm. - (Design) .
ISBN : 978-2-86227-803-2 : 25 €
DIY = Do it yourself. Voir en hyperlien Etienne DELPRAT, DIY – Do It Yourself, mis en ligne le 03 septembre 2017 : "On assiste aujourd’hui à un retour du « Do It Yourself ». Outre de nombreuses publications et événements abordant et questionnant cette forme de pensée et de travail, de plus en plus de lieux, de structures et de personnes revendiquent à nouveau le DIY comme éthique et méthode de travail.
Pourquoi ce retour à des pratiques DIY, particulièrement en Europe ? Les projets qui s’y associent sont nombreux et hétérogènes, mais une ligne commune semble néanmoins émerger. Cette nouvelle vague DIY se situe dans la filiation des mouvements « historiques » précédents. Partageant une volonté commune d’alternatives concrètes, elle s’insère dans un contexte social et politique différent où se mêlent crise économique et problématiques écologiques nouvelles.
Généalogie fragmentaire
Do It !
Pour lui donner cette consistance culturelle et historique de concept et d’idée qui dépasse la simple pratique du « bricolage », un petit détour historique, occasion d’ouvrir à quelques lectures, s’imposait. Dessinée, une généalogie du mouvement DIY, de ses courants, de ses rapports de filiation ne prendrait sûrement pas la forme d’un arbre mais d’un réseau, d’une carte en écriture permanente, faite de strates et de connexions multiples. Au cœur de l’esprit de la contre-culture, l’état d’esprit DIY a traversé de nombreux projets et mouvements – certains devenus fameux, d’autres restés dans l’ombre – pour lesquels il pouvait constituer tant une éthique de vie, une pratique du quotidien, qu’une tactique de combat et de revendication sociale et politique. Le DIY est peut-être même ce qui caractérise et réunit le mieux tous les mouvements associés à la contre-culture [1].
Quelles qu’en aient été les ambitions, toutes et tous, au travers de leurs actions, de leurs manières de faire, partageaient un état d’esprit.
C’est dans les années 60, semble-t-il, que ce dernier a trouvé un nom, ou plutôt un mot d’ordre : « Do It Yourself ». Le DIY est alors devenu un concept que certains ont commencé à théoriser, notamment dans sa dimension politique et éthique. C’est là que son histoire a commencé à s’écrire…
« Do It ! », tel était l’appel de Jerry Rubin en 1970 qui avait donné ce titre à son livre éponyme, souvent présenté comme le manifeste du mouvement Yippie. Propre au contexte américain de ces années-là, l’appel de Jerry Rubin s’adressait avant tout à la jeunesse de son pays. Mais son injonction s’est rapidement universalisée, elle est devenue un appel à la résistance politique, à la mise en acte d’un projet de transformation, social et culturel, pour ici et maintenant, fondant ainsi les bases éthiques de ce mouvement.
Le Whole Earth Catalog, sous-titré Access to Tools, dirigé par Stewart Brand et publié entre 1968 et 1972 en est la seconde trace américaine la plus marquante. L’intention de Brand était de fournir des « outils d’accès » et d’éducation pour que les lecteurs puissent « trouver leur propre inspiration, former leur propre environnement et partager leurs aventures avec quiconque était intéressé pour le faire » [2].
Née aux USA, l’expérience trouva rapidement un écho outre Atlantique, et notamment en France avec la publication du célèbre « Catalogue des Ressources », publié aux éditions Alternatives, et dont le premier tome paraîtra en 1975. De nombreux acteurs du mouvement firent pèlerinage aux U.S.A. à cette époque devenant des acteurs actifs de son déploiement en France, dans le domaine de l’art et de l’architecture en autres [3].
Everything was a fucking act
Parti d’un idéal utopique d’autonomie vis-à-vis du système capitaliste, le concept évolue avec les mouvements punk des années 70 et 80. On passe alors d’un état d’esprit pacifiste à une rage d’opposition et d’affirmation qui fait du DIY une stratégie pragmatique d’action et de résistance. Généralement anticapitaliste et anarchiste, l’action se dirige alors contre le système. L’attitude et les formes d’action évoluent. L’importance des médias et celle des modes d’expression deviennent centrales et multiples (musique, fanzines…) faisant du DIY une esthétique qui a fortement marqué l’imaginaire collectif. Le DIY punk se fonde sur un esprit de subversion qui détourne les codes, joue de la dérision pour contester l’ordre établi [4].
Génération diY ?
User de la notion de génération dans une approche sociologique est toujours controversé. Néanmoins, on remarque que la génération Y, qui regroupe des personnes nées approximativement entre la fin des années 70, ou début des années 80 (selon certains sociologues) et le début des années 2000, porte en elle le ferment de cette nouvelle vague DIY. Imprégnés de la culture des années 60 et 70, parfois avec une certaine nostalgie, ils ont connu des transformations politiques et sociales singulières : crise économique des années 80, fragilisation et remise en question du modèle économique et managérial, émergence des problématiques environnementales et des mouvements écologistes… Son rapport au travail, à la production, à la consommation s’est vu modifié. Cette génération (Occidentale avant tout), relativement jeune lors de l’introduction massive de l’informatique grand public et de l’électronique portable, a facilement intégré les technologies de l’information, et Internet en particulier. On l’associe souvent à l’ensemble des technologies et applications que l’on nomme aujourd’hui le Web 2.0, ce qui se traduit par un autre rapport aux outils de communication et d’échange (blogs, outils collaboratifs, réseaux sociaux …), tant culturels qu’économiques.
Prise dans ces évolutions, la démarche DIY s’est vue redynamisée, renouvelée notamment dans sa dimension collective et collaborative qui s’est intensifiée. Rapport à l’autre et aux autres, production collective, réciprocité, co-révolution ; attention portée à l’environnement – recyclage, récupération, up-cycle [5]… –, expérimentations concrètes d’un autre monde envisagé comme possible – production de ses propres outils, réappropriation des biens et des services à disposition, autres modes de consommation –, ce DIY 2.0 recouvre des pratiques très diverses qui appartiennent à cette génération, son contexte et son époque. [...]"
Mots-clés : Do it yourself (mouvement punk) Culture et médias / Culture / Histoire des idées et des mentalités Sous-cultures Autosuffisance Autoconstruction Web 2.0 Résumé : Introduction au mouvement d'action et de pensée du DIY (Do it yourself). Ce mouvement, issu de la culture punk est caractérisé par une culture du rejet de l'existant au profit d'un "fais-le toi-même". Note de contenu : Notes bibliogr. En ligne : http://encyclopedie.fabriquesdesociologie.net/dit-do-it-yourself/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=153512 Exemplaires
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Collectif ya+kURLLes nomades du vide : des jeunes en errance, de squats en festivals, de gares en lieux d'accueil / François Chobeaux
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