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Titre : Sous-culture : le sens du style / BU de Lettres Titre original : Subculture : the meaning of style Type de document : document électronique Auteurs : Dick Hebdige, Auteur Mention d'édition : Autres tirages : 2011, 2013 Editeur : Paris : Zones, un label des éditions La Découverte Année de publication : 2008 Importance : 154 p. Présentation : couv. ill. Format : 21 x 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35522-000-5 Prix : 13,50 € Note générale : traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Marc Saint-Upéry Mots-clés : Subculture Groupes sociaux Jeunesse --20e siècle Cultural studies Punk (mouvement) -- Aspect social subcultures Pays et peuples / Voyages et tourisme / Pratiques sociales et culturelles Loisirs et arts du spectacle Jeunesse -- Sociologie Jeunesse -- 1970-... Culture populaire -- culture, sociologie de la culture, jeunesse, Grande-Bretagne Résumé : Etude sociologique de la jeunesse britannique des années 1970 mêlant enquêtes de terrain et développements théoriques. Les conflits sociaux sont décrits comme des luttes pour l'appropriation et la réinterprétation de signes identitaires. L'émergence du punk s'explique par l'importance des dialogues entre les jeunes d'origine britannique et immigré par codes vestimentaires et styles interposés. Note de contenu : Bibliogr. 4e de couv. : "Et de résistance. La jeunesse britannique des années 1970 fut le creuset du punk et du « glam-rock » - avec la figure de Bowie -, mais aussi d'une puissante sous-culture rasta importée en Angleterre par les migrants caribéens. Pour comprendre l'émergence du punk, il faut saisir l'importance de ces dialogues, par styles interposés, entre jeunesse britannique et immigrée : les sous-cultures se répondent entre elles dans un jeu complexe d'échanges, de déplacements et de citations. Avec une avance remarquable sur l'état du débat intellectuel en France, cet ouvrage essentiel fournit des outils conceptuels pour mieux comprendre la grande circulation des signes et des identités qui traverse les sous-cultures de jeunesse en situation postcoloniale." En ligne : http://www.editions-zones.fr/spip.php?page=lyberplayer&id_article=61 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=176232 Sous-culture : le sens du style / BU de Lettres = Subculture : the meaning of style [document électronique] / Dick Hebdige, Auteur . - Autres tirages : 2011, 2013 . - Paris : Zones, un label des éditions La Découverte, 2008 . - 154 p. : couv. ill. ; 21 x 15 cm.
ISBN : 978-2-35522-000-5 : 13,50 €
traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Marc Saint-Upéry
Mots-clés : Subculture Groupes sociaux Jeunesse --20e siècle Cultural studies Punk (mouvement) -- Aspect social subcultures Pays et peuples / Voyages et tourisme / Pratiques sociales et culturelles Loisirs et arts du spectacle Jeunesse -- Sociologie Jeunesse -- 1970-... Culture populaire -- culture, sociologie de la culture, jeunesse, Grande-Bretagne Résumé : Etude sociologique de la jeunesse britannique des années 1970 mêlant enquêtes de terrain et développements théoriques. Les conflits sociaux sont décrits comme des luttes pour l'appropriation et la réinterprétation de signes identitaires. L'émergence du punk s'explique par l'importance des dialogues entre les jeunes d'origine britannique et immigré par codes vestimentaires et styles interposés. Note de contenu : Bibliogr. 4e de couv. : "Et de résistance. La jeunesse britannique des années 1970 fut le creuset du punk et du « glam-rock » - avec la figure de Bowie -, mais aussi d'une puissante sous-culture rasta importée en Angleterre par les migrants caribéens. Pour comprendre l'émergence du punk, il faut saisir l'importance de ces dialogues, par styles interposés, entre jeunesse britannique et immigrée : les sous-cultures se répondent entre elles dans un jeu complexe d'échanges, de déplacements et de citations. Avec une avance remarquable sur l'état du débat intellectuel en France, cet ouvrage essentiel fournit des outils conceptuels pour mieux comprendre la grande circulation des signes et des identités qui traverse les sous-cultures de jeunesse en situation postcoloniale." En ligne : http://www.editions-zones.fr/spip.php?page=lyberplayer&id_article=61 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=176232 Exemplaires
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Voir aussi Laure Ferrand, « Subculture musicale. La musique pratiquée aux marges », Volume !, 8 : 1 | 2011, 319-322.URL
Titre de série : Techno, 2 Titre : Une subculture en marge Type de document : texte imprimé Auteurs : Lionel Pourtau (1974-...), Auteur Editeur : Paris : Éditions du CNRS, Centre national de la recherche scientifique Année de publication : 2012 Importance : 191 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-271-07495-9 Prix : 20 € Note générale : Voir la recension en hyperlien : Philippe Birgy, « Lionel Pourtau, Techno : une subculture en marge », Volume !, 10 : 2 | 2014, 255-257. Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : techno / hardcore techno subcultures Techno (musique) -- Histoire et critique Rave-parties Subculture Société / Comportement et vie sociale / Activités de loisirs SHS Musique, danse, théâtre Aspect social musique, sociologie de la culture Index. décimale : J-11 Musique - Son - Festivals Résumé : Cet essai décrypte le phénomène des fêtes techno, teknivals et free parties, et le regard que la société porte sur celles-ci. L'attitude des institutions à leur égard est examinée. De même, les nomades contemporains qui constituent une partie du public de ces fêtes, sont manifestement à la recherche d'une vie alternative. Leur vision de la société est ici étudiée. Note de contenu : Bibliogr. p. 187-[190]. Notes bibliogr. Lexique. Index. 4e de couv. : "Depuis trente ans, la musique techno est associée à un foisonnement de pratiques culturelles et festives. À côté de la techno paillettes et jet-set des raves d'Ibiza ou des clubs de Londres, il y a la techno plus rugueuse des free parties et des teknivals, avec ses « teuffeurs » en treillis, sillonnant l'Europe en camion pour essayer, quelques années durant, de vivre de façon alternative.
Après avoir dressé la sociologie de ces communautés (Techno, 2009), Lionel Pourtau s'intéresse ici aux interactions qu'elles ont nouées, souvent malgré elles, avec le reste de la société. Les institutions ont d'abord cherché à éradiquer le phénomène, puis à le canaliser. Quant aux « teuffeurs », ils décident toujours au bout de quelques années de rompre avec cette subculture. Mais comment sortir d'un mode de vie marginal et réintégrer la société classique après avoir connu une façon de vivre et un système de valeurs aussi différents ?
Un décryptage novateur du regard que nous portons sur les cultures underground."En ligne : http://volume.revues.org/4131 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=185622 Techno, 2. Une subculture en marge [texte imprimé] / Lionel Pourtau (1974-...), Auteur . - Paris : Éditions du CNRS, Centre national de la recherche scientifique, 2012 . - 191 p. : couv. ill. en coul. ; 22 x 14 cm.
ISBN : 978-2-271-07495-9 : 20 €
Voir la recension en hyperlien : Philippe Birgy, « Lionel Pourtau, Techno : une subculture en marge », Volume !, 10 : 2 | 2014, 255-257.
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : techno / hardcore techno subcultures Techno (musique) -- Histoire et critique Rave-parties Subculture Société / Comportement et vie sociale / Activités de loisirs SHS Musique, danse, théâtre Aspect social musique, sociologie de la culture Index. décimale : J-11 Musique - Son - Festivals Résumé : Cet essai décrypte le phénomène des fêtes techno, teknivals et free parties, et le regard que la société porte sur celles-ci. L'attitude des institutions à leur égard est examinée. De même, les nomades contemporains qui constituent une partie du public de ces fêtes, sont manifestement à la recherche d'une vie alternative. Leur vision de la société est ici étudiée. Note de contenu : Bibliogr. p. 187-[190]. Notes bibliogr. Lexique. Index. 4e de couv. : "Depuis trente ans, la musique techno est associée à un foisonnement de pratiques culturelles et festives. À côté de la techno paillettes et jet-set des raves d'Ibiza ou des clubs de Londres, il y a la techno plus rugueuse des free parties et des teknivals, avec ses « teuffeurs » en treillis, sillonnant l'Europe en camion pour essayer, quelques années durant, de vivre de façon alternative.
Après avoir dressé la sociologie de ces communautés (Techno, 2009), Lionel Pourtau s'intéresse ici aux interactions qu'elles ont nouées, souvent malgré elles, avec le reste de la société. Les institutions ont d'abord cherché à éradiquer le phénomène, puis à le canaliser. Quant aux « teuffeurs », ils décident toujours au bout de quelques années de rompre avec cette subculture. Mais comment sortir d'un mode de vie marginal et réintégrer la société classique après avoir connu une façon de vivre et un système de valeurs aussi différents ?
Un décryptage novateur du regard que nous portons sur les cultures underground."En ligne : http://volume.revues.org/4131 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=185622 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 02748 J-11 POU Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Art / Culture Disponible Les Jeunes : pratiques culturelles et engagement collectif [Colloque international ; Belfort ; 1995] / Maryse Souchard
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Titre : Les Jeunes : pratiques culturelles et engagement collectif [Colloque international ; Belfort ; 1995] Type de document : texte imprimé Auteurs : Maryse Souchard, Editeur scientifique ; Denis Saint-Jacques, Editeur scientifique ; Georges Viala, Editeur scientifique ; Guy Bertrand (1954-...), Collaborateur Mention d'édition : cop. 2001 Editeur : Québec : Éd. Nota Bene Année de publication : 2002 Collection : Études culturelles (Québec), ISSN 1707-164X Importance : 301 p. Présentation : couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-89518-040-1 Prix : 26,85 € Note générale : [Ouvrage recensé par Bruno Rouers in Anthropologie et Sociétés, vol. 26, n° 1, 2002, p. 225-226. Cf. hyperlien] [Source : Anthropologie et Sociétés Volume 26, numéro 1, 2002, p. 225-226 "Politiques jeux d'espaces" Sous la direction de Marc Abélès Direction de la rédaction : Francine Saillant (directrice) ISSN : 0702-8997 (imprimé) 1703-7921 (numérique) - Notes bibliogr. Bibliogr. en fin de chapitres. Coll. auteures : CRIL = Centre de recherche sur l'institution littéraire (Paris). CRELIQ = Centre de recherche en littérature québécoise (Québec, Canada). GEPC = Groupe d'études sur les pratiques culturelles (Cergy-Pontoise) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Théâtre spectacle cultures Spectacles jeunes engagement collectif groupe fréquentation musées musée pratique culturelle jeune culture pratiques musicales construction identité télévision arts de la rue festival banlieue banlieues représentations carnaval Culture Jeunesse -- Loisirs Musique Livres Lecture Attitudes Culture populaire Subculture Participation sociale Index. décimale : J-02 Pratiques culturelles Résumé : Organisé par le CRIL de l'Université Paris III, le CRELIQ de l'Université Laval de Québec et le GEPC de l'IUT de Cergy-Pontoise, "en trois parties, « la musique des musiques », « la culture autrement » et « lire-écrire », cet ouvrage collectif voudrait dresser un tableau des pratiques culturelles des jeunes. Mais la première lecture donne une impression de grande hétérogénéité, en particulier la seconde partie regroupant des papiers sur un jeu télévisé français, sur la fréquentation du Musée de la Civilisation à Québec ou sur la pratique du carnaval au Brésil pour ne prendre que trois exemples. Dans l’introduction, Maryse Souchard, consciente de cette diversité, tente de regrouper ces contributions sous le thème de « culture de grande consommation ». Certains papiers de la partie consacrée à la lecture et à l’écriture semblent un peu décalés par rapport aux attentes du lecteur : les formes de témoignage social dans l’oeuvre de jeunesse de l’écrivain québécois Michel Tremblay (Denis Saint-Jacques), le rôle de Christian Dotrémont dans le mouvement des surréalistes-révolutionnaires (Damien Grawez) ou les formes d’engagement féminin de Flora Tristan (Stéphane Michaud) ont un côté historique qui pourra dérouter un lecteur s’attendant à des témoignages sur les pratiques contemporaines de la jeunesse. Cependant cet ouvrage a le grand mérite de montrer aussi que les jeunes, contrairement à l’image qui leur est souvent attribuée, sont profondément intéressés par la politique au sens premier du terme, la vie de la cité, de la société dans laquelle ils vivent ou d’une société idéale qu’ils se donnent le moyen de rêver ou de créer à certaines occasions. La contribution de Stéphane Wahnich et Virginie Wathier sur « les Eurockéennes, un monde à part », met en avant quelques fondements de cette société parfaite : il s’agit de vivre en société dans un lieu où les jeunes sont intégrés et écoutés. L’engagement collectif qui motive et mobilise les jeunes s’épanouit dans les concerts et les festivals qui représentent des lieux de partage de valeurs et de renforcement des liens affectifs (David Perchirin sur le rôle de la pratique musicale dans la construction de l’identité). La musique peut alors être vue comme un vecteur de socialisation mais aussi de développement de l’identité personnelle (Roger Chamberland sur les spectacles des sous-cultures punk). L’engagement politique des jeunes se traduit par les valeurs qu’ils mettent en avant, la solidarité, la liberté, la tolérance, le respect de la différence, la lutte contre les injustices. L’article de Marie-José Des Rivières, Marie-Hélène Bolduc et Sandra Saint-Laurent sur le rapport des jeunes avec le Musée de la Civilisation montre leur intérêt pour des expositions temporaires (comme celle qui était consacrée à la guerre) et à propos desquelles ils peuvent exprimer sur des cahiers mis à leur disposition leur révolte et leurs espoirs pour un monde futur, que ce soit leur avenir propre ou l’avenir de l’humanité. Ce besoin de se faire entendre se retrouve dans leurs différentes expressions musicales : ainsi le rap est devenu de nos jours plutôt une complainte constatant l’isolement de l’individu, un discours d’exclus, qu’un cri de révolte comme pouvait l’être le rap des débuts ou le rock des générations précédentes (Maryse Souchard). Certaines pratiques culturelles deviennent alors à la fois partie prenante des discours de revendication identitaire et de résistance face à certaines institutions (Valentina Garcia Plata sur l’évolution du rock madrilène de 1975 à 1982, Floriane Gaber sur les arts de la rue). La lutte pour leur intégration reste un leitmotiv du discours jeune Bien que la musique puisse être considérée comme le paradigme de la culture jeune, l’écrit joue aussi un rôle important : l’enquête de Nicolas Robine (pratiques de lecture des jeunes) nous fait prendre conscience de l’importance de cette activité et du fait qu’un lien social peut se créer autour de la circulation de livres. La lecture de bandes dessinées, de science-fiction ou de fiction romanesque contribue au développement de l’imaginaire de cette société idéale à laquelle aspirent les jeunes. Mais ce n’est pas uniquement dans la fiction que les jeunes puisent leurs idées : Véronique Nguyën-Duy note que l’actualisation qu’ils font de symboles de générations passées (habillement hippie, re-création de festivals mythiques comme « Woodstock en Beauce ») n’est pas qu’un mouvement passéiste mais fait partie intégrante du processus de construction de l’être jeune, tout comme peut l’être le recours à la renaissance patrimoniale (Tony Focaci sur la langue et le chant corse). Cet ouvrage est donc riche et offre de nombreuses pistes de recherches pour des études ultérieures même si on peut regretter l’absence de certaines études sur des pratiques très actuelles comme les rave, les jeux vidéo ou les jeux de rôle." Note de contenu : DES RIVIÈRES, Marie-José, Marie-Hélène Bolduc et Sandra St-Laurent, « Les pratiques culturelles des jeunes et le Musée de la civilisation », dans Maryse Souchard, Denis St-Jacques et Alain Viala, (dir.), Les jeunes. Pratiques culturelles et engagement collectif, Québec, Éditions Nota bene / Département d'anthropologie de l'Université Laval, coll. « Études culturelles », 2005, p. 139-142. Thèmes : Fréquentation du musée par les jeunes (Musée de la civilisation de Québec) But : Réfléchir à la rencontre entre un Musée et les jeunes qui le fréquentent. En décrivant la participation des jeunes à quelques activités spécialement organisées pour eux, les auteures s’interrogent sur les liens possibles entre les jeunes et le Musée en tant qu’acteur social. Portrait de la clientèle jeune : « Sans compter les jeunes qui viennent avec leur institution d’enseignement, les 18 à 24 ans représentent, selon les saisons, de 16 à 22 % de la clientèle adulte annuelle...; ils sont plus nombreux pendant la période estivale. » (p. 144). Les jeunes fréquentent le musée un peu plus souvent en compagnie d’amis qu’avec leur famille. « Ils constituent le public le plus scolarisé ou en voie de l’être..., ce qui en fait le public le plus critique. » (p. 144). Pistes de réflexion Contrairement aux critiques émises à l’endroit des jeunes, les auteures constatent que ceux-ci ne demandent qu’à s’engager individuellement et collectivement; ils le font quand des lieux pour parler et agir leur permettent de le faire. Elles terminent leur article sur des pistes de réflexion tirées du groupe de travail sur « Le Musée acteur social » : Devrait-on réserver aux jeunes des lieux pour exprimer directement leur engagement ? Devrait-on choisir des thèmes qui traitent d’enjeux sociaux et le Musée devrait-il traiter ces thèmes de façon à donner des moyens d’agir ? En ligne : http://www.erudit.org/revue/as/2002/v26/n1/000726ar.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=34805 Les Jeunes : pratiques culturelles et engagement collectif [Colloque international ; Belfort ; 1995] [texte imprimé] / Maryse Souchard, Editeur scientifique ; Denis Saint-Jacques, Editeur scientifique ; Georges Viala, Editeur scientifique ; Guy Bertrand (1954-...), Collaborateur . - cop. 2001 . - Québec : Éd. Nota Bene, 2002 . - 301 p. : couv. ill. ; 23 cm. - (Études culturelles (Québec), ISSN 1707-164X) .
ISBN : 978-2-89518-040-1 : 26,85 €
[Ouvrage recensé par Bruno Rouers in Anthropologie et Sociétés, vol. 26, n° 1, 2002, p. 225-226. Cf. hyperlien] [Source : Anthropologie et Sociétés Volume 26, numéro 1, 2002, p. 225-226 "Politiques jeux d'espaces" Sous la direction de Marc Abélès Direction de la rédaction : Francine Saillant (directrice) ISSN : 0702-8997 (imprimé) 1703-7921 (numérique) - Notes bibliogr. Bibliogr. en fin de chapitres. Coll. auteures : CRIL = Centre de recherche sur l'institution littéraire (Paris). CRELIQ = Centre de recherche en littérature québécoise (Québec, Canada). GEPC = Groupe d'études sur les pratiques culturelles (Cergy-Pontoise)
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Théâtre spectacle cultures Spectacles jeunes engagement collectif groupe fréquentation musées musée pratique culturelle jeune culture pratiques musicales construction identité télévision arts de la rue festival banlieue banlieues représentations carnaval Culture Jeunesse -- Loisirs Musique Livres Lecture Attitudes Culture populaire Subculture Participation sociale Index. décimale : J-02 Pratiques culturelles Résumé : Organisé par le CRIL de l'Université Paris III, le CRELIQ de l'Université Laval de Québec et le GEPC de l'IUT de Cergy-Pontoise, "en trois parties, « la musique des musiques », « la culture autrement » et « lire-écrire », cet ouvrage collectif voudrait dresser un tableau des pratiques culturelles des jeunes. Mais la première lecture donne une impression de grande hétérogénéité, en particulier la seconde partie regroupant des papiers sur un jeu télévisé français, sur la fréquentation du Musée de la Civilisation à Québec ou sur la pratique du carnaval au Brésil pour ne prendre que trois exemples. Dans l’introduction, Maryse Souchard, consciente de cette diversité, tente de regrouper ces contributions sous le thème de « culture de grande consommation ». Certains papiers de la partie consacrée à la lecture et à l’écriture semblent un peu décalés par rapport aux attentes du lecteur : les formes de témoignage social dans l’oeuvre de jeunesse de l’écrivain québécois Michel Tremblay (Denis Saint-Jacques), le rôle de Christian Dotrémont dans le mouvement des surréalistes-révolutionnaires (Damien Grawez) ou les formes d’engagement féminin de Flora Tristan (Stéphane Michaud) ont un côté historique qui pourra dérouter un lecteur s’attendant à des témoignages sur les pratiques contemporaines de la jeunesse. Cependant cet ouvrage a le grand mérite de montrer aussi que les jeunes, contrairement à l’image qui leur est souvent attribuée, sont profondément intéressés par la politique au sens premier du terme, la vie de la cité, de la société dans laquelle ils vivent ou d’une société idéale qu’ils se donnent le moyen de rêver ou de créer à certaines occasions. La contribution de Stéphane Wahnich et Virginie Wathier sur « les Eurockéennes, un monde à part », met en avant quelques fondements de cette société parfaite : il s’agit de vivre en société dans un lieu où les jeunes sont intégrés et écoutés. L’engagement collectif qui motive et mobilise les jeunes s’épanouit dans les concerts et les festivals qui représentent des lieux de partage de valeurs et de renforcement des liens affectifs (David Perchirin sur le rôle de la pratique musicale dans la construction de l’identité). La musique peut alors être vue comme un vecteur de socialisation mais aussi de développement de l’identité personnelle (Roger Chamberland sur les spectacles des sous-cultures punk). L’engagement politique des jeunes se traduit par les valeurs qu’ils mettent en avant, la solidarité, la liberté, la tolérance, le respect de la différence, la lutte contre les injustices. L’article de Marie-José Des Rivières, Marie-Hélène Bolduc et Sandra Saint-Laurent sur le rapport des jeunes avec le Musée de la Civilisation montre leur intérêt pour des expositions temporaires (comme celle qui était consacrée à la guerre) et à propos desquelles ils peuvent exprimer sur des cahiers mis à leur disposition leur révolte et leurs espoirs pour un monde futur, que ce soit leur avenir propre ou l’avenir de l’humanité. Ce besoin de se faire entendre se retrouve dans leurs différentes expressions musicales : ainsi le rap est devenu de nos jours plutôt une complainte constatant l’isolement de l’individu, un discours d’exclus, qu’un cri de révolte comme pouvait l’être le rap des débuts ou le rock des générations précédentes (Maryse Souchard). Certaines pratiques culturelles deviennent alors à la fois partie prenante des discours de revendication identitaire et de résistance face à certaines institutions (Valentina Garcia Plata sur l’évolution du rock madrilène de 1975 à 1982, Floriane Gaber sur les arts de la rue). La lutte pour leur intégration reste un leitmotiv du discours jeune Bien que la musique puisse être considérée comme le paradigme de la culture jeune, l’écrit joue aussi un rôle important : l’enquête de Nicolas Robine (pratiques de lecture des jeunes) nous fait prendre conscience de l’importance de cette activité et du fait qu’un lien social peut se créer autour de la circulation de livres. La lecture de bandes dessinées, de science-fiction ou de fiction romanesque contribue au développement de l’imaginaire de cette société idéale à laquelle aspirent les jeunes. Mais ce n’est pas uniquement dans la fiction que les jeunes puisent leurs idées : Véronique Nguyën-Duy note que l’actualisation qu’ils font de symboles de générations passées (habillement hippie, re-création de festivals mythiques comme « Woodstock en Beauce ») n’est pas qu’un mouvement passéiste mais fait partie intégrante du processus de construction de l’être jeune, tout comme peut l’être le recours à la renaissance patrimoniale (Tony Focaci sur la langue et le chant corse). Cet ouvrage est donc riche et offre de nombreuses pistes de recherches pour des études ultérieures même si on peut regretter l’absence de certaines études sur des pratiques très actuelles comme les rave, les jeux vidéo ou les jeux de rôle." Note de contenu : DES RIVIÈRES, Marie-José, Marie-Hélène Bolduc et Sandra St-Laurent, « Les pratiques culturelles des jeunes et le Musée de la civilisation », dans Maryse Souchard, Denis St-Jacques et Alain Viala, (dir.), Les jeunes. Pratiques culturelles et engagement collectif, Québec, Éditions Nota bene / Département d'anthropologie de l'Université Laval, coll. « Études culturelles », 2005, p. 139-142. Thèmes : Fréquentation du musée par les jeunes (Musée de la civilisation de Québec) But : Réfléchir à la rencontre entre un Musée et les jeunes qui le fréquentent. En décrivant la participation des jeunes à quelques activités spécialement organisées pour eux, les auteures s’interrogent sur les liens possibles entre les jeunes et le Musée en tant qu’acteur social. Portrait de la clientèle jeune : « Sans compter les jeunes qui viennent avec leur institution d’enseignement, les 18 à 24 ans représentent, selon les saisons, de 16 à 22 % de la clientèle adulte annuelle...; ils sont plus nombreux pendant la période estivale. » (p. 144). Les jeunes fréquentent le musée un peu plus souvent en compagnie d’amis qu’avec leur famille. « Ils constituent le public le plus scolarisé ou en voie de l’être..., ce qui en fait le public le plus critique. » (p. 144). Pistes de réflexion Contrairement aux critiques émises à l’endroit des jeunes, les auteures constatent que ceux-ci ne demandent qu’à s’engager individuellement et collectivement; ils le font quand des lieux pour parler et agir leur permettent de le faire. Elles terminent leur article sur des pistes de réflexion tirées du groupe de travail sur « Le Musée acteur social » : Devrait-on réserver aux jeunes des lieux pour exprimer directement leur engagement ? Devrait-on choisir des thèmes qui traitent d’enjeux sociaux et le Musée devrait-il traiter ces thèmes de façon à donner des moyens d’agir ? En ligne : http://www.erudit.org/revue/as/2002/v26/n1/000726ar.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=34805 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01811 J-02 SOU Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Art / Culture Disponible La ruée vers le sable : une histoire environnementale des plages de Los Angeles au XXe siècle / SUDOC / Elsa Devienne
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Titre : La ruée vers le sable : une histoire environnementale des plages de Los Angeles au XXe siècle / SUDOC Titre original : Des plages dans la ville : une histoire sociale et environnementale du littoral de Los Angeles (1920-1972) Type de document : document électronique Auteurs : Elsa Devienne , Auteur ; François Weil (1961-...), Directeur de thèse
Mention d'édition : Texte remanié de : Thèse de doctorat : Histoire : Paris, EHESS : 2014 Editeur : Paris : Éditions de la Sorbonne Année de publication : 2020 Collection : Série Homme et société Sous-collection : Série Histoire environnementale num. 65 Importance : 1 vol. (288 p.) Présentation : ill., cartes, couv.ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-351-0524-2 Prix : 25 EUR Note générale : En hyperlien, Paroles d'histoire 131 L'invention des plages californiennes, avec Elsa Devienne, 10 juin 2020 : La question des plages, devenue visible durant le confinement (1’15).L’origine de cette recherche : la ségrégation des lieux de loisir ; puis la découverte des espaces spécifiques des plages de Californie du sud (5’)
Quelles archives pour l’histoire des plages ? (9’15) complétées par des sources privées comme l’album photo de Verna Williams (13’15)
Une ville qui tourne initialement le dos à la mer, avant de construire un rapport intense au littoral et aux plages (14’35)
L’invention d’une culture de plage californienne, dès les années 1930, synthétisant différentes influences (19’10)
Le besoin de mise en ordre de la plage, du point de vue social et racial (22’50), et les petits espaces de liberté des Africains-Américains (Inkwell, Bruce’s beach) (26’)
Un « lobby des plages » qui cherche à remédier à la « crise » des plages dans les années 1930 (27’30)
Une transformation des plages de Los Angeles plutôt réussie, et qui vient nuancer la vision noire léguée par le livre de Mike Davis, City of Quartz (34’)
La plage californienne, modèle pour l’Amérique des années 1950… (37’30)
…au prix de la suppression d’Ocean Park, et ses sous-cultures, noire, gay, ouvrière et du body-building (39’20)
Une volonté de re-privatiser les plages dans les années 1970, en lien avec l’émergence de la nouvelle droite américaine (46’)
Conseils de lecture et de visionnage (49’)
Les conseils de lecture, de films, et les références citées durant l’émission :
Alain Corbin, Le territoire du vide: l’Occident et le désir du rivage, 1750-1840, Paris, Aubier, 1988.
Mike Davis, City of Quartz, 1990
Rayner Banham, Los Angeles, l’architecture des quatre écologies, 1971
John Fante, La route de Los Angeles, 1985Langues : Français (fre) Mots-clés : Littoraux -- Aménagement -- Urbanisation -- Plages -- Aspect social -- États-Unis -- Los Angeles (Calif.) -- 20e siècle histoire plage Urbanisation -- Plages Subculture Discrimination raciale -- espace naturel complexe pollution
Relations ségrégation racisme:Californie du SUD interethniques lobby écologie jetée maquette maquettes police autobiographie photographie photgraphies famille familiale 1930-... histoire orale Los Angeles Ingénierie environnementale Ville Environnement Race Californie Plage Littoral Ingénieur Thèses et écrits académiquesRésumé : Cette thèse explore l'histoire du littoral de Los Angeles, et plus spécifiquement des plages qui font la renommée de la région, des années 1920 au début des années 1970. Il s'agit d'étudier les plages non pas seulement sous l'angle de l'histoire du tourisme et des loisirs, mais dans une perspective d'histoire urbaine. En effet, l'aménagement, l'accessibilité, la surveillance, la réglementation et la ségrégation raciale de ces vastes espaces publics font l'objet de multiples débats au cours du siècle. À la croisée de l'histoire environnementale et de l'histoire socio-culturelle, ce travail prend en compte les différents acteurs - ingénieurs, scientifiques, urbanistes, élus et propriétaires locaux - qui ont cherché à transformer et réguler le littoral suivant des visions concurrentes, voire contradictoires, ainsi que les hommes et les femmes qui ont fait valoir leur droit d'occuper et de s'approprier ce lieu. Trois conclusions principales se dégagent de cette étude. D'abord, les plages de Los Angeles sont aujourd'hui largement artificielles ; elles ont notamment été élargies de manière spectaculaire entre les années 1930 et 1960. Ensuite, elles sont le théâtre de multiples remises en cause des hiérarchies sociales et raciales qui prévalent en ville. Toutefois, dans l'après-guerre, un mouvement de modernisation des plages et des quartiers environnants engendre l'élimination partielle des publics et des pratiques jugés indésirables par les autorités. Enfin, les plages sont le lieu de naissance de plusieurs sous-cultures, qui contribuent à façonner un modèle balnéaire original et influencent les manières de montrer et mettre en valeur son corps, à la plage comme à la ville. Note de contenu : École doctorale de l'École des Hautes Études en Sciences Sociales. - Autres contributions : Andrew J. Diamond, Laurence Gervais, Geneviève Massard-Guilbaud, Thomas J. Sugrue (Membres du jury).- Bibliogr. p. [251]-276. Index En ligne : https://www.youtube.com/watch?v=DbRJQIzYjtc&feature=emb_logo Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=248925 La ruée vers le sable : une histoire environnementale des plages de Los Angeles au XXe siècle / SUDOC = Des plages dans la ville : une histoire sociale et environnementale du littoral de Los Angeles (1920-1972) [document électronique] / Elsa Devienne, Auteur ; François Weil (1961-...), Directeur de thèse . - Texte remanié de : Thèse de doctorat : Histoire : Paris, EHESS : 2014 . - Paris : Éditions de la Sorbonne, 2020 . - 1 vol. (288 p.) : ill., cartes, couv.ill. en coul. ; 24 cm. - (Série Homme et société. Série Histoire environnementale, ISSN 2428-7458; 65) .
ISBN : 979-10-351-0524-2 : 25 EUR
En hyperlien, Paroles d'histoire 131 L'invention des plages californiennes, avec Elsa Devienne, 10 juin 2020 : La question des plages, devenue visible durant le confinement (1’15).L’origine de cette recherche : la ségrégation des lieux de loisir ; puis la découverte des espaces spécifiques des plages de Californie du sud (5’)
Quelles archives pour l’histoire des plages ? (9’15) complétées par des sources privées comme l’album photo de Verna Williams (13’15)
Une ville qui tourne initialement le dos à la mer, avant de construire un rapport intense au littoral et aux plages (14’35)
L’invention d’une culture de plage californienne, dès les années 1930, synthétisant différentes influences (19’10)
Le besoin de mise en ordre de la plage, du point de vue social et racial (22’50), et les petits espaces de liberté des Africains-Américains (Inkwell, Bruce’s beach) (26’)
Un « lobby des plages » qui cherche à remédier à la « crise » des plages dans les années 1930 (27’30)
Une transformation des plages de Los Angeles plutôt réussie, et qui vient nuancer la vision noire léguée par le livre de Mike Davis, City of Quartz (34’)
La plage californienne, modèle pour l’Amérique des années 1950… (37’30)
…au prix de la suppression d’Ocean Park, et ses sous-cultures, noire, gay, ouvrière et du body-building (39’20)
Une volonté de re-privatiser les plages dans les années 1970, en lien avec l’émergence de la nouvelle droite américaine (46’)
Conseils de lecture et de visionnage (49’)
Les conseils de lecture, de films, et les références citées durant l’émission :
Alain Corbin, Le territoire du vide: l’Occident et le désir du rivage, 1750-1840, Paris, Aubier, 1988.
Mike Davis, City of Quartz, 1990
Rayner Banham, Los Angeles, l’architecture des quatre écologies, 1971
John Fante, La route de Los Angeles, 1985
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Littoraux -- Aménagement -- Urbanisation -- Plages -- Aspect social -- États-Unis -- Los Angeles (Calif.) -- 20e siècle histoire plage Urbanisation -- Plages Subculture Discrimination raciale -- espace naturel complexe pollution
Relations ségrégation racisme:Californie du SUD interethniques lobby écologie jetée maquette maquettes police autobiographie photographie photgraphies famille familiale 1930-... histoire orale Los Angeles Ingénierie environnementale Ville Environnement Race Californie Plage Littoral Ingénieur Thèses et écrits académiquesRésumé : Cette thèse explore l'histoire du littoral de Los Angeles, et plus spécifiquement des plages qui font la renommée de la région, des années 1920 au début des années 1970. Il s'agit d'étudier les plages non pas seulement sous l'angle de l'histoire du tourisme et des loisirs, mais dans une perspective d'histoire urbaine. En effet, l'aménagement, l'accessibilité, la surveillance, la réglementation et la ségrégation raciale de ces vastes espaces publics font l'objet de multiples débats au cours du siècle. À la croisée de l'histoire environnementale et de l'histoire socio-culturelle, ce travail prend en compte les différents acteurs - ingénieurs, scientifiques, urbanistes, élus et propriétaires locaux - qui ont cherché à transformer et réguler le littoral suivant des visions concurrentes, voire contradictoires, ainsi que les hommes et les femmes qui ont fait valoir leur droit d'occuper et de s'approprier ce lieu. Trois conclusions principales se dégagent de cette étude. D'abord, les plages de Los Angeles sont aujourd'hui largement artificielles ; elles ont notamment été élargies de manière spectaculaire entre les années 1930 et 1960. Ensuite, elles sont le théâtre de multiples remises en cause des hiérarchies sociales et raciales qui prévalent en ville. Toutefois, dans l'après-guerre, un mouvement de modernisation des plages et des quartiers environnants engendre l'élimination partielle des publics et des pratiques jugés indésirables par les autorités. Enfin, les plages sont le lieu de naissance de plusieurs sous-cultures, qui contribuent à façonner un modèle balnéaire original et influencent les manières de montrer et mettre en valeur son corps, à la plage comme à la ville. Note de contenu : École doctorale de l'École des Hautes Études en Sciences Sociales. - Autres contributions : Andrew J. Diamond, Laurence Gervais, Geneviève Massard-Guilbaud, Thomas J. Sugrue (Membres du jury).- Bibliogr. p. [251]-276. Index En ligne : https://www.youtube.com/watch?v=DbRJQIzYjtc&feature=emb_logo Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=248925 Exemplaires
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