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Hyperthyroïdie chez un sportif : aux frontières du surentraînement / J.-F. Brun in Science & sports / ScienceDirect, Volume 29 numéro 2 (Avril 2014)
[article]
Titre : Hyperthyroïdie chez un sportif : aux frontières du surentraînement Titre original : Hyperthyroidism in an athlete: On the edge of overtraining Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-F. Brun, Auteur ; C. Boegner, Auteur ; C. Fédou, Auteur Année de publication : Avril 2014 Article en page(s) : p.95-100 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hyperthyroïdie Maladie de Basedow Overreaching Surentraînement Triathlon Résumé : Introduction
Nous rapportons l’observation d’un homme de 38ans, maître nageur et triathlète, traité depuis quatre ans pour maladie de Basedow ayant récidivé à trois reprises. Il pratique 8 à 12h de sport par semaine.
Synthèse des faits
Le questionnaire SFMS retient une diminution de performance avec 35 items positifs sur 54, donc un score très élevé. L’enquête diététique dénombre 3233 kcal/24h dont 1,8g/kg par jour de protides. Il pèse 67,1kg, dont 59,3kg de masse maigre et 12 % de masse grasse. Un test d’effort triangulaire montre une VO2-max à 58,2mL/min par kilogramme (147 % de la norme théorique) avec seuil ventilatoire à 55 % de cette VO2-max, mais avant son hyperthyroïdie ces valeurs auraient été 25 % plus élevées. En fait l’hyperthyroïdie est parfaitement contrôlée selon les critères usuels avec 25mg/j de carbimazole, mais ce « parfait équilibre » est ressenti chez ce sportif comme comportant un état de tachycardie relative qui le gêne fortement dans sa pratique sportive et ses entraînements.
Conclusion
Cette observation montre que la normalisation d’une hyperthyroïdie selon les critères usuels laisse persister chez un sportif une hypersympathicotonie qui crée l’équivalent de la dysfonction sympathique de l’overreaching.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125560
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 29 numéro 2 (Avril 2014) . - p.95-100[article] Hyperthyroïdie chez un sportif : aux frontières du surentraînement = Hyperthyroidism in an athlete: On the edge of overtraining [texte imprimé] / J.-F. Brun, Auteur ; C. Boegner, Auteur ; C. Fédou, Auteur . - Avril 2014 . - p.95-100.
Langues : Français (fre)
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 29 numéro 2 (Avril 2014) . - p.95-100
Mots-clés : Hyperthyroïdie Maladie de Basedow Overreaching Surentraînement Triathlon Résumé : Introduction
Nous rapportons l’observation d’un homme de 38ans, maître nageur et triathlète, traité depuis quatre ans pour maladie de Basedow ayant récidivé à trois reprises. Il pratique 8 à 12h de sport par semaine.
Synthèse des faits
Le questionnaire SFMS retient une diminution de performance avec 35 items positifs sur 54, donc un score très élevé. L’enquête diététique dénombre 3233 kcal/24h dont 1,8g/kg par jour de protides. Il pèse 67,1kg, dont 59,3kg de masse maigre et 12 % de masse grasse. Un test d’effort triangulaire montre une VO2-max à 58,2mL/min par kilogramme (147 % de la norme théorique) avec seuil ventilatoire à 55 % de cette VO2-max, mais avant son hyperthyroïdie ces valeurs auraient été 25 % plus élevées. En fait l’hyperthyroïdie est parfaitement contrôlée selon les critères usuels avec 25mg/j de carbimazole, mais ce « parfait équilibre » est ressenti chez ce sportif comme comportant un état de tachycardie relative qui le gêne fortement dans sa pratique sportive et ses entraînements.
Conclusion
Cette observation montre que la normalisation d’une hyperthyroïdie selon les critères usuels laisse persister chez un sportif une hypersympathicotonie qui crée l’équivalent de la dysfonction sympathique de l’overreaching.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125560 Overtraining syndrome : la piste de la suractivité ? in Science & sports / ScienceDirect, Volume 23 numéro 6 (01/12/2008)
[article]
Titre : Overtraining syndrome : la piste de la suractivité ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 01/12/2008 Article en page(s) : pp.310-312 Langues : Français (fre) Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES:Approche scientifique:Travail de recherche:Recherche sur le terrain:Questionnaire ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Physiologie:Nutrition Mots-clés : surentraînement dépense énergétique protéines Résumé : Introduction
Le surentraînement est multifactoriel. Nous avons voulu évaluer l’importance respective de la suractivité et des déséquilibres de l’apport alimentaire.
Synthèse des faits
Une comparaison de 17 footballeurs avec sept surentraînés avérés montre que les deux groupes se différencient par la dépense énergétique (DE) de l’activité sportive (1573 + 378,6 kcal/j contre 804,7 + 184,7 kcal/j) tandis que l’alimentation ne montre pas de différence significative.
Conclusion
Dans cet échantillon de sujets, l’alimentation présente des anomalies dans les deux groupes, et ce qui caractérise les overtraining syndromes est bien une activité physique supérieure. La suractivité est bien un des facteurs centraux de ce syndrome, qui mérite donc tout de même un peu son nom de « surentraînement ».Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125253
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 23 numéro 6 (01/12/2008) . - pp.310-312[article] Overtraining syndrome : la piste de la suractivité ? [texte imprimé] . - 01/12/2008 . - pp.310-312.
Langues : Français (fre)
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 23 numéro 6 (01/12/2008) . - pp.310-312
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES:Approche scientifique:Travail de recherche:Recherche sur le terrain:Questionnaire ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Physiologie:Nutrition Mots-clés : surentraînement dépense énergétique protéines Résumé : Introduction
Le surentraînement est multifactoriel. Nous avons voulu évaluer l’importance respective de la suractivité et des déséquilibres de l’apport alimentaire.
Synthèse des faits
Une comparaison de 17 footballeurs avec sept surentraînés avérés montre que les deux groupes se différencient par la dépense énergétique (DE) de l’activité sportive (1573 + 378,6 kcal/j contre 804,7 + 184,7 kcal/j) tandis que l’alimentation ne montre pas de différence significative.
Conclusion
Dans cet échantillon de sujets, l’alimentation présente des anomalies dans les deux groupes, et ce qui caractérise les overtraining syndromes est bien une activité physique supérieure. La suractivité est bien un des facteurs centraux de ce syndrome, qui mérite donc tout de même un peu son nom de « surentraînement ».Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125253 Présentation clinique, biologique et ergométrique de six cas d’overtraining syndrome in Science & sports / ScienceDirect, Volume 24 numéro 1 (01/02/2009)
[article]
Titre : Présentation clinique, biologique et ergométrique de six cas d’overtraining syndrome Type de document : texte imprimé Année de publication : 01/02/2009 Article en page(s) : pp.40-44 Langues : Français (fre) Mots-clés : athlètes surentraînement IGFBP-3,lactate test d’effort calorimétrie d’effort Résumé : Introduction
Ce travail visait à décrire la sémiologie biologique et ergométrique de sportifs présentant la forme chronicisée du surentraînement.
Synthèse des faits
Nous décrivons six cas d’overtraining syndrome caractérisé, explorés en détail. Ils présentent une réponse au questionnaire de forme Société française de médecine du sport (SFMS) remarquablement monomorphe. Les sujets présentés ici ont une Insulin-like growth farctor-binding protein 3 (IGFBP-3) toujours basse et une réduction de la fréquence cardiaque maximale (Fcmax), ainsi qu’une réduction de la constante γ2 de décroissance postexercice du lactate et de l’aptitude à oxyder des lipides à l’exercice.
Conclusion
La séméiologie de l’overtraining syndrome est variable et le questionnaire SFMS représente l’élément le plus informatif. Une baisse d’IGFBP-3 et de Fcmax sont fréquents, la réduction de la constante γ2 de décroissance postexercice du lactate et la glucodépendance à la calorimétrie d’effort pourraient constituer des marqueurs intéressants.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125260
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 24 numéro 1 (01/02/2009) . - pp.40-44[article] Présentation clinique, biologique et ergométrique de six cas d’overtraining syndrome [texte imprimé] . - 01/02/2009 . - pp.40-44.
Langues : Français (fre)
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 24 numéro 1 (01/02/2009) . - pp.40-44
Mots-clés : athlètes surentraînement IGFBP-3,lactate test d’effort calorimétrie d’effort Résumé : Introduction
Ce travail visait à décrire la sémiologie biologique et ergométrique de sportifs présentant la forme chronicisée du surentraînement.
Synthèse des faits
Nous décrivons six cas d’overtraining syndrome caractérisé, explorés en détail. Ils présentent une réponse au questionnaire de forme Société française de médecine du sport (SFMS) remarquablement monomorphe. Les sujets présentés ici ont une Insulin-like growth farctor-binding protein 3 (IGFBP-3) toujours basse et une réduction de la fréquence cardiaque maximale (Fcmax), ainsi qu’une réduction de la constante γ2 de décroissance postexercice du lactate et de l’aptitude à oxyder des lipides à l’exercice.
Conclusion
La séméiologie de l’overtraining syndrome est variable et le questionnaire SFMS représente l’élément le plus informatif. Une baisse d’IGFBP-3 et de Fcmax sont fréquents, la réduction de la constante γ2 de décroissance postexercice du lactate et la glucodépendance à la calorimétrie d’effort pourraient constituer des marqueurs intéressants.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125260