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Grandir avec les écrans ? : ce qu'en pensent les professionnels de l'enfance / SUDOC et Cairn.info / Elisabeth Baton-Hervé
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Titre : Grandir avec les écrans ? : ce qu'en pensent les professionnels de l'enfance / SUDOC et Cairn.info Type de document : document électronique Auteurs : Elisabeth Baton-Hervé, Editeur scientifique Editeur : Toulouse : Éditions Érès Année de publication : 2020 Collection : Mille et un et plus/1001 et +, ISSN 2269-4161 Importance : 347 p. Format : 20 x 12 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87682-053-1 Prix : 20 € Note générale : Les acteurs du monde de l'enfance sont bien placés pour observer les répercussions de l'usage des écrans sur la santé et le développement des jeunes générations. En s'appuyant sur la littérature scientifique, sur ses propres recherches et expériences de terrain, l'auteur renouvelle notre capacité à penser la place prise par les écrans dans la vie des enfants et des adolescents et les préconisations en termes d'usages des écrans. En un peu plus de vingt années, l'environnement médiatique et technologique des familles s'est sensiblement modifié. Chaque unité familiale est équipée de matériels technologiques de formats divers, aux nombreuses fonctionnalités, interconnectables, fixes et nomades, utilisables par chacun, quel que soit son âge. La sur-stimulation audiovisuelle précoce et la surexposition aux écrans sont source d'inquiétudes et sujets fréquents de débats. Dans l'enquête menée de façon indépendante auprès de professionnels de l'enfance, l'auteur scrute les conséquences d'un trop-plein d'écrans pour la santé, le développement et le bien-être des moins de 16 ans. Son objectif est de considérer avec lucidité les problèmes de tous ordres occasionnés par les écrans pour mieux les éradiquer. C'est seulement à cette condition que nous pourrons entrer avec les enfants et adolescents dans un usage profitable des écrans numériques Mots-clés : Enfants internautes -- Psychologie Technologies de l'information et de la communication -- Aspect psychologique Résumé : Une présentation des relations établies par les spécialistes de l'enfance entre l'exposition des enfants de moins de 16 ans aux écrans et leur développement psychique. Les signes de troubles du comportement, de retard de langage, de fatigue ou encore de difficultés scolaires sont pris en compte pour établir une réflexion et élaborer un usage raisonné des écrans.
En un peu plus de vingt années, l'environnement médiatique et technologique des familles s'est considérablement modifié. Les enfants grandissent désormais dans un monde d'écrans. En effet, chaque unité familiale est équipée de matériels technologiques de formats divers, aux nombreuses fonctionnalités, interconnectables, fixes et nomades, utilisables par chacun, quel que soit son âge. La sur-stimulation audiovisuelle précoce et la surexposition aux écrans sont source d'inquiétudes et objets fréquents de débats.
Dans l'enquête menée de façon indépendante auprès de professionnels de l'enfance, l'auteur scrute les conséquences d'un trop-plein d'écrans pour la santé, le développement et le bien-être des moins de 16 ans. Son objectif est de considérer avec lucidité les problèmes de tous ordres occasionnés par les écrans - y compris les enjeux de l'économie du numérique et le pouvoir financier des grandes firmes impliquées dans ce vaste marché - pour mieux les prévenir. C'est seulement à cette condition que nous pourrons entrer avec les enfants et adolescents dans un usage profitable des écrans numériques.Note de contenu : Sommaire :
P. 9. Avant-propos
P. 15. Introduction
P. 29. 1. Petite généalogie des écrans : l'environnement des familles bouleversé
P. 91. 2. L'enquête : des points de vue concordants chez les professionnels de l'enfance
P. 255. 3. Du bon usage des écrans ; à la recherche d'une cohérence éducative
P. 323. Conclusion
Bibliogr. p. 329-335. Notes bibliogr.En ligne : http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://www.cairn.info/grandir-avec-les [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=4427 Grandir avec les écrans ? : ce qu'en pensent les professionnels de l'enfance / SUDOC et Cairn.info [document électronique] / Elisabeth Baton-Hervé, Editeur scientifique . - Toulouse (11 rue des alouettes, 31520) : Éditions Érès, 2020 . - 347 p. ; 20 x 12 cm. - (Mille et un et plus/1001 et +, ISSN 2269-4161) .
ISBN : 978-2-87682-053-1 : 20 €
Les acteurs du monde de l'enfance sont bien placés pour observer les répercussions de l'usage des écrans sur la santé et le développement des jeunes générations. En s'appuyant sur la littérature scientifique, sur ses propres recherches et expériences de terrain, l'auteur renouvelle notre capacité à penser la place prise par les écrans dans la vie des enfants et des adolescents et les préconisations en termes d'usages des écrans. En un peu plus de vingt années, l'environnement médiatique et technologique des familles s'est sensiblement modifié. Chaque unité familiale est équipée de matériels technologiques de formats divers, aux nombreuses fonctionnalités, interconnectables, fixes et nomades, utilisables par chacun, quel que soit son âge. La sur-stimulation audiovisuelle précoce et la surexposition aux écrans sont source d'inquiétudes et sujets fréquents de débats. Dans l'enquête menée de façon indépendante auprès de professionnels de l'enfance, l'auteur scrute les conséquences d'un trop-plein d'écrans pour la santé, le développement et le bien-être des moins de 16 ans. Son objectif est de considérer avec lucidité les problèmes de tous ordres occasionnés par les écrans pour mieux les éradiquer. C'est seulement à cette condition que nous pourrons entrer avec les enfants et adolescents dans un usage profitable des écrans numériques
Mots-clés : Enfants internautes -- Psychologie Technologies de l'information et de la communication -- Aspect psychologique Résumé : Une présentation des relations établies par les spécialistes de l'enfance entre l'exposition des enfants de moins de 16 ans aux écrans et leur développement psychique. Les signes de troubles du comportement, de retard de langage, de fatigue ou encore de difficultés scolaires sont pris en compte pour établir une réflexion et élaborer un usage raisonné des écrans.
En un peu plus de vingt années, l'environnement médiatique et technologique des familles s'est considérablement modifié. Les enfants grandissent désormais dans un monde d'écrans. En effet, chaque unité familiale est équipée de matériels technologiques de formats divers, aux nombreuses fonctionnalités, interconnectables, fixes et nomades, utilisables par chacun, quel que soit son âge. La sur-stimulation audiovisuelle précoce et la surexposition aux écrans sont source d'inquiétudes et objets fréquents de débats.
Dans l'enquête menée de façon indépendante auprès de professionnels de l'enfance, l'auteur scrute les conséquences d'un trop-plein d'écrans pour la santé, le développement et le bien-être des moins de 16 ans. Son objectif est de considérer avec lucidité les problèmes de tous ordres occasionnés par les écrans - y compris les enjeux de l'économie du numérique et le pouvoir financier des grandes firmes impliquées dans ce vaste marché - pour mieux les prévenir. C'est seulement à cette condition que nous pourrons entrer avec les enfants et adolescents dans un usage profitable des écrans numériques.Note de contenu : Sommaire :
P. 9. Avant-propos
P. 15. Introduction
P. 29. 1. Petite généalogie des écrans : l'environnement des familles bouleversé
P. 91. 2. L'enquête : des points de vue concordants chez les professionnels de l'enfance
P. 255. 3. Du bon usage des écrans ; à la recherche d'une cohérence éducative
P. 323. Conclusion
Bibliogr. p. 329-335. Notes bibliogr.En ligne : http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://www.cairn.info/grandir-avec-les [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=4427 Exemplaires
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53 - octobre-décembre 2018 - Pesticides [texte imprimé] : pourquoi et comment les remplacer ? (Bulletin de L'Ecologiste (Paris) / BM de Tours et SUDOC)
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[n° ou bulletin]
Titre : 53 - octobre-décembre 2018 - Pesticides [texte imprimé] : pourquoi et comment les remplacer ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 66 p. Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Prix : 6 € Note générale : La couv. porte en plus : « OGM. Une victoire historique », « Quizz. Êtes-vous biorégionaliste ? », « Économie. Deux Nobels étonnants » Langues : Français (fre) Mots-clés : Environnement - écologie Organismes transgéniques -- Pays de l'Union européenne Réchauffement de la Terre -- Recherche -- France -- Amérique du Nord -- Accords commerciaux -- 21e siècle Technologies de l'information et de la communication -- Aspect psychologique Maladies d'origine nutritionnelle Aliments -- Transformation Biorégionalisme
Incinération -- Déchets -- Élimination -- Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne)
Vin -- Effets des pesticides
Vin -- Teneur en pesticides
Ennemis des cultures -- Lutte biologique contre
Chlordécone -- Toxicologie -- Antilles françaises -- 1990-....
Chlordécone -- Aspect environnemental -- Antilles françaises -- 1990-....
Agents de lutte biologique
Ennemis des cultures -- Lutte biologique contre
Politique de l'environnement -- Europe -- 1990-....
Environnement -- Protection -- Europe -- 1990-....
Justice environnementale
Responsabilité pour dommages dus aux changements climatiques
Responsabilité environnementale
Écologie agricole -- Entretiens
Plantes sauvages comestiblesRésumé : « -25% : c'est la diminution globale du risque de cancer observée chez les consommateurs "réguliers" d'aliments bio : c'est ce que montre une étude épidémiologique publiée par le JAMA Internal Medecine le 22 octobre 2018 et menée par une équipe de l'INRA, de l'Inserm, de l'université Paris 13 et CNAM, sur la base de l'analyse d'un échantillon de 68 946 participants de la cohorte NutriNet-Santé. C'est net. Pour les lymphomes, la diminution est même de 76%. Pourquoi ? Deux raisons sont avancées par les auteurs : les consommateurs réguliers de produits bio sont moins exposés aux pesticides d'une part et d'autre part une meilleure qualité nutritionnelle des aliments bio.
-80% : c'est la diminution depuis trente ans de la population d'insectes en Allemagne, annoncée par une étude publiée dans la revue PLOS le 18 octobre 2017. Point qui a été relevé : les études ont été menées dans les réserves naturelles, épargnées donc par l'épandage direct de pesticides - mais baignées, comme une bonne part de l'Europe, dans une atmosphère chargée de ces toxiques.
Abandonner les pesticides est donc une nécessité pour la santé humaine et celle des écosystèmes. Le professeur Gilles-Éric Séralini relève les immenses failles du système d'évaluation des pesticides (p. 22-23). Le professeur François Ramade, figure historique de l'écologie en France, lance un appel solennel pour l'interdiction des néonicotinoïdes partout dans le monde (p. 24-25). Le professeur Philippe Verdol fait le point sur l'immense scandale du chlordécone, aux Antilles mais aussi en Europe (p. 26-28) ainsi que sur la récente visite aux Antilles françaises du président Emmanuel Macron (p. 28). Les professeurs Harold Levrel et Denis Couvet dressent enfin le chemin pour une transition vers une agriculture biologique (p. 29-32 et 37-38).
Au fil de ce dossier, on découvrira également quelques grands groupes d'insectes auxiliaires indispensables mais dont les pesticides privent les agriculteurs et la société de leurs services : les carabes (p. 22), les chrysopes (p. 24), les forficules (p. 26), les syrphes (p. 29), les coccinelles (p. 30) et les punaises (p. 37). La transition vers le bio est aussi une transition culturelle qui passe par une connaissance des êtres vivants qui nous entourent, et une reconnaissance de leur rôle sur notre planète commune ! » [Source : introduction du dossier]Note de contenu : "Des villes pilotes comme Paris, Rennes ou Besançon (élue « Capitale française de la biodiversité 2018 ») s’en passaient déjà avant l’interdiction officielle. C’était aussi le cas de Lyon dès 2003 ou, plus récemment, de Toulouse. « Les serres municipales qui produisent près de 400 000 fleurs par an pratiquaient le zéro phyto depuis 2014, grâce notamment au désherbage manuel et aux insectes auxiliaires », détaille Marie‐Pierre Chaumette, adjointe au maire de Toulouse chargée des Jardins et Espaces verts.
biodiversite1Il est encore trop tôt pour dire si cette politique « zéro pesticide » porte ses fruits. Les spécialistes constatent cependant que les butineurs ont tendance à préférer la ville à la campagne : « Les abeilles sont certainement mieux dans le parc lyonnais de la Tête d’or que dans l’est de l’agglomération ou dans la Beauce où elles sont victimes des pesticides épandus par les agriculteurs », considère le naturaliste Hugues Mouret."En ligne : https://www.mediacites.fr/solutions/national/2019/08/27/abeilles-moutons-chauves [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=51268 [n° ou bulletin] 53 - octobre-décembre 2018 - Pesticides [texte imprimé] : pourquoi et comment les remplacer ? [texte imprimé] . - 2018 . - 66 p. : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
6 €
La couv. porte en plus : « OGM. Une victoire historique », « Quizz. Êtes-vous biorégionaliste ? », « Économie. Deux Nobels étonnants »
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Environnement - écologie Organismes transgéniques -- Pays de l'Union européenne Réchauffement de la Terre -- Recherche -- France -- Amérique du Nord -- Accords commerciaux -- 21e siècle Technologies de l'information et de la communication -- Aspect psychologique Maladies d'origine nutritionnelle Aliments -- Transformation Biorégionalisme
Incinération -- Déchets -- Élimination -- Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne)
Vin -- Effets des pesticides
Vin -- Teneur en pesticides
Ennemis des cultures -- Lutte biologique contre
Chlordécone -- Toxicologie -- Antilles françaises -- 1990-....
Chlordécone -- Aspect environnemental -- Antilles françaises -- 1990-....
Agents de lutte biologique
Ennemis des cultures -- Lutte biologique contre
Politique de l'environnement -- Europe -- 1990-....
Environnement -- Protection -- Europe -- 1990-....
Justice environnementale
Responsabilité pour dommages dus aux changements climatiques
Responsabilité environnementale
Écologie agricole -- Entretiens
Plantes sauvages comestiblesRésumé : « -25% : c'est la diminution globale du risque de cancer observée chez les consommateurs "réguliers" d'aliments bio : c'est ce que montre une étude épidémiologique publiée par le JAMA Internal Medecine le 22 octobre 2018 et menée par une équipe de l'INRA, de l'Inserm, de l'université Paris 13 et CNAM, sur la base de l'analyse d'un échantillon de 68 946 participants de la cohorte NutriNet-Santé. C'est net. Pour les lymphomes, la diminution est même de 76%. Pourquoi ? Deux raisons sont avancées par les auteurs : les consommateurs réguliers de produits bio sont moins exposés aux pesticides d'une part et d'autre part une meilleure qualité nutritionnelle des aliments bio.
-80% : c'est la diminution depuis trente ans de la population d'insectes en Allemagne, annoncée par une étude publiée dans la revue PLOS le 18 octobre 2017. Point qui a été relevé : les études ont été menées dans les réserves naturelles, épargnées donc par l'épandage direct de pesticides - mais baignées, comme une bonne part de l'Europe, dans une atmosphère chargée de ces toxiques.
Abandonner les pesticides est donc une nécessité pour la santé humaine et celle des écosystèmes. Le professeur Gilles-Éric Séralini relève les immenses failles du système d'évaluation des pesticides (p. 22-23). Le professeur François Ramade, figure historique de l'écologie en France, lance un appel solennel pour l'interdiction des néonicotinoïdes partout dans le monde (p. 24-25). Le professeur Philippe Verdol fait le point sur l'immense scandale du chlordécone, aux Antilles mais aussi en Europe (p. 26-28) ainsi que sur la récente visite aux Antilles françaises du président Emmanuel Macron (p. 28). Les professeurs Harold Levrel et Denis Couvet dressent enfin le chemin pour une transition vers une agriculture biologique (p. 29-32 et 37-38).
Au fil de ce dossier, on découvrira également quelques grands groupes d'insectes auxiliaires indispensables mais dont les pesticides privent les agriculteurs et la société de leurs services : les carabes (p. 22), les chrysopes (p. 24), les forficules (p. 26), les syrphes (p. 29), les coccinelles (p. 30) et les punaises (p. 37). La transition vers le bio est aussi une transition culturelle qui passe par une connaissance des êtres vivants qui nous entourent, et une reconnaissance de leur rôle sur notre planète commune ! » [Source : introduction du dossier]Note de contenu : "Des villes pilotes comme Paris, Rennes ou Besançon (élue « Capitale française de la biodiversité 2018 ») s’en passaient déjà avant l’interdiction officielle. C’était aussi le cas de Lyon dès 2003 ou, plus récemment, de Toulouse. « Les serres municipales qui produisent près de 400 000 fleurs par an pratiquaient le zéro phyto depuis 2014, grâce notamment au désherbage manuel et aux insectes auxiliaires », détaille Marie‐Pierre Chaumette, adjointe au maire de Toulouse chargée des Jardins et Espaces verts.
biodiversite1Il est encore trop tôt pour dire si cette politique « zéro pesticide » porte ses fruits. Les spécialistes constatent cependant que les butineurs ont tendance à préférer la ville à la campagne : « Les abeilles sont certainement mieux dans le parc lyonnais de la Tête d’or que dans l’est de l’agglomération ou dans la Beauce où elles sont victimes des pesticides épandus par les agriculteurs », considère le naturaliste Hugues Mouret."En ligne : https://www.mediacites.fr/solutions/national/2019/08/27/abeilles-moutons-chauves [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=51268 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire