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La peur du savoir : sur le relativisme et le constructivisme de la connaissance / Paul Artin Boghossian
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Titre : La peur du savoir : sur le relativisme et le constructivisme de la connaissance Titre original : Fear of knowledge : Against relativism and constructivism (Oxford University Press, 2006 Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Artin Boghossian, Auteur ; Jean-Jacques Rosat, Préfacier, etc. Mention d'édition : Traduit de l’anglais par Ophelia Deroy Editeur : Marseille : Agone éditeur Année de publication : 2009 Collection : Banc d'essais Importance : 224 p. Format : 21 x 12 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7489-0085-9 Prix : 20 € Note générale : [Note de lecture dans "Questions de culture" n°17, cf. hyperlien] Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : théorie de la connaissance épistémologie connaissance constructivisme philosophie relativité Constructivisme (philosophie)
RelativismeIndex. décimale : S-30 Epistémologie - Politique de la science Résumé : Exposé des conceptions relativistes et constructivistes, aujourd'hui répandues dans le monde intellectuel, selon lesquelles la vérité d'une opinion ou d'une théorie dépend exclusivement du contexte social, historique et culturel où elle est émise. Leurs failles logiques et épistémologiques sont mises en lumière et le réalisme de sens commun et ses idées de vérité et d'objectivité défendus. Note de contenu : Le constructivisme est libérateur quand il révèle la contingence de pratiques sociales considérées à tort comme fondées en nature. Mais il s’égare quand il aspire à devenir une théorie générale de la vérité et de la connaissance, où celles-ci ne font plus qu’exprimer les besoins et les intérêts d’une société.
Pourquoi tant de gens se sont-ils laissés tenter par cette application généralisée du constructivisme social ? C’est qu’on acquiert par là un énorme pouvoir : si une connaissance n’est légitimée que par des valeurs sociales contingentes, on peut rejeter tout savoir du moment qu’on ne partage pas les valeurs en question.
Les idées du constructivisme de la connaissance sont étroitement liées à des courants progressistes comme le postcolonialisme et le multiculturalisme : elles fourniraient des armes philosophiques pour protéger les cultures opprimées. Mais, même d’un point de vue strictement politique, ce n’est pas très judicieux. Car, si les puissants ne peuvent plus critiquer les opprimés parce que les catégories du savoir sont inévitablement liées à des perspectives particulières, il s’ensuit également que les opprimés ne peuvent plus critiquer les puissants. Voilà qui menace d’avoir des conséquences profondément conservatrices.
Ce livre réfute avec clarté et simplicité les arguments qui sont au fondement de la pensée postmoderne : nous n’avons aucune raison sérieuse de croire que nos concepts ordinaires de vérité, de connaissance et d’objectivité seraient aujourd’hui disqualifiés, et devraient être abandonnés. Il est complété par une préface qui en souligne les enjeux et des annexes où sont discutées les idées de Bruno Latour, Isabelle Stengers et Michel Foucault sur cette question.En ligne : http://www.ques2com.fr/pdf/17-l09.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=25723 La peur du savoir : sur le relativisme et le constructivisme de la connaissance = Fear of knowledge : Against relativism and constructivism (Oxford University Press, 2006 [texte imprimé] / Paul Artin Boghossian, Auteur ; Jean-Jacques Rosat, Préfacier, etc. . - Traduit de l’anglais par Ophelia Deroy . - Marseille : Agone éditeur, 2009 . - 224 p. ; 21 x 12 cm. - (Banc d'essais) .
ISBN : 978-2-7489-0085-9 : 20 €
[Note de lecture dans "Questions de culture" n°17, cf. hyperlien]
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : théorie de la connaissance épistémologie connaissance constructivisme philosophie relativité Constructivisme (philosophie)
RelativismeIndex. décimale : S-30 Epistémologie - Politique de la science Résumé : Exposé des conceptions relativistes et constructivistes, aujourd'hui répandues dans le monde intellectuel, selon lesquelles la vérité d'une opinion ou d'une théorie dépend exclusivement du contexte social, historique et culturel où elle est émise. Leurs failles logiques et épistémologiques sont mises en lumière et le réalisme de sens commun et ses idées de vérité et d'objectivité défendus. Note de contenu : Le constructivisme est libérateur quand il révèle la contingence de pratiques sociales considérées à tort comme fondées en nature. Mais il s’égare quand il aspire à devenir une théorie générale de la vérité et de la connaissance, où celles-ci ne font plus qu’exprimer les besoins et les intérêts d’une société.
Pourquoi tant de gens se sont-ils laissés tenter par cette application généralisée du constructivisme social ? C’est qu’on acquiert par là un énorme pouvoir : si une connaissance n’est légitimée que par des valeurs sociales contingentes, on peut rejeter tout savoir du moment qu’on ne partage pas les valeurs en question.
Les idées du constructivisme de la connaissance sont étroitement liées à des courants progressistes comme le postcolonialisme et le multiculturalisme : elles fourniraient des armes philosophiques pour protéger les cultures opprimées. Mais, même d’un point de vue strictement politique, ce n’est pas très judicieux. Car, si les puissants ne peuvent plus critiquer les opprimés parce que les catégories du savoir sont inévitablement liées à des perspectives particulières, il s’ensuit également que les opprimés ne peuvent plus critiquer les puissants. Voilà qui menace d’avoir des conséquences profondément conservatrices.
Ce livre réfute avec clarté et simplicité les arguments qui sont au fondement de la pensée postmoderne : nous n’avons aucune raison sérieuse de croire que nos concepts ordinaires de vérité, de connaissance et d’objectivité seraient aujourd’hui disqualifiés, et devraient être abandonnés. Il est complété par une préface qui en souligne les enjeux et des annexes où sont discutées les idées de Bruno Latour, Isabelle Stengers et Michel Foucault sur cette question.En ligne : http://www.ques2com.fr/pdf/17-l09.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=25723 Réservation
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Consulter l’ouvrage en ligne via CairnURLLa philosophie des sciences au 20ème siècle / Thomas Lepeltier in Les Grands dossiers des sciences humaines / BU de l'IUT et Cairn.info, n°64 (septembre - octobre - novembre 2021)
[article]
Titre : La philosophie des sciences au 20ème siècle Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Lepeltier ; Jean-François Dortier ; Fabien Trécourt Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 36-43 Note générale : Fait partie du dossier : "Qu'est-ce que la science ?"
Langues : Français (fre) Mots-clés : Philosophie des sciences Théorie de la connaissance Philosophie -- 20e siècle Philosophie analytique Popper, Karl Raimund (1902-1994) Sociologie des sciences Sciences -- Histoire Relativisme Science studies Positivisme/empirisme/philosophie analytique/falsifiabilité Résumé : L'utopie d'une science objective, appuyée sur une langue logique pour décrire le réel, a été déjouée par la découverte des "jeux de langage", le développement de la sociologie des sciences et du relativisme Note de contenu : La philosophie des sciences se distingue de la philosophie de la connaissance. Alors que la seconde s’intéresse aux conditions et aux limites de la connaissance humaine en général, la première s’occupe de la connaissance proprement scientifique. Elle n’a donc pu naître que lorsque les sciences se sont constituées en disciplines autonomes, distinctes de la philosophie, à partir du 17e siècle. Mais ce n’est qu’à la fin du 19e siècle que la philosophie des sciences devient une discipline à part entière sur un plan institutionnel, lors de la création des premières chaires de « philosophie inductive » ou de « théorie des sciences inductives ». Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=275202
in Les Grands dossiers des sciences humaines / BU de l'IUT et Cairn.info > n°64 (septembre - octobre - novembre 2021) . - p. 36-43[article] La philosophie des sciences au 20ème siècle [texte imprimé] / Thomas Lepeltier ; Jean-François Dortier ; Fabien Trécourt . - 2021 . - p. 36-43.
Fait partie du dossier : "Qu'est-ce que la science ?"
Langues : Français (fre)
in Les Grands dossiers des sciences humaines / BU de l'IUT et Cairn.info > n°64 (septembre - octobre - novembre 2021) . - p. 36-43
Mots-clés : Philosophie des sciences Théorie de la connaissance Philosophie -- 20e siècle Philosophie analytique Popper, Karl Raimund (1902-1994) Sociologie des sciences Sciences -- Histoire Relativisme Science studies Positivisme/empirisme/philosophie analytique/falsifiabilité Résumé : L'utopie d'une science objective, appuyée sur une langue logique pour décrire le réel, a été déjouée par la découverte des "jeux de langage", le développement de la sociologie des sciences et du relativisme Note de contenu : La philosophie des sciences se distingue de la philosophie de la connaissance. Alors que la seconde s’intéresse aux conditions et aux limites de la connaissance humaine en général, la première s’occupe de la connaissance proprement scientifique. Elle n’a donc pu naître que lorsque les sciences se sont constituées en disciplines autonomes, distinctes de la philosophie, à partir du 17e siècle. Mais ce n’est qu’à la fin du 19e siècle que la philosophie des sciences devient une discipline à part entière sur un plan institutionnel, lors de la création des premières chaires de « philosophie inductive » ou de « théorie des sciences inductives ». Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=275202
Titre : Perdons-nous connaissance ? : de la mythologie à la neurologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Lionel Naccache (1969-...), Auteur Editeur : Paris : Éditions Odile Jacob Année de publication : 2010 Collection : Sciences Importance : 243 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 x 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7381-2326-8 Prix : 22 € Note générale : 4e de couv. : "« Perdons-nous connaissance ? », c'est-à-dire perdons-nous le sens de ce qu'est la connaissance alors que nous nous autoproclamons « société de la connaissance » ? Aujourd'hui, la connaissance ne fait plus peur à personne, alors que depuis trois mille ans notre culture occidentale n'a cessé de la décrire comme vitale et dangereuse. Oui, dangereuse, qui s'en souvient encore ? Cette rupture avec notre héritage constitue-t-elle un progrès ou une régression, une chute ou une ascension ? La Mythologie et la Neurologie, sources de « connaissance de la connaissance », nous offriront de précieuses clés pour résoudre ce paradoxe inédit dans l'histoire de la pensée. Dans cet essai brillant qui explore les multiples dimensions de nos existences, nous comprenons pourquoi la connaissance ne doit pas être envisagée comme une question de « spécialistes », mais comme l'affaire de chacun." Catégories : E PSYCHOLOGIE - PHILOSOPHIE Mots-clés : Psychologie / Psychologie sensorielle et mentale / Intelligence et aptitudes Pensée, réflexion, raisonnement, intuition, valeur, jugement Système nerveux Fonctions sensorielles Troubles de la cognition Théorie de la connaissance Société numérique neurophysiologie, savoir, sciences cognitives, sociologie de la connaissance Index. décimale : E-70 Cerveau - Cognition - Mémoire Résumé : Le neurologue s'interroge sur le renversement contemporain de la perception de la connaissance et sur la disparition de l'idée de sa dangerosité. Il présente aussi les découvertes récentes des neurosciences sur la connaissance comme système de fiction-interprétation-croyance, au centre de la subjectivité, et dénonce la confusion entre société de la connaissance et société de l'information. Note de contenu : Table des matières :
Avant-propos 9
Première partie
Une menace vieille comme le monde
Chapitre premier - La connaissance menace à Athènes 19
I comme Icare 19
L'homme qui en savait trop 23
Chapitre 2 - La connaissance menace à Jérusalem 29
Du Paradis perdu au Pardès retrouvé 30
Vies et destins de quatre talmudistes en quête de connaissance 34
La connaissance ? Une vraie boucherie ! 39
Chapitre 3 - La connaissance menace outre-Rhin 47
Nous sommes tous des Johann Georg Sabellicus ! 47
Variations faustiennes, morceaux choisis 50
Le Doktor Faustus est mort à Büchel en 1940 52
Chapitre 4 - Des mythes à la réalité ou l'art de la « mauvaise solution » 59
Deuxième partie
La connaissance, une histoire de neuroscience-fiction
Chapitre premier - Neuroscience-fiction 77
Un sosie qui s'impose ! 78
Un homme à trois mains ? Pourquoi pas ! 82
Oublier, c'est aussi confabuler ! 84
Quand j'explique avec assurance les raisons de ce que j'ignore absolument ! 87
Quand j'explique avec assurance les raisons qui m'ont conduit à prendre la décision opposée à celle que j'ai prise 92
L'histoire, à nulle autre pareille, de monsieur G. 94
Nous interprétons et nous croyons, donc nous sommes 98
Chapitre 2 - Au sujet de la connaissance 101
Troisième partie
Malaise contemporain dans la connaissance
Chapitre premier - Bienvenue dans la « société de la connaissance » 119
« Nous sommes la société de la connaissance » 119
« Sous la société de la connaissance... la société de l'information » 121
Le paradoxe de la transparence 124
Chapitre 2 - Les brûlures de la transparence 127
Le jeune B. est-il conscient ? 132
Chéri, pas de secrets entre nous 135
Un pied de nez à la transparence ! 141
Chapitre 3 - Neurorésistances 149
Chapitre 4 - Darwino-résistances 155
Chapitre 5 - L'information et la connaissance confondues 163
Au commencement étaient les Lumières 166
La technique efface le sujet 171
Le progrès scientifique efface le sujet 176
L'erreur de Pythagore 182
Épilogue 193
Quatrième partie
Néant der tale, ou le récit du néant
Scène 1 (205) - Scène 2 (207) - Scène 3 (209) - Scène 4 (210) - Scène 5 (213) - Scène 6 (215) - Scène 7 (217) - Scène 8 (219) - Scène 9 (222) - Scène 10 (224) - Scène 11 (229) - Scène 12 (231).
Bibliographie 235
Remerciements 239Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=56989 Perdons-nous connaissance ? : de la mythologie à la neurologie [texte imprimé] / Lionel Naccache (1969-...), Auteur . - Paris : Éditions Odile Jacob, 2010 . - 243 p. : couv. ill. en coul. ; 22 x 15 cm. - (Sciences) .
ISBN : 978-2-7381-2326-8 : 22 €
4e de couv. : "« Perdons-nous connaissance ? », c'est-à-dire perdons-nous le sens de ce qu'est la connaissance alors que nous nous autoproclamons « société de la connaissance » ? Aujourd'hui, la connaissance ne fait plus peur à personne, alors que depuis trois mille ans notre culture occidentale n'a cessé de la décrire comme vitale et dangereuse. Oui, dangereuse, qui s'en souvient encore ? Cette rupture avec notre héritage constitue-t-elle un progrès ou une régression, une chute ou une ascension ? La Mythologie et la Neurologie, sources de « connaissance de la connaissance », nous offriront de précieuses clés pour résoudre ce paradoxe inédit dans l'histoire de la pensée. Dans cet essai brillant qui explore les multiples dimensions de nos existences, nous comprenons pourquoi la connaissance ne doit pas être envisagée comme une question de « spécialistes », mais comme l'affaire de chacun."
Catégories : E PSYCHOLOGIE - PHILOSOPHIE Mots-clés : Psychologie / Psychologie sensorielle et mentale / Intelligence et aptitudes Pensée, réflexion, raisonnement, intuition, valeur, jugement Système nerveux Fonctions sensorielles Troubles de la cognition Théorie de la connaissance Société numérique neurophysiologie, savoir, sciences cognitives, sociologie de la connaissance Index. décimale : E-70 Cerveau - Cognition - Mémoire Résumé : Le neurologue s'interroge sur le renversement contemporain de la perception de la connaissance et sur la disparition de l'idée de sa dangerosité. Il présente aussi les découvertes récentes des neurosciences sur la connaissance comme système de fiction-interprétation-croyance, au centre de la subjectivité, et dénonce la confusion entre société de la connaissance et société de l'information. Note de contenu : Table des matières :
Avant-propos 9
Première partie
Une menace vieille comme le monde
Chapitre premier - La connaissance menace à Athènes 19
I comme Icare 19
L'homme qui en savait trop 23
Chapitre 2 - La connaissance menace à Jérusalem 29
Du Paradis perdu au Pardès retrouvé 30
Vies et destins de quatre talmudistes en quête de connaissance 34
La connaissance ? Une vraie boucherie ! 39
Chapitre 3 - La connaissance menace outre-Rhin 47
Nous sommes tous des Johann Georg Sabellicus ! 47
Variations faustiennes, morceaux choisis 50
Le Doktor Faustus est mort à Büchel en 1940 52
Chapitre 4 - Des mythes à la réalité ou l'art de la « mauvaise solution » 59
Deuxième partie
La connaissance, une histoire de neuroscience-fiction
Chapitre premier - Neuroscience-fiction 77
Un sosie qui s'impose ! 78
Un homme à trois mains ? Pourquoi pas ! 82
Oublier, c'est aussi confabuler ! 84
Quand j'explique avec assurance les raisons de ce que j'ignore absolument ! 87
Quand j'explique avec assurance les raisons qui m'ont conduit à prendre la décision opposée à celle que j'ai prise 92
L'histoire, à nulle autre pareille, de monsieur G. 94
Nous interprétons et nous croyons, donc nous sommes 98
Chapitre 2 - Au sujet de la connaissance 101
Troisième partie
Malaise contemporain dans la connaissance
Chapitre premier - Bienvenue dans la « société de la connaissance » 119
« Nous sommes la société de la connaissance » 119
« Sous la société de la connaissance... la société de l'information » 121
Le paradoxe de la transparence 124
Chapitre 2 - Les brûlures de la transparence 127
Le jeune B. est-il conscient ? 132
Chéri, pas de secrets entre nous 135
Un pied de nez à la transparence ! 141
Chapitre 3 - Neurorésistances 149
Chapitre 4 - Darwino-résistances 155
Chapitre 5 - L'information et la connaissance confondues 163
Au commencement étaient les Lumières 166
La technique efface le sujet 171
Le progrès scientifique efface le sujet 176
L'erreur de Pythagore 182
Épilogue 193
Quatrième partie
Néant der tale, ou le récit du néant
Scène 1 (205) - Scène 2 (207) - Scène 3 (209) - Scène 4 (210) - Scène 5 (213) - Scène 6 (215) - Scène 7 (217) - Scène 8 (219) - Scène 9 (222) - Scène 10 (224) - Scène 11 (229) - Scène 12 (231).
Bibliographie 235
Remerciements 239Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=56989 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13332 E-70 NAC Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Cerveau - Cognition - Mémoire Disponible
Titre : La condition postmoderne : rapport sur le savoir / BU de Lettres Type de document : document électronique Auteurs : Jean-François Lyotard (1924-1998), Auteur ; Ophélia Avron (1923-2013), Ancien possesseur Mention d'édition : Philosophie sociale Civilisation -- 20e siècle Philosophie de la culture Savoir et érudition Postmodernisme Théorie de la connaissance Editeur : Paris : Les Éditions de Minuit Année de publication : 1979 Collection : Critique, ISSN 0768-0090 Importance : 109 p. Format : 22 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-0276-2 Prix : 11 € Langues : Français (fre) Mots-clés : Philosophie sociale Philosophie / Métaphysique / La raison et le réel Épistémologie (théorie de la connaissance) Civilisation -- 20e siècle Philosophie de la culture Savoir et érudition Postmodernisme Théorie de la connaissance Résumé : Contribution à la discussion internationale sur la question de la légitimité : qu'est-ce qui permet aujourd'hui de dire qu'une loi est juste, un énoncé vrai ? Il y a eu les grands récits, l'émancipation du citoyen, la réalisation de l'Esprit, la société sans classes. L'âge moderne y recourait pour légitimer ou critiquer ses savoirs et ses actes.
L'homme postmoderne n'y croit plus. Les décideurs lui offrent pour perspective l'accroissement de la puissance et la pacification par la transparence communicationnelle. Mais il sait que le savoir quand il devient marchandise informationnelle est une source de profits et un moyen de décider et de contrôler.
Où réside la légitimité, après les récits ? Dans la meilleure opérativité du système ? C'est un critère technologique, il ne permet pas de juger du vrai et du juste. Dans le consensus ? Mais l'invention se fait dans le dissentiment.
Pourquoi pas dans ce dernier ? La société qui vient relève moins d'une anthropologie newtonienne (comme le structuralisme ou la théorie des systèmes) et plus d'une pragmatique des particules langagières.
Le savoir postmoderne n'est pas seulement l'instrument des pouvoirs : il raffine notre sensibilité aux différences et renforce notre capacité de supporter l'incommensurable. Lui-même ne trouve pas sa raison dans l'homologie des experts, mais dans la paralogie des inventeurs.
Et maintenant : une légitimation du lien social, une société juste, est-elle praticable selon un paradoxe analogue ? En quoi consiste celui-ci ?Note de contenu : Notes bibliogr. en bas de pages Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=256243 La condition postmoderne : rapport sur le savoir / BU de Lettres [document électronique] / Jean-François Lyotard (1924-1998), Auteur ; Ophélia Avron (1923-2013), Ancien possesseur . - Philosophie sociale Civilisation -- 20e siècle Philosophie de la culture Savoir et érudition Postmodernisme Théorie de la connaissance . - Paris : Les Éditions de Minuit, 1979 . - 109 p. ; 22 x 14 cm. - (Critique, ISSN 0768-0090) .
ISBN : 978-2-7073-0276-2 : 11 €
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Philosophie sociale Philosophie / Métaphysique / La raison et le réel Épistémologie (théorie de la connaissance) Civilisation -- 20e siècle Philosophie de la culture Savoir et érudition Postmodernisme Théorie de la connaissance Résumé : Contribution à la discussion internationale sur la question de la légitimité : qu'est-ce qui permet aujourd'hui de dire qu'une loi est juste, un énoncé vrai ? Il y a eu les grands récits, l'émancipation du citoyen, la réalisation de l'Esprit, la société sans classes. L'âge moderne y recourait pour légitimer ou critiquer ses savoirs et ses actes.
L'homme postmoderne n'y croit plus. Les décideurs lui offrent pour perspective l'accroissement de la puissance et la pacification par la transparence communicationnelle. Mais il sait que le savoir quand il devient marchandise informationnelle est une source de profits et un moyen de décider et de contrôler.
Où réside la légitimité, après les récits ? Dans la meilleure opérativité du système ? C'est un critère technologique, il ne permet pas de juger du vrai et du juste. Dans le consensus ? Mais l'invention se fait dans le dissentiment.
Pourquoi pas dans ce dernier ? La société qui vient relève moins d'une anthropologie newtonienne (comme le structuralisme ou la théorie des systèmes) et plus d'une pragmatique des particules langagières.
Le savoir postmoderne n'est pas seulement l'instrument des pouvoirs : il raffine notre sensibilité aux différences et renforce notre capacité de supporter l'incommensurable. Lui-même ne trouve pas sa raison dans l'homologie des experts, mais dans la paralogie des inventeurs.
Et maintenant : une légitimation du lien social, une société juste, est-elle praticable selon un paradoxe analogue ? En quoi consiste celui-ci ?Note de contenu : Notes bibliogr. en bas de pages Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=256243 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Vincent Jullien / Laurence Serfaty in Les Grands dossiers des sciences humaines / BU de l'IUT et Cairn.info, n°64 (septembre - octobre - novembre 2021)
[article]
Titre : Vincent Jullien : "Plus on en sait ... moins on en sait !" Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Serfaty Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 60-62 Note générale : Fait partie du dossier : "Qu'est-ce que la science ? Les grands débats" Langues : Français (fre) Mots-clés : Découvertes scientifiques Progrès scientifique et technique Théorie de la connaissance Résumé : Les théories se succèdent et les connaissances s'accumulent ... Mais notre ignorance croît aussi avec les avancées du savoir scientifique Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=275288
in Les Grands dossiers des sciences humaines / BU de l'IUT et Cairn.info > n°64 (septembre - octobre - novembre 2021) . - p. 60-62[article] Vincent Jullien : "Plus on en sait ... moins on en sait !" [texte imprimé] / Laurence Serfaty . - 2021 . - p. 60-62.
Fait partie du dossier : "Qu'est-ce que la science ? Les grands débats"
Langues : Français (fre)
in Les Grands dossiers des sciences humaines / BU de l'IUT et Cairn.info > n°64 (septembre - octobre - novembre 2021) . - p. 60-62
Mots-clés : Découvertes scientifiques Progrès scientifique et technique Théorie de la connaissance Résumé : Les théories se succèdent et les connaissances s'accumulent ... Mais notre ignorance croît aussi avec les avancées du savoir scientifique Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=275288 Expérience esthétique et culture scolaire : quelles alliances possibles au service du développement global d’un enfant ? : dossier / Carole BAEZA in Spirale : revue de recherches en éducation - RRÉ / edu-revue.fr, Cairn et Persée, 56 (octobre 2015)
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PermalinkPermalinkPermalinkPhilosophie de l'éducation, 2. Philosophie de l'éducation. 2, La formation fondamentale / Lucien Morin
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