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Titre : Jeunes en transit : l'aventure ambiguë des foyers de jeunes travailleurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Galland (1951-...) , Auteur ; LOUIS Marie-Victoire, Auteur ; Jean-Michel Bélorgey (1944-...), Postfacier, auteur du colophon, etc.
Editeur : Paris : Les Éditions de l'Atelier Année de publication : 1984 Collection : Economie et humanisme Importance : 236 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7082-2405-6 Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : CENTRE D'ACCUEIL JEUNE Foyer de jeunes travailleurs Foyers de jeunes travailleurs société problèmes et services sociaux travailleurs travailleurs : condition jeune : condition FJT Index. décimale : F-30 Sociologie de la Jeunesse Résumé : Cette réflexion situe les limites et les perspectives de cette action sociale qui s'adapte douloureusement à la modernité Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=1214 Jeunes en transit : l'aventure ambiguë des foyers de jeunes travailleurs [texte imprimé] / Olivier Galland (1951-...), Auteur ; LOUIS Marie-Victoire, Auteur ; Jean-Michel Bélorgey (1944-...), Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Paris : Les Éditions de l'Atelier, 1984 . - 236 p.. - (Economie et humanisme) .
ISBN : 978-2-7082-2405-6
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : CENTRE D'ACCUEIL JEUNE Foyer de jeunes travailleurs Foyers de jeunes travailleurs société problèmes et services sociaux travailleurs travailleurs : condition jeune : condition FJT Index. décimale : F-30 Sociologie de la Jeunesse Résumé : Cette réflexion situe les limites et les perspectives de cette action sociale qui s'adapte douloureusement à la modernité Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=1214 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1281 ARCH F-30 GAL Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Sociologie de la Jeunesse Disponible 1282 ARCH F-30 GAL Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Sociologie de la Jeunesse Disponible 1283 F-30 GAL Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Sociologie de la Jeunesse Disponible
Titre : Travailler en Esat, l’ordinaire protégé : reportage, enquête, diaporama Titre original : Des travailleurs presque ordinaires : reportage, diaporama, enquête Type de document : document électronique Année de publication : 2013 Note générale : Un webdocumentaire de Justine Salvestroni et Guillaume Gendron, étudiants à l’Institut Français de Presse, par séquences, sur YT, en hyperlien Langues : Français (fre) Mots-clés : centre d'aide par le travail CAT handicap travail ESAT Etablissement et service d'aide par le travail travailleur handicapé webdocumentaire travailleurs webdoc Résumé : L’Atelier de l’ETAI est l’un des 2 000 Esat de France, établissements qui accueillent 110 000 travailleurs handicapés. Lieu parallèle, il reproduit l’entreprise pour les handicapés mentaux, avec son self, son CE, ses ateliers… Justine Salvestroni, 24 ans, et Guillaume Gendron, 27 ans, nous font découvrir l’atmosphère rassurante dans ce lieu qui cristallise pourtant les problèmes récurrents du handicap - une bulle soumise peu à peu à des logiques de rentabilité. Note de contenu : Voir aussi la note de lecture d'ASH n°2821, 23/08/2013, p. 33 En ligne : https://www.youtube.com/channel/UC7hL7dOdKu6CdvoRiwbDicg Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=65125 Travailler en Esat, l’ordinaire protégé : reportage, enquête, diaporama = Des travailleurs presque ordinaires : reportage, diaporama, enquête [document électronique] . - 2013.
Un webdocumentaire de Justine Salvestroni et Guillaume Gendron, étudiants à l’Institut Français de Presse, par séquences, sur YT, en hyperlien
Langues : Français (fre)
Mots-clés : centre d'aide par le travail CAT handicap travail ESAT Etablissement et service d'aide par le travail travailleur handicapé webdocumentaire travailleurs webdoc Résumé : L’Atelier de l’ETAI est l’un des 2 000 Esat de France, établissements qui accueillent 110 000 travailleurs handicapés. Lieu parallèle, il reproduit l’entreprise pour les handicapés mentaux, avec son self, son CE, ses ateliers… Justine Salvestroni, 24 ans, et Guillaume Gendron, 27 ans, nous font découvrir l’atmosphère rassurante dans ce lieu qui cristallise pourtant les problèmes récurrents du handicap - une bulle soumise peu à peu à des logiques de rentabilité. Note de contenu : Voir aussi la note de lecture d'ASH n°2821, 23/08/2013, p. 33 En ligne : https://www.youtube.com/channel/UC7hL7dOdKu6CdvoRiwbDicg Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=65125 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire 22 - 2018/1 - Juillet 2018 - L’école et la question sociale : les recompositions actuelles de l’action éducative (Bulletin de Raisons éducatives / Cairn.info) / Frédérique Giuliani
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[n° ou bulletin]
Titre : 22 - 2018/1 - Juillet 2018 - L’école et la question sociale : les recompositions actuelles de l’action éducative Type de document : document électronique Auteurs : Frédérique Giuliani (1974-...), Editeur scientifique ; Barbara Fouquet-Chauprade , Editeur scientifique ; Margarita Sanchez-Mazas, Editeur scientifique
Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Politiques éducatives territorialisées Médiateurs scolaires travailleurs accrochage scolaire éducation surveillée intervention éducative intégration élèves migrants précarité accompagnement immigration école « inclusive » Résumé : Une des évolutions notables de l’école contemporaine concerne l’émergence de problématiques socioéducatives qui interrogent la mission de socialisation traditionnellement dévolue à l’institution scolaire.
Appelée à gérer des situations qui vont au-delà du travail éducatif ordinaire et à traiter les problématiques pouvant émerger du fait de la prise en compte de publics en situation de précarité et de grande hétérogénéité socioculturelle, l’école se voit aujourd’hui confrontée à la question sociale sous une forme à bien des égards renouvelée.
Désormais, face à des populations d’élèves dont les conduites sociales s’écartent des attentes scolaires, l’école se charge non plus seulement d’instruire des cohortes mais aussi d’éduquer, de soutenir et d’accompagner des acteurs scolaires (élèves, parents) pris dans un monde d’instabilité et d’insécurité sociales croissantes.
Ce contexte général se traduit par une double exigence, à la fois de diversification des rôles professionnels et de développement d’une prise en charge axée sur les singularités des élèves, laquelle est porteuse d’innovations, mais aussi source de tensions.
Au travers de contributions issues de différents contextes éducatifs et d’approches variées, ce numéro de Raisons éducatives entend examiner la manière dont les frontières de l’action éducative se recomposent sous l’effet de l’évolution des publics et des politiques scolaires.Note de contenu : Sommaire :
Les recompositions actuelles de l’action éducative: une introduction | Frédérique Giuliani, Barbara Fouquet-Chauprade & Margarita Sanchez-Mazas
Partie 1 – politiques éducatives territorialisées et catégorisation des publics scolaires
Discrimination positive, méritocratie et l’inclusion en tension les «Conventions éducation prioritaire» de Sciences Po | Germán Fernández-Vavrik, Filippo Pirone et Agnès van Zanten
L’enseignant-e, les parents, les spécialistes: diffusion des savoirs experts et altération de la collaboration avec les parents dans l’enseignement prioritaire | Jean-Paul Payet, Fabien Deshayes, Diane Rufin, et Julie Pelhate
Analyse du traitement médiatique d’une politique d’éducation prioritaire: la réputation du REP de 2006 à 2017 | Barbara Fouquet-Chauprade et Marion Dutrévis
Partie 2 – le rôle éducatif des personnels scolaires non enseignants: des logiques en tension
Médiateurs scolaires et travailleurs de l’accrochage scolaire en Belgique francophone : interprétations et négociations autour du partage du travail socioéducatif | Marie Verhoeven
L’éducation surveillée et ses professionnels: archéologie d’une intervention éducative aux marges de l’école (Genève, 1890-1970) | Joëlle Droux
De l’élève «perturbateur» à l’enfant «en souffrance». Le traitement de la souffrance des enfants à l’école primaire: «agency» ou étiquetage | Frédérique Giuliani
L’école québécoise et la gestion de la diversité des élèves: mesures d’intégration et tensions au sein de la division du travail éducatif | Louis LeVasseur
Partie 3 – l’école face aux élèves migrants en statut précaire: déficits et ressorts de l’accompagnement
L’école française face aux nouvelles figures de l’immigration: le cas d’enfants de migrants roms bulgares et de réfugiés syriens dans des territoires scolaires contrastés | Alexandra Clavé-Mercier et Claire Schiff
Scolarisation des enfants de demandeurs d’asile: nouvelles pratiques, nouveaux dispositifs, nouveaux «métiers» sous le signe de l’incertitude | Margarita Sanchez-Mazas, Nilima Changkakoti et Geneviève Mottet
Trajectoires de formation des jeunes migrants en situation juridique précaire: logiques de mobilisation de ressources face à des contraintes multiples | Claudio Bolzman, Alexandra Felder et Antonio Fernandez
Nouvelles figures du « social » et reconfigurations de la normativité scolaire | Christian MaroyEn ligne : https://www-cairn-info.proxy.scd.univ-tours.fr/revue-raisons-educatives-2018-1.h [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=49291 [n° ou bulletin] 22 - 2018/1 - Juillet 2018 - L’école et la question sociale : les recompositions actuelles de l’action éducative [document électronique] / Frédérique Giuliani (1974-...), Editeur scientifique ; Barbara Fouquet-Chauprade, Editeur scientifique ; Margarita Sanchez-Mazas, Editeur scientifique . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Politiques éducatives territorialisées Médiateurs scolaires travailleurs accrochage scolaire éducation surveillée intervention éducative intégration élèves migrants précarité accompagnement immigration école « inclusive » Résumé : Une des évolutions notables de l’école contemporaine concerne l’émergence de problématiques socioéducatives qui interrogent la mission de socialisation traditionnellement dévolue à l’institution scolaire.
Appelée à gérer des situations qui vont au-delà du travail éducatif ordinaire et à traiter les problématiques pouvant émerger du fait de la prise en compte de publics en situation de précarité et de grande hétérogénéité socioculturelle, l’école se voit aujourd’hui confrontée à la question sociale sous une forme à bien des égards renouvelée.
Désormais, face à des populations d’élèves dont les conduites sociales s’écartent des attentes scolaires, l’école se charge non plus seulement d’instruire des cohortes mais aussi d’éduquer, de soutenir et d’accompagner des acteurs scolaires (élèves, parents) pris dans un monde d’instabilité et d’insécurité sociales croissantes.
Ce contexte général se traduit par une double exigence, à la fois de diversification des rôles professionnels et de développement d’une prise en charge axée sur les singularités des élèves, laquelle est porteuse d’innovations, mais aussi source de tensions.
Au travers de contributions issues de différents contextes éducatifs et d’approches variées, ce numéro de Raisons éducatives entend examiner la manière dont les frontières de l’action éducative se recomposent sous l’effet de l’évolution des publics et des politiques scolaires.Note de contenu : Sommaire :
Les recompositions actuelles de l’action éducative: une introduction | Frédérique Giuliani, Barbara Fouquet-Chauprade & Margarita Sanchez-Mazas
Partie 1 – politiques éducatives territorialisées et catégorisation des publics scolaires
Discrimination positive, méritocratie et l’inclusion en tension les «Conventions éducation prioritaire» de Sciences Po | Germán Fernández-Vavrik, Filippo Pirone et Agnès van Zanten
L’enseignant-e, les parents, les spécialistes: diffusion des savoirs experts et altération de la collaboration avec les parents dans l’enseignement prioritaire | Jean-Paul Payet, Fabien Deshayes, Diane Rufin, et Julie Pelhate
Analyse du traitement médiatique d’une politique d’éducation prioritaire: la réputation du REP de 2006 à 2017 | Barbara Fouquet-Chauprade et Marion Dutrévis
Partie 2 – le rôle éducatif des personnels scolaires non enseignants: des logiques en tension
Médiateurs scolaires et travailleurs de l’accrochage scolaire en Belgique francophone : interprétations et négociations autour du partage du travail socioéducatif | Marie Verhoeven
L’éducation surveillée et ses professionnels: archéologie d’une intervention éducative aux marges de l’école (Genève, 1890-1970) | Joëlle Droux
De l’élève «perturbateur» à l’enfant «en souffrance». Le traitement de la souffrance des enfants à l’école primaire: «agency» ou étiquetage | Frédérique Giuliani
L’école québécoise et la gestion de la diversité des élèves: mesures d’intégration et tensions au sein de la division du travail éducatif | Louis LeVasseur
Partie 3 – l’école face aux élèves migrants en statut précaire: déficits et ressorts de l’accompagnement
L’école française face aux nouvelles figures de l’immigration: le cas d’enfants de migrants roms bulgares et de réfugiés syriens dans des territoires scolaires contrastés | Alexandra Clavé-Mercier et Claire Schiff
Scolarisation des enfants de demandeurs d’asile: nouvelles pratiques, nouveaux dispositifs, nouveaux «métiers» sous le signe de l’incertitude | Margarita Sanchez-Mazas, Nilima Changkakoti et Geneviève Mottet
Trajectoires de formation des jeunes migrants en situation juridique précaire: logiques de mobilisation de ressources face à des contraintes multiples | Claudio Bolzman, Alexandra Felder et Antonio Fernandez
Nouvelles figures du « social » et reconfigurations de la normativité scolaire | Christian MaroyEn ligne : https://www-cairn-info.proxy.scd.univ-tours.fr/revue-raisons-educatives-2018-1.h [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=49291 Contient
- L'école face aux élèves migrants en statut précaire : déficits et ressorts de l'accompagnement / Alexandra Clavé-Mercier in Raisons éducatives / Cairn.info, 22 (2018/1 - Juillet 2018)
- Le rôle éducatif des personnels scolaires non enseignants / Marie Verhoeven in Raisons éducatives / Cairn.info, 22 (2018/1 - Juillet 2018)
- Politiques éducatives territorialisées et catégorisation des publics scolaires / Frédérique Giuliani in Raisons éducatives / Cairn.info, 22 (2018/1 - Juillet 2018)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire 43 - 2020/1 - Sales boulots : dossier (Bulletin de Travail, genre et sociétés / Cairn.info) / Pauline Seiller
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[n° ou bulletin]
est un bulletin de Travail, genre et sociétés / Cairn.info / Centre national de la recherche scientifique. GR 1176 MAGE
Titre : 43 - 2020/1 - Sales boulots : dossier Type de document : texte imprimé Auteurs : Pauline Seiller, Editeur scientifique ; Rachel Silvera (1959-...), Editeur scientifique Année de publication : 2020 Importance : 252 p. Format : 24 x 16 cm Prix : 25 € Note générale : Le dossier de ce numéro est consacré aux conditions de travail et à la division genrée de métiers socialement défavorables et déconsidérés : les chiffonniers à Paris au XIXe siècle, les éboueurs et balayeurs du secteur public, les entreprises de tri de déchets et les métiers féminins jouant le rôle d'auxiliaire de professions prestigieuses.- Bibliogr. en fin d'article Langues : Français (fre) Mots-clés : inégalités de genre travail sociologie du travail saleté sales boulots salissure déchets fluides corporels mort travailleurs travailleuses Société / Acteurs de la vie sociale / Femmes SHS Professions et métiers des femmes Femmes -- Travail Chiffonniers -- France -- Paris (France) -- 19e siècle Travaux publics -- Personnel -- Conditions de travail
Déchets -- Collecte sélective -- France Discrimination sexuelle dans l'emploi Travail précaire Éboueurs -- Conditions de travail Balayeurs -- Conditions de travail Travail condition de travail, traitement des déchets, discrimination sexuelle, travail fémininRésumé : "Sale boulot, boulots sales : le concept de dirty work tel qu’il est décrit par Everett C. Hughes [1996 (1951)] désigne à la fois des activités professionnelles jugées dégradantes, dégoûtantes ou humiliantes, souvent en bas de l’échelle de la division du travail et certaines dimensions moins valorisantes présentes dans toutes les activités professionnelles, même les plus prestigieuses, et dont on essaie généralement de se débarrasser en les transférant au personnel subalterne.
Le cas des aides-soignantes à l’hôpital étudiées par Anne-Marie… et/ou aux salarié·e·s récemment arrivé·e·s ou moins intégré·e·s – précaires, sous-traitant·e·s, non titulaires (dans un processus de délégation du sale boulot). Dans ces deux usages, le sale boulot est au cœur de la division morale du travail [Hughes 1996 (1956) ; Lhuillier, 2005]. Il concerne des tâches « sales » « parce qu’elles sont physiquement dégoûtantes ou parce qu’elles symbolisent quelque chose de dégradant ou d’humiliant » mais renvoie aussi « à ce qui va à l’encontre de nos conceptions morales les plus héroïques » [Hughes, 1996 (1951), p. 81].
Ce dossier revient sur cette notion classique de sociologie du travail dans le cadre d’une réflexion sur les inégalités de genre en s’intéressant spécifiquement aux boulots sales dans lesquels les travailleurs et travailleuses sont directement en contact avec la salissure, les déchets, les fluides corporels ou la mort et qu’ils constituent des activités « dont on devrait avoir un peu honte » [Hughes, 1996], bien que ces tâches invisibilisées soient indispensables au fonctionnement de la société [Hughes, 1996 (1956) ; Molinier, Gaignard et Dujarier, 2010]. Dans les travaux d’Everett C. Hughes, la notion de dirty work n’est pas abordée directement à l’aune du genre et les recherches contemporaines sur des activités socialement considérées comme sales ne se saisissent pas toujours non plus de la question du genre au travail. Pourtant les tâches ménagères ou le traitement des matières corporelles sont bien souvent réservés aux femmes, dans les sphères privée et professionnelle, confirmant ce que l’on sait des rôles dévolus aux femmes dans la division sexuée du travail [Kergoat, 2000]. Ce dossier porte le regard sur des métiers bien souvent dévalorisés et invisibilisés dans l’espace social en posant comme principe que la prise en compte du genre est fondamentale dans l’étude de ces métiers"Note de contenu : La valeur vraie des boulots sales : Travail, genre et sociétés, n° 43.
La vocation de la revue Travail, genre et sociétés est d’étudier la place des femmes dans la société en confrontant les points de vue de chercheurs sur les inégalités entre femmes et hommes. Sa création remonte à 1999, sous l’égide du Groupement de recherche Marché du travail et genre en Europe (MAGE-CNRS). Semestrielle, pluridisciplinaire et européenne, elle est publiée par les éditions de La Découverte avec le concours de l’Institut des sciences humaines et sociales du CNRS, du CERLIS et de la Mairie de Paris. Dans son riche comité scientifique, on retrouve, par exemple, les noms de Christine Bard, Judith Butler, Éric Fassin, Geneviève Fraisse, François Héran, Janine Mossuz-Lavau, Michelle Perrot ou Irène Théry. La revue annonce en ouverture son opposition aux réformes en cours – au premier rang desquelles la loi LPPR et la loi sur les retraites. Bousculant son programme éditorial, elle a ainsi mis en ligne un ensemble d’articles contribuant au débat social. Scientifique et engagée, Travail, genre et sociétés est donc au cœur de l’actualité.
Ce quarante-troisième numéro est sorti des presses en plein confinement, lorsque les journaux télévisés s’intéressèrent soudain aux caissières, aux gardiennes d’immeuble, femmes de ménage, aux livreurs, aux coursiers, aux éboueurs, balayeurs. Tout à coup, des « invisibles » et des « petites mains » devenaient, avec les soignants, essentiels, glorieux, héroïques. Leur courage fut immense. On leur promit beaucoup. Et voyez déjà au bout de quelques semaines dans quel oubli médiatique les voici replongés…
La recherche en sciences humaines et sociales n’a pas attendu une pandémie mondiale pour leur donner une véritable attention, étudier leurs conditions de vie et de travail, défendre leur droit à la reconnaissance et à la dignité. Ainsi, ce numéro de Travail, genre et sociétés consacre un riche dossier aux « sales boulots », sous la coordination de Pauline Seiller et Rachel Silvera.
La notion de dirty works forgée par Everett C. Hugues en 1951 est une catégorie classique de sociologie du travail popularisée en France par les travaux d’Anne-Marie Arborio. Le dossier revient sur cet outil d’analyse, dans le cadre d’une réflexion sur l’inégalité de genre, en focalisant son attention sur les « boulots sales », ceux où les travailleurs et travailleuses sont directement « en contact avec la salissure, les déchets, les fluides corporels ou la mort ». Ces activités se retrouvent bien souvent invisibilisées et dévaluées bien qu’elles soient « indispensables au fonctionnement de la société ». Ce dossier montre clairement la valeur vraie des boulots sales.
Ces métiers sont bien souvent réservés aux femmes et la prise en compte du genre s’avère fondamentale pour étudier les multiples expériences de « sales boulots ». La question des déchets constitue un champ de recherche en soi, dans le sillage de « l’anthropologie de la souillure » de Mary Douglas. Sous l’influence de nouvelles perspectives ouvertes par l’économie circulaire, le glanage urbain et le freeganisme, le regard porté sur le déchet se transforme, comme le souligne Caroline Ibos. Trois articles sont consacrés aux personnes chargées de gérer les déchets. La politiste C. Ibos propose un éclairage historique sur la « masculinité des chiffonniers et la disqualification des chiffonnières » à Paris de 1830 à 1880. À partir d’une enquête menée au sein de la Direction de la propreté et de l’eau de la Ville de Paris, le sociologue Hugo Bret s’intéresse aux recompositions des masculinités chez les éboueurs et balayeurs du secteur public. Leïla Boudra, dans le prolongement de sa thèse, propose une analyse précise du travail réel effectué dans les centres de tri des déchets ménagers. Elle « interroge la division sexuée du travail dans ces espaces professionnels » et les formes possibles de revalorisation. Fruit d’une recherche-intervention menée auprès de cinq centres de tri des déchets ménagers en France entre 2012 et 2016, ce travail se fixe pour cap de « proposer des modalités d’action innovantes en prévention des risques professionnels dans ce secteur ». Christelle Avril et Irène Ramos Vacca reprennent la question des « métiers de femme » en s’intéressant aux rôles dans la division morale du travail. Là aussi, cet article est très solidement ancré dans le terrain puisqu’il se fonde sur les données issues de l’enquête ethnographique, sociohistorique et statistique menée par Christelle Avril sur les aides à domicile. L’article s’appuie aussi sur l’enquête en cours concernant les aides-soignantes et les infirmières en pédiatrie menée par Irène Ramos Vacca dans le cadre de sa recherche doctorale (observation participante de huit mois dans un service de pédiatrie d’un hôpital public de la région parisienne).
Le dossier donne ainsi à voir les plus actuels résultats de la recherche, croisant les questions du travail, du genre et du social – sans oublier les perspectives politiques.
Celles-ci sont particulièrement présentes dans la rubrique « Controverse » où une dizaine d’auteures débattent de la définition et de l’usage du terme de féminicide. Mise en perspective historique et juridique, analyses de la situation au Guatemala et au Mexique, réflexions divergentes de Catherine Marie et de Diane Roman : nombre d’éléments sur ce phénomène complexe sont rassemblés ici.
La revue Travail, genre et sociétés poursuit ainsi sa tâche, scientifique et engagée, en prise avec le terrain social et les luttes politiques.
François Bordes
Travail, genre et sociétés, n° 43, avril 2020.
Publié le 22 juin 2020En ligne : https://www-cairn-info.proxy.scd.univ-tours.fr/revue-travail-genre-et-societes-2 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=55228 [n° ou bulletin]43 - 2020/1 - Sales boulots : dossier [texte imprimé] / Pauline Seiller, Editeur scientifique ; Rachel Silvera (1959-...), Editeur scientifique . - 2020 . - 252 p. ; 24 x 16 cm .
est un bulletin de Travail, genre et sociétés / Cairn.info / Centre national de la recherche scientifique. GR 1176 MAGE
25 €
Le dossier de ce numéro est consacré aux conditions de travail et à la division genrée de métiers socialement défavorables et déconsidérés : les chiffonniers à Paris au XIXe siècle, les éboueurs et balayeurs du secteur public, les entreprises de tri de déchets et les métiers féminins jouant le rôle d'auxiliaire de professions prestigieuses.- Bibliogr. en fin d'article
Langues : Français (fre)
Mots-clés : inégalités de genre travail sociologie du travail saleté sales boulots salissure déchets fluides corporels mort travailleurs travailleuses Société / Acteurs de la vie sociale / Femmes SHS Professions et métiers des femmes Femmes -- Travail Chiffonniers -- France -- Paris (France) -- 19e siècle Travaux publics -- Personnel -- Conditions de travail
Déchets -- Collecte sélective -- France Discrimination sexuelle dans l'emploi Travail précaire Éboueurs -- Conditions de travail Balayeurs -- Conditions de travail Travail condition de travail, traitement des déchets, discrimination sexuelle, travail fémininRésumé : "Sale boulot, boulots sales : le concept de dirty work tel qu’il est décrit par Everett C. Hughes [1996 (1951)] désigne à la fois des activités professionnelles jugées dégradantes, dégoûtantes ou humiliantes, souvent en bas de l’échelle de la division du travail et certaines dimensions moins valorisantes présentes dans toutes les activités professionnelles, même les plus prestigieuses, et dont on essaie généralement de se débarrasser en les transférant au personnel subalterne.
Le cas des aides-soignantes à l’hôpital étudiées par Anne-Marie… et/ou aux salarié·e·s récemment arrivé·e·s ou moins intégré·e·s – précaires, sous-traitant·e·s, non titulaires (dans un processus de délégation du sale boulot). Dans ces deux usages, le sale boulot est au cœur de la division morale du travail [Hughes 1996 (1956) ; Lhuillier, 2005]. Il concerne des tâches « sales » « parce qu’elles sont physiquement dégoûtantes ou parce qu’elles symbolisent quelque chose de dégradant ou d’humiliant » mais renvoie aussi « à ce qui va à l’encontre de nos conceptions morales les plus héroïques » [Hughes, 1996 (1951), p. 81].
Ce dossier revient sur cette notion classique de sociologie du travail dans le cadre d’une réflexion sur les inégalités de genre en s’intéressant spécifiquement aux boulots sales dans lesquels les travailleurs et travailleuses sont directement en contact avec la salissure, les déchets, les fluides corporels ou la mort et qu’ils constituent des activités « dont on devrait avoir un peu honte » [Hughes, 1996], bien que ces tâches invisibilisées soient indispensables au fonctionnement de la société [Hughes, 1996 (1956) ; Molinier, Gaignard et Dujarier, 2010]. Dans les travaux d’Everett C. Hughes, la notion de dirty work n’est pas abordée directement à l’aune du genre et les recherches contemporaines sur des activités socialement considérées comme sales ne se saisissent pas toujours non plus de la question du genre au travail. Pourtant les tâches ménagères ou le traitement des matières corporelles sont bien souvent réservés aux femmes, dans les sphères privée et professionnelle, confirmant ce que l’on sait des rôles dévolus aux femmes dans la division sexuée du travail [Kergoat, 2000]. Ce dossier porte le regard sur des métiers bien souvent dévalorisés et invisibilisés dans l’espace social en posant comme principe que la prise en compte du genre est fondamentale dans l’étude de ces métiers"Note de contenu : La valeur vraie des boulots sales : Travail, genre et sociétés, n° 43.
La vocation de la revue Travail, genre et sociétés est d’étudier la place des femmes dans la société en confrontant les points de vue de chercheurs sur les inégalités entre femmes et hommes. Sa création remonte à 1999, sous l’égide du Groupement de recherche Marché du travail et genre en Europe (MAGE-CNRS). Semestrielle, pluridisciplinaire et européenne, elle est publiée par les éditions de La Découverte avec le concours de l’Institut des sciences humaines et sociales du CNRS, du CERLIS et de la Mairie de Paris. Dans son riche comité scientifique, on retrouve, par exemple, les noms de Christine Bard, Judith Butler, Éric Fassin, Geneviève Fraisse, François Héran, Janine Mossuz-Lavau, Michelle Perrot ou Irène Théry. La revue annonce en ouverture son opposition aux réformes en cours – au premier rang desquelles la loi LPPR et la loi sur les retraites. Bousculant son programme éditorial, elle a ainsi mis en ligne un ensemble d’articles contribuant au débat social. Scientifique et engagée, Travail, genre et sociétés est donc au cœur de l’actualité.
Ce quarante-troisième numéro est sorti des presses en plein confinement, lorsque les journaux télévisés s’intéressèrent soudain aux caissières, aux gardiennes d’immeuble, femmes de ménage, aux livreurs, aux coursiers, aux éboueurs, balayeurs. Tout à coup, des « invisibles » et des « petites mains » devenaient, avec les soignants, essentiels, glorieux, héroïques. Leur courage fut immense. On leur promit beaucoup. Et voyez déjà au bout de quelques semaines dans quel oubli médiatique les voici replongés…
La recherche en sciences humaines et sociales n’a pas attendu une pandémie mondiale pour leur donner une véritable attention, étudier leurs conditions de vie et de travail, défendre leur droit à la reconnaissance et à la dignité. Ainsi, ce numéro de Travail, genre et sociétés consacre un riche dossier aux « sales boulots », sous la coordination de Pauline Seiller et Rachel Silvera.
La notion de dirty works forgée par Everett C. Hugues en 1951 est une catégorie classique de sociologie du travail popularisée en France par les travaux d’Anne-Marie Arborio. Le dossier revient sur cet outil d’analyse, dans le cadre d’une réflexion sur l’inégalité de genre, en focalisant son attention sur les « boulots sales », ceux où les travailleurs et travailleuses sont directement « en contact avec la salissure, les déchets, les fluides corporels ou la mort ». Ces activités se retrouvent bien souvent invisibilisées et dévaluées bien qu’elles soient « indispensables au fonctionnement de la société ». Ce dossier montre clairement la valeur vraie des boulots sales.
Ces métiers sont bien souvent réservés aux femmes et la prise en compte du genre s’avère fondamentale pour étudier les multiples expériences de « sales boulots ». La question des déchets constitue un champ de recherche en soi, dans le sillage de « l’anthropologie de la souillure » de Mary Douglas. Sous l’influence de nouvelles perspectives ouvertes par l’économie circulaire, le glanage urbain et le freeganisme, le regard porté sur le déchet se transforme, comme le souligne Caroline Ibos. Trois articles sont consacrés aux personnes chargées de gérer les déchets. La politiste C. Ibos propose un éclairage historique sur la « masculinité des chiffonniers et la disqualification des chiffonnières » à Paris de 1830 à 1880. À partir d’une enquête menée au sein de la Direction de la propreté et de l’eau de la Ville de Paris, le sociologue Hugo Bret s’intéresse aux recompositions des masculinités chez les éboueurs et balayeurs du secteur public. Leïla Boudra, dans le prolongement de sa thèse, propose une analyse précise du travail réel effectué dans les centres de tri des déchets ménagers. Elle « interroge la division sexuée du travail dans ces espaces professionnels » et les formes possibles de revalorisation. Fruit d’une recherche-intervention menée auprès de cinq centres de tri des déchets ménagers en France entre 2012 et 2016, ce travail se fixe pour cap de « proposer des modalités d’action innovantes en prévention des risques professionnels dans ce secteur ». Christelle Avril et Irène Ramos Vacca reprennent la question des « métiers de femme » en s’intéressant aux rôles dans la division morale du travail. Là aussi, cet article est très solidement ancré dans le terrain puisqu’il se fonde sur les données issues de l’enquête ethnographique, sociohistorique et statistique menée par Christelle Avril sur les aides à domicile. L’article s’appuie aussi sur l’enquête en cours concernant les aides-soignantes et les infirmières en pédiatrie menée par Irène Ramos Vacca dans le cadre de sa recherche doctorale (observation participante de huit mois dans un service de pédiatrie d’un hôpital public de la région parisienne).
Le dossier donne ainsi à voir les plus actuels résultats de la recherche, croisant les questions du travail, du genre et du social – sans oublier les perspectives politiques.
Celles-ci sont particulièrement présentes dans la rubrique « Controverse » où une dizaine d’auteures débattent de la définition et de l’usage du terme de féminicide. Mise en perspective historique et juridique, analyses de la situation au Guatemala et au Mexique, réflexions divergentes de Catherine Marie et de Diane Roman : nombre d’éléments sur ce phénomène complexe sont rassemblés ici.
La revue Travail, genre et sociétés poursuit ainsi sa tâche, scientifique et engagée, en prise avec le terrain social et les luttes politiques.
François Bordes
Travail, genre et sociétés, n° 43, avril 2020.
Publié le 22 juin 2020En ligne : https://www-cairn-info.proxy.scd.univ-tours.fr/revue-travail-genre-et-societes-2 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=55228 ContientExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Droit social européen et international Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Hennion-Moreau, Auteur ; Muriel Le Barbier-Le Bris, Auteur ; Marion Del Sol, Auteur Editeur : Paris : Presses universitaires de France, PUF Année de publication : 2010 Collection : Thémis Sous-collection : Droit privé Importance : XX-470 p. Format : 22 x 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-056403-4 Prix : 29 € Catégories : L DROIT Mots-clés : droit social protection travailleurs protection sociale travail conditions Union Européenne représentation personnel salariés Index. décimale : L-54 Protection sociale Résumé : Présentation des différentes facettes du droit des personnes en mobilité dans l'Union européenne, quand cette mobilité les amène à exercer un emploi ou à solliciter les sytèmes de protection sociale des Etats membres. Note de contenu : Sommaire : Chapitre préliminaire - Les sources du droit social européen et international;Première partie;Le droit social européen et international de la mobilité;I - La circulation des personnes;II - La protection sociale de la mobilité au sein de l'Union européenne;III - Le cadre juridique des opérations de mise à disposition des salariés;Seconde partie Le droit social européen et international de l'entreprise;Chapitre préliminaire - L'entreprise en droit social de l'Union européenne;I - L'encadrement des conditions de travail;II - La représentation du personnel;III - La protection des travailleurs face aux mutations des entreprises Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=31372 Droit social européen et international [texte imprimé] / Sylvie Hennion-Moreau, Auteur ; Muriel Le Barbier-Le Bris, Auteur ; Marion Del Sol, Auteur . - Paris : Presses universitaires de France, PUF, 2010 . - XX-470 p. ; 22 x 15 cm. - (Thémis. Droit privé, ISSN 0768-0910 ) .
ISBN : 978-2-13-056403-4 : 29 €
Catégories : L DROIT Mots-clés : droit social protection travailleurs protection sociale travail conditions Union Européenne représentation personnel salariés Index. décimale : L-54 Protection sociale Résumé : Présentation des différentes facettes du droit des personnes en mobilité dans l'Union européenne, quand cette mobilité les amène à exercer un emploi ou à solliciter les sytèmes de protection sociale des Etats membres. Note de contenu : Sommaire : Chapitre préliminaire - Les sources du droit social européen et international;Première partie;Le droit social européen et international de la mobilité;I - La circulation des personnes;II - La protection sociale de la mobilité au sein de l'Union européenne;III - Le cadre juridique des opérations de mise à disposition des salariés;Seconde partie Le droit social européen et international de l'entreprise;Chapitre préliminaire - L'entreprise en droit social de l'Union européenne;I - L'encadrement des conditions de travail;II - La représentation du personnel;III - La protection des travailleurs face aux mutations des entreprises Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=31372 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01680 L-54 HEN Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Droit-Gestion Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPetit journal de l'exposition : Pratiques culturelles en Val-de-Marne du sport à l'art amateur / Conseil général du Val de Marne
PermalinkPrimeur(s) à l'insertion : un programme novateur d'aide alimentaire / MIGNOT Sandra in Actualités Sociales Hebdomadaires, ASH / Europresse, n° 2841-2842 (10 janvier 2014)
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