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État des lieux de la consommation des antalgiques opioïdes et leurs usages problématiques. Février 2019 / Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé ANSM
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Titre : État des lieux de la consommation des antalgiques opioïdes et leurs usages problématiques. Février 2019 Type de document : document électronique Auteurs : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé ANSM, Collectivité éditrice ; E. MONZON, Auteur ; N. RICHARD, Auteur du matériel d'accompagnement Mention d'édition : février 2019 Editeur : Saint-Denis : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) Année de publication : 2019 Importance : 52 p. Présentation : ann., tabl., graph. Langues : Français (fre) Mots-clés : MEDICAMENTS OPIOIDS OPIOIDES USAGE PROBLEMATIQUE CONSUMPTION ASSURANCE MALADIE RISK FACTOR FACTEUR DE RISQUE ANTALGESICS ANTALGIQUES GUIDELINE RECOMMANDATION HARM REDUCTION REDUCTION DES RISQUES FENTANILS FENTANYLOIDES MORTALITY OVERDOSE SURDOSE PREVALENCE MORPHINE PAIN DOULEUR tramadol oxycodone épidémie opioïdes Résumé : En 10 ans, la consommation des antalgiques opioïdes a augmenté ; cela s'inscrit dans la politique d'amélioration de la prise en charge de la douleur de part, notamment, des plans ministériels de lutte contre la douleur ayant été mis en place depuis 1998.
En parallèle, l'ANSM observe une augmentation du mésusage, ainsi que des intoxications et des décès liés à l'utilisation des antalgiques opioïdes, qu'ils soient faibles ou forts. Cependant, la situation n'est pas comparable avec celle observée aux Etats-Unis et au Canada.
L'enjeu pour les autorités sanitaires françaises consiste à sécuriser au mieux l'utilisation des antalgiques opioïdes sans restreindre leur accès aux patients qui en ont besoin.
En France, l'ANSM mène régulièrement des actions visant à contrôler l'encadrement de ces médicaments en termes de conditions de prescription et de délivrance, d'interdiction de publicité auprès du grand public, d'informations à destination des professionnels de santé. Elle surveille attentivement la consommation des antalgiques opioïdes et des risques associés.
Les principaux enseignements du rapport :
D'après les données de l'assurance maladie, près de 10 millions de français ont eu une prescription d'antalgique opioïde en 2015. En 2017, l'antalgique opioïde le plus consommé en France est le tramadol puis la codéine en association et la poudre d'opium associée au paracétamol. Viennent ensuite la morphine, premier antalgique opioïde fort, l'oxycodone, à présent pratiquement autant consommé que la morphine, puis le fentanyl transdermique et transmuqueux à action rapide.
Entre 2006 et 2017, la prescription d'opioïdes forts a augmenté d'environ 150 %. L'oxycodone est l'antalgique opioïde qui marque l'augmentation la plus importante.
La consommation globale des opioïdes faibles est restée relativement stable. Le retrait du dextropropoxyphène en 2011 a été accompagné de l'augmentation de la consommation des autres opioïdes faibles et en particulier du tramadol. Il devient l'antalgique opioïde le plus consommé (forts et faibles confondus) avec une augmentation de plus de 68 % entre 2006 et 2017.
Les opioïdes ont un intérêt majeur et incontestable dans la prise en charge de la douleur et restent moins consommés que les antalgiques non-opioïdes (paracétamol, aspirine, AINS). Cependant, la consommation des antalgiques opioïdes peut s'accompagner de complications graves. Cette problématique touche principalement des patients qui consomment un antalgique opioïde pour soulager une douleur, et qui développent une dépendance primaire à leur traitement, et parfois le détournent de son indication initiale. Ainsi, le nombre d'hospitalisations liées à la consommation d'antalgiques opioïdes obtenus sur prescription médicale a augmenté de 167 % entre 2000 et 2017 passant de 15 à 40 hospitalisations pour un million d'habitants. Le nombre de décès liés à la consommation d'opioïdes a augmenté de 146 %, entre 2000 et 2015, avec au moins 4 décès par semaine.Note de contenu : La prévention des risques liés aux antalgiques opioïdes est une préoccupation majeure des autorités de santé. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie un rapport sur la consommation des antalgiques opioïdes en France, s’inscrivant ainsi dans une démarche de surveillance globale de l’utilisation des médicaments utilisés dans la prise en charge de la douleur.
En 10 ans, la consommation des antalgiques opioïdes a augmenté ; cela s’inscrit dans la politique d’amélioration de la prise en charge de la douleur de part, notamment, des plans ministériels de lutte contre la douleur ayant été mis en place depuis 1998.
En parallèle, l’ANSM observe une augmentation du mésusage, ainsi que des intoxications et des décès liés à l’utilisation des antalgiques opioïdes, qu’ils soient faibles[1] ou forts[2] . Cependant, la situation n’est pas comparable avec celle observée aux Etats-Unis et au Canada.
L’enjeu pour les autorités sanitaires françaises consiste à sécuriser au mieux l’utilisation des antalgiques opioïdes sans restreindre leur accès aux patients qui en ont besoin.
En France, l’ANSM mène régulièrement des actions visant à contrôler l’encadrement de ces médicaments en termes de conditions de prescription et de délivrance, d’interdiction de publicité auprès du grand public, d’informations à destination des professionnels de santé. Elle surveille attentivement la consommation des antalgiques opioïdes et des risques associés.
Les principaux enseignements du rapport :
D’après les données de l’assurance maladie, près de 10 millions de français ont eu une prescription d’antalgique opioïde en 2015. En 2017, l’antalgique opioïde le plus consommé en France est le tramadol puis la codéine en association et la poudre d’opium associée au paracétamol. Viennent ensuite la morphine, premier antalgique opioïde fort, l’oxycodone, à présent pratiquement autant consommé que la morphine, puis le fentanyl transdermique et transmuqueux à action rapide.
Entre 2006 et 2017, la prescription d’opioïdes forts a augmenté d’environ 150 %[3] . L’oxycodone est l’antalgique opioïde qui marque l’augmentation la plus importante.
La consommation globale des opioïdes faibles est restée relativement stable. Le retrait du dextropropoxyphène en 2011 a été accompagné de l’augmentation de la consommation des autres opioïdes faibles et en particulier du tramadol. Il devient l’antalgique opioïde le plus consommé (forts et faibles confondus) avec une augmentation de plus de 68 % entre 2006 et 2017.
Les opioïdes ont un intérêt majeur et incontestable dans la prise en charge de la douleur et restent moins consommés que les antalgiques non-opioïdes (paracétamol, aspirine, AINS). Cependant, la consommation des antalgiques opioïdes peut s’accompagner de complications graves. Cette problématique touche principalement des patients qui consomment un antalgique opioïde pour soulager une douleur, et qui développent une dépendance primaire à leur traitement, et parfois le détournent de son indication initiale. Ainsi, le nombre d’hospitalisations liées à la consommation d’antalgiques opioïdes obtenus sur prescription médicale a augmenté de 167 % entre 2000 et 2017 passant de 15 à 40 hospitalisations pour un million d’habitants. Le nombre de décès liés à la consommation d’opioïdes a augmenté de 146 %, entre 2000 et 2015, avec au moins 4 décès par semaine.
En ligne : https://ansm.sante.fr/content/download/157015/2058811/version/3/file/Rapport_Ant [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=220286 État des lieux de la consommation des antalgiques opioïdes et leurs usages problématiques. Février 2019 [document électronique] / Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé ANSM, Collectivité éditrice ; E. MONZON, Auteur ; N. RICHARD, Auteur du matériel d'accompagnement . - février 2019 . - Saint-Denis : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), 2019 . - 52 p. : ann., tabl., graph.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : MEDICAMENTS OPIOIDS OPIOIDES USAGE PROBLEMATIQUE CONSUMPTION ASSURANCE MALADIE RISK FACTOR FACTEUR DE RISQUE ANTALGESICS ANTALGIQUES GUIDELINE RECOMMANDATION HARM REDUCTION REDUCTION DES RISQUES FENTANILS FENTANYLOIDES MORTALITY OVERDOSE SURDOSE PREVALENCE MORPHINE PAIN DOULEUR tramadol oxycodone épidémie opioïdes Résumé : En 10 ans, la consommation des antalgiques opioïdes a augmenté ; cela s'inscrit dans la politique d'amélioration de la prise en charge de la douleur de part, notamment, des plans ministériels de lutte contre la douleur ayant été mis en place depuis 1998.
En parallèle, l'ANSM observe une augmentation du mésusage, ainsi que des intoxications et des décès liés à l'utilisation des antalgiques opioïdes, qu'ils soient faibles ou forts. Cependant, la situation n'est pas comparable avec celle observée aux Etats-Unis et au Canada.
L'enjeu pour les autorités sanitaires françaises consiste à sécuriser au mieux l'utilisation des antalgiques opioïdes sans restreindre leur accès aux patients qui en ont besoin.
En France, l'ANSM mène régulièrement des actions visant à contrôler l'encadrement de ces médicaments en termes de conditions de prescription et de délivrance, d'interdiction de publicité auprès du grand public, d'informations à destination des professionnels de santé. Elle surveille attentivement la consommation des antalgiques opioïdes et des risques associés.
Les principaux enseignements du rapport :
D'après les données de l'assurance maladie, près de 10 millions de français ont eu une prescription d'antalgique opioïde en 2015. En 2017, l'antalgique opioïde le plus consommé en France est le tramadol puis la codéine en association et la poudre d'opium associée au paracétamol. Viennent ensuite la morphine, premier antalgique opioïde fort, l'oxycodone, à présent pratiquement autant consommé que la morphine, puis le fentanyl transdermique et transmuqueux à action rapide.
Entre 2006 et 2017, la prescription d'opioïdes forts a augmenté d'environ 150 %. L'oxycodone est l'antalgique opioïde qui marque l'augmentation la plus importante.
La consommation globale des opioïdes faibles est restée relativement stable. Le retrait du dextropropoxyphène en 2011 a été accompagné de l'augmentation de la consommation des autres opioïdes faibles et en particulier du tramadol. Il devient l'antalgique opioïde le plus consommé (forts et faibles confondus) avec une augmentation de plus de 68 % entre 2006 et 2017.
Les opioïdes ont un intérêt majeur et incontestable dans la prise en charge de la douleur et restent moins consommés que les antalgiques non-opioïdes (paracétamol, aspirine, AINS). Cependant, la consommation des antalgiques opioïdes peut s'accompagner de complications graves. Cette problématique touche principalement des patients qui consomment un antalgique opioïde pour soulager une douleur, et qui développent une dépendance primaire à leur traitement, et parfois le détournent de son indication initiale. Ainsi, le nombre d'hospitalisations liées à la consommation d'antalgiques opioïdes obtenus sur prescription médicale a augmenté de 167 % entre 2000 et 2017 passant de 15 à 40 hospitalisations pour un million d'habitants. Le nombre de décès liés à la consommation d'opioïdes a augmenté de 146 %, entre 2000 et 2015, avec au moins 4 décès par semaine.Note de contenu : La prévention des risques liés aux antalgiques opioïdes est une préoccupation majeure des autorités de santé. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie un rapport sur la consommation des antalgiques opioïdes en France, s’inscrivant ainsi dans une démarche de surveillance globale de l’utilisation des médicaments utilisés dans la prise en charge de la douleur.
En 10 ans, la consommation des antalgiques opioïdes a augmenté ; cela s’inscrit dans la politique d’amélioration de la prise en charge de la douleur de part, notamment, des plans ministériels de lutte contre la douleur ayant été mis en place depuis 1998.
En parallèle, l’ANSM observe une augmentation du mésusage, ainsi que des intoxications et des décès liés à l’utilisation des antalgiques opioïdes, qu’ils soient faibles[1] ou forts[2] . Cependant, la situation n’est pas comparable avec celle observée aux Etats-Unis et au Canada.
L’enjeu pour les autorités sanitaires françaises consiste à sécuriser au mieux l’utilisation des antalgiques opioïdes sans restreindre leur accès aux patients qui en ont besoin.
En France, l’ANSM mène régulièrement des actions visant à contrôler l’encadrement de ces médicaments en termes de conditions de prescription et de délivrance, d’interdiction de publicité auprès du grand public, d’informations à destination des professionnels de santé. Elle surveille attentivement la consommation des antalgiques opioïdes et des risques associés.
Les principaux enseignements du rapport :
D’après les données de l’assurance maladie, près de 10 millions de français ont eu une prescription d’antalgique opioïde en 2015. En 2017, l’antalgique opioïde le plus consommé en France est le tramadol puis la codéine en association et la poudre d’opium associée au paracétamol. Viennent ensuite la morphine, premier antalgique opioïde fort, l’oxycodone, à présent pratiquement autant consommé que la morphine, puis le fentanyl transdermique et transmuqueux à action rapide.
Entre 2006 et 2017, la prescription d’opioïdes forts a augmenté d’environ 150 %[3] . L’oxycodone est l’antalgique opioïde qui marque l’augmentation la plus importante.
La consommation globale des opioïdes faibles est restée relativement stable. Le retrait du dextropropoxyphène en 2011 a été accompagné de l’augmentation de la consommation des autres opioïdes faibles et en particulier du tramadol. Il devient l’antalgique opioïde le plus consommé (forts et faibles confondus) avec une augmentation de plus de 68 % entre 2006 et 2017.
Les opioïdes ont un intérêt majeur et incontestable dans la prise en charge de la douleur et restent moins consommés que les antalgiques non-opioïdes (paracétamol, aspirine, AINS). Cependant, la consommation des antalgiques opioïdes peut s’accompagner de complications graves. Cette problématique touche principalement des patients qui consomment un antalgique opioïde pour soulager une douleur, et qui développent une dépendance primaire à leur traitement, et parfois le détournent de son indication initiale. Ainsi, le nombre d’hospitalisations liées à la consommation d’antalgiques opioïdes obtenus sur prescription médicale a augmenté de 167 % entre 2000 et 2017 passant de 15 à 40 hospitalisations pour un million d’habitants. Le nombre de décès liés à la consommation d’opioïdes a augmenté de 146 %, entre 2000 et 2015, avec au moins 4 décès par semaine.
En ligne : https://ansm.sante.fr/content/download/157015/2058811/version/3/file/Rapport_Ant [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=220286 Exemplaires
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Conduites addictives chez les adolescents : usages, prévention et accompagnement / INSERM / Inserm (France)
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Titre : Conduites addictives chez les adolescents : usages, prévention et accompagnement / INSERM Type de document : document électronique Auteurs : Inserm (France) ; A. DERVAUX ; François Beck (1970-...) ; Stanislas Spilka
; L. ROMO ; Olivier Phan ; Patrick Peretti-Watel (1971-...)
; M. NAASSILA ; M. MELCHIOR ; Stéphane Legleye ; M. O. KREBS ; Laurence Kern (1971-...) ; M. GRALL-BRONNEC ; Karine Gallopel-Morvan
; E. DU ROSCOAT
Editeur : Paris : Inserm, Institut national de la santé et de la recherche médicale (France) Année de publication : 2014 Collection : Expertise collective (Paris), ISSN 1264-1782 Importance : 482 p. (60 p. pour les recommandations, en hyperlien) Format : ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85598-912-4 Note générale : En France, les niveaux de consommation de certaines substances psychoactives, en particulier l’alcool, le tabac et le cannabis, demeurent élevés chez les adolescents, en dépit des évolutions de la réglementation visant à limiter l’accès des mineurs à ces produits et des campagnes de prévention répétées. Dans le contexte de l’élaboration du Plan gouvernemental de lutte contre les drogues et les conduites addictives 2013-2017[1], la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt) a sollicité l’Inserm pour établir un bilan des connaissances scientifiques sur les vulnérabilités des adolescents (âgés de 10 à 18 ans) à l’usage de substances psychoactives dont la consommation est notable chez les jeunes et pour lesquelles un risque de comportement addictif est avéré (alcool, tabac, cannabis), mais aussi aux pratiques identifiées comme pouvant devenir problématiques (jeux vidéo/Internet, jeux de hasard et d’argent). La commande de la MILDT portait également sur l’analyse des stratégies de prévention et d’intervention efficaces pour cette tranche d’âge. Langues : Français (fre) Mots-clés : MILDT ADOLESCENT RISK FACTOR FACTEUR DE RISQUE BRAIN FACTEUR DE VULNERABILITE ALCOHOL ALCOOL TOBACCO PSYCHOTROPES PREMIX BOISSON ENERGISANTE POLYDRUG USE POLYCONSOMMATION GUIDELINE RECOMMANDATION VIDEO GAME GAMBLING JEU D'ARGENT ET DE HASARD USAGE PROBLEMATIQUE PREVENTION EPIDEMIOLOGY SOCIOLOGY MANAGED CARE PRISE EN CHARGE PREVALENCE LIFE SKILLS COMPETENCES PSYCHOSOCIALES CONSULTATION JEUNE CONSOMMATEUR Résumé : C'est principalement à l'adolescence qu'a lieu l'initiation à l'usage de substances psychoactives dont la répétition est susceptible d'entraîner un abus voire une dépendance. En France, les niveaux de consommation des substances licites, comme l'alcool et le tabac, mais aussi illicites, comme le cannabis, demeurent élevés chez les adolescents, en dépit de la réglementation visant à limiter l'accès à ces produits et des campagnes de prévention répétées. Les conséquences sanitaires et sociales de ces consommations constituent une préoccupation de premier plan en santé publique. Sollicitée par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt), cette expertise collective fait le point sur les usages de substances psychoactives chez les adolescents, mais aussi sur leurs pratiques des jeux vidéo/Internet et des jeux de hasard et d'argent identifiées comme pouvant devenir problématiques. L'expertise fait également le point sur les facteurs associés à ces usages et ces pratiques, sur les dommages sanitaires et sociaux ainsi que sur les stratégies de prévention et de prise en charge des adolescents. Le groupe d'experts propose des pistes d'actions et de recherche pour améliorer la prévention de l'initiation et des usages réguliers ainsi que la prise en charge. [Résumé éditeur] Note de contenu : SOMMAIRE :
Principaux constats et recommandations.
I. Substances psychoactives :
1. Usages de substances psychoactives : données épidémiologiques et sociales.
2. Déterminants sociaux et familiaux des conduites addictives : une perspective vie entière.
3. Motivations et représentations associées aux usages de substances psychoactives.
4. Influence du marketing et de la publicité des industriels du tabac et de l'alcool.
5. Dommages individuels et sociaux.
6. Vulnérabilité des adolescents aux addictions et corrélats neurobiologiques.
7. Effets néfastes de l'alcool : impact du binge drinking sur le cerveau.
8. Effets néfastes du cannabis.
9. Synthèse des interventions de prévention présentées comme efficaces dans la littérature scientifique.
10. Accompagnement des adolescents présentant des conduites addictives.
II. Jeux vidéo/Internet et jeux de hasard et d'argent :
11. Pratique des jeux vidéo/Internet.
12. Jeux de hasard et d'argent.
13. Influence du marketing et de la publicité des opérateurs de jeux de hasard et d'argent.
Communications :
Boissons énergisantes :données actuelles.
Prévenir sans nuire :facteurs prédictifs de l'efficacité des programmes de prévention de la dépendance chez les jeunes.
The EU-Dap Project: a brief summary.
Annexes :
Annexe 1. Expertise collective Inserm : principes et méthode.
Annexe 2. Définition de la dépendance d'après le DSM-IV et la CIM-10.
Annexe 3. Enquêtes Escapad, Espad et HBSC.
Annexe 4. Régressions logistiques sur les usages réguliers d'alcool, tabac et cannabis.
Annexe 5. Critères proposés pour l'utilisation problématique des jeux vidéo/Internet selon le DSM-5.
Annexe 6. Problematic Internet Use Questionnaire 12 (PIUQ 12).
Annexe 7. Mortalité en lien avec une consommation de substance psychoactive chez les 10-18 ans dénombrée à partir des certificats de décès entre 2000 et 2010.En ligne : http://presse.inserm.fr/wp-content/uploads/2014/02/Conduites-addictives-ados-Con [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=148080 Conduites addictives chez les adolescents : usages, prévention et accompagnement / INSERM [document électronique] / Inserm (France) ; A. DERVAUX ; François Beck (1970-...); Stanislas Spilka
; L. ROMO ; Olivier Phan ; Patrick Peretti-Watel (1971-...)
; M. NAASSILA ; M. MELCHIOR ; Stéphane Legleye ; M. O. KREBS ; Laurence Kern (1971-...) ; M. GRALL-BRONNEC ; Karine Gallopel-Morvan
; E. DU ROSCOAT . - Paris : Inserm, Institut national de la santé et de la recherche médicale (France), 2014 . - 482 p. (60 p. pour les recommandations, en hyperlien) ; PDF. - (Expertise collective (Paris), ISSN 1264-1782) .
ISSN : 978-2-85598-912-4
En France, les niveaux de consommation de certaines substances psychoactives, en particulier l’alcool, le tabac et le cannabis, demeurent élevés chez les adolescents, en dépit des évolutions de la réglementation visant à limiter l’accès des mineurs à ces produits et des campagnes de prévention répétées. Dans le contexte de l’élaboration du Plan gouvernemental de lutte contre les drogues et les conduites addictives 2013-2017[1], la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt) a sollicité l’Inserm pour établir un bilan des connaissances scientifiques sur les vulnérabilités des adolescents (âgés de 10 à 18 ans) à l’usage de substances psychoactives dont la consommation est notable chez les jeunes et pour lesquelles un risque de comportement addictif est avéré (alcool, tabac, cannabis), mais aussi aux pratiques identifiées comme pouvant devenir problématiques (jeux vidéo/Internet, jeux de hasard et d’argent). La commande de la MILDT portait également sur l’analyse des stratégies de prévention et d’intervention efficaces pour cette tranche d’âge.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : MILDT ADOLESCENT RISK FACTOR FACTEUR DE RISQUE BRAIN FACTEUR DE VULNERABILITE ALCOHOL ALCOOL TOBACCO PSYCHOTROPES PREMIX BOISSON ENERGISANTE POLYDRUG USE POLYCONSOMMATION GUIDELINE RECOMMANDATION VIDEO GAME GAMBLING JEU D'ARGENT ET DE HASARD USAGE PROBLEMATIQUE PREVENTION EPIDEMIOLOGY SOCIOLOGY MANAGED CARE PRISE EN CHARGE PREVALENCE LIFE SKILLS COMPETENCES PSYCHOSOCIALES CONSULTATION JEUNE CONSOMMATEUR Résumé : C'est principalement à l'adolescence qu'a lieu l'initiation à l'usage de substances psychoactives dont la répétition est susceptible d'entraîner un abus voire une dépendance. En France, les niveaux de consommation des substances licites, comme l'alcool et le tabac, mais aussi illicites, comme le cannabis, demeurent élevés chez les adolescents, en dépit de la réglementation visant à limiter l'accès à ces produits et des campagnes de prévention répétées. Les conséquences sanitaires et sociales de ces consommations constituent une préoccupation de premier plan en santé publique. Sollicitée par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt), cette expertise collective fait le point sur les usages de substances psychoactives chez les adolescents, mais aussi sur leurs pratiques des jeux vidéo/Internet et des jeux de hasard et d'argent identifiées comme pouvant devenir problématiques. L'expertise fait également le point sur les facteurs associés à ces usages et ces pratiques, sur les dommages sanitaires et sociaux ainsi que sur les stratégies de prévention et de prise en charge des adolescents. Le groupe d'experts propose des pistes d'actions et de recherche pour améliorer la prévention de l'initiation et des usages réguliers ainsi que la prise en charge. [Résumé éditeur] Note de contenu : SOMMAIRE :
Principaux constats et recommandations.
I. Substances psychoactives :
1. Usages de substances psychoactives : données épidémiologiques et sociales.
2. Déterminants sociaux et familiaux des conduites addictives : une perspective vie entière.
3. Motivations et représentations associées aux usages de substances psychoactives.
4. Influence du marketing et de la publicité des industriels du tabac et de l'alcool.
5. Dommages individuels et sociaux.
6. Vulnérabilité des adolescents aux addictions et corrélats neurobiologiques.
7. Effets néfastes de l'alcool : impact du binge drinking sur le cerveau.
8. Effets néfastes du cannabis.
9. Synthèse des interventions de prévention présentées comme efficaces dans la littérature scientifique.
10. Accompagnement des adolescents présentant des conduites addictives.
II. Jeux vidéo/Internet et jeux de hasard et d'argent :
11. Pratique des jeux vidéo/Internet.
12. Jeux de hasard et d'argent.
13. Influence du marketing et de la publicité des opérateurs de jeux de hasard et d'argent.
Communications :
Boissons énergisantes :données actuelles.
Prévenir sans nuire :facteurs prédictifs de l'efficacité des programmes de prévention de la dépendance chez les jeunes.
The EU-Dap Project: a brief summary.
Annexes :
Annexe 1. Expertise collective Inserm : principes et méthode.
Annexe 2. Définition de la dépendance d'après le DSM-IV et la CIM-10.
Annexe 3. Enquêtes Escapad, Espad et HBSC.
Annexe 4. Régressions logistiques sur les usages réguliers d'alcool, tabac et cannabis.
Annexe 5. Critères proposés pour l'utilisation problématique des jeux vidéo/Internet selon le DSM-5.
Annexe 6. Problematic Internet Use Questionnaire 12 (PIUQ 12).
Annexe 7. Mortalité en lien avec une consommation de substance psychoactive chez les 10-18 ans dénombrée à partir des certificats de décès entre 2000 et 2010.En ligne : http://presse.inserm.fr/wp-content/uploads/2014/02/Conduites-addictives-ados-Con [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=148080 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Les nouveaux horizons de nos comportements numériques problématiques / Olivier GLASSEY in Dépendances / ISPA et SUDOC, n° 66 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Les nouveaux horizons de nos comportements numériques problématiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier GLASSEY, Personne interviewée Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 29-31 Langues : Français (fre) Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Internet Mots-clés : ADDICTION CYBERDEPENDANCE TIC USAGE PROBLEMATIQUE Résumé : L'emprise du numérique dans la société grandit de jour en jour, amenant les professionnels à se poser la question d'une possible dépendance au numérique, ou du moins de pratiques abusives. L'auteur de l'article nous invite à réfléchir sur les liens étroits entre l'évolution des technologies numériques et les usages problématiques qu'elle engendre. Note de contenu : biblio. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=240627
in Dépendances / ISPA et SUDOC > n° 66 (Décembre 2019) . - pp. 29-31[article] Les nouveaux horizons de nos comportements numériques problématiques [texte imprimé] / Olivier GLASSEY, Personne interviewée . - 2020 . - pp. 29-31.
Langues : Français (fre)
in Dépendances / ISPA et SUDOC > n° 66 (Décembre 2019) . - pp. 29-31
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Internet Mots-clés : ADDICTION CYBERDEPENDANCE TIC USAGE PROBLEMATIQUE Résumé : L'emprise du numérique dans la société grandit de jour en jour, amenant les professionnels à se poser la question d'une possible dépendance au numérique, ou du moins de pratiques abusives. L'auteur de l'article nous invite à réfléchir sur les liens étroits entre l'évolution des technologies numériques et les usages problématiques qu'elle engendre. Note de contenu : biblio. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=240627 Prise en charge des troubles de l'usage des opioïdes : où en est-on ? / Chloé Lucet in Le Courrier des addictions / SUDOC et edimark.fr/courrier-addictions, vol.20,n°2 (Avril-mai-juin 2018)
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[article]
Titre : Prise en charge des troubles de l'usage des opioïdes : où en est-on ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Chloé Lucet, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 24-25 Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe ; A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Dynamique de la population:Morbidité ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Dynamique de la population:Mortalité ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Dépendance:Toxicomanie ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences médicales:Santé:Politique de la santé:Épidémiologie Study of the occurence and distribution of disease.Mots-clés : ADDICTION DROGUE OPIACE HEROINE USAGE PROBLEMATIQUE TRAITEMENT DES ADDICTIONS OFFRE DE SOINS TRAITEMENT DE SUBSTITUTION Résumé : Dans son dernier rapport (1), l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies attire l'attention sur certaines évolutions potentiellement inquiétantes du marché européen des opiacés et des substances qui continuent d'être associées à un niveau élevé de morbidité et de mortalité. Avec 4,5 tonnes d'héroïne saisies en 2015, le marché européen demeure florissant. La France n'est pas en reste puisqu'elle fait partie du peloton de tête du Vieux Continent s'agissant des consommateurs problématiques d'opioïdes. Des observations récentes (2) montrent une augmentation des saisies et l'extension des zones géographiques réinvesties par le trafic d'héroïne en France, rendant désormais ce produit plus attrayant pour les usagers. Sans pour autant dire que la crise opioïde américaine s'est étendue à l'Europe, certains modes de consommation, comme le détournement de médicaments codéinés à des fins récréatives ou le mésusage d'antalgiques opioïdes, ont depuis longtemps pris pied sur le Vieux Continent. Ces constats font craindre, en France et en Europe, une flambée des problématiques addictives liées aux opiacés, dans un contexte épidémiologique différent. Comme le souligne Nicolas Authier (3), l'exemple américain nous encourage à redoubler de vigilance, avec la nécessité de développer l'offre de soins. Note de contenu : biblio. En ligne : http://www.edimark.fr/courrier-addictions Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=215219
in Le Courrier des addictions / SUDOC et edimark.fr/courrier-addictions > vol.20,n°2 (Avril-mai-juin 2018) . - pp. 24-25[article] Prise en charge des troubles de l'usage des opioïdes : où en est-on ? [texte imprimé] / Chloé Lucet, Auteur . - 2018 . - pp. 24-25.
Langues : Français (fre)
in Le Courrier des addictions / SUDOC et edimark.fr/courrier-addictions > vol.20,n°2 (Avril-mai-juin 2018) . - pp. 24-25
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe ; A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Dynamique de la population:Morbidité ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Dynamique de la population:Mortalité ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Dépendance:Toxicomanie ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences médicales:Santé:Politique de la santé:Épidémiologie Study of the occurence and distribution of disease.Mots-clés : ADDICTION DROGUE OPIACE HEROINE USAGE PROBLEMATIQUE TRAITEMENT DES ADDICTIONS OFFRE DE SOINS TRAITEMENT DE SUBSTITUTION Résumé : Dans son dernier rapport (1), l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies attire l'attention sur certaines évolutions potentiellement inquiétantes du marché européen des opiacés et des substances qui continuent d'être associées à un niveau élevé de morbidité et de mortalité. Avec 4,5 tonnes d'héroïne saisies en 2015, le marché européen demeure florissant. La France n'est pas en reste puisqu'elle fait partie du peloton de tête du Vieux Continent s'agissant des consommateurs problématiques d'opioïdes. Des observations récentes (2) montrent une augmentation des saisies et l'extension des zones géographiques réinvesties par le trafic d'héroïne en France, rendant désormais ce produit plus attrayant pour les usagers. Sans pour autant dire que la crise opioïde américaine s'est étendue à l'Europe, certains modes de consommation, comme le détournement de médicaments codéinés à des fins récréatives ou le mésusage d'antalgiques opioïdes, ont depuis longtemps pris pied sur le Vieux Continent. Ces constats font craindre, en France et en Europe, une flambée des problématiques addictives liées aux opiacés, dans un contexte épidémiologique différent. Comme le souligne Nicolas Authier (3), l'exemple américain nous encourage à redoubler de vigilance, avec la nécessité de développer l'offre de soins. Note de contenu : biblio. En ligne : http://www.edimark.fr/courrier-addictions Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=215219 Stéroïdes anabolisants androgènes : usages et troubles de l'usage / T. Gonzalez in Le Courrier des addictions / SUDOC et edimark.fr/courrier-addictions, vol 22 n°4 (Décembre 2020)
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[article]
Titre : Stéroïdes anabolisants androgènes : usages et troubles de l'usage Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Gonzalez, Auteur ; Chloé Lucet, Auteur ; Xavier Laqueille, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : pp. 27-31 Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Loisirs:Activité de loisir:Sport Mots-clés : ADDICTION ADDICTION STEROIDE ANABOLISANT SPORTIF SPORTIF USAGE PROBLEMATIQUE USAGE PROBLEMATIQUE PERFORMANCE PERFORMANCE IMPACT SUR LA SANTE IMPACT SUR LA SANTE Résumé : L'usage de stéroïdes anabolisants androgènes concerne en grande majorité des pratiquants amateurs de fitness et de musculation.
Le risque d'évolution vers un trouble de l'usage est réel?; les consommateurs présentent souvent des effets indésirables et un syndrome de sevrage à l'arrêt.
Il est fréquent que les usagers de stéroïdes anabolisants androgènes utilisent d'autres produits d'amélioration de la performance ainsi que d'autres substances psychoactives plus classiques.Note de contenu : biblio. En ligne : http://www.edimark.fr/courrier-addictions Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=260419
in Le Courrier des addictions / SUDOC et edimark.fr/courrier-addictions > vol 22 n°4 (Décembre 2020) . - pp. 27-31[article] Stéroïdes anabolisants androgènes : usages et troubles de l'usage [texte imprimé] / T. Gonzalez, Auteur ; Chloé Lucet, Auteur ; Xavier Laqueille, Auteur . - 2021 . - pp. 27-31.
Langues : Français (fre)
in Le Courrier des addictions / SUDOC et edimark.fr/courrier-addictions > vol 22 n°4 (Décembre 2020) . - pp. 27-31
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Loisirs:Activité de loisir:Sport Mots-clés : ADDICTION ADDICTION STEROIDE ANABOLISANT SPORTIF SPORTIF USAGE PROBLEMATIQUE USAGE PROBLEMATIQUE PERFORMANCE PERFORMANCE IMPACT SUR LA SANTE IMPACT SUR LA SANTE Résumé : L'usage de stéroïdes anabolisants androgènes concerne en grande majorité des pratiquants amateurs de fitness et de musculation.
Le risque d'évolution vers un trouble de l'usage est réel?; les consommateurs présentent souvent des effets indésirables et un syndrome de sevrage à l'arrêt.
Il est fréquent que les usagers de stéroïdes anabolisants androgènes utilisent d'autres produits d'amélioration de la performance ainsi que d'autres substances psychoactives plus classiques.Note de contenu : biblio. En ligne : http://www.edimark.fr/courrier-addictions Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=260419 PermalinkEvaluation d'une thérapie systémique à partir de l'étude INCANT. Comparaison d'une prise en charge habituelle d'adolescent(e)s consommateurs problématiques de cannabis avec la « Thérapie Familiale Multidimensionnelle » (MDFT) / P. VERBANCK ; I. PELC ; K. VAN GERWEN ; V. ANTONIALI ; T. ANGELIDIS ; P. SPAPEN in Thérapie Familiale : revue Internationale en Approche Systémique / Cairn.info, Vol.34, n°2 (août 2013)
PermalinkLe trouble lié à l’usage des jeux vidéo. Une réalité clinique en pratique / Laurent Karila in Alcoologie et addictologie / SUDOC et alcoologie-et-addictologie.fr, Vol.40 n°2 (JUIN 2018)
PermalinkConnaître les risques de mésusage pour une juste prescription des antalgiques opioïdes / Célian Bertin in Alcoologie et addictologie / SUDOC et alcoologie-et-addictologie.fr, Vol.41 n°3 (SEPTEMBRE 2019)
PermalinkProgramme warningmeth : une alternative psycho-éducative à la contravention / Camille Fontaine in Dépendances / ISPA et SUDOC, n° 64 (Mars 2019)
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PermalinkVariation des choix du vocabulaire soignant à propos d’aînés mésusant d’alcool / Pascal Menecier in Drogues, santé et société, DSS / Erudit.org, vol 18,n°1 (Février 2020)
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PermalinkL’approche syste?mique applique?e aux addictions. Le travail avec les adolescents, les jeunes adultes et leurs familles / Laurence Cleinge in L'Observatoire : revue d'action sociale et médico-sociale. Créateur d'échanges et de transversalité dans le social / ITS, 98 (1er trimestre 2019)
PermalinkLa réduction des risques et des dommages est-elle efficace et quelles sont ses limites en matière de tabac ? / Ivan Berlin in Alcoologie et addictologie / SUDOC et alcoologie-et-addictologie.fr, Vol.39 n°2 (JUIN 2017)
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