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Inclusion et handicap à dominante visible ou invisible au collège : représentations du handicap, pratiques d'inclusion en contexte scolaire et construction individuelle et interactionnelle d'adolescents en situation de handicap / Céline Gaulot
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Titre : Inclusion et handicap à dominante visible ou invisible au collège : représentations du handicap, pratiques d'inclusion en contexte scolaire et construction individuelle et interactionnelle d'adolescents en situation de handicap Type de document : document électronique Auteurs : Céline Gaulot (1970-...), Auteur ; Éric Dugas , Directeur de thèse ; Joël Zaffran (1967-...), ; Gilles Ferréol (1954-...), ; Émilie Boujut (1980-...), ; Séverine Colinet (1980-...)
, Opposant ; Franck Peyrou, Opposant ; Université de Bordeaux (2014-...), Organisme de soutenance ; École doctorale Sociétés, politique, santé publique (Bordeaux), ; Laboratoire cultures, éducation, sociétés,
Editeur : Bordeaux : Université de Bordeaux Année de publication : 2018 Importance : 428 p. Format : Langues : Français (fre) Mots-clés : Handicap Inclusion Visible Invisible Adolescence Représentations Besoins éducatifs particuliers Sociologie Jeunes handicapés Intégration scolaire Adaptation scolaire Résumé : Le traitement du handicap et la place des personnes handicapées a varié selon les époques. Actuellement, dans la lignée des droits de l’homme, les politiques nationales et internationales tendent à promouvoir l’égalité pour tous les hommes et la lutte contre les discriminations se concrétise par des politiques publiques actives, dans la plupart des pays. Au niveau de l’Éducation, le concept d’inclusion a été avalisé à la Conférence de Salamanque (UNESCO 1994), et sa mise en oeuvre est décrite comme « une réforme qui appuie et accueille favorablement la diversité de tous les apprenants » (UNESCO 2001). En France, la loi du 11 février 2005 a introduit une évolution majeure dans le traitement social des personnes handicapées. L’éducation inclusive dans son paradigme appelle à une prise en compte de la complexité de l’humain et des institutions auxquelles il appartient. La présente recherche tend à rendre compte de certains aspects de cette complexité en mettant au jour les représentations et les pratiques d’inclusion en collège auprès d’élèves en situation de handicap à dominante visible ou invisible et en les mettant en lien avec la construction individuelle et interactionnelle de ces adolescents. Quatre dimensions ont été étudiées à partir de la situation de cinq élèves en situation de handicap à dominante visible ou invisible. Le contexte scolaire est le premier niveau : il apporte une structuration objective au processus d’inclusion par la présence d’un dispositif, d’une organisation et de personnes investies dans ce projet. Les représentations du handicap et les pratiques pédagogiques des enseignants sont interrogées dans le deuxième niveau. Le troisième niveau est celui des pairs des élèves en situation de handicap, où ont été questionnés les réseaux socio-affectifs des classes. Enfin, le quatrième niveau concerne la dimension individuelle des cinq élèves. Les résultats de cette recherche de type ethnographique indiquent que la structuration du contexte inclusif a une influence sur la représentation du handicap activée : plus elle est visible car portée par un dispositif et des personnels qui lui sont dédiés, plus la représentation du handicap est riche. Le noyau de la représentation du handicap chez les enseignants (constitué des éléments « monstre », « mort », « handicap physique », « fauteuil roulant » et « autisme ») est identique à celui rencontré dans la population générale, avec une variation spécifique professionnelle (« dyslexie ») entrant dans le champ de la réparation possible du handicap. Lorsque la structuration de l’inclusion est humainement investie, une représentation dite « de reliance » intègre les différents niveaux antérieurs de la représentation et y intègre la situation de handicap. En ce sens, elle est évoluée car elle prend en considération les dernières avancées sociétales en la matière ; on peut la penser aussi transitoire, au même titre que la forme actuelle de l’Éducation inclusive. Des archétypes sont sous-jacents à ces représentations et diffèrent selon la visibilité (où l’archétype activé est celui du monstre et de l’altérité fondamentale) ou l’invisibilité du handicap (où l’archétype activé est celui de l’étranger et de l’inconnaissable), cette notion faisant le lien entre la perception et la représentation dans la dimension intrapsychique de l’individu. Les représentations peuvent évoluer par mise au jour, acceptation et intégration de ses différentes composantes d’une part, par l’expérience concrète discutée et réfléchie du processus inclusif par ses acteurs d’autre part. Ceci induit alors une co-construction entre les différents partenaires et la nécessité de formation pour accéder à une compréhension des singularités des élèves porteurs d’altérité dans l’objectif d’identifier et de répondre à leurs besoins éducatifs particuliers. En ligne : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02117112v2/document Format de la ressource électronique : Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=260009 Inclusion et handicap à dominante visible ou invisible au collège : représentations du handicap, pratiques d'inclusion en contexte scolaire et construction individuelle et interactionnelle d'adolescents en situation de handicap [document électronique] / Céline Gaulot (1970-...), Auteur ; Éric Dugas, Directeur de thèse ; Joël Zaffran (1967-...), ; Gilles Ferréol (1954-...), ; Émilie Boujut (1980-...), ; Séverine Colinet (1980-...)
, Opposant ; Franck Peyrou, Opposant ; Université de Bordeaux (2014-...), Organisme de soutenance ; École doctorale Sociétés, politique, santé publique (Bordeaux), ; Laboratoire cultures, éducation, sociétés, . - Bordeaux : Université de Bordeaux, 2018 . - 428 p. ; PDF.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Handicap Inclusion Visible Invisible Adolescence Représentations Besoins éducatifs particuliers Sociologie Jeunes handicapés Intégration scolaire Adaptation scolaire Résumé : Le traitement du handicap et la place des personnes handicapées a varié selon les époques. Actuellement, dans la lignée des droits de l’homme, les politiques nationales et internationales tendent à promouvoir l’égalité pour tous les hommes et la lutte contre les discriminations se concrétise par des politiques publiques actives, dans la plupart des pays. Au niveau de l’Éducation, le concept d’inclusion a été avalisé à la Conférence de Salamanque (UNESCO 1994), et sa mise en oeuvre est décrite comme « une réforme qui appuie et accueille favorablement la diversité de tous les apprenants » (UNESCO 2001). En France, la loi du 11 février 2005 a introduit une évolution majeure dans le traitement social des personnes handicapées. L’éducation inclusive dans son paradigme appelle à une prise en compte de la complexité de l’humain et des institutions auxquelles il appartient. La présente recherche tend à rendre compte de certains aspects de cette complexité en mettant au jour les représentations et les pratiques d’inclusion en collège auprès d’élèves en situation de handicap à dominante visible ou invisible et en les mettant en lien avec la construction individuelle et interactionnelle de ces adolescents. Quatre dimensions ont été étudiées à partir de la situation de cinq élèves en situation de handicap à dominante visible ou invisible. Le contexte scolaire est le premier niveau : il apporte une structuration objective au processus d’inclusion par la présence d’un dispositif, d’une organisation et de personnes investies dans ce projet. Les représentations du handicap et les pratiques pédagogiques des enseignants sont interrogées dans le deuxième niveau. Le troisième niveau est celui des pairs des élèves en situation de handicap, où ont été questionnés les réseaux socio-affectifs des classes. Enfin, le quatrième niveau concerne la dimension individuelle des cinq élèves. Les résultats de cette recherche de type ethnographique indiquent que la structuration du contexte inclusif a une influence sur la représentation du handicap activée : plus elle est visible car portée par un dispositif et des personnels qui lui sont dédiés, plus la représentation du handicap est riche. Le noyau de la représentation du handicap chez les enseignants (constitué des éléments « monstre », « mort », « handicap physique », « fauteuil roulant » et « autisme ») est identique à celui rencontré dans la population générale, avec une variation spécifique professionnelle (« dyslexie ») entrant dans le champ de la réparation possible du handicap. Lorsque la structuration de l’inclusion est humainement investie, une représentation dite « de reliance » intègre les différents niveaux antérieurs de la représentation et y intègre la situation de handicap. En ce sens, elle est évoluée car elle prend en considération les dernières avancées sociétales en la matière ; on peut la penser aussi transitoire, au même titre que la forme actuelle de l’Éducation inclusive. Des archétypes sont sous-jacents à ces représentations et diffèrent selon la visibilité (où l’archétype activé est celui du monstre et de l’altérité fondamentale) ou l’invisibilité du handicap (où l’archétype activé est celui de l’étranger et de l’inconnaissable), cette notion faisant le lien entre la perception et la représentation dans la dimension intrapsychique de l’individu. Les représentations peuvent évoluer par mise au jour, acceptation et intégration de ses différentes composantes d’une part, par l’expérience concrète discutée et réfléchie du processus inclusif par ses acteurs d’autre part. Ceci induit alors une co-construction entre les différents partenaires et la nécessité de formation pour accéder à une compréhension des singularités des élèves porteurs d’altérité dans l’objectif d’identifier et de répondre à leurs besoins éducatifs particuliers. En ligne : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02117112v2/document Format de la ressource électronique : Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=260009 Exemplaires
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[article]
Titre : L'image et la vérité Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Wajcman, Auteur Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp. 57-71 Note générale : "Désormais, toute image a un sens, c’est-à-dire qu’elle signifie toujours autre chose que ce qu’elle dit et montre. Cela fonde sous nos latitudes la passion de l’image, que Marie-José Mondzain nomme à la lettre, disant que ce qui est propre à l’Occident, c’est « l’appropriation par la pensée chrétienne de la Passion qui déplaça totalement la question de l’expressivité du discours pour le situer au cœur de l’image. La Passion devint le récit qui raconta comment l’image invisible est devenue visible, comment l’image déchue a été sauvée, comment le sacrifice d’un corps a contribué à l’avènement de la chair rédimée ». Langues : Français (fre) Mots-clés : vérité image illusion invisible visible 20e siècle irreprésentable absence horreur Lacan psychanalyse chambres à gaz art Résumé : Il y avait une vérité platonicienne de l'image : une illusion qui dit qu'elle est une illusion. Il ya vait une vérité chrétienne de l'imge : l'invisible devenu visible. Une autre vérité est surgie au XXè siècle : ce qui fonde l'image, c'est l'irreprésentable, absence ou horreur. Lacan a formulé ça pour la psychanalyse : le secret de l'image c'est la castration. Cette vérité a eu un nom dans le siècle : les chambres à gaz. L'art a pris en charge cette vérité.[résumé d'éditeur] Note de contenu : "Ce sur quoi je veux insister, c’est que la question de l’irreprésentable n’emporte absolument pas une pensée sur la fin de la représentation. Si on parle des chambres à gaz et d’extermination irreprésentables, cela veut dire que nulle image, nul récit ne seraient à sa mesure parce que le réel est en excès sur tout dire et tout visible. Mais si, dans la Shoah, rien n’a eu lieu que « l’horreur du rien » (Lacoue-Labarthe), il ne s’ensuit pas l’anéantissement de la représentation, que toute représentation, quelle que soit la manière de l’entendre, serait périmée. L’absence, le manque ou la disparition – pour reprendre le titre du roman de Perec, à qui toutes ces questions étaient tout sauf étrangères – ne se soustraient pas à la logique de la représentation. La représentation retrouve son sens premier : non pas une reproduction, elle-même soumise aux limites d’un « point de vue », mais un geste qui fait venir à la présence, une présentation. Ce que je peux ajouter, c’est que l’objet dont je parle, comme positivation du manque, c’est celui-là même que la psychanalyse définit comme objet.
31Cependant, en ce qui concerne ce qu’on nomme l’objet, tout cela relance la réflexion sur le visible et la vérité des images parce que, comme le souligne Rancière, pour Godard, l’image est empreinte de la présence. En quoi on retrouve ici l’idée que l’image est retendue par quelque chose. Mais traiter l’image comme empreinte de la présence, l’idée que ce sont les « icônes de la présence » que le cinéma « projette » (Rancière), si cela s’oppose à la fiction illusionniste, c’est par une voie que je tiens donc pour religieuse. C’est-à-dire qu’il y en a une autre qui est, en un sens, la voie moderne comme telle, soit ce que Rancière appelle « l’illusionnisme revendiqué » et qui consiste dans une « célébration purement humaine de l’artifice », soit un artifice montré comme artifice. Ce serait l’idée mallarméenne d’une fiction déliée du symbole, de la ressemblance et de l’incarnation, déliée donc en ce sens de toute religiosité.
32L’art du xxe siècle, je le désignerais comme un art anti-transposition, ce dont on peut garder les initiales : un art at. L’art du xxe siècle serait un art qui montrerait non plus l’empreinte de la présence, mais l’empreinte de l’absence, qui montrerait l’absence de l’au-delà – ce qui ne revient pas au même que l’absence d’au-delà, que la platitude du plan, mais qui donne l’absence comme vérité et cause positives de la représentation."En ligne : https://www.cairn.info/revue-savoirs-et-cliniques-2003-2-page-57.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=270979
in Savoirs et clinique : revue de psychanalyse > n°3 (2003) . - pp. 57-71[article] L'image et la vérité [texte imprimé] / Gérard Wajcman, Auteur . - 2003 . - pp. 57-71.
"Désormais, toute image a un sens, c’est-à-dire qu’elle signifie toujours autre chose que ce qu’elle dit et montre. Cela fonde sous nos latitudes la passion de l’image, que Marie-José Mondzain nomme à la lettre, disant que ce qui est propre à l’Occident, c’est « l’appropriation par la pensée chrétienne de la Passion qui déplaça totalement la question de l’expressivité du discours pour le situer au cœur de l’image. La Passion devint le récit qui raconta comment l’image invisible est devenue visible, comment l’image déchue a été sauvée, comment le sacrifice d’un corps a contribué à l’avènement de la chair rédimée ».
Langues : Français (fre)
in Savoirs et clinique : revue de psychanalyse > n°3 (2003) . - pp. 57-71
Mots-clés : vérité image illusion invisible visible 20e siècle irreprésentable absence horreur Lacan psychanalyse chambres à gaz art Résumé : Il y avait une vérité platonicienne de l'image : une illusion qui dit qu'elle est une illusion. Il ya vait une vérité chrétienne de l'imge : l'invisible devenu visible. Une autre vérité est surgie au XXè siècle : ce qui fonde l'image, c'est l'irreprésentable, absence ou horreur. Lacan a formulé ça pour la psychanalyse : le secret de l'image c'est la castration. Cette vérité a eu un nom dans le siècle : les chambres à gaz. L'art a pris en charge cette vérité.[résumé d'éditeur] Note de contenu : "Ce sur quoi je veux insister, c’est que la question de l’irreprésentable n’emporte absolument pas une pensée sur la fin de la représentation. Si on parle des chambres à gaz et d’extermination irreprésentables, cela veut dire que nulle image, nul récit ne seraient à sa mesure parce que le réel est en excès sur tout dire et tout visible. Mais si, dans la Shoah, rien n’a eu lieu que « l’horreur du rien » (Lacoue-Labarthe), il ne s’ensuit pas l’anéantissement de la représentation, que toute représentation, quelle que soit la manière de l’entendre, serait périmée. L’absence, le manque ou la disparition – pour reprendre le titre du roman de Perec, à qui toutes ces questions étaient tout sauf étrangères – ne se soustraient pas à la logique de la représentation. La représentation retrouve son sens premier : non pas une reproduction, elle-même soumise aux limites d’un « point de vue », mais un geste qui fait venir à la présence, une présentation. Ce que je peux ajouter, c’est que l’objet dont je parle, comme positivation du manque, c’est celui-là même que la psychanalyse définit comme objet.
31Cependant, en ce qui concerne ce qu’on nomme l’objet, tout cela relance la réflexion sur le visible et la vérité des images parce que, comme le souligne Rancière, pour Godard, l’image est empreinte de la présence. En quoi on retrouve ici l’idée que l’image est retendue par quelque chose. Mais traiter l’image comme empreinte de la présence, l’idée que ce sont les « icônes de la présence » que le cinéma « projette » (Rancière), si cela s’oppose à la fiction illusionniste, c’est par une voie que je tiens donc pour religieuse. C’est-à-dire qu’il y en a une autre qui est, en un sens, la voie moderne comme telle, soit ce que Rancière appelle « l’illusionnisme revendiqué » et qui consiste dans une « célébration purement humaine de l’artifice », soit un artifice montré comme artifice. Ce serait l’idée mallarméenne d’une fiction déliée du symbole, de la ressemblance et de l’incarnation, déliée donc en ce sens de toute religiosité.
32L’art du xxe siècle, je le désignerais comme un art anti-transposition, ce dont on peut garder les initiales : un art at. L’art du xxe siècle serait un art qui montrerait non plus l’empreinte de la présence, mais l’empreinte de l’absence, qui montrerait l’absence de l’au-delà – ce qui ne revient pas au même que l’absence d’au-delà, que la platitude du plan, mais qui donne l’absence comme vérité et cause positives de la représentation."En ligne : https://www.cairn.info/revue-savoirs-et-cliniques-2003-2-page-57.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=270979
Titre : Dossier accueillir la différence / SUDOC Type de document : document électronique Auteurs : Ceméa (France) , Collectivité éditrice
Mention d'édition : Dossier préparé par la direction de la vie pédagogique / Centres d'entraînement aux méthodes d'éducation active, Direction de la vie pédagogique Editeur : Paris Cedex 18 : CEMÉA Publications, Centres d'Entrainement aux Méthodes d'Education Active Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Education nouvelle et société - Animation - Pédagogie et pratiques d'activités personne handicapée personnes en situation de handicap visible invisible ACM Résumé : Présentation :
Nous avons besoin de faire, d’apprendre, de découvrir, de dépasser nos limites, de manger et de boire, de rencontrer des personnes... et nous faisons cela différemment, selon nos envies, nos possibilités, car nous sommes « merveilleusement uniques ». Certaines personnes font face au quotidien à des difficultés qui nécessitent une aide. Nous parlons des personnes en situation de handicap, visible ou invisible. Les Ceméa défendent l’idée que la personne handicapée est avant tout une personne. Une personne qui a le droit comme tout un chacun d’aller en vacances avec les autres et pas seulement dans des « centres spécifiques rien que pour eux ». Alors pourquoi publions-nous un numéro qui leur est consacré ? Malgré la loi de 2005, étape législative importante de la prise en compte des situations de handicap, beaucoup reste encore à faire. Ainsi, dans le domaine de l’animation, si l’inscription en ACM est rendue non discutable d’un point de vue légal, cela ne signifie pas pour autant l’inclusion de la personne handicapée. Réfléchir à la demande inclusive pose les questions de la place des ACM, la préparation spécifique du séjour (rencontre parents, partenaires), la formation des équipes, le projet pédagogique où l’accueil doit être pensé, les adaptations à prévoir : aménagements... Envisager tout ce qui peut être indispensable à « ces personnes » pour un « vivreensemble » harmonieux. Dans ce dossier, nous proposons quelques réflexions et des témoignages de pratiques qui montrent notre engagement et nos actions concrètes.Note de contenu : SOMMAIRE :
Cadre législatif
• La loi 1905
Accueillir au Quotidien
• Périscolaire et différences
• Tranche de vie
• Tout petits
• L'enfant à la croisée des regards
Références
• Place des loisirs
• Singularités plurielles
• Dynamiques d'intégartion
• La fratrie
Différences en vacances
• Préparer l'accueil
• Accompagner
• Intégrations
• Au risque de l'autonomie
Formation
• Six jours en stages
• Focus sur un BAFA 3
• Nouvelle charte déontologique BAFAEn ligne : http://www.acepp.asso.fr/wp-content/uploads/2018/06/actes_colloqueacepp_handicap [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=228206 Dossier accueillir la différence / SUDOC [document électronique] / Ceméa (France), Collectivité éditrice . - Dossier préparé par la direction de la vie pédagogique / Centres d'entraînement aux méthodes d'éducation active, Direction de la vie pédagogique . - Paris Cedex 18 (24, rue Marc Seguin, 75883) : CEMÉA Publications, Centres d'Entrainement aux Méthodes d'Education Active, 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Education nouvelle et société - Animation - Pédagogie et pratiques d'activités personne handicapée personnes en situation de handicap visible invisible ACM Résumé : Présentation :
Nous avons besoin de faire, d’apprendre, de découvrir, de dépasser nos limites, de manger et de boire, de rencontrer des personnes... et nous faisons cela différemment, selon nos envies, nos possibilités, car nous sommes « merveilleusement uniques ». Certaines personnes font face au quotidien à des difficultés qui nécessitent une aide. Nous parlons des personnes en situation de handicap, visible ou invisible. Les Ceméa défendent l’idée que la personne handicapée est avant tout une personne. Une personne qui a le droit comme tout un chacun d’aller en vacances avec les autres et pas seulement dans des « centres spécifiques rien que pour eux ». Alors pourquoi publions-nous un numéro qui leur est consacré ? Malgré la loi de 2005, étape législative importante de la prise en compte des situations de handicap, beaucoup reste encore à faire. Ainsi, dans le domaine de l’animation, si l’inscription en ACM est rendue non discutable d’un point de vue légal, cela ne signifie pas pour autant l’inclusion de la personne handicapée. Réfléchir à la demande inclusive pose les questions de la place des ACM, la préparation spécifique du séjour (rencontre parents, partenaires), la formation des équipes, le projet pédagogique où l’accueil doit être pensé, les adaptations à prévoir : aménagements... Envisager tout ce qui peut être indispensable à « ces personnes » pour un « vivreensemble » harmonieux. Dans ce dossier, nous proposons quelques réflexions et des témoignages de pratiques qui montrent notre engagement et nos actions concrètes.Note de contenu : SOMMAIRE :
Cadre législatif
• La loi 1905
Accueillir au Quotidien
• Périscolaire et différences
• Tranche de vie
• Tout petits
• L'enfant à la croisée des regards
Références
• Place des loisirs
• Singularités plurielles
• Dynamiques d'intégartion
• La fratrie
Différences en vacances
• Préparer l'accueil
• Accompagner
• Intégrations
• Au risque de l'autonomie
Formation
• Six jours en stages
• Focus sur un BAFA 3
• Nouvelle charte déontologique BAFAEn ligne : http://www.acepp.asso.fr/wp-content/uploads/2018/06/actes_colloqueacepp_handicap [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=228206 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire