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175 - 2018/4 - Biens communs et territoires (Bulletin de Espaces et sociétés : revue critique internationale de l'aménagement, de l'architecture et de l'urbanisation / Cairn.info et Gallica) / Leïla Kebir
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est un bulletin de Espaces et sociétés : revue critique internationale de l'aménagement, de l'architecture et de l'urbanisation / Cairn.info et Gallica / Maurice Blanc
Titre : 175 - 2018/4 - Biens communs et territoires Type de document : document électronique Auteurs : Leïla Kebir, Editeur scientifique ; Stéphane Nahrath, Editeur scientifique ; Frédéric Wallet, Editeur scientifique Année de publication : 2019 Importance : 214 p. Note générale : Le projet scientifique « BIenS COmmuns et TErritoire » (BISCOTE) porte sur le thème émergent des biens communs en tant que nouvelle approche de création et de gestion des ressources urbaines et territoriales.
Le projet se décline en deux volets.
Un volet théorique et conceptuel structuré autour de séminaires et d’échanges entre chercheurs, et avec des praticiens.
Un volet plus empirique et opératoire construit autour de l’identification et de l’analyse de ces « nouveaux communs », et des initiatives y afférant en France et à l’étranger. L’objectif est d’alimenter les débats, de comprendre les logiques et processus à l’œuvre, et surtout d’identifier les difficultés et les bonnes pratiques en la matière.
Que sont ces « nouveaux » biens communs, en quoi consistent-ils concrètement ? Qu’est-ce qui explique leur dynamisme actuel ? Quelles implications ont-ils en termes d’acteurs, de coordination, de gouvernance et de cadre juridique ? En particulier en termes d’équité et de gestion à long terme des objets-ressources concernés ? En quoi participent-ils au développement des territoires, urbains notamment (mais pas seulement) ? En quoi font-ils (ou non) évoluer les approches et conceptions du développement territorial et par là les dispositifs d’action publique?
Les organismes responsables du Projet BISCOTELangues : Français (fre) Mots-clés : BIenS COmmuns TErritoire BISCOTE bien commun Résumé : On observe aujourd’hui une recrudescence d’initiatives fondées sur le concept de biens communs dans le contexte de l’aménagement, de l’urbanisme et du développement des territoires. L’objectif de ce dossier est d’apporter un éclairage sur ce concept (ré-)émergent. En quoi vient-il renouveler les approches en termes d’aménagement ou de développement territorial ? Que révèle son usage à propos de notre société, de l’évolution des approches de la gestion des ressources communes et des territoires ? Quelles sont ses implications en termes de gouvernance, d’inégalités ou dans d’autres domaines encore ? Note de contenu : On observe aujourd’hui une recrudescence d’initiatives fondées sur le concept de « biens communs » dans le contexte de l’aménagement, de l’urbanisme, et du développement des territoires (Urbanisme, 2014). Renvoyant au « bien commun » (au singulier) de la philosophie politique (Thomas d’Aquin), aux « biens communs » (au pluriel) de l’économie publique tout d’abord, puis aux « common pool resources » de l’économie institutionnaliste avec les travaux nobélisés d’Elinor Ostrom, ce concept trouve aujourd’hui un regain d’intérêt. Ces « biens communs », à savoir ces objets à l’usage partagé (l’exclusion en est difficile) et à la gestion en tout ou partie menée par un collectif ou une communauté d’usagers considérés ou auto-déclarés comme légitimes, mobilisent non seulement la communauté scientifique, comme en témoignent les récents ouvrages faisant déjà référence (Coriat, 2015 ; Dardot et Laval, 2014) ainsi que des manifestations scientifiques dédiées, mais aussi les acteurs du développement local au travers de nombreuses initiatives, séminaires, colloques et journées.
La notion est utilisée pour (re)formuler ou (ré)interpréter un certain nombre de problématiques auxquelles sont confrontés différents types de territoires, qu’ils soient caractérisés comme urbains, péri-urbains ou ruraux, à des échelles variées. Des exemples en sont donnés par la transition énergétique avec ses formes de gestion décentralisée, l’aménagement participatif des espaces publics, le développement de l’économie circulaire ou par la redécouverte des vertus des coopératives de logements comme réponse communautaire aux déficits de l’offre aussi bien publique que privée. On peut également citer le déploiement des creative commons, de l’économie sociale et solidaire et de l’économie collaborative qui produisent et mobilisent de manière intensive des biens communs (données urbaines, cadastre en milieu rural, etc.) et qui interrogent l’organisation des territoires en termes de mobilité, accueil de personnes, usages touristiques, entre autres).
Plus particulièrement, le concept de biens communs, s’inspirant de la conception anglo-saxone de la propriété en termes de « faisceaux de droits » (bundle of rights), incite à une ré-interrogation en profondeur – considérée comme salutaire – du régime de propriété privative hérité de la Révolution française et consacré, notamment, dans les codes civils napoléoniens d’Europe continentale. La remise en cause de cette définition relativement rigide de la propriété privative se trouve empiriquement renforcée par le constat de la difficulté de cette dernière à réguler les usages de nombreuses ressources territoriales ou environnementales comme le paysage, la biodiversité, certains types d’espaces publics, le vent, etc., ou comme les nouveaux usages (p. ex. biotechnologiques) des ressources génétiques.
Parallèlement, l’observation des formes empiriques de gestion communautaire de ces biens montre que nombre d’entre elles correspondent en fait à la constitution non pas de « biens communs », mais bien plutôt de « biens de clubs », soit à une appropriation collective sélective, voire exclusive ou, dans le meilleur des cas, à des situations de « clubs ouverts » (open clubs), ce qui pose bien évidemment des problèmes d’équité, tant en ce qui concerne l’accès aux ressources, que le partage des avantages (économiques ou symboliques) qui en sont tirés (Nahrath, 2015).
C’est pourquoi la notion de biens communs mérite d’être interrogée, voire critiquée et mise en perspective, à l’heure où elle est convoquée dans l’aménagement et le développement territorial, souvent pour symboliser une alternative au système de régulation économique dominant, ouvrant la voie vers un développement meilleur (plus durable, plus participatif, etc.). En quoi le concept renouvelle-t-il les approches en termes d’aménagement ou de développement territorial ? Que révèle son usage à propos de notre société, de l’évolution des approches de la gestion des ressources communes et des territoires ? Quelles sont ses implications en termes de gouvernance, d’inégalités ou dans d’autres domaines encore ?
L’objectif de ce dossier est donc d’apporter un éclairage sur ce concept (ré-)émergent en contribuant au renouvellement de la réflexion sur la fabrique des territoires et en mettant en évidence les enjeux (production, mobilisation, usages, gestion, dynamique d’acteurs, etc.). Il s’agira de faire un état des lieux et des débats relatifs à l’usage du concept de « biens communs » en combinant une variété d’approches disciplinaires, des points de vue situés dans différentes parties du monde et des recherches théoriques, conceptuelles et empiriques portant sur ces « nouveaux » biens communs de l’aménagement, de l’urbanisme et du développement actuel des territoires.
Que sont ces « nouveaux biens communs » et/ou ces nouvelles formes de gestion/production territoriale ? Quels sont les biens concernés ? Quelles sont leurs caractéristiques ? Comment les conceptualiser ? Les analyser ? En quoi la notion de biens communs permet-elle de traiter de nouveaux enjeux – ou de revisiter d’anciens enjeux – du développement des territoires ? En quoi contribue-t-elle à renouveler les modèles, méthodes et approches en la matière ?
- Les biens communs ont-il une échelle privilégiée ? Leur gestion collective implique-t-elle nécessairement qu’ils soient circonscrits à une échelle locale ? Peut-on parler, et dans quelles conditions, de biens communs régionaux, nationaux, supra-nationaux ou planétaires et quelles en sont les implications en termes de développement et d’aménagement du territoire ?
- Comment sont-ils gérés ? Par qui ? Quels modes de gouvernance territoriale, de régulation formelle ou informelle s’y rattachent (définition des droits de propriété, des projets de territoires et des collectifs d’acteurs concernés, etc.) ? Quels niveaux institutionnels et géographiques sont concernés ? En quoi remettent-ils en cause les formes d’organisation actuelles ? Modifient-ils la place et le rôle de certains acteurs ou groupes sociaux au détriment d’autres ?
- Comment s’articulent les biens communs matériels (fonciers) et immatériels (cognitifs) dans les projets urbains et/ou les démarches de gestion territoriale des ressources environnementales ? Quel est le rôle des pouvoirs publics et/ou des organisations de gestion communautaire ? Quelle place ces « nouveaux biens communs » peuvent-ils prendre dans les politiques publiques ?
- En quoi la prise en compte des biens communs renouvelle-t-elle les modèles de développement des territoires ?
Par ailleurs, une place pourra être faite pour des articles de cadrage ou portant un regard renouvelé sur des biens communs plus « classiques » (pâturages, pêcheries, systèmes d’irrigation, eau, forêts, etc.).
Références bibliographiques
Coriat, B. 2015. Le retour des communs : la crise de l’idéologie propriétaire, Paris, Éditions Les Liens qui libèrent.
Dardot, P. et Laval, C. 2015. Commun : essai sur la révolution au xxie siècle, Paris, La Découverte.
Nahrath, S. 2015. « Bien commun » dans D. Bourg et A. Papaux (sous la dir. de), Dictionnaire de la pensée écologique, Paris, Presses universitaires de France.
Urbanisme 2014. À la recherche du bien commun territorial, no 52 HS.En ligne : https://www-cairn-info.proxy.scd.univ-tours.fr/revue-espaces-et-societes-2018-4. [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=51851 [n° ou bulletin]175 - 2018/4 - Biens communs et territoires [document électronique] / Leïla Kebir, Editeur scientifique ; Stéphane Nahrath, Editeur scientifique ; Frédéric Wallet, Editeur scientifique . - 2019 . - 214 p.
est un bulletin de Espaces et sociétés : revue critique internationale de l'aménagement, de l'architecture et de l'urbanisation / Cairn.info et Gallica / Maurice Blanc
Le projet scientifique « BIenS COmmuns et TErritoire » (BISCOTE) porte sur le thème émergent des biens communs en tant que nouvelle approche de création et de gestion des ressources urbaines et territoriales.
Le projet se décline en deux volets.
Un volet théorique et conceptuel structuré autour de séminaires et d’échanges entre chercheurs, et avec des praticiens.
Un volet plus empirique et opératoire construit autour de l’identification et de l’analyse de ces « nouveaux communs », et des initiatives y afférant en France et à l’étranger. L’objectif est d’alimenter les débats, de comprendre les logiques et processus à l’œuvre, et surtout d’identifier les difficultés et les bonnes pratiques en la matière.
Que sont ces « nouveaux » biens communs, en quoi consistent-ils concrètement ? Qu’est-ce qui explique leur dynamisme actuel ? Quelles implications ont-ils en termes d’acteurs, de coordination, de gouvernance et de cadre juridique ? En particulier en termes d’équité et de gestion à long terme des objets-ressources concernés ? En quoi participent-ils au développement des territoires, urbains notamment (mais pas seulement) ? En quoi font-ils (ou non) évoluer les approches et conceptions du développement territorial et par là les dispositifs d’action publique?
Les organismes responsables du Projet BISCOTE
Langues : Français (fre)
Mots-clés : BIenS COmmuns TErritoire BISCOTE bien commun Résumé : On observe aujourd’hui une recrudescence d’initiatives fondées sur le concept de biens communs dans le contexte de l’aménagement, de l’urbanisme et du développement des territoires. L’objectif de ce dossier est d’apporter un éclairage sur ce concept (ré-)émergent. En quoi vient-il renouveler les approches en termes d’aménagement ou de développement territorial ? Que révèle son usage à propos de notre société, de l’évolution des approches de la gestion des ressources communes et des territoires ? Quelles sont ses implications en termes de gouvernance, d’inégalités ou dans d’autres domaines encore ? Note de contenu : On observe aujourd’hui une recrudescence d’initiatives fondées sur le concept de « biens communs » dans le contexte de l’aménagement, de l’urbanisme, et du développement des territoires (Urbanisme, 2014). Renvoyant au « bien commun » (au singulier) de la philosophie politique (Thomas d’Aquin), aux « biens communs » (au pluriel) de l’économie publique tout d’abord, puis aux « common pool resources » de l’économie institutionnaliste avec les travaux nobélisés d’Elinor Ostrom, ce concept trouve aujourd’hui un regain d’intérêt. Ces « biens communs », à savoir ces objets à l’usage partagé (l’exclusion en est difficile) et à la gestion en tout ou partie menée par un collectif ou une communauté d’usagers considérés ou auto-déclarés comme légitimes, mobilisent non seulement la communauté scientifique, comme en témoignent les récents ouvrages faisant déjà référence (Coriat, 2015 ; Dardot et Laval, 2014) ainsi que des manifestations scientifiques dédiées, mais aussi les acteurs du développement local au travers de nombreuses initiatives, séminaires, colloques et journées.
La notion est utilisée pour (re)formuler ou (ré)interpréter un certain nombre de problématiques auxquelles sont confrontés différents types de territoires, qu’ils soient caractérisés comme urbains, péri-urbains ou ruraux, à des échelles variées. Des exemples en sont donnés par la transition énergétique avec ses formes de gestion décentralisée, l’aménagement participatif des espaces publics, le développement de l’économie circulaire ou par la redécouverte des vertus des coopératives de logements comme réponse communautaire aux déficits de l’offre aussi bien publique que privée. On peut également citer le déploiement des creative commons, de l’économie sociale et solidaire et de l’économie collaborative qui produisent et mobilisent de manière intensive des biens communs (données urbaines, cadastre en milieu rural, etc.) et qui interrogent l’organisation des territoires en termes de mobilité, accueil de personnes, usages touristiques, entre autres).
Plus particulièrement, le concept de biens communs, s’inspirant de la conception anglo-saxone de la propriété en termes de « faisceaux de droits » (bundle of rights), incite à une ré-interrogation en profondeur – considérée comme salutaire – du régime de propriété privative hérité de la Révolution française et consacré, notamment, dans les codes civils napoléoniens d’Europe continentale. La remise en cause de cette définition relativement rigide de la propriété privative se trouve empiriquement renforcée par le constat de la difficulté de cette dernière à réguler les usages de nombreuses ressources territoriales ou environnementales comme le paysage, la biodiversité, certains types d’espaces publics, le vent, etc., ou comme les nouveaux usages (p. ex. biotechnologiques) des ressources génétiques.
Parallèlement, l’observation des formes empiriques de gestion communautaire de ces biens montre que nombre d’entre elles correspondent en fait à la constitution non pas de « biens communs », mais bien plutôt de « biens de clubs », soit à une appropriation collective sélective, voire exclusive ou, dans le meilleur des cas, à des situations de « clubs ouverts » (open clubs), ce qui pose bien évidemment des problèmes d’équité, tant en ce qui concerne l’accès aux ressources, que le partage des avantages (économiques ou symboliques) qui en sont tirés (Nahrath, 2015).
C’est pourquoi la notion de biens communs mérite d’être interrogée, voire critiquée et mise en perspective, à l’heure où elle est convoquée dans l’aménagement et le développement territorial, souvent pour symboliser une alternative au système de régulation économique dominant, ouvrant la voie vers un développement meilleur (plus durable, plus participatif, etc.). En quoi le concept renouvelle-t-il les approches en termes d’aménagement ou de développement territorial ? Que révèle son usage à propos de notre société, de l’évolution des approches de la gestion des ressources communes et des territoires ? Quelles sont ses implications en termes de gouvernance, d’inégalités ou dans d’autres domaines encore ?
L’objectif de ce dossier est donc d’apporter un éclairage sur ce concept (ré-)émergent en contribuant au renouvellement de la réflexion sur la fabrique des territoires et en mettant en évidence les enjeux (production, mobilisation, usages, gestion, dynamique d’acteurs, etc.). Il s’agira de faire un état des lieux et des débats relatifs à l’usage du concept de « biens communs » en combinant une variété d’approches disciplinaires, des points de vue situés dans différentes parties du monde et des recherches théoriques, conceptuelles et empiriques portant sur ces « nouveaux » biens communs de l’aménagement, de l’urbanisme et du développement actuel des territoires.
Que sont ces « nouveaux biens communs » et/ou ces nouvelles formes de gestion/production territoriale ? Quels sont les biens concernés ? Quelles sont leurs caractéristiques ? Comment les conceptualiser ? Les analyser ? En quoi la notion de biens communs permet-elle de traiter de nouveaux enjeux – ou de revisiter d’anciens enjeux – du développement des territoires ? En quoi contribue-t-elle à renouveler les modèles, méthodes et approches en la matière ?
- Les biens communs ont-il une échelle privilégiée ? Leur gestion collective implique-t-elle nécessairement qu’ils soient circonscrits à une échelle locale ? Peut-on parler, et dans quelles conditions, de biens communs régionaux, nationaux, supra-nationaux ou planétaires et quelles en sont les implications en termes de développement et d’aménagement du territoire ?
- Comment sont-ils gérés ? Par qui ? Quels modes de gouvernance territoriale, de régulation formelle ou informelle s’y rattachent (définition des droits de propriété, des projets de territoires et des collectifs d’acteurs concernés, etc.) ? Quels niveaux institutionnels et géographiques sont concernés ? En quoi remettent-ils en cause les formes d’organisation actuelles ? Modifient-ils la place et le rôle de certains acteurs ou groupes sociaux au détriment d’autres ?
- Comment s’articulent les biens communs matériels (fonciers) et immatériels (cognitifs) dans les projets urbains et/ou les démarches de gestion territoriale des ressources environnementales ? Quel est le rôle des pouvoirs publics et/ou des organisations de gestion communautaire ? Quelle place ces « nouveaux biens communs » peuvent-ils prendre dans les politiques publiques ?
- En quoi la prise en compte des biens communs renouvelle-t-elle les modèles de développement des territoires ?
Par ailleurs, une place pourra être faite pour des articles de cadrage ou portant un regard renouvelé sur des biens communs plus « classiques » (pâturages, pêcheries, systèmes d’irrigation, eau, forêts, etc.).
Références bibliographiques
Coriat, B. 2015. Le retour des communs : la crise de l’idéologie propriétaire, Paris, Éditions Les Liens qui libèrent.
Dardot, P. et Laval, C. 2015. Commun : essai sur la révolution au xxie siècle, Paris, La Découverte.
Nahrath, S. 2015. « Bien commun » dans D. Bourg et A. Papaux (sous la dir. de), Dictionnaire de la pensée écologique, Paris, Presses universitaires de France.
Urbanisme 2014. À la recherche du bien commun territorial, no 52 HS.En ligne : https://www-cairn-info.proxy.scd.univ-tours.fr/revue-espaces-et-societes-2018-4. [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=51851 ContientExemplaires
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Transition écologique et numérique. Vers des territoires communs ? / Victor Petit in Revue d'économie régionale et urbaine / Cairn.info, 2017-5 (déc. 2017)
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[article]
Titre : Transition écologique et numérique. Vers des territoires communs ? Type de document : document électronique Auteurs : Victor Petit Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 797-818 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : INFORMATION AND COMMUNICATION TECHNOLOGY TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION IMPACT SUR L'ENVIRONNEMENT COMMONS BIEN COMMUN TERRITORY TERRITOIRE DEVELOPPEMENT LOCAL ET REGIONAL Territoire généralités Economie Régionale et Spatiale Aménagement du Territoire ENERGIE RENOUVELABLE TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION numérique ENERGIES RENOUVELABLES biens communs commun communs Résumé : Cet article se propose de réfléchir à la possibilité de réunir transition numérique et transition écologique, tout en prenant acte du fait que l’impact environnemental des Tic est désastreux. Une opposition conceptuelle sera proposée (écologie de l’environnement/écologie du milieu) dans le but d’éclairer l’ambivalence du rapport entre Tic et écologie. Le but de cet article est de donner à lire l’engouement actuel pour les « communs » comme la possibilité de relier ces deux transitions. À travers un certain nombre d’exemples, nous montrerons que la dynamique qui s’opère autour de ce concept est susceptible de devenir le milieu d’une expérimentation territoriale inédite. En ligne : https://www.cairn.info/revue-d-economie-regionale-et-urbaine-2017-5-p-797.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=202616
in Revue d'économie régionale et urbaine / Cairn.info > 2017-5 (déc. 2017) . - p. 797-818[article] Transition écologique et numérique. Vers des territoires communs ? [document électronique] / Victor Petit . - 2017 . - p. 797-818.
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Français (fre)
in Revue d'économie régionale et urbaine / Cairn.info > 2017-5 (déc. 2017) . - p. 797-818
Mots-clés : INFORMATION AND COMMUNICATION TECHNOLOGY TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION IMPACT SUR L'ENVIRONNEMENT COMMONS BIEN COMMUN TERRITORY TERRITOIRE DEVELOPPEMENT LOCAL ET REGIONAL Territoire généralités Economie Régionale et Spatiale Aménagement du Territoire ENERGIE RENOUVELABLE TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION numérique ENERGIES RENOUVELABLES biens communs commun communs Résumé : Cet article se propose de réfléchir à la possibilité de réunir transition numérique et transition écologique, tout en prenant acte du fait que l’impact environnemental des Tic est désastreux. Une opposition conceptuelle sera proposée (écologie de l’environnement/écologie du milieu) dans le but d’éclairer l’ambivalence du rapport entre Tic et écologie. Le but de cet article est de donner à lire l’engouement actuel pour les « communs » comme la possibilité de relier ces deux transitions. À travers un certain nombre d’exemples, nous montrerons que la dynamique qui s’opère autour de ce concept est susceptible de devenir le milieu d’une expérimentation territoriale inédite. En ligne : https://www.cairn.info/revue-d-economie-regionale-et-urbaine-2017-5-p-797.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=202616 Musées et droits culturels [Rennes, les Champs Libres - musée de Bretagne, 8 février 2019] / Juliette Raoul-Duval
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Titre : Musées et droits culturels [Rennes, les Champs Libres - musée de Bretagne, 8 février 2019] Type de document : document électronique Auteurs : Juliette Raoul-Duval, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : ICOM France Année de publication : 2019 Importance : 90 p. Format : ISBN/ISSN/EAN : 978-2-95644563-6-0 Note générale : Un enjeu de réflexion pour le secteur muséal françaisLa thématique des droits culturels trouve largement écho au sein des principes fondateurs de l’ICOM. Dès l’origine, sa mission a été définie dans une perspective de promotion du patrimoine naturel et culturel dans un cadre universel, au service de la société et de son développement. Son code de déontologie en est le reflet.L’année européenne du patrimoine culturel en 2018 a constitué une occasion d’actualiser les exigences des droits culturels avec les enjeux de diversité culturelle et de dialogue interculturel ; cette thématique questionne également la notion de patrimoine comme ressource à connaitre, à s’approprier et à partager.Les droits culturels font aussi écho à d’autres démarches engagées de longue date dans le champ des musées, à la Convention de Faro sur la valeur du patrimoine culturel pour la société du Conseil de l’Europe (2005) ou à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel adoptée par l’Unesco en 2003 et figurent explici-tement dans la loi française (loi NoTRE).À Rennes, la journée d’étude co-organisée par ICOM France et les Champs Libres - musée de Bretagne visera à donner des clés de lecture théorique de cette notion encore trop méconnue des profes-sionnels, puis à engager l’échange sur les pratiques de chacun. De manière concrète, il s’agit aussi de relire ensemble notre code de déontologie par le prisme des droits culturels.Cette thématique des droits culturels permet de questionner l’éco-système muséal, depuis le processus d’acquisition jusqu’à la gouver-nance en passant par l’implication des publics.Lors de notre journée du 8 février 2019, il sera question de « biens communs » appliqués aux contextes muséaux : cette approche est-elle partagée par l’ensemble de la communauté muséale ? Comment se constitue le patrimoine muséal ? Comment le diffuser, le valoriser ? Un enjeu de réflexion pour le territoire : l’adéquation du thème proposé avec les politiques culturelles métropolitaines et régionalesLe thème proposé entre également en résonance avec l’ambition de Rennes et de la Bretagne de décliner dans leurs propres politiques culturelles ce principe de droits culturels. L’enjeu pour la ville de Rennes et la métropole est d’accompagner une meilleure appréhen-sion des droits culturels pour leur mise en œuvre. Partenaires publics et acteurs du territoire ont la volonté́ de développer une gouvernance en phase avec les droits culturels.Cette journée pourra ainsi nourrir le cycle de formation et de recherche-action développé par la région Bretagne, le département d’Ille-et-Vilaine, Rennes Métropole, la Ville de Rennes et le CNFPT avec la participation du Réseau culture 21. Mots-clés : Musées démocratie culturelle méthodologie déconstruction droits culturels musée libertés culturelles responsabilités culturelles communs accès à la culture patrimoine naturel matériel culturel humain relation participation communauté d'oeuvres égalité réciprocité publics cultures savoirs accompagnement parcours mathière forme réseau d'approvisionnement collection intérêt national hyper-lieu,third-place acteur acteurs biens communs enjeu enjeux responsabilisation citoyen citoyens muséal terminologie Métropole partenaires citoyenne Transdisciplinarité critères gratuité collections permanentes expositions temporaires discriminations communauté culturelle communautés culturelles frontière frontières vie culturelle invariantsinvariant concertation visite droit au travail droits résistance changement alimentation management fait culturel total café débit débits boisson marin marins bistrot bistrots embarquement femme bristrotière muséologie invlusion inclusif bénévole bénévoles enquête enquêtes enquêteurs association associations collectif inclusive formation ethnologie ethnologues transgénérationnel échanges réciproques projet vidéaste session sessions équipe équipes accompagnant démarche horizontale rencontre-débat rencontres-débats intimé intimité question sociale tabou ramifications imaginaire imagination expérience personne personnes recopié transmission story-scape Résumé : Le 8 février 2019, Icom France et les Champs Libres - musée de Bretagne, ont co-organisé à Rennes une journée d'étude qui visait à donner des clés de lecture théorique de la notion de droits culturels, puis à engager l'échange sur les pratiques de chacun. De manière concrète, il s'agissait de relire le Code de déontologie de l’Icom par le prisme des droits culturels et de questionner l’écosystème muséal qui en découle, depuis le processus d’acquisition jusqu’à la gouvernance en passant par l’implication des publics. Le présent ouvrage propose une synthèse de cette rencontre qui a réuni des experts des droits culturels, des professionnels de musées français et des acteurs du champ muséal international. Note de contenu : Sommaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .PROPOS DE LA JOURNÉE...................p.7OUVERTURES OFFICIELLES.................p.13Céline Chanas, directrice du musée de BretagneBenoît Careil, adjoint délégué à la culture de la Ville de RennesJuliette Raoul-Duval, présidente d’ICOM FranceSESSION 1 - COMMENT DÉFINIR LES DROITS CULTURELS ? .................p.23Le droit au patrimoine, une obligation communePatrice Meyer-Bisch, philosophe, président de l’Observatoire de la diversité et des droits culturels, coordinateur de la chaire Unesco pour les droits de l’Homme et la Démocratie, Fribourg (Suisse)Droits de l’Homme et droits de l’œuvre – L’espace de portée sociale des musées et des objets de collectionGabi Dolff-Bonekämper, historienne de l’art, ancienne conservatrice du Mur de Berlin, titulaire de la chaire d’études de Conservation et de patrimoine urbain à l’Institut de planification urbaine et régionale de l’Université Technique de Berlin
MUSÉES ET DROITS CULTURELSSESSION 2 – LES DROITS CULTURELS DANS LES PROJETS DES MUSÉES ............p.41Table rondeavec Léna Boisard Le Coat, doctorante à l’Université de Nantes, en convention CIFRE avec la Région Bretagne Candice Runderkamp, chargée des collections du Musée alsacien de Strasbourg Mathilde Schneider, directrice des musées Beauvoisine (musée des Antiquités et Muséum d’histoire naturelle) Simon Gauchet, artiste, École parallèle imaginaire (Rennes) Kelig-Yann Cotto, directeur du Port-Musée de DouarnenezModératrices : Céline Chanas, directrice du musée de Bretagne, et Gabi Dolff-Bonekämper, historienne de l’art.SESSION 3 – LE CODE DE DÉONTOLOGIE DE LICOM : UNE APPROCHE INTERNATIONALE DES DROITS CULTURELS ? .................p.63Le rôle des institutions muséales dans l’émergence et la reconnaissance des droits culturels : théorie, pratique et perspectivesIsabelle Anatole-Gabriel, cheffe de l’unité Europe et Amérique du Nord au Centre du patrimoine mondial de l’Unesco.Le Code de Déontologie de l’ICOM, culture commune des professionnels de muséeJohannes Beltz, membre d’ETHCOM, directeur adjoint du musée Rietberg, ZürichEn ligne : https://www.icom-musees.fr/ressources/musees-et-droits-culturels-0 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=244698 Musées et droits culturels [Rennes, les Champs Libres - musée de Bretagne, 8 février 2019] [document électronique] / Juliette Raoul-Duval, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : ICOM France, 2019 . - 90 p. ; PDF.
ISSN : 978-2-95644563-6-0
Un enjeu de réflexion pour le secteur muséal françaisLa thématique des droits culturels trouve largement écho au sein des principes fondateurs de l’ICOM. Dès l’origine, sa mission a été définie dans une perspective de promotion du patrimoine naturel et culturel dans un cadre universel, au service de la société et de son développement. Son code de déontologie en est le reflet.L’année européenne du patrimoine culturel en 2018 a constitué une occasion d’actualiser les exigences des droits culturels avec les enjeux de diversité culturelle et de dialogue interculturel ; cette thématique questionne également la notion de patrimoine comme ressource à connaitre, à s’approprier et à partager.Les droits culturels font aussi écho à d’autres démarches engagées de longue date dans le champ des musées, à la Convention de Faro sur la valeur du patrimoine culturel pour la société du Conseil de l’Europe (2005) ou à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel adoptée par l’Unesco en 2003 et figurent explici-tement dans la loi française (loi NoTRE).À Rennes, la journée d’étude co-organisée par ICOM France et les Champs Libres - musée de Bretagne visera à donner des clés de lecture théorique de cette notion encore trop méconnue des profes-sionnels, puis à engager l’échange sur les pratiques de chacun. De manière concrète, il s’agit aussi de relire ensemble notre code de déontologie par le prisme des droits culturels.Cette thématique des droits culturels permet de questionner l’éco-système muséal, depuis le processus d’acquisition jusqu’à la gouver-nance en passant par l’implication des publics.Lors de notre journée du 8 février 2019, il sera question de « biens communs » appliqués aux contextes muséaux : cette approche est-elle partagée par l’ensemble de la communauté muséale ? Comment se constitue le patrimoine muséal ? Comment le diffuser, le valoriser ? Un enjeu de réflexion pour le territoire : l’adéquation du thème proposé avec les politiques culturelles métropolitaines et régionalesLe thème proposé entre également en résonance avec l’ambition de Rennes et de la Bretagne de décliner dans leurs propres politiques culturelles ce principe de droits culturels. L’enjeu pour la ville de Rennes et la métropole est d’accompagner une meilleure appréhen-sion des droits culturels pour leur mise en œuvre. Partenaires publics et acteurs du territoire ont la volonté́ de développer une gouvernance en phase avec les droits culturels.Cette journée pourra ainsi nourrir le cycle de formation et de recherche-action développé par la région Bretagne, le département d’Ille-et-Vilaine, Rennes Métropole, la Ville de Rennes et le CNFPT avec la participation du Réseau culture 21.
Mots-clés : Musées démocratie culturelle méthodologie déconstruction droits culturels musée libertés culturelles responsabilités culturelles communs accès à la culture patrimoine naturel matériel culturel humain relation participation communauté d'oeuvres égalité réciprocité publics cultures savoirs accompagnement parcours mathière forme réseau d'approvisionnement collection intérêt national hyper-lieu,third-place acteur acteurs biens communs enjeu enjeux responsabilisation citoyen citoyens muséal terminologie Métropole partenaires citoyenne Transdisciplinarité critères gratuité collections permanentes expositions temporaires discriminations communauté culturelle communautés culturelles frontière frontières vie culturelle invariantsinvariant concertation visite droit au travail droits résistance changement alimentation management fait culturel total café débit débits boisson marin marins bistrot bistrots embarquement femme bristrotière muséologie invlusion inclusif bénévole bénévoles enquête enquêtes enquêteurs association associations collectif inclusive formation ethnologie ethnologues transgénérationnel échanges réciproques projet vidéaste session sessions équipe équipes accompagnant démarche horizontale rencontre-débat rencontres-débats intimé intimité question sociale tabou ramifications imaginaire imagination expérience personne personnes recopié transmission story-scape Résumé : Le 8 février 2019, Icom France et les Champs Libres - musée de Bretagne, ont co-organisé à Rennes une journée d'étude qui visait à donner des clés de lecture théorique de la notion de droits culturels, puis à engager l'échange sur les pratiques de chacun. De manière concrète, il s'agissait de relire le Code de déontologie de l’Icom par le prisme des droits culturels et de questionner l’écosystème muséal qui en découle, depuis le processus d’acquisition jusqu’à la gouvernance en passant par l’implication des publics. Le présent ouvrage propose une synthèse de cette rencontre qui a réuni des experts des droits culturels, des professionnels de musées français et des acteurs du champ muséal international. Note de contenu : Sommaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .PROPOS DE LA JOURNÉE...................p.7OUVERTURES OFFICIELLES.................p.13Céline Chanas, directrice du musée de BretagneBenoît Careil, adjoint délégué à la culture de la Ville de RennesJuliette Raoul-Duval, présidente d’ICOM FranceSESSION 1 - COMMENT DÉFINIR LES DROITS CULTURELS ? .................p.23Le droit au patrimoine, une obligation communePatrice Meyer-Bisch, philosophe, président de l’Observatoire de la diversité et des droits culturels, coordinateur de la chaire Unesco pour les droits de l’Homme et la Démocratie, Fribourg (Suisse)Droits de l’Homme et droits de l’œuvre – L’espace de portée sociale des musées et des objets de collectionGabi Dolff-Bonekämper, historienne de l’art, ancienne conservatrice du Mur de Berlin, titulaire de la chaire d’études de Conservation et de patrimoine urbain à l’Institut de planification urbaine et régionale de l’Université Technique de Berlin
MUSÉES ET DROITS CULTURELSSESSION 2 – LES DROITS CULTURELS DANS LES PROJETS DES MUSÉES ............p.41Table rondeavec Léna Boisard Le Coat, doctorante à l’Université de Nantes, en convention CIFRE avec la Région Bretagne Candice Runderkamp, chargée des collections du Musée alsacien de Strasbourg Mathilde Schneider, directrice des musées Beauvoisine (musée des Antiquités et Muséum d’histoire naturelle) Simon Gauchet, artiste, École parallèle imaginaire (Rennes) Kelig-Yann Cotto, directeur du Port-Musée de DouarnenezModératrices : Céline Chanas, directrice du musée de Bretagne, et Gabi Dolff-Bonekämper, historienne de l’art.SESSION 3 – LE CODE DE DÉONTOLOGIE DE LICOM : UNE APPROCHE INTERNATIONALE DES DROITS CULTURELS ? .................p.63Le rôle des institutions muséales dans l’émergence et la reconnaissance des droits culturels : théorie, pratique et perspectivesIsabelle Anatole-Gabriel, cheffe de l’unité Europe et Amérique du Nord au Centre du patrimoine mondial de l’Unesco.Le Code de Déontologie de l’ICOM, culture commune des professionnels de muséeJohannes Beltz, membre d’ETHCOM, directeur adjoint du musée Rietberg, ZürichEn ligne : https://www.icom-musees.fr/ressources/musees-et-droits-culturels-0 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=244698 Exemplaires
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L'Antarctique : une réserve de paix menacée ? / Marie Hilary in Sciences Ouest : recherche et innovation en Bretagne, 389 (juin 2021)
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Titre : L'Antarctique : une réserve de paix menacée ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Hilary, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 3 Mots-clés : Antarctique géopolitique exploitation minière Biens communs Résumé : Entretien avec Anne Choquet, professeur de droit à Brest Business School et spécialiste des régions polaires, sur la question de la juridiction qui s'applique à l'Antarctique. Ce continent attire de plus en plus les touristes, ce qui fragilise son environnement mais surtout deviendra en 2048, un objet de convoitises pour l'extraction de ressources énergétiques. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=276389
in Sciences Ouest : recherche et innovation en Bretagne > 389 (juin 2021) . - p. 3[article] L'Antarctique : une réserve de paix menacée ? [texte imprimé] / Marie Hilary, Auteur . - 2021 . - p. 3.
in Sciences Ouest : recherche et innovation en Bretagne > 389 (juin 2021) . - p. 3
Mots-clés : Antarctique géopolitique exploitation minière Biens communs Résumé : Entretien avec Anne Choquet, professeur de droit à Brest Business School et spécialiste des régions polaires, sur la question de la juridiction qui s'applique à l'Antarctique. Ce continent attire de plus en plus les touristes, ce qui fragilise son environnement mais surtout deviendra en 2048, un objet de convoitises pour l'extraction de ressources énergétiques. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=276389