
Résultat de la recherche
4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'camp' 




18 - avril 2020 - Les migrants dans l'épidémie : un temps d'épreuves cumulées (Bulletin de De facto) / Annabel Desgrées du Loù
![]()
[n° ou bulletin]
Titre : 18 - avril 2020 - Les migrants dans l'épidémie : un temps d'épreuves cumulées Type de document : texte imprimé Auteurs : Annabel Desgrées du Loù, Editeur scientifique ; Michel Agier (1953-...) , Auteur ; François Héran (1953-...)
, Auteur
Année de publication : 2020 Importance : 56 p. Format : Note générale : Un riche sommaire où des historiens, démographes ou anthropologues, comme Michel Agier, interrogent l’inégalité des vies en temps d’épidémie.
Michel Agier
Lætitia Atlani-Duault
Annabel Desgrées du Loû
François Héran
Antonin Durand
Simeng Wand et le groupe
« Audio, Video, Exprimō»
J’en retiendrai ce court texte titré Voyageurs internationaux ou immigrants, le virus ne fait pas la différence. Toujours aussi attaché à combattre les idées biaisées sur les migrations, François Héran y note que la migration internationale compte pour peu de choses sur l’ensemble de la mobilité internationale. Et il conclut :
« Une fermeture prophylactique des frontières ciblée sur les seuls migrants (européens ou non), n’aurait donc aucun sens, vu leur part minime dans l’ensemble des entrées. Dans notre imaginaire, fermer les frontières, c’est d’abord les fermer aux migrants. Mais le Covid-19 se moque de cette distinction ; il se propage d’un pays à l’autre via les voyageurs de toute sorte, sans se demander s’ils sont migrants. »
Tandis que le quotidien libanais L’Orient-Le Jour s’intéresse au sort des domestiques népalaises ou ghanéennes au temps du difficile confinement avec les familles qui les emploient, Libération publie une tribune-pétition de chercheurs demandant au gouvernement français de s’inspirer de l’exemple portugais, qui régularise temporairement les migrants. « Nous soutenons cette mesure minimale, mais nous appelons à aller plus loin » , écrivent ainsi Didier et Eric Fassin, Michel Agier, Esther Benbassa ou Julia Cagé. « Pour que l’autorisation de séjour ne soit pas qu’un instrument pour déléguer le travail durant la pandémie, il faut que le temporaire devienne permanent. C’est pourquoi nous demandons qu’une carte de résident soit attribuée à toutes les personnes migrantes, afin de leur permettre d’accéder à un travail, et donc à un logement digne. »
« Parmi les milliers de personnes migrantes présentes sur nos territoires, nombreuses sont celles qui ont une formation et une expérience professionnelles dans des domaines variés et dans lesquels les entreprises de l’Union européenne manquent de main-d’œuvre (bâtiment, industrie, agriculture ou restauration, par exemple). Ces compétences et ces expériences, la France et l’UE en auront besoin à la sortie de la crise que nous traversons. Même sans qualification particulière, ces personnes participeront au redressement économique. » Ce qui pousse les signataires à aller plus loin et à s’adresser à l’Union européenne tout entière : « nous demandons la régularisation via une carte de résident de l’ensemble des personnes migrantes actuellement présentes sur le sol français ainsi que dans tous les pays de l’Union européenne. »Langues : Français (fre) Mots-clés : migrants épidémie camp camps campement campements Résumé : "Dans l'urgence et le temps suspendu où nous avons tous pris place, ce numéro spécial de De facto s’est imposé à nous pour donner à voir ce que font aux immigrés le confinement et les bouleversements liés à l’épidémie de Covid-19. Dès le début du confinement, Didier Fassin, anthropologue, soulignait « l’inégalité des vies en temps d’épidémie ». Les personnes en situation de migration font partie de ceux pour qui les temps d’épidémie sont des temps d’épreuves cumulées.
L’hébergement groupé dans les centres de rétention et les campements de rue multiplie les risques sanitaires pour les migrants. Michel Agier en dresse un état des lieux et lance un appel au « désencampement ». Quand on n’a pas de véritable « chez soi », le confinement accroît l’angoisse et l’inconfort comme le rapporte Annabel Desgrées du Loû à propos des femmes immigrées vivant en hôtel sociaux et en centres d’hébergement. En temps d’épidémie, l’étranger est trop facilement assimilé à la menace sanitaire. À partir d’une caricature parue en 1883 dans un journal satirique américain, Antonin Durand rappelle cette vieille histoire de la peur du migrant comme vecteur de diffusion des maladies et de la tentation de la xénophobie quand vient la crise. Pourtant, François Héran montre la très faible part que représentent les entrées de migrants dans la mobilité internationale vers la France, ce qui permet de tordre le coup à l’idée reçue que c’est par les migrants qu’arrivent les maladies. Simeng Wang nous propose une vidéo sur les discriminations vécues par les jeunes Chinois en janvier et février, avant que l’épidémie ne devienne une réalité mondiale. Et c’est bien parce que cette crise COVID-19 secoue tout le corps social que le conseil scientifique mis en place pour guider les autorités comprend deux chercheurs en sciences sociales. Parmi eux, Laetitia Atlani-Duault, fellow de l’Institut Migrations, a pris le temps de répondre à quelques questions posées par François Héran."
Annabel Desgrées du Loû,
responsable scientifiqueNote de contenu : Sommaire :
Personnes migrantes en centres de rétention et campements. Désencamper pour protéger
Michel Agier, anthropologue
Les sciences sociales mobilisées contre la pandémie
Entretien avec Laëtitia Atlani-Duault, anthropologue, par François Héran
Être confinée en hôtel social ou en centre d’hébergement d’urgence
Annabel Desgrées du Loû, démographe
Voyageurs internationaux ou immigrants, le virus ne fait pas la différence
François Héran, démographe
Migrants et épidémies : une vieille histoire
Antonin Durand, historien
Un film contre les discriminations liées au Covid-19 : activisme chez les migrants chinois qualifiés en France
Simeng Wang, sociologue, et le groupe « Audio, Video, Exprimô »
Fil Covid-19 et migrations : initiatives de recherche et prises de position (en pied de page)En ligne : http://icmigrations.fr/defacto/defacto-018/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=55267 [n° ou bulletin] 18 - avril 2020 - Les migrants dans l'épidémie : un temps d'épreuves cumulées [texte imprimé] / Annabel Desgrées du Loù, Editeur scientifique ; Michel Agier (1953-...), Auteur ; François Héran (1953-...)
, Auteur . - 2020 . - 56 p. ; PDF.
Un riche sommaire où des historiens, démographes ou anthropologues, comme Michel Agier, interrogent l’inégalité des vies en temps d’épidémie.
Michel Agier
Lætitia Atlani-Duault
Annabel Desgrées du Loû
François Héran
Antonin Durand
Simeng Wand et le groupe
« Audio, Video, Exprimō»
J’en retiendrai ce court texte titré Voyageurs internationaux ou immigrants, le virus ne fait pas la différence. Toujours aussi attaché à combattre les idées biaisées sur les migrations, François Héran y note que la migration internationale compte pour peu de choses sur l’ensemble de la mobilité internationale. Et il conclut :
« Une fermeture prophylactique des frontières ciblée sur les seuls migrants (européens ou non), n’aurait donc aucun sens, vu leur part minime dans l’ensemble des entrées. Dans notre imaginaire, fermer les frontières, c’est d’abord les fermer aux migrants. Mais le Covid-19 se moque de cette distinction ; il se propage d’un pays à l’autre via les voyageurs de toute sorte, sans se demander s’ils sont migrants. »
Tandis que le quotidien libanais L’Orient-Le Jour s’intéresse au sort des domestiques népalaises ou ghanéennes au temps du difficile confinement avec les familles qui les emploient, Libération publie une tribune-pétition de chercheurs demandant au gouvernement français de s’inspirer de l’exemple portugais, qui régularise temporairement les migrants. « Nous soutenons cette mesure minimale, mais nous appelons à aller plus loin » , écrivent ainsi Didier et Eric Fassin, Michel Agier, Esther Benbassa ou Julia Cagé. « Pour que l’autorisation de séjour ne soit pas qu’un instrument pour déléguer le travail durant la pandémie, il faut que le temporaire devienne permanent. C’est pourquoi nous demandons qu’une carte de résident soit attribuée à toutes les personnes migrantes, afin de leur permettre d’accéder à un travail, et donc à un logement digne. »
« Parmi les milliers de personnes migrantes présentes sur nos territoires, nombreuses sont celles qui ont une formation et une expérience professionnelles dans des domaines variés et dans lesquels les entreprises de l’Union européenne manquent de main-d’œuvre (bâtiment, industrie, agriculture ou restauration, par exemple). Ces compétences et ces expériences, la France et l’UE en auront besoin à la sortie de la crise que nous traversons. Même sans qualification particulière, ces personnes participeront au redressement économique. » Ce qui pousse les signataires à aller plus loin et à s’adresser à l’Union européenne tout entière : « nous demandons la régularisation via une carte de résident de l’ensemble des personnes migrantes actuellement présentes sur le sol français ainsi que dans tous les pays de l’Union européenne. »
Langues : Français (fre)
Mots-clés : migrants épidémie camp camps campement campements Résumé : "Dans l'urgence et le temps suspendu où nous avons tous pris place, ce numéro spécial de De facto s’est imposé à nous pour donner à voir ce que font aux immigrés le confinement et les bouleversements liés à l’épidémie de Covid-19. Dès le début du confinement, Didier Fassin, anthropologue, soulignait « l’inégalité des vies en temps d’épidémie ». Les personnes en situation de migration font partie de ceux pour qui les temps d’épidémie sont des temps d’épreuves cumulées.
L’hébergement groupé dans les centres de rétention et les campements de rue multiplie les risques sanitaires pour les migrants. Michel Agier en dresse un état des lieux et lance un appel au « désencampement ». Quand on n’a pas de véritable « chez soi », le confinement accroît l’angoisse et l’inconfort comme le rapporte Annabel Desgrées du Loû à propos des femmes immigrées vivant en hôtel sociaux et en centres d’hébergement. En temps d’épidémie, l’étranger est trop facilement assimilé à la menace sanitaire. À partir d’une caricature parue en 1883 dans un journal satirique américain, Antonin Durand rappelle cette vieille histoire de la peur du migrant comme vecteur de diffusion des maladies et de la tentation de la xénophobie quand vient la crise. Pourtant, François Héran montre la très faible part que représentent les entrées de migrants dans la mobilité internationale vers la France, ce qui permet de tordre le coup à l’idée reçue que c’est par les migrants qu’arrivent les maladies. Simeng Wang nous propose une vidéo sur les discriminations vécues par les jeunes Chinois en janvier et février, avant que l’épidémie ne devienne une réalité mondiale. Et c’est bien parce que cette crise COVID-19 secoue tout le corps social que le conseil scientifique mis en place pour guider les autorités comprend deux chercheurs en sciences sociales. Parmi eux, Laetitia Atlani-Duault, fellow de l’Institut Migrations, a pris le temps de répondre à quelques questions posées par François Héran."
Annabel Desgrées du Loû,
responsable scientifiqueNote de contenu : Sommaire :
Personnes migrantes en centres de rétention et campements. Désencamper pour protéger
Michel Agier, anthropologue
Les sciences sociales mobilisées contre la pandémie
Entretien avec Laëtitia Atlani-Duault, anthropologue, par François Héran
Être confinée en hôtel social ou en centre d’hébergement d’urgence
Annabel Desgrées du Loû, démographe
Voyageurs internationaux ou immigrants, le virus ne fait pas la différence
François Héran, démographe
Migrants et épidémies : une vieille histoire
Antonin Durand, historien
Un film contre les discriminations liées au Covid-19 : activisme chez les migrants chinois qualifiés en France
Simeng Wang, sociologue, et le groupe « Audio, Video, Exprimô »
Fil Covid-19 et migrations : initiatives de recherche et prises de position (en pied de page)En ligne : http://icmigrations.fr/defacto/defacto-018/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=55267 ContientExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Crip camp : la révolution des éclopés Titre original : Crip Camp : A Disability Revolution Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Nicole Newnham, Metteur en scène, réalisateur ; Jim LeBrecht, Metteur en scène, réalisateur Mention d'édition : mars 2020. Prix du public au prestigieux festival de Sundance. Editeur : Netflix Année de publication : 2020 Autre Editeur : Higher Ground Note générale : Avec Larry Allison, Judith Heumann, James Lebrecht. "ommence par l'histoire d'un camp hippie-handicapés dans les années 60 et couvre les grandes mobilisations des années 70-80 menant à l'ADA en 1990. Des images d'époque impressionnantes, des témoignages d'activistes vraiment pas mal du tout comme introduction "rentre-dedans" et "inspirante"." FC, 18/04/2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : camp colonie vacances handicap handicapés personnes handicapées documentaire mouvement civique ADA Histoire politique américaine Americans with disabilities Act lutte droits civiques camp Jened 1951-1977 Résumé : Le documentaire produit par l’ex-couple présidentiel raconte l’histoire d’une colonie de vacances pour handicapés duquel est parti un mouvement civique pour plus d’égalité. Passionnant.
Ce long-métrage, aussi ambitieux qu'euphorisant, nous plonge dans un camp d'été, aux débuts des années 1970, dans l'Amérique bercée par Woodstock. Au milieu de ses grands espaces entourés de montagnes, des animateurs babas cool s'occupent des handicapés avec des pathologies plus ou moins lourdes, en leur faisant vivre l'esprit libertaire de l'époque. Un vent de liberté qui a poussé à faire naître dans cette colonie de vacances, un mouvement civique qui aboutira, à grands coups de grèves de la faim et de manifestations, à plus d'égalités notamment dans l'accès aux transports et aux bâtiments publics.Note de contenu : « Cette colonie de vacances a changé le monde,pourtant personne ne connait cette histoire » ; "Le monde est rempli d'ordures mais il reste des gens bien à l'image de ceux de Crip Cramp" ; "Le problème n'est pas les handicapés mais ceux qui n'ont pas de handicap". (Twitter, 25/03/2020)
Sur Netflix : “Crip camp”, un documentaire sur la lutte pour les droits des handicapés produit par les Obama / Cécile Marchand Ménard, télérama, 01/04/2020 : "Après avoir raflé l’Oscar du meilleur documentaire pour “American factory”, la société de production du couple Obama revient avec “Crip camp : la révolution des éclopés”, qui raconte l’émergence aux États-Unis de la lutte pour les droits des personnes handicapées. À voir sur Netflix.
Qui aurait cru qu’un camp de vacances pour adolescents deviendrait le point de départ d’une révolution ? C’est pourtant ce pan souvent oublié de l’histoire américaine que Crip camp : la révolution des éclopés met en lumière… À deux pas de Woodstock, Camp Jened a accueilli de 1951 à 1977 des centaines de jeunes en situation de handicap. « Un camp de vacances pour handicapés géré par des hippies », résume Jim LeBrecht, ancien pensionnaire et coréalisateur avec Nicole Newnham du documentaire, lancé par la société de production du couple Obama.
Les archives vidéo et les interviews décrivent les parties de baseball, les flirts, la vie en communauté… mais aussi les échanges nombreux autour du handicap et des difficultés rencontrées au quotidien. Peu à peu, Camp Jened se transforme en agora politique et sème les graines du mouvement. Tout au long des années 1970-1980, dans le sillage de la lutte des droits civiques, une bonne partie des pensionnaires du camp de vacances participe à travers les États-Unis au combat pour la reconnaissance des droits des personnes handicapées. Occupations, grèves de la faim… Un engagement long et difficile, rendu à travers les récits bouleversants de ces jeunes devenus militants."En ligne : http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/tv/crip-camp-le-premier-documentaire-pr [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=241688 Crip camp : la révolution des éclopés = Crip Camp : A Disability Revolution [document projeté ou vidéo] / Nicole Newnham, Metteur en scène, réalisateur ; Jim LeBrecht, Metteur en scène, réalisateur . - mars 2020. Prix du public au prestigieux festival de Sundance. . - [S.l.] : Netflix : [S.l.] : Higher Ground, 2020.
Avec Larry Allison, Judith Heumann, James Lebrecht. "ommence par l'histoire d'un camp hippie-handicapés dans les années 60 et couvre les grandes mobilisations des années 70-80 menant à l'ADA en 1990. Des images d'époque impressionnantes, des témoignages d'activistes vraiment pas mal du tout comme introduction "rentre-dedans" et "inspirante"." FC, 18/04/2020
Langues : Français (fre)
Mots-clés : camp colonie vacances handicap handicapés personnes handicapées documentaire mouvement civique ADA Histoire politique américaine Americans with disabilities Act lutte droits civiques camp Jened 1951-1977 Résumé : Le documentaire produit par l’ex-couple présidentiel raconte l’histoire d’une colonie de vacances pour handicapés duquel est parti un mouvement civique pour plus d’égalité. Passionnant.
Ce long-métrage, aussi ambitieux qu'euphorisant, nous plonge dans un camp d'été, aux débuts des années 1970, dans l'Amérique bercée par Woodstock. Au milieu de ses grands espaces entourés de montagnes, des animateurs babas cool s'occupent des handicapés avec des pathologies plus ou moins lourdes, en leur faisant vivre l'esprit libertaire de l'époque. Un vent de liberté qui a poussé à faire naître dans cette colonie de vacances, un mouvement civique qui aboutira, à grands coups de grèves de la faim et de manifestations, à plus d'égalités notamment dans l'accès aux transports et aux bâtiments publics.Note de contenu : « Cette colonie de vacances a changé le monde,pourtant personne ne connait cette histoire » ; "Le monde est rempli d'ordures mais il reste des gens bien à l'image de ceux de Crip Cramp" ; "Le problème n'est pas les handicapés mais ceux qui n'ont pas de handicap". (Twitter, 25/03/2020)
Sur Netflix : “Crip camp”, un documentaire sur la lutte pour les droits des handicapés produit par les Obama / Cécile Marchand Ménard, télérama, 01/04/2020 : "Après avoir raflé l’Oscar du meilleur documentaire pour “American factory”, la société de production du couple Obama revient avec “Crip camp : la révolution des éclopés”, qui raconte l’émergence aux États-Unis de la lutte pour les droits des personnes handicapées. À voir sur Netflix.
Qui aurait cru qu’un camp de vacances pour adolescents deviendrait le point de départ d’une révolution ? C’est pourtant ce pan souvent oublié de l’histoire américaine que Crip camp : la révolution des éclopés met en lumière… À deux pas de Woodstock, Camp Jened a accueilli de 1951 à 1977 des centaines de jeunes en situation de handicap. « Un camp de vacances pour handicapés géré par des hippies », résume Jim LeBrecht, ancien pensionnaire et coréalisateur avec Nicole Newnham du documentaire, lancé par la société de production du couple Obama.
Les archives vidéo et les interviews décrivent les parties de baseball, les flirts, la vie en communauté… mais aussi les échanges nombreux autour du handicap et des difficultés rencontrées au quotidien. Peu à peu, Camp Jened se transforme en agora politique et sème les graines du mouvement. Tout au long des années 1970-1980, dans le sillage de la lutte des droits civiques, une bonne partie des pensionnaires du camp de vacances participe à travers les États-Unis au combat pour la reconnaissance des droits des personnes handicapées. Occupations, grèves de la faim… Un engagement long et difficile, rendu à travers les récits bouleversants de ces jeunes devenus militants."En ligne : http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/tv/crip-camp-le-premier-documentaire-pr [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=241688 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Praxis inventives et subjectivantes dans les camps d'exilés / Elise Pestre in Nouvelle revue de psychosociologie / Cairn.info, 25 (octobre 2018 - 2018/1)
[article]
Titre : Praxis inventives et subjectivantes dans les camps d'exilés Type de document : texte imprimé Auteurs : Elise Pestre, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 43-60 Langues : Français (fre) Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.10 Psychologie:Cognition:Imagination:Créativité ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Migrant Mots-clés : exil Camp Sublimation Pratiques professionnelles Dispositif Résumé : Les camps d’exilés institués par l’État constituent des dispositifs foucaldiens par excellence où règne le biopouvoir : le contrôle des « populations » s’exerce dans ces espaces d’exception nés de l’urgence. Les sujets exilés qui transitent dans ces « hors-lieux », et ceux qui les prennent en charge, sont dès lors confrontés à une violence qui circule, parfois massive ou sourde, là où le rapport à l’originaire apparaît (ré)actualisé et les vies psychique et pulsionnelle, déliées. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=227483
in Nouvelle revue de psychosociologie / Cairn.info > 25 (octobre 2018 - 2018/1) . - p. 43-60[article] Praxis inventives et subjectivantes dans les camps d'exilés [texte imprimé] / Elise Pestre, Auteur . - 2018 . - p. 43-60.
Langues : Français (fre)
in Nouvelle revue de psychosociologie / Cairn.info > 25 (octobre 2018 - 2018/1) . - p. 43-60
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.10 Psychologie:Cognition:Imagination:Créativité ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Migrant Mots-clés : exil Camp Sublimation Pratiques professionnelles Dispositif Résumé : Les camps d’exilés institués par l’État constituent des dispositifs foucaldiens par excellence où règne le biopouvoir : le contrôle des « populations » s’exerce dans ces espaces d’exception nés de l’urgence. Les sujets exilés qui transitent dans ces « hors-lieux », et ceux qui les prennent en charge, sont dès lors confrontés à une violence qui circule, parfois massive ou sourde, là où le rapport à l’originaire apparaît (ré)actualisé et les vies psychique et pulsionnelle, déliées. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=227483 Nahr-el-Bared (Liban) : reconstruction participative / Benjamin Michelon in Revue Urbanisme / BU de Droit, 374 (Septembre Octobre 2010)
[article]
Titre : Nahr-el-Bared (Liban) : reconstruction participative Type de document : texte imprimé Auteurs : Benjamin Michelon, Auteur ; Julien Grisel, Auteur Année de publication : Septembre Octobre 2010 Article en page(s) : pages 31-34 Langues : Français (fre) Mots-clés : Urbanisme construction camp carte Résumé : Se basant sur des témoignages, cet article propose une lecture critique de la reconstruction du camp de réfugiés palestiniens Nahr-el-Bared au Liban, détruit en 2007. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=106864
in Revue Urbanisme / BU de Droit > 374 (Septembre Octobre 2010) . - pages 31-34[article] Nahr-el-Bared (Liban) : reconstruction participative [texte imprimé] / Benjamin Michelon, Auteur ; Julien Grisel, Auteur . - Septembre Octobre 2010 . - pages 31-34.
Langues : Français (fre)
in Revue Urbanisme / BU de Droit > 374 (Septembre Octobre 2010) . - pages 31-34
Mots-clés : Urbanisme construction camp carte Résumé : Se basant sur des témoignages, cet article propose une lecture critique de la reconstruction du camp de réfugiés palestiniens Nahr-el-Bared au Liban, détruit en 2007. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=106864