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Titre : Sociologie de la consommation Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Herpin (1942-...), Auteur Mention d'édition : Nouv. éd. Editeur : Paris : Éditions La Découverte Année de publication : 2004 Collection : Repères (François Maspero) Sous-collection : Série Sociologie num. 319 Importance : 122 p. Format : 19 x 12 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-4296-2 Prix : 9,50 Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Mots-clés : CONSOMMATION DES MENAGES INEGALITE SOCIALE CONDITIONS DE VIE QUALITE DE LA VIE CLASSE SOCIALE CLASSE POPULAIRE BOURGEOISIE SHS pays et peuples loisirs et arts du spectacle comportements économiques société de consommation qualité de la vie sociologie économique comportement du consommateur consommation classe sociale voyages et tourisme pratiques sociales et culturelles CULTURE POPULAIRE PUBLICITE TOURISME MODE SOCIOLOGIE ECONOMIE Index. décimale : C-40 Inégalités matérielles - revenus - consommation Résumé : Analyse des pratiques de consommation pour spécifier la culture propre à chaque classe sociale. Présente le débat théorique qui agite les fonctionnalistes américains et les néo-marxistes européens. Examine les comportements consuméristes à 3 niveaux : la modernisation des ménages, l'émergence des biens locaux dans les voisinages et la recherche d'une meilleure vie. Note de contenu : Bibliogr.4e de couv. : Alternatives économiques. «Pourquoi aura-t-il fallu attendre si longtemps avant d'avoir un ouvrage couvrant l'ensemble du champ de la sociologie de la consommation ? L'ouvrage de Nicolas Herpin comble un manque évident.» Le Monde des poches. «Nicolas Herpin, dans son excellent petit ouvrage, propose une réflexion bourrée de références sur les motivations de nos contemporains. Selon "Sociologie du travail" : "une remarquable introduction au regard sociologique sur la consommation. [...] Ce livre rendra de précieux services à ceux qui, déjà formés à la sociologie, veulent s'intéresser aux questions de la consommation. Mais il constituera également pour les économistes, les spécialistes de sciences politiques ou encore des sciences de gestion une formidable introduction à la sociologie générale" Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=10273 Sociologie de la consommation [texte imprimé] / Nicolas Herpin (1942-...), Auteur . - Nouv. éd. . - Paris : Éditions La Découverte, 2004 . - 122 p. ; 19 x 12 cm. - (Repères (François Maspero). Série Sociologie; 319) .
ISBN : 978-2-7071-4296-2 : 9,50
Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Mots-clés : CONSOMMATION DES MENAGES INEGALITE SOCIALE CONDITIONS DE VIE QUALITE DE LA VIE CLASSE SOCIALE CLASSE POPULAIRE BOURGEOISIE SHS pays et peuples loisirs et arts du spectacle comportements économiques société de consommation qualité de la vie sociologie économique comportement du consommateur consommation classe sociale voyages et tourisme pratiques sociales et culturelles CULTURE POPULAIRE PUBLICITE TOURISME MODE SOCIOLOGIE ECONOMIE Index. décimale : C-40 Inégalités matérielles - revenus - consommation Résumé : Analyse des pratiques de consommation pour spécifier la culture propre à chaque classe sociale. Présente le débat théorique qui agite les fonctionnalistes américains et les néo-marxistes européens. Examine les comportements consuméristes à 3 niveaux : la modernisation des ménages, l'émergence des biens locaux dans les voisinages et la recherche d'une meilleure vie. Note de contenu : Bibliogr.4e de couv. : Alternatives économiques. «Pourquoi aura-t-il fallu attendre si longtemps avant d'avoir un ouvrage couvrant l'ensemble du champ de la sociologie de la consommation ? L'ouvrage de Nicolas Herpin comble un manque évident.» Le Monde des poches. «Nicolas Herpin, dans son excellent petit ouvrage, propose une réflexion bourrée de références sur les motivations de nos contemporains. Selon "Sociologie du travail" : "une remarquable introduction au regard sociologique sur la consommation. [...] Ce livre rendra de précieux services à ceux qui, déjà formés à la sociologie, veulent s'intéresser aux questions de la consommation. Mais il constituera également pour les économistes, les spécialistes de sciences politiques ou encore des sciences de gestion une formidable introduction à la sociologie générale" Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=10273 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12681 C-40 HER Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Publics Vulnérables Disponible « Si je travaille, c'est pas pour acheter du premier prix ! ». Modes de consommation des classes populaires depuis leurs ménages stabilisés / Thomas Amossé in Sociétés contemporaines : revue de sciences sociales pluridisciplinaire / Cairn.info, n° 114 (2019/1)
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[article]
Titre : « Si je travaille, c'est pas pour acheter du premier prix ! ». Modes de consommation des classes populaires depuis leurs ménages stabilisés Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Amossé, Auteur ; Marie Cartier, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : pp. 89-122 Note générale : "Quelles sont les évolutions des pratiques de consommation des classes sociales ? À l’aide de statistiques et d’entretiens, les sociologues Thomas Amossé et Marie Cartier ont ausculté le budget des ménages les plus stables des classes populaires. La plupart du temps propriétaires, formés autour d’un couple biactif, vivant dans les territoires ruraux ou périurbains, ce sont eux qui ont opposé « la fin du mois » à la « fin du monde », lors du mouvement des Gilets jaunes.
La structure des dépenses est différente entre classes populaires et classes supérieures. Côté populaire, on dépense proportionnellement plus pour l’alimentation, le logement et la protection sociale ; du côté des cadres, les dépenses d’impôts, de remboursement de prêts et d’épargne, de restauration et de culture sont plus importantes. Ces divergences étaient déjà connues.
En revanche, la principale découverte de cette enquête est le rapprochement des goûts et des aspirations populaires de ceux des classes supérieures. Les ménages enquêtés déclarent ainsi aspirer à consommer « comme tout le monde » et rejeter les achats stigmatisants : « Si je travaille, c’est pas pour acheter du premier prix », explique l’un. Cette recherche de conformité sociale s’illustre par deux postes de dépenses privilégiés : la voiture et les services numériques ; mais aussi par la constitution d’une épargne dédiée à des achats exceptionnels et hédonistes (vêtements de marque, décoration, drones…). Cette profonde mutation de la consommation populaire a été rendue possible par l’effet conjugué de la féminisation de l’emploi depuis quarante ans (générant ainsi un surplus de revenus) et du développement des institutions de la consommation de masse, notamment les prêts à la consommation. Voilà qui nuance la thèse classique de la particularité des goûts des classes populaires déterminés par la nécessité." Thomas Le Guennic, SH 325,
mai 2020, en hyperlienLangues : Français (fre) Mots-clés : consommation classes populaires ménage précarité niveau de vie voiture numérique comportements économiques Résumé : Le développement de la précarité dans l’ensemble des ménages populaires, et non seulement pour les plus pauvres, est susceptible d’avoir modifié leur rapport à la consommation. En centrant l’analyse sur ceux qui ont acquis (même temporairement) une forme de stabilité, et à partir d’un double matériau quantitatif et qualitatif, nous rendons compte à la fois des aspirations qu’ils partagent avec les ménages situés plus haut socialement et des comportements ou stratégies économiques qu’ils doivent déployer pour les réaliser. Leurs dépenses sont particulièrement marquées par les « nouveaux » besoins sociaux que sont la voiture et le numérique, mais comprennent également des biens d’agrément et services coûteux (vêtements de marques, équipements technologiques, restaurants, vacances à l’étranger) qui en étaient pratiquement exclus auparavant. Le niveau de vie de ces ménages restant limité, et surtout fluctuant, ces dépenses ne peuvent souvent être réalisées que grâce au salaire des femmes (une condition pour se faire plaisir), à une organisation rigoureuse dans la manière de faire les courses ou dans la constitution d’une épargne pour consommer. C’est à ce prix seulement que ces ménages ouvriers et employés peuvent consommer « comme tout le monde ». Note de contenu : Plan :
Des budgets toujours différents, mais des aspirations partagées avec les classes moyennes et supérieures
La fraction médiane des classes populaires : une entrée pertinente pour analyser les différences sociales des budgets
La voiture et le numérique : deux besoins sociaux communs qui pèsent particulièrement dans les budgets populaires
Un peu de rêve : des services et des biens d'agrément onéreux
Un niveau de vie limité, et surtout fluctuant
De l'aisance à la pauvreté, ou à son anticipation
De la pauvreté à l'aisance, ou la difficulté de remonter la pente
Consommer malgré tout « comme tout le monde »
Le salaire féminin, souvent une condition pour « se faire plaisir »
Faire les courses : une activité organisée et cantonnée dans le temps et l'espace
Épargner... pour « se faire plaisir »En ligne : https://www.cairn.info/revue-societes-contemporaines-2019-2-page-89.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=242097
in Sociétés contemporaines : revue de sciences sociales pluridisciplinaire / Cairn.info > n° 114 (2019/1) . - pp. 89-122[article] « Si je travaille, c'est pas pour acheter du premier prix ! ». Modes de consommation des classes populaires depuis leurs ménages stabilisés [texte imprimé] / Thomas Amossé, Auteur ; Marie Cartier, Auteur . - 2019 . - pp. 89-122.
"Quelles sont les évolutions des pratiques de consommation des classes sociales ? À l’aide de statistiques et d’entretiens, les sociologues Thomas Amossé et Marie Cartier ont ausculté le budget des ménages les plus stables des classes populaires. La plupart du temps propriétaires, formés autour d’un couple biactif, vivant dans les territoires ruraux ou périurbains, ce sont eux qui ont opposé « la fin du mois » à la « fin du monde », lors du mouvement des Gilets jaunes.
La structure des dépenses est différente entre classes populaires et classes supérieures. Côté populaire, on dépense proportionnellement plus pour l’alimentation, le logement et la protection sociale ; du côté des cadres, les dépenses d’impôts, de remboursement de prêts et d’épargne, de restauration et de culture sont plus importantes. Ces divergences étaient déjà connues.
En revanche, la principale découverte de cette enquête est le rapprochement des goûts et des aspirations populaires de ceux des classes supérieures. Les ménages enquêtés déclarent ainsi aspirer à consommer « comme tout le monde » et rejeter les achats stigmatisants : « Si je travaille, c’est pas pour acheter du premier prix », explique l’un. Cette recherche de conformité sociale s’illustre par deux postes de dépenses privilégiés : la voiture et les services numériques ; mais aussi par la constitution d’une épargne dédiée à des achats exceptionnels et hédonistes (vêtements de marque, décoration, drones…). Cette profonde mutation de la consommation populaire a été rendue possible par l’effet conjugué de la féminisation de l’emploi depuis quarante ans (générant ainsi un surplus de revenus) et du développement des institutions de la consommation de masse, notamment les prêts à la consommation. Voilà qui nuance la thèse classique de la particularité des goûts des classes populaires déterminés par la nécessité." Thomas Le Guennic, SH 325,
mai 2020, en hyperlien
Langues : Français (fre)
in Sociétés contemporaines : revue de sciences sociales pluridisciplinaire / Cairn.info > n° 114 (2019/1) . - pp. 89-122
Mots-clés : consommation classes populaires ménage précarité niveau de vie voiture numérique comportements économiques Résumé : Le développement de la précarité dans l’ensemble des ménages populaires, et non seulement pour les plus pauvres, est susceptible d’avoir modifié leur rapport à la consommation. En centrant l’analyse sur ceux qui ont acquis (même temporairement) une forme de stabilité, et à partir d’un double matériau quantitatif et qualitatif, nous rendons compte à la fois des aspirations qu’ils partagent avec les ménages situés plus haut socialement et des comportements ou stratégies économiques qu’ils doivent déployer pour les réaliser. Leurs dépenses sont particulièrement marquées par les « nouveaux » besoins sociaux que sont la voiture et le numérique, mais comprennent également des biens d’agrément et services coûteux (vêtements de marques, équipements technologiques, restaurants, vacances à l’étranger) qui en étaient pratiquement exclus auparavant. Le niveau de vie de ces ménages restant limité, et surtout fluctuant, ces dépenses ne peuvent souvent être réalisées que grâce au salaire des femmes (une condition pour se faire plaisir), à une organisation rigoureuse dans la manière de faire les courses ou dans la constitution d’une épargne pour consommer. C’est à ce prix seulement que ces ménages ouvriers et employés peuvent consommer « comme tout le monde ». Note de contenu : Plan :
Des budgets toujours différents, mais des aspirations partagées avec les classes moyennes et supérieures
La fraction médiane des classes populaires : une entrée pertinente pour analyser les différences sociales des budgets
La voiture et le numérique : deux besoins sociaux communs qui pèsent particulièrement dans les budgets populaires
Un peu de rêve : des services et des biens d'agrément onéreux
Un niveau de vie limité, et surtout fluctuant
De l'aisance à la pauvreté, ou à son anticipation
De la pauvreté à l'aisance, ou la difficulté de remonter la pente
Consommer malgré tout « comme tout le monde »
Le salaire féminin, souvent une condition pour « se faire plaisir »
Faire les courses : une activité organisée et cantonnée dans le temps et l'espace
Épargner... pour « se faire plaisir »En ligne : https://www.cairn.info/revue-societes-contemporaines-2019-2-page-89.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=242097 Documents numériques
Titre : Éloge du magasin : contre l'amazonisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Chabault , Auteur
Mention d'édition : "sujet très important pour les petites villes" FC, 11/02/20 Editeur : Paris Cedex 07 : Éditions Gallimard Année de publication : 2019 Importance : 174 p. Présentation : couv ill. en coul. Format : 21 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-287948-7 Prix : 18 € Note générale : Retail apocalypse. Cette expression désigne la vague de fermetures d'un grand nombre de magasins aux Etats-Unis depuis une dizaine d'années. En France, le mouvement n'a pas la même ampleur mais l'essor du e-commerce concurrence les ventes "physiques" et contribue à faire progresser la vacance commerciale en centre-ville et dans certaines galeries marchandes. Pour autant, l'avenir des marchés, des boutiques, des centres commerciaux, des friperies, des brocantes, des grands magasins ou des librairies n'est pas scellé. En dépit de la digitalisation des courses, de la remise en cause de la distribution de masse et de l'apparition de nouvelles normes de consommation, le magasin demeure un lieu d'approvisionnement central. Il est également un lieu social et assume d'autres fonctions capables de garantir son existence. A travers une vingtaine de chapitres exposant les résultats d'enquêtes sociologiques, cet ouvrage propose une contribution originale au débat en mettant en évidence les fonctions symboliques et l'utilité sociale du magasin. Que fait-il à l'individu ? Que vient y chercher celui-ci que les plateformes ne peuvent lui assurer ? Ni complainte du progrès, ni tract poujadiste de défense des petits commerçants, cet ouvrage examine les raisons qui poussent chaque individu à consacrer en moyenne deux heures quarante par semaine aux achats hors de son domicile. [4e de couv.] Langues : Français (fre) Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Mots-clés : Economie et entreprises / Economie / Sociologie des milieux économiques et de l'entreprise Comportements économiques Consommateurs -- Attitude (psychologie) -- France -- 1990-....
Circuits de distribution -- Commerce électronique -- Aspect social -- circuit de distribution, commerce, commerce électronique, comportement du consommateurIndex. décimale : C-51 Conditions de travail Résumé : Le développement du e-commerce a pour conséquence la fermeture de boutiques. A travers les résultats d'enquêtes sociologiques, l'auteur met en évidence les fonctions symboliques et l'utilité sociale du magasin. Il éclaire l'importance des commerces dans la vie quotidienne des individus et en quoi ceux-ci constituent un espace où se joue la construction identitaire. Note de contenu : Notes bibliogr. Réf. bibliogr. p. [161]-174 En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/le-temps-du-debat/le-futur-regime-des-ret [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=239499 Éloge du magasin : contre l'amazonisation [texte imprimé] / Vincent Chabault, Auteur . - "sujet très important pour les petites villes" FC, 11/02/20 . - Paris Cedex 07 : Éditions Gallimard, 2019 . - 174 p. : couv ill. en coul. ; 21 x 14 cm.
ISBN : 978-2-07-287948-7 : 18 €
Retail apocalypse. Cette expression désigne la vague de fermetures d'un grand nombre de magasins aux Etats-Unis depuis une dizaine d'années. En France, le mouvement n'a pas la même ampleur mais l'essor du e-commerce concurrence les ventes "physiques" et contribue à faire progresser la vacance commerciale en centre-ville et dans certaines galeries marchandes. Pour autant, l'avenir des marchés, des boutiques, des centres commerciaux, des friperies, des brocantes, des grands magasins ou des librairies n'est pas scellé. En dépit de la digitalisation des courses, de la remise en cause de la distribution de masse et de l'apparition de nouvelles normes de consommation, le magasin demeure un lieu d'approvisionnement central. Il est également un lieu social et assume d'autres fonctions capables de garantir son existence. A travers une vingtaine de chapitres exposant les résultats d'enquêtes sociologiques, cet ouvrage propose une contribution originale au débat en mettant en évidence les fonctions symboliques et l'utilité sociale du magasin. Que fait-il à l'individu ? Que vient y chercher celui-ci que les plateformes ne peuvent lui assurer ? Ni complainte du progrès, ni tract poujadiste de défense des petits commerçants, cet ouvrage examine les raisons qui poussent chaque individu à consacrer en moyenne deux heures quarante par semaine aux achats hors de son domicile. [4e de couv.]
Langues : Français (fre)
Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Mots-clés : Economie et entreprises / Economie / Sociologie des milieux économiques et de l'entreprise Comportements économiques Consommateurs -- Attitude (psychologie) -- France -- 1990-....
Circuits de distribution -- Commerce électronique -- Aspect social -- circuit de distribution, commerce, commerce électronique, comportement du consommateurIndex. décimale : C-51 Conditions de travail Résumé : Le développement du e-commerce a pour conséquence la fermeture de boutiques. A travers les résultats d'enquêtes sociologiques, l'auteur met en évidence les fonctions symboliques et l'utilité sociale du magasin. Il éclaire l'importance des commerces dans la vie quotidienne des individus et en quoi ceux-ci constituent un espace où se joue la construction identitaire. Note de contenu : Notes bibliogr. Réf. bibliogr. p. [161]-174 En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/le-temps-du-debat/le-futur-regime-des-ret [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=239499 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 07024 C-51 CHA Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Travail (Conditions, Typologie, Alternatives) Disponible Documents numériques
Titre : Du gaspillage à la sobriété : avoir moins et vivre mieux ? / BU de l'IUT Type de document : document électronique Auteurs : Valérie Guillard (1973-...) , Directeur de publication, rédacteur en chef ; Serge Tisseron (1948-...)
, Préfacier, etc. ; Dominique Méda (1962-...)
, Postfacier, auteur du colophon, etc.
Editeur : Louvain-la-Neuve (Belgique) : De Boeck Supérieur Année de publication : 2019 Collection : Méthodes & Recherches, ISSN 1781-4944 Importance : 240 p. Présentation : illustrations en noir et blanc, couv. ill. en coul. Format : 24 x 16 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8073-2187-8 Prix : 22 € Note générale : Réflexions sur les relations des individus aux objets matériels et sur le gaspillage lié à ces derniers. Les contributeurs abordent les enjeux sociaux, politiques, individuels et économiques de ce phénomène. Langues : Français (fre) Mots-clés : Simplicité volontaire Economie et entreprises / Economie / Sociologie des milieux économiques et de l'entreprise SHS Comportements économiques Gaspillage Société de consommation Consommateurs -- Attitude (psychologie) comportement du consommateur, consommation Gaspillage -- Lutte contre Économie circulaire Résumé : La 4e de couverture indique : "Comment passer du gaspillage des objets à la sobriété matérielle ? Alors que les médias ne cessent de parler du gaspillage alimentaire, de l'eau ou de l'énergie, celui des objets matériels, sujet de ce livre, est largement moins médiatisé. Ce qui l'est, ce sont les pratiques de circulation des objets fondées sur le don, la vente, l'échange, le troc qui s'inscrivent dans l'économie circulaire et/ou collaborative. Qu'est-ce que le gaspillage des objets pour les personnes ? Pensent-elles "gaspillage" lorsqu'elles achètent une paire de chaussures quasiment identique à une paire possédée ? Lorsqu'elles accumulent des téléphones portables inutilisés dans un tiroir ? Lorsqu'elles donnent des vêtements à une association pour faire de la place dans les placards... et acheter des modèles "plus neufs" ou "plus à la mode" ? Dans l'affirmative, s'agit-il du gaspillage des objets, d'argent, de travail, de ressources naturelles ? Ce livre apporte des éléments de réponse. Il questionne les relations des individus aux objets matériels via leur perte d'utilité, autrement dit via leur gaspillage, en trois temps : gaspiller, remédier au gaspillage et devenir sobre. Le premier temps fournit des éléments pour comprendre le concept du gaspillage dans une société d'hyperconsommation. Le deuxième donne la parole à des professionnels du terrain (Emmaüs, Halte à l'Obsolescence Programmée, Zéro Waste France, Agence du Don en Nature, Réseau Francilien des Acteurs du Réemploi) exerçant un regard pratique et parfois critique sur le gaspillage des objets. Enfin, le dernier temps discute la notion de sobriété matérielle et l'éprouve dans des contextes quotidiens, que ce soit via la réduction de la consommation par des personnes qui s'en lancent le défi ou via le désencombrement par des home-organizers. Deux regards englobants, psychologique et sociologique, introduisent et concluent ces réflexions." Note de contenu : Table des matières :
Gaspiller des objets Le gaspillage des objets dans la littérature académique Le gaspillage des vêtements. Retour aux sources Le gaspillage des emballages : de la prise de conscience des consommateurs à leurs pratiques de réduction Gaspillage, dilapidation, prodigalité : ou comment se débarrasser des liens Ce que le mouvement "gilets jaunes" nous dit des limites de la société d'hyperconsommation Remédier au gaspillage des objets sur le terrain L'obsolescence programmée des objets Revenir à une consommation de ressources soutenable Faire de la lutte contre le gaspillage un outil de résilience face à la crise écologique : le cas du réemploi solidaire dans les ressourceries Emmaüs, l'économie circulaire, sociale et solidaire en action Objets vendus par les entreprises : un outil d'action sociale. L'Agence du Don en Nature Devenir sobre Qu'est-ce que la sobriété matérielle ? Une première définition Comment prendre conscience du gaspillage des objets ? Quand le travail des Home Organisers peut "soigner" les personnes de la surconsommation Devenir sobre en participant au(x) défi(s) "rien de neuf" de Zero Waste France : analyse des profils, motivations et vécus La sobriété, une ambition encore lointaine ? Un bilan des pratiques de circulation des objets Des hommes et des objets : "faire monde" dans la sobriété ou le détruire dans l'arrogance ? Notes bibliogr.En ligne : https://magazine.laruchequiditoui.fr/des-jardins-boliviens-au-cantal-la-walipini [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=235680 Du gaspillage à la sobriété : avoir moins et vivre mieux ? / BU de l'IUT [document électronique] / Valérie Guillard (1973-...), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Serge Tisseron (1948-...)
, Préfacier, etc. ; Dominique Méda (1962-...)
, Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Louvain-la-Neuve (Belgique) : De Boeck Supérieur, 2019 . - 240 p. : illustrations en noir et blanc, couv. ill. en coul. ; 24 x 16 cm. - (Méthodes & Recherches, ISSN 1781-4944) .
ISBN : 978-2-8073-2187-8 : 22 €
Réflexions sur les relations des individus aux objets matériels et sur le gaspillage lié à ces derniers. Les contributeurs abordent les enjeux sociaux, politiques, individuels et économiques de ce phénomène.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Simplicité volontaire Economie et entreprises / Economie / Sociologie des milieux économiques et de l'entreprise SHS Comportements économiques Gaspillage Société de consommation Consommateurs -- Attitude (psychologie) comportement du consommateur, consommation Gaspillage -- Lutte contre Économie circulaire Résumé : La 4e de couverture indique : "Comment passer du gaspillage des objets à la sobriété matérielle ? Alors que les médias ne cessent de parler du gaspillage alimentaire, de l'eau ou de l'énergie, celui des objets matériels, sujet de ce livre, est largement moins médiatisé. Ce qui l'est, ce sont les pratiques de circulation des objets fondées sur le don, la vente, l'échange, le troc qui s'inscrivent dans l'économie circulaire et/ou collaborative. Qu'est-ce que le gaspillage des objets pour les personnes ? Pensent-elles "gaspillage" lorsqu'elles achètent une paire de chaussures quasiment identique à une paire possédée ? Lorsqu'elles accumulent des téléphones portables inutilisés dans un tiroir ? Lorsqu'elles donnent des vêtements à une association pour faire de la place dans les placards... et acheter des modèles "plus neufs" ou "plus à la mode" ? Dans l'affirmative, s'agit-il du gaspillage des objets, d'argent, de travail, de ressources naturelles ? Ce livre apporte des éléments de réponse. Il questionne les relations des individus aux objets matériels via leur perte d'utilité, autrement dit via leur gaspillage, en trois temps : gaspiller, remédier au gaspillage et devenir sobre. Le premier temps fournit des éléments pour comprendre le concept du gaspillage dans une société d'hyperconsommation. Le deuxième donne la parole à des professionnels du terrain (Emmaüs, Halte à l'Obsolescence Programmée, Zéro Waste France, Agence du Don en Nature, Réseau Francilien des Acteurs du Réemploi) exerçant un regard pratique et parfois critique sur le gaspillage des objets. Enfin, le dernier temps discute la notion de sobriété matérielle et l'éprouve dans des contextes quotidiens, que ce soit via la réduction de la consommation par des personnes qui s'en lancent le défi ou via le désencombrement par des home-organizers. Deux regards englobants, psychologique et sociologique, introduisent et concluent ces réflexions." Note de contenu : Table des matières :
Gaspiller des objets Le gaspillage des objets dans la littérature académique Le gaspillage des vêtements. Retour aux sources Le gaspillage des emballages : de la prise de conscience des consommateurs à leurs pratiques de réduction Gaspillage, dilapidation, prodigalité : ou comment se débarrasser des liens Ce que le mouvement "gilets jaunes" nous dit des limites de la société d'hyperconsommation Remédier au gaspillage des objets sur le terrain L'obsolescence programmée des objets Revenir à une consommation de ressources soutenable Faire de la lutte contre le gaspillage un outil de résilience face à la crise écologique : le cas du réemploi solidaire dans les ressourceries Emmaüs, l'économie circulaire, sociale et solidaire en action Objets vendus par les entreprises : un outil d'action sociale. L'Agence du Don en Nature Devenir sobre Qu'est-ce que la sobriété matérielle ? Une première définition Comment prendre conscience du gaspillage des objets ? Quand le travail des Home Organisers peut "soigner" les personnes de la surconsommation Devenir sobre en participant au(x) défi(s) "rien de neuf" de Zero Waste France : analyse des profils, motivations et vécus La sobriété, une ambition encore lointaine ? Un bilan des pratiques de circulation des objets Des hommes et des objets : "faire monde" dans la sobriété ou le détruire dans l'arrogance ? Notes bibliogr.En ligne : https://magazine.laruchequiditoui.fr/des-jardins-boliviens-au-cantal-la-walipini [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=235680 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Titre : Le nouvel esprit du capitalisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Boltanski (1940-....) , Auteur ; Ève Chiapello (1965-...), Auteur
Editeur : Paris Cedex 07 : Éditions Gallimard Année de publication : 1999 Collection : NRF essais, ISSN 0993-4685 Importance : 843 p. Format : 23 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-074995-9 Prix : 31 € Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Mots-clés : CRITIQUE EVOLUTION IDEOLOGIE TRAVAIL SYNDICALISME Economie entreprises Sociologie des milieux économiques et de l'entreprise Comportements économiques Libéralisme économique Histoire 1970--.... Capitalisme Systèmes et courants économiques Économie de la libre entreprise Index. décimale : C-02 Economie générale - théorie Résumé : Les auteurs tracent les contours du nouvel esprit du capitalisme, à partir d'une analyse de l'ensemble des textes de management qui, des années 1970 à 1980, ont nourri la pensée du patronat : c'est dans ces années que le capitalisme renonce au principe fordiste de l'organisation hiérarchique du travail pour développer un capitalisme en réseau, fondé sur l'initiative des acteurs. Note de contenu : Bibliogr. Index. 4e de couv. : "Le capitalisme prospère ; la société se dégrade. Le profit croît, comme l'exclusion. La véritable crise n'est pas celle du capitalisme, mais celle de la critique du capitalisme. Trop souvent attachée à d'anciens schémas d'analyse, la critique conduit nombre de protestataires à se replier sur des modalités de défense efficaces dans le passé mais désormais largement inadaptées aux nouvelles formes du capitalisme redéployé. Cette crise, Ève Chiapello et Luc Boltanski, sociologues, l'analysent à la racine. Ils tracent les contours du nouvel esprit du capitalisme à partir d'une analyse inédite des textes de management qui ont nourri la pensée du patronat, irrigué les nouveaux modes d'organisation des entreprises : à partir du milieu des années 70, le capitalisme renonce au principe fordiste de l'organisation hiérarchique du travail pour développer une nouvelle organisation en réseau, fondée sur l'initiative des acteurs et l'autonomie relative de leur travail, mais au prix de leur sécurité matérielle et psychologique. Ce nouvel esprit du capitalisme a triomphé grâce à la formidable récupération de la « critique artiste » - celle qui, après Mai 68, n'avait eu de cesse de dénoncer l'aliénation de la vie quotidienne par l'alliance du Capital et de la bureaucratie. Une récupération qui a tué la « critique artiste ». Dans le même temps la « critique sociale » manquait le tournant du néocapitalisme et demeurait rivée aux vieux schémas de la production hiérarchisée ; on la trouva donc fort démunie lorsque l'hiver de la crise fut venu. C'est à une relance conjointe des deux critiques complémentaires du capitalisme qu'invite cet ouvrage sans équivalent." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=7855 Le nouvel esprit du capitalisme [texte imprimé] / Luc Boltanski (1940-....), Auteur ; Ève Chiapello (1965-...), Auteur . - Paris Cedex 07 : Éditions Gallimard, 1999 . - 843 p. ; 23 x 14 cm. - (NRF essais, ISSN 0993-4685) .
ISBN : 978-2-07-074995-9 : 31 €
Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Mots-clés : CRITIQUE EVOLUTION IDEOLOGIE TRAVAIL SYNDICALISME Economie entreprises Sociologie des milieux économiques et de l'entreprise Comportements économiques Libéralisme économique Histoire 1970--.... Capitalisme Systèmes et courants économiques Économie de la libre entreprise Index. décimale : C-02 Economie générale - théorie Résumé : Les auteurs tracent les contours du nouvel esprit du capitalisme, à partir d'une analyse de l'ensemble des textes de management qui, des années 1970 à 1980, ont nourri la pensée du patronat : c'est dans ces années que le capitalisme renonce au principe fordiste de l'organisation hiérarchique du travail pour développer un capitalisme en réseau, fondé sur l'initiative des acteurs. Note de contenu : Bibliogr. Index. 4e de couv. : "Le capitalisme prospère ; la société se dégrade. Le profit croît, comme l'exclusion. La véritable crise n'est pas celle du capitalisme, mais celle de la critique du capitalisme. Trop souvent attachée à d'anciens schémas d'analyse, la critique conduit nombre de protestataires à se replier sur des modalités de défense efficaces dans le passé mais désormais largement inadaptées aux nouvelles formes du capitalisme redéployé. Cette crise, Ève Chiapello et Luc Boltanski, sociologues, l'analysent à la racine. Ils tracent les contours du nouvel esprit du capitalisme à partir d'une analyse inédite des textes de management qui ont nourri la pensée du patronat, irrigué les nouveaux modes d'organisation des entreprises : à partir du milieu des années 70, le capitalisme renonce au principe fordiste de l'organisation hiérarchique du travail pour développer une nouvelle organisation en réseau, fondée sur l'initiative des acteurs et l'autonomie relative de leur travail, mais au prix de leur sécurité matérielle et psychologique. Ce nouvel esprit du capitalisme a triomphé grâce à la formidable récupération de la « critique artiste » - celle qui, après Mai 68, n'avait eu de cesse de dénoncer l'aliénation de la vie quotidienne par l'alliance du Capital et de la bureaucratie. Une récupération qui a tué la « critique artiste ». Dans le même temps la « critique sociale » manquait le tournant du néocapitalisme et demeurait rivée aux vieux schémas de la production hiérarchisée ; on la trouva donc fort démunie lorsque l'hiver de la crise fut venu. C'est à une relance conjointe des deux critiques complémentaires du capitalisme qu'invite cet ouvrage sans équivalent." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=7855 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 8369 C-02 BOL Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Economie - Economie Sociale et Solidaire Disponible Permalink37 - 2014 - Rapport à l’argent et problématiques financières (Bulletin de Pensée plurielle : Parole, Pratiques & réflexions du social / Cairn.info)
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PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkL'individu, la famille et l'emploi : esquisse d'une lecture sociologique de la relation d'attachement / Alain Thalineau
PermalinkN.175 - DECEMBRE 2008 - L'insécurité comme condition de travail (Bulletin de Actes de la recherche en sciences sociales / BU de l'IUT et Cairn.info)
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PermalinkPour une société fraternelle : en finir avec l'égoïsme, la compétition et la surconsommation / SUDOC / Stefano Bartolini
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