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Titre : L'âge du faire : hacking, travail, anarchie / BU de Lettres Type de document : document électronique Auteurs : Michel Lallement (1962-...) , Auteur
Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2015 Collection : La Couleur des idées, ISSN 0993-684X Importance : 441 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-119049-6 Prix : 25 € Note générale : Voir aussi la thèse que l'auteur a dirigée : "La fabrication numérique personnelle, pratiques et discours d’un design diffus : enquête au coeur des FabLabs, hackerspaces et makerspaces de 2012 à 2015 / Camille Bosqué (Thèse de doctorat : Esthétique et sciences de l’art. Spécialité design : Rennes 2 : 2016. - Arts : Pratiques et Poétiques. UHB) : "Les FabLabs, les hackerspaces et les makerspaces sont des ateliers collectifs équipés de machines à commandes numériques et organisés en réseau. Ces lieux s’inscrivent dans l’élan du mouvement maker et dans l’héritage des hackers. Ils se présentent comme des espaces ouverts à tous et pour tout faire. Malgré une forte médiatisation, la réalité des discours et des pratiques qui s’y développent est encore peu étudiée. Cette thèse en esthétique et en design s’appuie sur une vaste enquête ethnographique menée de 2012 à 2015 au coeur de ces communautés, en France et à l’étranger.De nombreux entretiens et observations dessinées permettent une description critique des manières de faire rencontrées sur ces terrains.Les pratiques, les discours et les ambitions de la fabrication numérique personnelle se construisent dans les marges des territoires classiques de l’industrie et du design et en brouillent les cadres historiques. La première partie de la thèse retrace les origines des mouvements maker et hacker et des FabLabs. En s’appuyant sur des données de première mains et sur des récits plus classiques, elle montre comment la contre-culture américaine et les ambitions technophilesdes chercheurs du MIT rencontrent des appropriations locales divergentes.La réhabilitation du plaisir au travail et l’héritage des Arts and Crafts sont deux aspects qui permettent d’envisager ces lieux comme des terrains d’expérimentation sociale, au-delà de la stricte production. Dans la deuxième partie, la thèse se concentre sur les valeurs d’ouverture et de partage prônées par les amateurs, bricoleurs, makers ou inventeurs contemporains. L’hypothèse d’un design ouvert et participatif conçu hors des standards de la production industrielle de masse est examinée. L’« open design » place la production d’objets dans le sillage de l’open source. Les résultats de ce type de production dessinent les contours encore fl ous d’un territoire nouveau pour le design.La troisième partie étudie les promesses et contradictions qui entourent la démocratisation de l’innovation et de la production. L’impression 3D est prise comme cas d’étude emblématique pour étudier les ambivalences de l’émancipation espérée par les porteparoles du mouvement maker. Ces pratiques hésitantes nourrissent les ramifi cations de ce que nous proposons d’appeler un design diffus. Celui-ci se développe par tâtonnements dans les communautés d’amateurs et touche à des activités créatives d’invention, de Conception et de fabrication.L’étendue rhizomatique des manières de faire propresau design diff us est composée d’objets sans apparat,situés dans les marges de l’industrie. Selon la défi nitionqui en est proposée, ils sont conçus de manière ouverteet documentée dans l’objectif d’explorer et de contribuerà la découverte des technologies de la fabricationnumérique personnelle. Sans constituer de paradigmeclos, le design diff us détourne les normes instituées etles procédures classiques du design et de l’industriepour proposer une conception exploratoire et ouverte dela fabrication." Mots-clés : Ordinateurs et civilisation Fab labs -- Pirates informatiques -- États-Unis -- San Francisco (Calif.) -- Enquêtes Sociologie du travail hackerspace makerspace innovation FabLabs FabLab Résumé : De nouveaux lieux de conception, de production et de collaboration voient aujourd'hui le jour un peu partout dans le monde. Équipés de machines industrielles comme des plus récents matériels informatiques, les hackers inventent un nouveau modèle d'activité : le faire (make). À distance des exigences imposées par le marché et les grandes organisations bureaucratiques, les membres des hackerspaces et autres laboratoires de fabrication font du travail une fin en elle-même, sans que quiconque n'impose d'objectifs, de délais, de contraintes... Juste l'envie de faire pour soi. Fruit d'une enquête ethnographique menée dans la région de San Francisco, là où les chantres de la contre-culture libertaire côtoient les entrepreneurs de la Silicon Valley, ce livre plonge au coeur du mouvement faire. Il en décrit les origines historiques ainsi que ses multiples impacts sur l'économie et la société. Michel Lallement a partagé la vie des hackers, les a regardés inventer, bidouiller et s'organiser au quotidien dans des communautés frottées, pour certaines d'entre elles, aux principes de l'anarchisme. Il les a fait raconter et expliquer leurs vies, leurs choix, leurs idées. En expérimentant une utopie concrète, les hackers font plus qu'imaginer une autre manière de travailler. C'est une nouvelle grammaire du vivre ensemble que, sous nos yeux, ils sont en train de composer (4e de couverture) Note de contenu : Bibliogr. p. 429-[442]. Notes bibliogr. Glossaire En ligne : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01292572 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=141218 L'âge du faire : hacking, travail, anarchie / BU de Lettres [document électronique] / Michel Lallement (1962-...), Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, 2015 . - 441 p. ; 21 cm. - (La Couleur des idées, ISSN 0993-684X) .
ISBN : 978-2-02-119049-6 : 25 €
Voir aussi la thèse que l'auteur a dirigée : "La fabrication numérique personnelle, pratiques et discours d’un design diffus : enquête au coeur des FabLabs, hackerspaces et makerspaces de 2012 à 2015 / Camille Bosqué (Thèse de doctorat : Esthétique et sciences de l’art. Spécialité design : Rennes 2 : 2016. - Arts : Pratiques et Poétiques. UHB) : "Les FabLabs, les hackerspaces et les makerspaces sont des ateliers collectifs équipés de machines à commandes numériques et organisés en réseau. Ces lieux s’inscrivent dans l’élan du mouvement maker et dans l’héritage des hackers. Ils se présentent comme des espaces ouverts à tous et pour tout faire. Malgré une forte médiatisation, la réalité des discours et des pratiques qui s’y développent est encore peu étudiée. Cette thèse en esthétique et en design s’appuie sur une vaste enquête ethnographique menée de 2012 à 2015 au coeur de ces communautés, en France et à l’étranger.De nombreux entretiens et observations dessinées permettent une description critique des manières de faire rencontrées sur ces terrains.Les pratiques, les discours et les ambitions de la fabrication numérique personnelle se construisent dans les marges des territoires classiques de l’industrie et du design et en brouillent les cadres historiques. La première partie de la thèse retrace les origines des mouvements maker et hacker et des FabLabs. En s’appuyant sur des données de première mains et sur des récits plus classiques, elle montre comment la contre-culture américaine et les ambitions technophilesdes chercheurs du MIT rencontrent des appropriations locales divergentes.La réhabilitation du plaisir au travail et l’héritage des Arts and Crafts sont deux aspects qui permettent d’envisager ces lieux comme des terrains d’expérimentation sociale, au-delà de la stricte production. Dans la deuxième partie, la thèse se concentre sur les valeurs d’ouverture et de partage prônées par les amateurs, bricoleurs, makers ou inventeurs contemporains. L’hypothèse d’un design ouvert et participatif conçu hors des standards de la production industrielle de masse est examinée. L’« open design » place la production d’objets dans le sillage de l’open source. Les résultats de ce type de production dessinent les contours encore fl ous d’un territoire nouveau pour le design.La troisième partie étudie les promesses et contradictions qui entourent la démocratisation de l’innovation et de la production. L’impression 3D est prise comme cas d’étude emblématique pour étudier les ambivalences de l’émancipation espérée par les porteparoles du mouvement maker. Ces pratiques hésitantes nourrissent les ramifi cations de ce que nous proposons d’appeler un design diffus. Celui-ci se développe par tâtonnements dans les communautés d’amateurs et touche à des activités créatives d’invention, de Conception et de fabrication.L’étendue rhizomatique des manières de faire propresau design diff us est composée d’objets sans apparat,situés dans les marges de l’industrie. Selon la défi nitionqui en est proposée, ils sont conçus de manière ouverteet documentée dans l’objectif d’explorer et de contribuerà la découverte des technologies de la fabricationnumérique personnelle. Sans constituer de paradigmeclos, le design diff us détourne les normes instituées etles procédures classiques du design et de l’industriepour proposer une conception exploratoire et ouverte dela fabrication."
Mots-clés : Ordinateurs et civilisation Fab labs -- Pirates informatiques -- États-Unis -- San Francisco (Calif.) -- Enquêtes Sociologie du travail hackerspace makerspace innovation FabLabs FabLab Résumé : De nouveaux lieux de conception, de production et de collaboration voient aujourd'hui le jour un peu partout dans le monde. Équipés de machines industrielles comme des plus récents matériels informatiques, les hackers inventent un nouveau modèle d'activité : le faire (make). À distance des exigences imposées par le marché et les grandes organisations bureaucratiques, les membres des hackerspaces et autres laboratoires de fabrication font du travail une fin en elle-même, sans que quiconque n'impose d'objectifs, de délais, de contraintes... Juste l'envie de faire pour soi. Fruit d'une enquête ethnographique menée dans la région de San Francisco, là où les chantres de la contre-culture libertaire côtoient les entrepreneurs de la Silicon Valley, ce livre plonge au coeur du mouvement faire. Il en décrit les origines historiques ainsi que ses multiples impacts sur l'économie et la société. Michel Lallement a partagé la vie des hackers, les a regardés inventer, bidouiller et s'organiser au quotidien dans des communautés frottées, pour certaines d'entre elles, aux principes de l'anarchisme. Il les a fait raconter et expliquer leurs vies, leurs choix, leurs idées. En expérimentant une utopie concrète, les hackers font plus qu'imaginer une autre manière de travailler. C'est une nouvelle grammaire du vivre ensemble que, sous nos yeux, ils sont en train de composer (4e de couverture) Note de contenu : Bibliogr. p. 429-[442]. Notes bibliogr. Glossaire En ligne : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01292572 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=141218 Exemplaires
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Titre : L'inclusion sociale : les enjeux de la culture et de l'éducation Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Barrère, Directeur de la recherche ; François Mairesse (1968-...), Directeur de la recherche Editeur : Paris : Éditions L'Harmattan Année de publication : 2015 Collection : Les cahiers de la médiation culturelle, ISSN 2275-4113 Importance : 158 p. Présentation : ill. Format : 22 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-343-05698-2 Prix : 16,50 € Note générale : Inclusion : découvrir le nouveau podcast de l'Ocim, en hyperlien (04/2020): Les musées, les lieux de patrimoine, de culture scientifique et technique redéfinissent aujourd’hui leurs missions, questionnent leur rôle social, leur place dans la société. On parle d’inclusion. Cela impacte le projet scientifique, la politique des publics, le modèle économique, les partenariats, la vie de l’institution… et donc les pratiques des professionnel·le·s engagé·e·s.
Comme l’exprime Jean-François Leclerc dans l’épisode 1 : Être ou ne pas être inclusif ?
« Un musée peut être plus inclusif, plus accessible, plus numérique, plus accueillant, plus…. Mais c’est à chacun de trouver sa voie… »
Nous remercions chaque personne ayant contribué à la réalisation de ce podcast et plus particulièrement celles et ceux qui ont accepté d’y faire entendre leur voix et partager leur vision.
Épisode 1 « Être ou ne pas être inclusif ? » avec Jean-François Leclerc
Épisode 2 « Pour une réflexion actualisée du rôle social et inclusif des musées » avec Katy Tari
Épisode 3 « Mémoires et miroir d’un territoire » avec Matías Chebel et Julie Nidiau
Épisode 4 « La médiation au service de la stratégie institutionnelle » avec Mélanie Deveault
Épisode à venir : « Le musée acteur engagé dans la société » avec Mauricio Estrada Muñoz
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Société / Comportement et vie sociale / Lien social (groupes et individu dans la société) SHS Résolution de conflits Exclusion sociale -- Lutte contre Lutte contre l'exclusion -- Canada -- Québec (Canada) culture, accès à l'éducation, France, Québec inclusion culture scientifique musées lieux patrimoine culture scientifique et technique projet projets culturel culturelles culture musée citoyen démarche inclusive art-thérapie fablab fablabs makerspace santé mentale thérapie Index. décimale : S-80 Médiation Résumé : Synthèse sur la notion d'inclusion sociale qui analyse ses origines, son fonctionnement actuel, ses perspectives d'avenir et ses limites. Elle s'appuie sur l'étude des programmes mis en place en France et au Québec dans la sphère de l'éducation et de la culture afin de lutter contre l'exclusion et les inégalités. Note de contenu : 4e de couv. : "Le terme d'inclusion sociale, étroitement associé à celui d'exclusion, est apparu à partir des années 1990 dans les médias, parallèlement au développement du vocable social inclusion, utilisé dans le monde anglo-saxon. Face à la montée des inégalités, de nombreuses politiques ont ainsi été mises en oeuvre pour tenter de lutter contre les mécanismes d'exclusion sociale, visant des pans entiers de notre société. De nombreux programmes ont ainsi été financés à destination de publics spécifiques - sans domicile fixe, prisonniers, malades, primo-arrivants, etc. -, afin de développer leur intégration au sein de la société par le biais de la culture et de l'éducation. Le rôle social des institutions de la culture et de l'éducation bénéficie d'une tradition ancienne, qu'il s'agisse de l'école ou des théâtres, des musées ou des bibliothèques. L'inclusion sociale, en ce sens, s'inscrit dans une lignée incluant l'éducation populaire, l'action culturelle puis la médiation culturelle. Cet ouvrage a pour objectif d'analyser la notion d'inclusion sociale, terme de plus en plus couramment utilisé en français, en explorant ses origines, son fonctionnement actuel et ses perspectives d'avenir, à travers plusieurs études menées en France ou au Québec dans le monde de l'éducation et de la culture." En ligne : https://www.millenaire3.com/ressources/De-l-exclusion-a-l-inclusion2 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=139186 L'inclusion sociale : les enjeux de la culture et de l'éducation [texte imprimé] / Anne Barrère, Directeur de la recherche ; François Mairesse (1968-...), Directeur de la recherche . - Paris : Éditions L'Harmattan, 2015 . - 158 p. : ill. ; 22 x 14 cm. - (Les cahiers de la médiation culturelle, ISSN 2275-4113) .
ISBN : 978-2-343-05698-2 : 16,50 €
Inclusion : découvrir le nouveau podcast de l'Ocim, en hyperlien (04/2020): Les musées, les lieux de patrimoine, de culture scientifique et technique redéfinissent aujourd’hui leurs missions, questionnent leur rôle social, leur place dans la société. On parle d’inclusion. Cela impacte le projet scientifique, la politique des publics, le modèle économique, les partenariats, la vie de l’institution… et donc les pratiques des professionnel·le·s engagé·e·s.
Comme l’exprime Jean-François Leclerc dans l’épisode 1 : Être ou ne pas être inclusif ?
« Un musée peut être plus inclusif, plus accessible, plus numérique, plus accueillant, plus…. Mais c’est à chacun de trouver sa voie… »
Nous remercions chaque personne ayant contribué à la réalisation de ce podcast et plus particulièrement celles et ceux qui ont accepté d’y faire entendre leur voix et partager leur vision.
Épisode 1 « Être ou ne pas être inclusif ? » avec Jean-François Leclerc
Épisode 2 « Pour une réflexion actualisée du rôle social et inclusif des musées » avec Katy Tari
Épisode 3 « Mémoires et miroir d’un territoire » avec Matías Chebel et Julie Nidiau
Épisode 4 « La médiation au service de la stratégie institutionnelle » avec Mélanie Deveault
Épisode à venir : « Le musée acteur engagé dans la société » avec Mauricio Estrada Muñoz
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Société / Comportement et vie sociale / Lien social (groupes et individu dans la société) SHS Résolution de conflits Exclusion sociale -- Lutte contre Lutte contre l'exclusion -- Canada -- Québec (Canada) culture, accès à l'éducation, France, Québec inclusion culture scientifique musées lieux patrimoine culture scientifique et technique projet projets culturel culturelles culture musée citoyen démarche inclusive art-thérapie fablab fablabs makerspace santé mentale thérapie Index. décimale : S-80 Médiation Résumé : Synthèse sur la notion d'inclusion sociale qui analyse ses origines, son fonctionnement actuel, ses perspectives d'avenir et ses limites. Elle s'appuie sur l'étude des programmes mis en place en France et au Québec dans la sphère de l'éducation et de la culture afin de lutter contre l'exclusion et les inégalités. Note de contenu : 4e de couv. : "Le terme d'inclusion sociale, étroitement associé à celui d'exclusion, est apparu à partir des années 1990 dans les médias, parallèlement au développement du vocable social inclusion, utilisé dans le monde anglo-saxon. Face à la montée des inégalités, de nombreuses politiques ont ainsi été mises en oeuvre pour tenter de lutter contre les mécanismes d'exclusion sociale, visant des pans entiers de notre société. De nombreux programmes ont ainsi été financés à destination de publics spécifiques - sans domicile fixe, prisonniers, malades, primo-arrivants, etc. -, afin de développer leur intégration au sein de la société par le biais de la culture et de l'éducation. Le rôle social des institutions de la culture et de l'éducation bénéficie d'une tradition ancienne, qu'il s'agisse de l'école ou des théâtres, des musées ou des bibliothèques. L'inclusion sociale, en ce sens, s'inscrit dans une lignée incluant l'éducation populaire, l'action culturelle puis la médiation culturelle. Cet ouvrage a pour objectif d'analyser la notion d'inclusion sociale, terme de plus en plus couramment utilisé en français, en explorant ses origines, son fonctionnement actuel et ses perspectives d'avenir, à travers plusieurs études menées en France ou au Québec dans le monde de l'éducation et de la culture." En ligne : https://www.millenaire3.com/ressources/De-l-exclusion-a-l-inclusion2 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=139186 Réservation
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