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Titre : La philosophie devenue folle : le genre, l'animal, la mort / BU de Droit Type de document : document électronique Auteurs : Jean-François Braunstein (1953-...), Auteur Mention d'édition : Autre tirage : 2019 Editeur : Paris : Bernard Grasset Année de publication : 2018 Importance : 393 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-246-81193-0 Prix : 20,90 € Note générale : "Quand la philosophie dérape
« Il faut être un intellectuel pour croire une chose pareille : quelqu’un d’ordinaire ne pourrait jamais atteindre une telle jobardise. » Avec cette formule inspirée de George Orwell, Jean-François Braunstein, philosophe français des sciences et de la médecine, résume son sentiment face aux travaux d’éminents universitaires anglo-saxons.
Peter Singer, Judith Butler, John Money, Anne Fausto-Sterling, Donna Haraway…, émettent « des discours sur l’amour et la tolérance, sur les animaux maltraités ou les mourants à soulager, auxquels chacun a immédiatement envie de souscrire » qui conduisent « à des conclusions absurdes et choquantes » écrit-il dans son dernier ouvrage La philosophie devenue folle.
À travers une galerie de portraits au vitriol, il signe un pamphlet contre les errances théoriques qui ont fleuri dans certains domaines. « Ce que Jean-François Braunstein appelle la philosophie devenue folle », est « une philosophie qui veut gommer les limites, et ce dans les trois domaines que sont le genre (différences de sexe), le droit des animaux (différence humain/animal) et la bioéthique (différence entre vie digne d’être vécue et les autres) », précise le philosophe suisse Mark Hunyadi dans le quotidien Le Temps.
La victime préférée de Braunstein est Peter Singer, professeur de bioéthique à Princeton. « Il est dépecé sans pitié », assure Hunyadi. Depuis la publication de La Libération animale (Grasset, 1993), Singer est connu pour être l’inventeur des termes de « spécisme » et d’« antispécisme ». De la défense des animaux, il a développé sa vision utilitariste du monde jusqu’à englober la vie humaine, affirmant que la vie d’un chien était plus estimable que celle « d’un être de notre espèce dont les capacités intellectuelles sont gravement diminuées ». Il justifie même l’infanticide de nouveaux nés et l’euthanasie non volontaire. Comment en arrive-t-il là ? Pour Braunstein, Singer et les autres commettent tous la même erreur : « penser que les questions morales sont analogues à des problèmes logiques ou juridiques, dans lesquels une solution et une seule s’impose ». Jusqu’à en oublier l’humain." Amandine Meunier, Books, 24/07/2019Langues : Français (fre) Mots-clés : Identité sexuelle -- Philosophie antispécisme genre animal Animaux -- Droits Relations homme-animal Euthanasie Mort Morale éthique gender studies Résumé : Notes bibliogr. La 4e de couv. indique : "Trois débats nous obsèdent : autour du genre, des droits de l'animal, de l'euthanasie. Et trois disciplines politiquement correctes traitent désormais de ces questions dans le monde universitaire : gender studies, animal studies, bioéthique. Cependant, lorsqu'on lit les textes des fondateurs de ces disciplines, John Money, Judith Butler, Peter Singer, Donna Haraway et quelques autres, on s'aperçoit que, derrière les bons sentiments affichés, se font jour des conséquences absurdes sinon abjectes. Si le genre n'est pas lié au sexe, pourquoi ne pas en changer tous les matins ? Si le corps est à la disposition de notre conscience, pourquoi ne pas le modifier à l'infini ? S'il n'y a pas de différence entre animaux et humains, pourquoi ne pas faire des expériences scientifiques sur les comateux plutôt que sur les animaux ? Pourquoi ne pas avoir de relations sexuelles avec son chien ? S'il est des vies dignes d'être vécues et d'autres qui ne le sont pas, pourquoi ne pas liquider les « infirmes », y compris les enfants « défectueux » ? Pourquoi ne pas nationaliser les organes des quasi-morts au profit d'humains plus prometteurs ? Jean-François Braunstein a mené un travail considérable et novateur : il a lu les milliers de pages de ces penseurs célébrés dans le monde occidental ; il revient sur leurs idées, leurs contradictions, leur parcours personnel ; il analyse, souligne, contredit, déconstruit. L'erreur consiste à vouloir « effacer les limites » : entre les sexes, entre les animaux et les humains, entre les vivants et les morts. Il convient, au contraire, d'affronter ces limites qui nous constituent. Oui, parfois la philosophie devient folle, quand elle oublie l'homme." Note de contenu : Expériences de pensée ou révolution anthropologique ?
Vous pouvez légitimement vous demander quel est le rapport entre l’homme qui ne veut pas être assigné à son genre, la femme qui considère que les animaux sont aujourd’hui victimes de déportation et de génocide au même titre que les humains ont pu l’être et celle qui considère que la vieillesse est un naufrage et qu’il faut donc en finir le plus vite possible avec la vie.
Et bien pour le philosophe Jean-François Braunstein, il y a un rapport !
Tous ces nouveaux militantismes sont le résultat d’une nouvelle philosophie portée par des auteurs anglo-saxons qui cherchent à radicalement changer les définitions du sexe et du corps, à effacer les frontières entre l’homme et l’animal et à faire admettre que toutes les vies n’ont pas la même valeur. Judith Butler à Berkeley, Peter Singer à Princeton, John Money à l’université John Hopkins, Donna Haraway à l’Université de Californie à Santa Cruz, Hugo Tristram Engelhardt à Rice University à Houston…
L’antispécisme, retour sur une révolution philosophique
Tous ces penseurs s’adonnent depuis quelques décennies déjà à ce que l’on pourrait qualifier de véritables « expériences de pensées ». Par exemple, John Money, le fondateur de la théorie du genre, considère que cela devrait être normal d’amputer un membre dont on n’est pas pleinement satisfait. Donna Haraway, elle, connue pour être la théoricienne des cyborgs, confesse qu’elle échange de profonds et langoureux baisers avec son chien afin d’abolir les barrières entre les espèces. Peter Singer, théoricien de la libération animale considère, quant à lui, qu’hommes et animaux devraient pouvoir être autorisés à avoir des relations sexuelles « mutuellement satisfaisantes ». N’oublions pas non plus Hugo Tristram Engelhardt, fondateur de la bioéthique, qui suggère de faire des expérimentations médicales sur des malades au cerveau lésé plutôt que sur des animaux bien portants.
Or, pour Jean-François Braunstein, tout cela ne relève pas seulement de l’« expérience de pensée », il s’agit bien plutôt d’une véritable révolution anthropologique dont les effets commencent à se faire sentir dans le monde réel.
Gender studies, animal studies, bioéthique : la fin du bon sens ?
En proposant une lecture éclairée et informée des fondateurs des gender studies, des animal studies et de la bioéthique, Braunstein permet d’accéder à la racine de tous ces nouveaux courants de pensée dont le dénominateur commun reste la volonté d’abolir toutes les limites et toutes les frontières.
Cette volonté, selon Braunstein, provient, chez tous ces auteurs dont il décortique minutieusement les pensées, du désir d’éviter à tout prix toute douleur psychologique et d’évacuer de la vie-même toute notion de tragédie. L’intention est discutable en soi. Le but de la philosophie n’est-il pas plutôt de nous donner les clefs pour comprendre que la douleur et la tragédie sont consubstantielles à l’existence ? Mais au-delà de l’intention, Braunstein s’attaque aux aberrations auxquelles tous ces nouveaux courants de pensée peuvent conduire. Si le genre n’a rien à voir le sexe, pourquoi ne pas en changer tous les matins ? S’il n’y a plus de différence entre animaux et humains pourquoi ne pas autoriser la zoophilie ? Si on choisit d’interrompre des vies jugées comme indignes d’être vécues, pourquoi ne pas nous débarrasser d’emblée des bébés défectueux ? Autant de questions qui ne peuvent trouver une réponse que dans un sursaut de bon sens que Braunstein appelle de ses vœux. Bon sens parfaitement résumé par la formule de Georges Orwell : « Il faut être un intellectuel pour croire un chose pareille : quelqu’un d’ordinaire ne pourrait jamais atteindre une telle jobardise ». Après les liens qui libèrent, repensons un peu aux frontières qui nous constituent. C’est ce que propose Jean-François Braunstein dans son ouvrage La philosophie devenue folle. Le genre, l’animal, la mort, paru aux éditions Grasset."En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-de-la-philo/le-journal-de-la-p [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=226428 La philosophie devenue folle : le genre, l'animal, la mort / BU de Droit [document électronique] / Jean-François Braunstein (1953-...), Auteur . - Autre tirage : 2019 . - Paris : Bernard Grasset, 2018 . - 393 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-246-81193-0 : 20,90 €
"Quand la philosophie dérape
« Il faut être un intellectuel pour croire une chose pareille : quelqu’un d’ordinaire ne pourrait jamais atteindre une telle jobardise. » Avec cette formule inspirée de George Orwell, Jean-François Braunstein, philosophe français des sciences et de la médecine, résume son sentiment face aux travaux d’éminents universitaires anglo-saxons.
Peter Singer, Judith Butler, John Money, Anne Fausto-Sterling, Donna Haraway…, émettent « des discours sur l’amour et la tolérance, sur les animaux maltraités ou les mourants à soulager, auxquels chacun a immédiatement envie de souscrire » qui conduisent « à des conclusions absurdes et choquantes » écrit-il dans son dernier ouvrage La philosophie devenue folle.
À travers une galerie de portraits au vitriol, il signe un pamphlet contre les errances théoriques qui ont fleuri dans certains domaines. « Ce que Jean-François Braunstein appelle la philosophie devenue folle », est « une philosophie qui veut gommer les limites, et ce dans les trois domaines que sont le genre (différences de sexe), le droit des animaux (différence humain/animal) et la bioéthique (différence entre vie digne d’être vécue et les autres) », précise le philosophe suisse Mark Hunyadi dans le quotidien Le Temps.
La victime préférée de Braunstein est Peter Singer, professeur de bioéthique à Princeton. « Il est dépecé sans pitié », assure Hunyadi. Depuis la publication de La Libération animale (Grasset, 1993), Singer est connu pour être l’inventeur des termes de « spécisme » et d’« antispécisme ». De la défense des animaux, il a développé sa vision utilitariste du monde jusqu’à englober la vie humaine, affirmant que la vie d’un chien était plus estimable que celle « d’un être de notre espèce dont les capacités intellectuelles sont gravement diminuées ». Il justifie même l’infanticide de nouveaux nés et l’euthanasie non volontaire. Comment en arrive-t-il là ? Pour Braunstein, Singer et les autres commettent tous la même erreur : « penser que les questions morales sont analogues à des problèmes logiques ou juridiques, dans lesquels une solution et une seule s’impose ». Jusqu’à en oublier l’humain." Amandine Meunier, Books, 24/07/2019
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Identité sexuelle -- Philosophie antispécisme genre animal Animaux -- Droits Relations homme-animal Euthanasie Mort Morale éthique gender studies Résumé : Notes bibliogr. La 4e de couv. indique : "Trois débats nous obsèdent : autour du genre, des droits de l'animal, de l'euthanasie. Et trois disciplines politiquement correctes traitent désormais de ces questions dans le monde universitaire : gender studies, animal studies, bioéthique. Cependant, lorsqu'on lit les textes des fondateurs de ces disciplines, John Money, Judith Butler, Peter Singer, Donna Haraway et quelques autres, on s'aperçoit que, derrière les bons sentiments affichés, se font jour des conséquences absurdes sinon abjectes. Si le genre n'est pas lié au sexe, pourquoi ne pas en changer tous les matins ? Si le corps est à la disposition de notre conscience, pourquoi ne pas le modifier à l'infini ? S'il n'y a pas de différence entre animaux et humains, pourquoi ne pas faire des expériences scientifiques sur les comateux plutôt que sur les animaux ? Pourquoi ne pas avoir de relations sexuelles avec son chien ? S'il est des vies dignes d'être vécues et d'autres qui ne le sont pas, pourquoi ne pas liquider les « infirmes », y compris les enfants « défectueux » ? Pourquoi ne pas nationaliser les organes des quasi-morts au profit d'humains plus prometteurs ? Jean-François Braunstein a mené un travail considérable et novateur : il a lu les milliers de pages de ces penseurs célébrés dans le monde occidental ; il revient sur leurs idées, leurs contradictions, leur parcours personnel ; il analyse, souligne, contredit, déconstruit. L'erreur consiste à vouloir « effacer les limites » : entre les sexes, entre les animaux et les humains, entre les vivants et les morts. Il convient, au contraire, d'affronter ces limites qui nous constituent. Oui, parfois la philosophie devient folle, quand elle oublie l'homme." Note de contenu : Expériences de pensée ou révolution anthropologique ?
Vous pouvez légitimement vous demander quel est le rapport entre l’homme qui ne veut pas être assigné à son genre, la femme qui considère que les animaux sont aujourd’hui victimes de déportation et de génocide au même titre que les humains ont pu l’être et celle qui considère que la vieillesse est un naufrage et qu’il faut donc en finir le plus vite possible avec la vie.
Et bien pour le philosophe Jean-François Braunstein, il y a un rapport !
Tous ces nouveaux militantismes sont le résultat d’une nouvelle philosophie portée par des auteurs anglo-saxons qui cherchent à radicalement changer les définitions du sexe et du corps, à effacer les frontières entre l’homme et l’animal et à faire admettre que toutes les vies n’ont pas la même valeur. Judith Butler à Berkeley, Peter Singer à Princeton, John Money à l’université John Hopkins, Donna Haraway à l’Université de Californie à Santa Cruz, Hugo Tristram Engelhardt à Rice University à Houston…
L’antispécisme, retour sur une révolution philosophique
Tous ces penseurs s’adonnent depuis quelques décennies déjà à ce que l’on pourrait qualifier de véritables « expériences de pensées ». Par exemple, John Money, le fondateur de la théorie du genre, considère que cela devrait être normal d’amputer un membre dont on n’est pas pleinement satisfait. Donna Haraway, elle, connue pour être la théoricienne des cyborgs, confesse qu’elle échange de profonds et langoureux baisers avec son chien afin d’abolir les barrières entre les espèces. Peter Singer, théoricien de la libération animale considère, quant à lui, qu’hommes et animaux devraient pouvoir être autorisés à avoir des relations sexuelles « mutuellement satisfaisantes ». N’oublions pas non plus Hugo Tristram Engelhardt, fondateur de la bioéthique, qui suggère de faire des expérimentations médicales sur des malades au cerveau lésé plutôt que sur des animaux bien portants.
Or, pour Jean-François Braunstein, tout cela ne relève pas seulement de l’« expérience de pensée », il s’agit bien plutôt d’une véritable révolution anthropologique dont les effets commencent à se faire sentir dans le monde réel.
Gender studies, animal studies, bioéthique : la fin du bon sens ?
En proposant une lecture éclairée et informée des fondateurs des gender studies, des animal studies et de la bioéthique, Braunstein permet d’accéder à la racine de tous ces nouveaux courants de pensée dont le dénominateur commun reste la volonté d’abolir toutes les limites et toutes les frontières.
Cette volonté, selon Braunstein, provient, chez tous ces auteurs dont il décortique minutieusement les pensées, du désir d’éviter à tout prix toute douleur psychologique et d’évacuer de la vie-même toute notion de tragédie. L’intention est discutable en soi. Le but de la philosophie n’est-il pas plutôt de nous donner les clefs pour comprendre que la douleur et la tragédie sont consubstantielles à l’existence ? Mais au-delà de l’intention, Braunstein s’attaque aux aberrations auxquelles tous ces nouveaux courants de pensée peuvent conduire. Si le genre n’a rien à voir le sexe, pourquoi ne pas en changer tous les matins ? S’il n’y a plus de différence entre animaux et humains pourquoi ne pas autoriser la zoophilie ? Si on choisit d’interrompre des vies jugées comme indignes d’être vécues, pourquoi ne pas nous débarrasser d’emblée des bébés défectueux ? Autant de questions qui ne peuvent trouver une réponse que dans un sursaut de bon sens que Braunstein appelle de ses vœux. Bon sens parfaitement résumé par la formule de Georges Orwell : « Il faut être un intellectuel pour croire un chose pareille : quelqu’un d’ordinaire ne pourrait jamais atteindre une telle jobardise ». Après les liens qui libèrent, repensons un peu aux frontières qui nous constituent. C’est ce que propose Jean-François Braunstein dans son ouvrage La philosophie devenue folle. Le genre, l’animal, la mort, paru aux éditions Grasset."En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-de-la-philo/le-journal-de-la-p [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=226428 Exemplaires
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Titre : Sociologie du genre Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Clair (1976-...) , Auteur ; François de Singly (1948-...), Directeur de la recherche
Editeur : Malakoff (Hauts-de-Seine) : Armand Colin Année de publication : 2012 Collection : 128. Sociologie, anthropologie Sous-collection : Sociologies contemporaines Importance : 125 p. Format : 18 x 13 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-60284-0 Prix : 9,80 € Note générale : Sommaire :
Sigles et acronymes
Introduction
1. Les études sur le genre : démarche générale et choix théoriques
2. Champ de recherche et usages terminologiques : premiers repères
2.1 L'institutionnalisation d'un champ d'études
2.2 Des usages du terme « genre »
2.3 Un champ de recherches pluriel
3. Apports des études sur le genre
4. Objectifs et partis-pris du manuel
5. Présentation générale du manuel
Chapitre 1
Sexe et genre
1. Construction et usages du concept de genre
1.1 Le genre comme « sexe social »
1.2 Vers une nouvelle conception des rapports entre sexe et genre
1.3 Le genre comme rapport social et diviseur
2. La question du biologique : tracer la frontière entre les sexes
2.1 Qu'est-ce qu'un sexe ?
2.2 La biologie comme dispositif social : les rapports entre genre, sexes et corps
3. Défaire le genre ? les mouvements politiques critiques du genre
3.1 Les stratégies féministes radicales
3.1.1 Abolir le genre
3.1.2 S'extraire du genre ? Le lesbianisme radical
3.2 Changer de sexe : Transsexualisme et transgendérisme
3.2.1 La transsexualité comme diagnostic : changer de sexe
3.2.2 La critique du transsexualisme et le modèle transgenre : changer le genre
3.3 Au-delà de l'égalité : la stratégie Queer
Conclusion
Chapitre 2
Genre, sexualité et vie conjugale
Introduction
1. La distinction entre genre et sexualité, un produit de l'histoire
1.1 Un passé érotique qui a longtemps imbriqué genre et sexualité
1.2 L'émergence de la « sexualité »
1.3 Le « sexe », face cachée de la « sexualité »
2. Une sexualité contemporaine toujours empreinte de genre
2.1 Un certain mouvement de convergence
2.2 Une conjugalité hétérosexuelle en mutation
2.3 Des différences persistantes dans l'expérience de la sexualité
2.4 La sexualité hétérosexuelle comme rapport de pouvoir
3. Violences de genre et violences sexuelles
4. Le genre dans les sexualités non mixtes
4.1 Du sexisme à l'homophobie
4.2 Atténuation ou intensification de l'identité de genre ? L'homosexualité masculine en débat
4.3 Les lesbiennes face aux stéréotypes de genre
4.4 Des dynamiques internes encore marquées par le genre ?
Conclusion
Chapitre 3
Genre et socialisation
1. Les différentes dimensions de la socialisation de genre
1.1 À chacun.e son rôle
1.2 Une « économie politique » inégalitaire et asymétrique
1.3 Une « cosmologie » : le genre comme diviseur universel du monde et des objets
1.4 L'apprentissage d'un « régime de vérité »
2. La socialisation de genre dans la famille
2.1 Les parents incarnent chacun un rôle de sexe différent
2.1.1 Le regard de la psychanalyse et de la psychologie sociale
2.1.2 Pères et mères : des investissements distincts et inégaux
2.2 Ils se comportent différemment aux les garçons et avec les filles
2.3 Transgressions de genre et socialisation familiale
3. Le genre de objets et contenus culturels
3.1 Des objet sexués : vêtements et jouets
3.1.1 Les vêtements
3.1.2 Les jouets
3.2 Le genre dans les productions culturelles
3.2.1 Albums, livres et magazines
3.2.2 La publicité
3.2.3 Des contenus culturels à leurs usages
4. La socialisation de genre à l'école
4.1 Une inégalité historique entre garçons et filles devant l'instruction
4.2 Meilleure réussite scolaire des filles... et ségrégation sexuée des filières
4.2.1 Une meilleure réussite scolaire des filles... à relativiser
4.2.2 Une ségrégation sexuée persistante dans l'orientation
4.2.3 Soumission ou insoumission des filles à la domination ?
4.3 L'école, lieu de fabrication de l'ordre du genre
5. La socialisation de genre en pratiques
5.1 La socialisation de genre par le sport
5.1.1 Le sport comme lieu de (re)production de la masculinité
5.1.2 L'accès des femmes au sport : limites et ambivalences
5.2 Socialisation de genre et pratiques culturelles
5.2.1 Des pratiques culturelles fortement sexuées à l'adolescence
5.2.2 Pratiques culturelles et construction des rôles de genre
5.2.3 Des pratiques culturelles distinctes... et hiérarchisées
5.3 Socialisation de genre, amour et sexualité
5.4 Socialisation de genre et déviance
5.4.1 La délinquance, une « carrière » évidemment masculine ?
5.4.2 Délinquance juvénile féminine et transgressions de genre
Conclusion
Chapitre 4
Genre et travail
1. Comment le genre redéfinit le travail : la « découverte » du travail domestique et ses conséquences
1.1 La « découverte » du travail domestique
1.1.1 Le travail domestique au coeur des réflexions féministes
1.1.2 De la théorie à la mesure
1.2 La division sexuée du travail, noeud de l'oppression des femmes
1.2.1 Du travail domestique à une théorie du patriarcat
1.2.2 Dépendance économique et citoyenneté sociale des femmes
2. Un accès inégal à l'emploi
2.1 La féminisation du marché du travail
2.1.1 Une présence des femmes ancienne mais largement occultée
2.1.2 Depuis les années 1960 : salarisation et tertiarisation de l'activité féminine
2.1.3 Des mères actives
2.2 Un accès à l'emploi qui reste inégalitaire
2.2.1 Le temps partiel, un temps de travail au féminin
2.2.2 Chômage et inactivité
3. Un marché du travail segmenté
3.1 Métiers de femmes, métiers d'hommes
3.1.1 Des formations qui restent différenciées
3.1.2 Des métiers différents et inégalement prestigieux
3.1.3 Le cas dés métiers de care
3.1.4 Des qualités féminines... non qualifiantes
3.2 Les enjeux de la mixité : redéfinition des rapports de genre et plafond de verre
3.2.1 Féminisation = dévalorisation ?
3.2.2 Des déclinaisons sexuées d'un même métier
3.2.3 Le « plafond de verre » et ses explications
Conclusion
Chapitre 5
Genre et politique
1. La construction sexuée de l'ordre politique moderne
1.1 Les fondations d'une démocratie « exclusive »
1.1.1 Un « contrat social fraternel »
1.1.2 Des Lumière à la Révolution : l'empreinte du genre
1.2 Le modèle des « sphères séparées » à l'épreuve de ses contestations
1.2.1 L'assignation des femmes au privé : une règle discrètement renégociée
1.2.2 Du suffragisme au droit de suffrage
2. Genre et représentation politique
2.1 Panorama de la sous-représentation politique des femmes
2.1.1 Des parlements majoritairement masculins
2.1.2 Le sexe des gouvernements
2.2 Genre, ordre social et ordre politique
2.2.1 Genre, appétences et compétences politiques
2.2.2 Genre, capitaux sociaux et carrières politiques
2.3 Les logiques androcentrées de la professionnalisation politique
2.3.1 La production symbolique de l'illégitimité politique des femmes
2.3.2 La fabrication organisationnelle des « hommes politiques »
2.4 Genre et politique à l'ère des quotas et de la parité
2.4.1 Genèse des quotas
2.4.2 Ce que les quotas sexués font au champ politique
3. Genre et mobilisations collectives
3.1 Les mobilisations collectives saisies par le genre
3.2 Genre et syndicalisme
3.3 Genre et engagement associatif
3.4 Mouvements des femmes, mouvements féministes
3.4.1 Lutter collectivement en tant que femmes : les mouvements des femmes
3.4.2 Des mobilisations pour la cause des femmes : les mouvements féministes
3.4.3 Se mobiliser entre femmes et en tant que femmes : entre tradition et contestation
4. L'État au prisme du genre
4.1 Genre et politiques sociales
4.1.1 Du modèle du « Male Breadwinner »
4.1.2 À une pluralité de modèles
4.2 Un État féministe ? Les politiques publiques en faveur de l'égalité des sexes
4.2.1 L'émergence des politiques d'égalité des sexes
4.2.2 Modalités et domaines couverts par les politiques d'égalité
4.2.3 Le gender mainstreaming
Conclusion
Chapitre 6
Intersections
1. Le modèle analogique race/classe/genre
1.1 Quels rapports sociaux ?
1.2 Des intersections sociologiques ou politiques ?
1.2.1 L'analogie Race/Classe/Genre : un mouvement de « désessentialisation »
1.2.2 L'analogie avec la classe
1.2.3 L'analogie avec la race
1.2.4 Tensions dans le modèle analogique
2. Intersections sociologiques
2.1 L'intersection de la race et du genre
2.2 L'articulation de la classe et du sexe
2.3 Classes et catégories de la sexualité
2.4 Des rapports sociaux consubstantiels
3. Intersections politiques et stratégiques
3.1 Une critique interne au féminisme
3.2 Le Black feminism comme point de vue
3.3 Tensions et contradictions des stratégies minoritaires
Conclusion
Bibliographie générale
Index des notions
Index des auteur.e.s
Liste des tableaux
Liste des encadrés
Table des matièresCatégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : SHS Hommes et femmes Identité sexuelle Sociologie Rôle selon le sexe Socialisation Différences entre sexes identité sexuelle différence sexuelle discrimination sexuelle Études sur le genre gender studies Index. décimale : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Résumé : Cette synthèse présente les différentes façons dont les sociologues étudient le concept de genre, analysant les variations au cours des décennies et les débats actuels sur le sujet. Voir aussi, en hyperlien, une bibliogr. de Approches, Cultures & Territoires Note de contenu : Bibliogr. p.125. 4e de couv. : "Traduit de l'anglo-américain, le concept de genre s'est progressivement imposé en France au cours des quinze dernières années. Il recouvre désormais un corpus incluant d'autres concepts qui l'ont précédé, tels que « rapports sociaux de sexe » ou « domination masculine ». L'objectif de ce manuel est de mieux cerner la polysémie du genre et d'introduire aux recherches prolifiques qui sont rassemblées sous sa bannière. Tous les travaux de la sociologie du genre ont en commun une problématique : la construction sociale de la différence hiérarchisée des sexes et/ou des sexualités ; une histoire, commencée dans les années 1970, ancrée dans une critique féministe de la sociologie de l'époque qui voyait dans la classe sociale le seul clivage pertinent pour analyser les relations sociales ; une ambition : faire la preuve, enquête après enquête, de la transversalité des rapports de sexe et de sexualité dans le monde social, et convaincre de la nécessité de leur prise en compte dans l'élaboration de n'importe quel objet sociologique." En ligne : http://www.approches.fr/+-Genres-Feminisme-Sexisme-+ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=56806 Sociologie du genre [texte imprimé] / Isabelle Clair (1976-...), Auteur ; François de Singly (1948-...), Directeur de la recherche . - Malakoff (Hauts-de-Seine) : Armand Colin, 2012 . - 125 p. ; 18 x 13 cm. - (128. Sociologie, anthropologie. Sociologies contemporaines) .
ISBN : 978-2-200-60284-0 : 9,80 €
Sommaire :
Sigles et acronymes
Introduction
1. Les études sur le genre : démarche générale et choix théoriques
2. Champ de recherche et usages terminologiques : premiers repères
2.1 L'institutionnalisation d'un champ d'études
2.2 Des usages du terme « genre »
2.3 Un champ de recherches pluriel
3. Apports des études sur le genre
4. Objectifs et partis-pris du manuel
5. Présentation générale du manuel
Chapitre 1
Sexe et genre
1. Construction et usages du concept de genre
1.1 Le genre comme « sexe social »
1.2 Vers une nouvelle conception des rapports entre sexe et genre
1.3 Le genre comme rapport social et diviseur
2. La question du biologique : tracer la frontière entre les sexes
2.1 Qu'est-ce qu'un sexe ?
2.2 La biologie comme dispositif social : les rapports entre genre, sexes et corps
3. Défaire le genre ? les mouvements politiques critiques du genre
3.1 Les stratégies féministes radicales
3.1.1 Abolir le genre
3.1.2 S'extraire du genre ? Le lesbianisme radical
3.2 Changer de sexe : Transsexualisme et transgendérisme
3.2.1 La transsexualité comme diagnostic : changer de sexe
3.2.2 La critique du transsexualisme et le modèle transgenre : changer le genre
3.3 Au-delà de l'égalité : la stratégie Queer
Conclusion
Chapitre 2
Genre, sexualité et vie conjugale
Introduction
1. La distinction entre genre et sexualité, un produit de l'histoire
1.1 Un passé érotique qui a longtemps imbriqué genre et sexualité
1.2 L'émergence de la « sexualité »
1.3 Le « sexe », face cachée de la « sexualité »
2. Une sexualité contemporaine toujours empreinte de genre
2.1 Un certain mouvement de convergence
2.2 Une conjugalité hétérosexuelle en mutation
2.3 Des différences persistantes dans l'expérience de la sexualité
2.4 La sexualité hétérosexuelle comme rapport de pouvoir
3. Violences de genre et violences sexuelles
4. Le genre dans les sexualités non mixtes
4.1 Du sexisme à l'homophobie
4.2 Atténuation ou intensification de l'identité de genre ? L'homosexualité masculine en débat
4.3 Les lesbiennes face aux stéréotypes de genre
4.4 Des dynamiques internes encore marquées par le genre ?
Conclusion
Chapitre 3
Genre et socialisation
1. Les différentes dimensions de la socialisation de genre
1.1 À chacun.e son rôle
1.2 Une « économie politique » inégalitaire et asymétrique
1.3 Une « cosmologie » : le genre comme diviseur universel du monde et des objets
1.4 L'apprentissage d'un « régime de vérité »
2. La socialisation de genre dans la famille
2.1 Les parents incarnent chacun un rôle de sexe différent
2.1.1 Le regard de la psychanalyse et de la psychologie sociale
2.1.2 Pères et mères : des investissements distincts et inégaux
2.2 Ils se comportent différemment aux les garçons et avec les filles
2.3 Transgressions de genre et socialisation familiale
3. Le genre de objets et contenus culturels
3.1 Des objet sexués : vêtements et jouets
3.1.1 Les vêtements
3.1.2 Les jouets
3.2 Le genre dans les productions culturelles
3.2.1 Albums, livres et magazines
3.2.2 La publicité
3.2.3 Des contenus culturels à leurs usages
4. La socialisation de genre à l'école
4.1 Une inégalité historique entre garçons et filles devant l'instruction
4.2 Meilleure réussite scolaire des filles... et ségrégation sexuée des filières
4.2.1 Une meilleure réussite scolaire des filles... à relativiser
4.2.2 Une ségrégation sexuée persistante dans l'orientation
4.2.3 Soumission ou insoumission des filles à la domination ?
4.3 L'école, lieu de fabrication de l'ordre du genre
5. La socialisation de genre en pratiques
5.1 La socialisation de genre par le sport
5.1.1 Le sport comme lieu de (re)production de la masculinité
5.1.2 L'accès des femmes au sport : limites et ambivalences
5.2 Socialisation de genre et pratiques culturelles
5.2.1 Des pratiques culturelles fortement sexuées à l'adolescence
5.2.2 Pratiques culturelles et construction des rôles de genre
5.2.3 Des pratiques culturelles distinctes... et hiérarchisées
5.3 Socialisation de genre, amour et sexualité
5.4 Socialisation de genre et déviance
5.4.1 La délinquance, une « carrière » évidemment masculine ?
5.4.2 Délinquance juvénile féminine et transgressions de genre
Conclusion
Chapitre 4
Genre et travail
1. Comment le genre redéfinit le travail : la « découverte » du travail domestique et ses conséquences
1.1 La « découverte » du travail domestique
1.1.1 Le travail domestique au coeur des réflexions féministes
1.1.2 De la théorie à la mesure
1.2 La division sexuée du travail, noeud de l'oppression des femmes
1.2.1 Du travail domestique à une théorie du patriarcat
1.2.2 Dépendance économique et citoyenneté sociale des femmes
2. Un accès inégal à l'emploi
2.1 La féminisation du marché du travail
2.1.1 Une présence des femmes ancienne mais largement occultée
2.1.2 Depuis les années 1960 : salarisation et tertiarisation de l'activité féminine
2.1.3 Des mères actives
2.2 Un accès à l'emploi qui reste inégalitaire
2.2.1 Le temps partiel, un temps de travail au féminin
2.2.2 Chômage et inactivité
3. Un marché du travail segmenté
3.1 Métiers de femmes, métiers d'hommes
3.1.1 Des formations qui restent différenciées
3.1.2 Des métiers différents et inégalement prestigieux
3.1.3 Le cas dés métiers de care
3.1.4 Des qualités féminines... non qualifiantes
3.2 Les enjeux de la mixité : redéfinition des rapports de genre et plafond de verre
3.2.1 Féminisation = dévalorisation ?
3.2.2 Des déclinaisons sexuées d'un même métier
3.2.3 Le « plafond de verre » et ses explications
Conclusion
Chapitre 5
Genre et politique
1. La construction sexuée de l'ordre politique moderne
1.1 Les fondations d'une démocratie « exclusive »
1.1.1 Un « contrat social fraternel »
1.1.2 Des Lumière à la Révolution : l'empreinte du genre
1.2 Le modèle des « sphères séparées » à l'épreuve de ses contestations
1.2.1 L'assignation des femmes au privé : une règle discrètement renégociée
1.2.2 Du suffragisme au droit de suffrage
2. Genre et représentation politique
2.1 Panorama de la sous-représentation politique des femmes
2.1.1 Des parlements majoritairement masculins
2.1.2 Le sexe des gouvernements
2.2 Genre, ordre social et ordre politique
2.2.1 Genre, appétences et compétences politiques
2.2.2 Genre, capitaux sociaux et carrières politiques
2.3 Les logiques androcentrées de la professionnalisation politique
2.3.1 La production symbolique de l'illégitimité politique des femmes
2.3.2 La fabrication organisationnelle des « hommes politiques »
2.4 Genre et politique à l'ère des quotas et de la parité
2.4.1 Genèse des quotas
2.4.2 Ce que les quotas sexués font au champ politique
3. Genre et mobilisations collectives
3.1 Les mobilisations collectives saisies par le genre
3.2 Genre et syndicalisme
3.3 Genre et engagement associatif
3.4 Mouvements des femmes, mouvements féministes
3.4.1 Lutter collectivement en tant que femmes : les mouvements des femmes
3.4.2 Des mobilisations pour la cause des femmes : les mouvements féministes
3.4.3 Se mobiliser entre femmes et en tant que femmes : entre tradition et contestation
4. L'État au prisme du genre
4.1 Genre et politiques sociales
4.1.1 Du modèle du « Male Breadwinner »
4.1.2 À une pluralité de modèles
4.2 Un État féministe ? Les politiques publiques en faveur de l'égalité des sexes
4.2.1 L'émergence des politiques d'égalité des sexes
4.2.2 Modalités et domaines couverts par les politiques d'égalité
4.2.3 Le gender mainstreaming
Conclusion
Chapitre 6
Intersections
1. Le modèle analogique race/classe/genre
1.1 Quels rapports sociaux ?
1.2 Des intersections sociologiques ou politiques ?
1.2.1 L'analogie Race/Classe/Genre : un mouvement de « désessentialisation »
1.2.2 L'analogie avec la classe
1.2.3 L'analogie avec la race
1.2.4 Tensions dans le modèle analogique
2. Intersections sociologiques
2.1 L'intersection de la race et du genre
2.2 L'articulation de la classe et du sexe
2.3 Classes et catégories de la sexualité
2.4 Des rapports sociaux consubstantiels
3. Intersections politiques et stratégiques
3.1 Une critique interne au féminisme
3.2 Le Black feminism comme point de vue
3.3 Tensions et contradictions des stratégies minoritaires
Conclusion
Bibliographie générale
Index des notions
Index des auteur.e.s
Liste des tableaux
Liste des encadrés
Table des matières
Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : SHS Hommes et femmes Identité sexuelle Sociologie Rôle selon le sexe Socialisation Différences entre sexes identité sexuelle différence sexuelle discrimination sexuelle Études sur le genre gender studies Index. décimale : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Résumé : Cette synthèse présente les différentes façons dont les sociologues étudient le concept de genre, analysant les variations au cours des décennies et les débats actuels sur le sujet. Voir aussi, en hyperlien, une bibliogr. de Approches, Cultures & Territoires Note de contenu : Bibliogr. p.125. 4e de couv. : "Traduit de l'anglo-américain, le concept de genre s'est progressivement imposé en France au cours des quinze dernières années. Il recouvre désormais un corpus incluant d'autres concepts qui l'ont précédé, tels que « rapports sociaux de sexe » ou « domination masculine ». L'objectif de ce manuel est de mieux cerner la polysémie du genre et d'introduire aux recherches prolifiques qui sont rassemblées sous sa bannière. Tous les travaux de la sociologie du genre ont en commun une problématique : la construction sociale de la différence hiérarchisée des sexes et/ou des sexualités ; une histoire, commencée dans les années 1970, ancrée dans une critique féministe de la sociologie de l'époque qui voyait dans la classe sociale le seul clivage pertinent pour analyser les relations sociales ; une ambition : faire la preuve, enquête après enquête, de la transversalité des rapports de sexe et de sexualité dans le monde social, et convaincre de la nécessité de leur prise en compte dans l'élaboration de n'importe quel objet sociologique." En ligne : http://www.approches.fr/+-Genres-Feminisme-Sexisme-+ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=56806 Réservation
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A leur corps défendant. Les femmes à l'épreuve du nouvel ordre moral / BU de Lettres / Christine Détrez
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Titre : A leur corps défendant. Les femmes à l'épreuve du nouvel ordre moral / BU de Lettres Type de document : document électronique Auteurs : Christine Détrez (1969-...), Auteur ; Anne Simon (1967-...), Auteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : impr. 2006 Importance : 281 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-079294-3 Prix : 21 € Note générale : “L’amour s’inculque à l’école comme les règles de grammaire ou de mathématiques, et est un pur produit de l’éducation. Et son enseignement se diffuse par les romans, les lectures, les contes racontés dans l’enfance, les chansons, le cinéma”. p. 230 Langues : Français (fre) Mots-clés : Femmes -- Dans la littérature gender studies sociologie condition de la femme Image du corps chez la femme Morale sociale -- 20e siècle Sociologie du corps Féminisme Résumé : Affiches délibérément provocantes, débats au sujet du string ou du voile, de la pornographie ou de la prostitution, mouvements néoféministes : le corps féminin sature l'espace public et les discours. La littérature et le cinéma « tendance » en ont fait leur spécialité. Mais ces représentations artistiques et symboliques du corps révèlent le nouvel ordre moral que les femmes doivent affronter. Retour du couple et du familialisme, ou réorientations novatrices ? La question mérite d'être posée. Car, derrière l'apparente libération des moeurs et des propos, ce qui se joue actuellement c'est bien la dangereuse perpétuation d'une forme d'essentialisation du féminin. Note de contenu : Bibliogr. p. 259-[282]. Notes bibliogr. En ligne : https://lesvendredisintellos.com/2014/12/04/retour-sur-le-sexisme-dans-la-litter [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=263319 A leur corps défendant. Les femmes à l'épreuve du nouvel ordre moral / BU de Lettres [document électronique] / Christine Détrez (1969-...), Auteur ; Anne Simon (1967-...), Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, impr. 2006 . - 281 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-02-079294-3 : 21 €
“L’amour s’inculque à l’école comme les règles de grammaire ou de mathématiques, et est un pur produit de l’éducation. Et son enseignement se diffuse par les romans, les lectures, les contes racontés dans l’enfance, les chansons, le cinéma”. p. 230
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Femmes -- Dans la littérature gender studies sociologie condition de la femme Image du corps chez la femme Morale sociale -- 20e siècle Sociologie du corps Féminisme Résumé : Affiches délibérément provocantes, débats au sujet du string ou du voile, de la pornographie ou de la prostitution, mouvements néoféministes : le corps féminin sature l'espace public et les discours. La littérature et le cinéma « tendance » en ont fait leur spécialité. Mais ces représentations artistiques et symboliques du corps révèlent le nouvel ordre moral que les femmes doivent affronter. Retour du couple et du familialisme, ou réorientations novatrices ? La question mérite d'être posée. Car, derrière l'apparente libération des moeurs et des propos, ce qui se joue actuellement c'est bien la dangereuse perpétuation d'une forme d'essentialisation du féminin. Note de contenu : Bibliogr. p. 259-[282]. Notes bibliogr. En ligne : https://lesvendredisintellos.com/2014/12/04/retour-sur-le-sexisme-dans-la-litter [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=263319 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Titre : Ne nous libérez pas, on s'en charge ! / SCD et Cairn Type de document : document électronique Auteurs : Bibia Pavard (1980-...) , Auteur ; Florence Rochefort (1958-...)
, Auteur ; Michelle Zancarini-Fournel (1947-...), Auteur
Mention d'édition : Disponible sur Cairn Editeur : Paris : Éditions La Découverte Année de publication : 2020 Collection : Sciences humaines et sociales Importance : 750 p. Format : 17 x 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-348-05561-4 Prix : 25 € Note générale : En hyperlien, 50' : "Les différences stratégiques entre les différents courants féministes sont-ils plus importants aujourd'hui qu'hier ? Sont-ils plus visibles car davantage médiatisés ? Pour en discuter, nous recevons deux historiennes des féminismes qui appartiennent à des générations différentes : Bibia Pavard, co-autrice de "Ne nous libérez pas, on s'en charge !" (La Découverte, 2020), et Michèle Riot-Sarcey, dont le dernier ouvrage est signé avec Jean-Louis Laville, "Le réveil de l'utopie" (Editions de l'Atelier, 2020)"
"Luttes féministes
Politis n°1617, p. 23 : Quelle heureuse rentrée pour celles et ceux qui s’intéressent aux luttes féministes et à leur histoire ! Dans deux livres aux titres tirés de slogans, quatre historiennes se penchent sur cette histoire longue des combats, des idées, des répertoires d’actions, des débats internes, des angles morts du féminisme, ainsi que des alliances tissées ou rompues, des droits conquis mais toujours à défendre, et ce en embrassant la période de la Révolution française à nos jours. En ces temps de dynamisme du féminisme, mais aussi de backlash contre celles que, depuis 1789, on traite d’hystériques, il est important de faire cette généalogie.
"Rage against the machisme" adopte une démarche de vulgarisation scientifique et d’éducation populaire. Tiré du séminaire de l’EHESS « Genre, politique et sexualité», "Ne nous libérez pas on s’en charge" est une somme issue de la recherche la plus récente sur ces questions." L.d.C.Langues : Français (fre) Mots-clés : histoire féminismes féminisme gender studies me too inégalités sociales raciales genre intersectionnalité Résumé : Comment les féminismes ont-ils émergé en France ? Doit-on parler de « féminisme bourgeois » ? Quels liens ont existé entre féminismes et socialismes ? Y a-t-il eu des féminismes noirs ? Les féministes étaient-elles toutes colonialistes ? Existe-t-il des féminismes religieux ? Comment s’articulent mouvements lesbien, gay, trans et mouvements féministes ? Quel a été le rôle du féminisme institutionnel ? Qu’est-ce qui est nouveau dans les groupes féministes aujourd’hui ? Qu’est-ce que révèle #Metoo sur la capacité des femmes à se mobiliser ?
Ce livre entend fournir quelques clés indispensables afin de penser les féminismes d’hier et d’aujourd’hui à la lumière des grands défis contemporains, des inégalités sociales, raciales et de genre. Cette sociohistoire renouvelée des féminismes rend compte des stratégies plurielles déployées par les femmes et les hommes féministes qui ont combattu les inégalités entre les sexes et l’oppression spécifique des femmes, de la Révolution française à nos jours.Note de contenu : Libérateur pour les uns, outrancier pour les autres, le mouvement #MeToo confirme la permanence d’un combat légitime et l’énergie des femmes qui le portent. Depuis les tricoteuses de la Révolution française, les pétroleuses de la Commune ou le manifeste des 343 salopes, les féministes ont toujours défié le modèle patriarcal. Chacune à sa manière, car on ne saurait définir le féminisme de manière univoque. L'ouvrage explore les différentes facettes et l’évolution de cet esprit de lutte contre toute forme d’inégalité. En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/linvitee-des-matins/feminisme-divergence- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=249192 Ne nous libérez pas, on s'en charge ! / SCD et Cairn [document électronique] / Bibia Pavard (1980-...), Auteur ; Florence Rochefort (1958-...)
, Auteur ; Michelle Zancarini-Fournel (1947-...), Auteur . - Disponible sur Cairn . - Paris : Éditions La Découverte, 2020 . - 750 p. ; 17 x 24 cm. - (Sciences humaines et sociales) .
ISBN : 978-2-348-05561-4 : 25 €
En hyperlien, 50' : "Les différences stratégiques entre les différents courants féministes sont-ils plus importants aujourd'hui qu'hier ? Sont-ils plus visibles car davantage médiatisés ? Pour en discuter, nous recevons deux historiennes des féminismes qui appartiennent à des générations différentes : Bibia Pavard, co-autrice de "Ne nous libérez pas, on s'en charge !" (La Découverte, 2020), et Michèle Riot-Sarcey, dont le dernier ouvrage est signé avec Jean-Louis Laville, "Le réveil de l'utopie" (Editions de l'Atelier, 2020)"
"Luttes féministes
Politis n°1617, p. 23 : Quelle heureuse rentrée pour celles et ceux qui s’intéressent aux luttes féministes et à leur histoire ! Dans deux livres aux titres tirés de slogans, quatre historiennes se penchent sur cette histoire longue des combats, des idées, des répertoires d’actions, des débats internes, des angles morts du féminisme, ainsi que des alliances tissées ou rompues, des droits conquis mais toujours à défendre, et ce en embrassant la période de la Révolution française à nos jours. En ces temps de dynamisme du féminisme, mais aussi de backlash contre celles que, depuis 1789, on traite d’hystériques, il est important de faire cette généalogie.
"Rage against the machisme" adopte une démarche de vulgarisation scientifique et d’éducation populaire. Tiré du séminaire de l’EHESS « Genre, politique et sexualité», "Ne nous libérez pas on s’en charge" est une somme issue de la recherche la plus récente sur ces questions." L.d.C.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : histoire féminismes féminisme gender studies me too inégalités sociales raciales genre intersectionnalité Résumé : Comment les féminismes ont-ils émergé en France ? Doit-on parler de « féminisme bourgeois » ? Quels liens ont existé entre féminismes et socialismes ? Y a-t-il eu des féminismes noirs ? Les féministes étaient-elles toutes colonialistes ? Existe-t-il des féminismes religieux ? Comment s’articulent mouvements lesbien, gay, trans et mouvements féministes ? Quel a été le rôle du féminisme institutionnel ? Qu’est-ce qui est nouveau dans les groupes féministes aujourd’hui ? Qu’est-ce que révèle #Metoo sur la capacité des femmes à se mobiliser ?
Ce livre entend fournir quelques clés indispensables afin de penser les féminismes d’hier et d’aujourd’hui à la lumière des grands défis contemporains, des inégalités sociales, raciales et de genre. Cette sociohistoire renouvelée des féminismes rend compte des stratégies plurielles déployées par les femmes et les hommes féministes qui ont combattu les inégalités entre les sexes et l’oppression spécifique des femmes, de la Révolution française à nos jours.Note de contenu : Libérateur pour les uns, outrancier pour les autres, le mouvement #MeToo confirme la permanence d’un combat légitime et l’énergie des femmes qui le portent. Depuis les tricoteuses de la Révolution française, les pétroleuses de la Commune ou le manifeste des 343 salopes, les féministes ont toujours défié le modèle patriarcal. Chacune à sa manière, car on ne saurait définir le féminisme de manière univoque. L'ouvrage explore les différentes facettes et l’évolution de cet esprit de lutte contre toute forme d’inégalité. En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/linvitee-des-matins/feminisme-divergence- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=249192 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques