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Les compensations socio-environnementales : un outil socio-politique d'acceptabilité de l'implantation ou de l'extension d'infrastructures ? / Julie Gobert
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Titre : Les compensations socio-environnementales : un outil socio-politique d'acceptabilité de l'implantation ou de l'extension d'infrastructures ? Type de document : document électronique Auteurs : Julie Gobert (1981-...) , Auteur ; Jocelyne Dubois-Maury (1951-...), Directeur de thèse ; Université Paris-Est (2007-2015), Organisme de soutenance ; École doctorale Ville, Transports et Territoires (2010-2015; Champs-sur-Marne, Seine-et-Marne), ; Lab'Urba (Champs-sur-Marne, Seine-et-Marne),
Editeur : Université Paris-Est Marne la Vallée Année de publication : 2010 Importance : 637 p. Présentation : ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : Thèse de doctorat : Aménagement de l'espace, urbanisme : Paris Est : 2010.- Ecole(s) Doctorale(s) : École doctorale Ville, Transports et Territoires (Champs-sur-Marne, Seine-et-Marne ; 2010-2015). - Partenaire(s) de recherche : Lab'Urba (Champs-sur-Marne, Seine-et-Marne) (Laboratoire). - Autre(s) contribution(s) : Michel Savy (Président du jury) ; Jocelyne Dubois-Maury, Maurice Goze, Stéphane Nahrath (Membre(s) du jury) ; Florence Rudolf, Cynthia Ghorra-Gobin (Rapporteur(s)) Langues : Français (fre) Mots-clés : Justice environnementale inégalités environnementales Aménagement du territoire -- Aspect environnemental
Développement durable
Justice sociale
Réseaux (aménagement du territoire)
Compensation socio-environnementale
Équité spatiale
NégociationRésumé : La présence ou l'installation d'équipements générateurs d'impacts négatifs, comme les aéroports, les centrales électriques, etc. suscitent sur les territoires riverains et au- delà de nombreuses contestations. Divers modes de résolution ont pu voir le jour recourant généralement à de nouvelles formes de concertation, sans toutefois que cette entreprise débouche sur une distribution spatiale plus « juste » des aménités et désaménités environnementales. Au travers des compensations territoriales (discrimination positive à l'embauche des riverains, offre de formations en leur faveur pour les emplois développés par l'infrastructure, aménagement d'espaces verts…) se dissimule l'ambition non seulement de lutter contre les nuisances mais aussi de redistribuer les externalités positives dans le but d'une meilleure équité. Mesures apportées principalement à la collectivité, elles sont en général le résultat de négociations entre différents acteurs : représentants des collectivités locales, exploitants/aménageurs, société civile – associations, syndicats souvent regroupés en coalition. Les compromis compensatoires tentent de concilier des domaines aux légitimités et aux fonctionnements apparemment antagoniques (justice sociale, équité spatiale et efficacité environnementale). Il s'agit cependant de se demander, au travers d'une mise en parallèle de cas d'étude aux Etats-Unis, en Allemagne au Canada et d'une approche synthétique sur la France, si ces outils d'action publique/privée participent réellement à la résorption des injustices environnementales et spatiales dans la mesure où l'utilisation de la compensation socio-environnementale n'est pas sans soulever des questions d'éthique Note de contenu : Plan de l’article, en hyperlien
1. Comment définir une inégalité environnementale ?
2. La construction sociale et politique des inégalités environnementales
3. Les inégalités environnementales : variété des configurations
4. Des modalités de de réparation ou de compensation
4.1. Les formes d’internalisation : de la législation à la négociation
4.2. Un enjeu politique plus ou moins intégré dans l’agenda politique
5. Prendre en compte les impacts sociaux des politiques environnementalesEn ligne : https://www.encyclopedie-environnement.org/societe/inegalites-environnementales/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=271633 Les compensations socio-environnementales : un outil socio-politique d'acceptabilité de l'implantation ou de l'extension d'infrastructures ? [document électronique] / Julie Gobert (1981-...), Auteur ; Jocelyne Dubois-Maury (1951-...), Directeur de thèse ; Université Paris-Est (2007-2015), Organisme de soutenance ; École doctorale Ville, Transports et Territoires (2010-2015; Champs-sur-Marne, Seine-et-Marne), ; Lab'Urba (Champs-sur-Marne, Seine-et-Marne), . - [S.l.] : Université Paris-Est Marne la Vallée, 2010 . - 637 p. : ill. en coul. ; 30 cm.
Thèse de doctorat : Aménagement de l'espace, urbanisme : Paris Est : 2010.- Ecole(s) Doctorale(s) : École doctorale Ville, Transports et Territoires (Champs-sur-Marne, Seine-et-Marne ; 2010-2015). - Partenaire(s) de recherche : Lab'Urba (Champs-sur-Marne, Seine-et-Marne) (Laboratoire). - Autre(s) contribution(s) : Michel Savy (Président du jury) ; Jocelyne Dubois-Maury, Maurice Goze, Stéphane Nahrath (Membre(s) du jury) ; Florence Rudolf, Cynthia Ghorra-Gobin (Rapporteur(s))
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Justice environnementale inégalités environnementales Aménagement du territoire -- Aspect environnemental
Développement durable
Justice sociale
Réseaux (aménagement du territoire)
Compensation socio-environnementale
Équité spatiale
NégociationRésumé : La présence ou l'installation d'équipements générateurs d'impacts négatifs, comme les aéroports, les centrales électriques, etc. suscitent sur les territoires riverains et au- delà de nombreuses contestations. Divers modes de résolution ont pu voir le jour recourant généralement à de nouvelles formes de concertation, sans toutefois que cette entreprise débouche sur une distribution spatiale plus « juste » des aménités et désaménités environnementales. Au travers des compensations territoriales (discrimination positive à l'embauche des riverains, offre de formations en leur faveur pour les emplois développés par l'infrastructure, aménagement d'espaces verts…) se dissimule l'ambition non seulement de lutter contre les nuisances mais aussi de redistribuer les externalités positives dans le but d'une meilleure équité. Mesures apportées principalement à la collectivité, elles sont en général le résultat de négociations entre différents acteurs : représentants des collectivités locales, exploitants/aménageurs, société civile – associations, syndicats souvent regroupés en coalition. Les compromis compensatoires tentent de concilier des domaines aux légitimités et aux fonctionnements apparemment antagoniques (justice sociale, équité spatiale et efficacité environnementale). Il s'agit cependant de se demander, au travers d'une mise en parallèle de cas d'étude aux Etats-Unis, en Allemagne au Canada et d'une approche synthétique sur la France, si ces outils d'action publique/privée participent réellement à la résorption des injustices environnementales et spatiales dans la mesure où l'utilisation de la compensation socio-environnementale n'est pas sans soulever des questions d'éthique Note de contenu : Plan de l’article, en hyperlien
1. Comment définir une inégalité environnementale ?
2. La construction sociale et politique des inégalités environnementales
3. Les inégalités environnementales : variété des configurations
4. Des modalités de de réparation ou de compensation
4.1. Les formes d’internalisation : de la législation à la négociation
4.2. Un enjeu politique plus ou moins intégré dans l’agenda politique
5. Prendre en compte les impacts sociaux des politiques environnementalesEn ligne : https://www.encyclopedie-environnement.org/societe/inegalites-environnementales/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=271633 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : La nature est un champ de bataille : essai d'écologie politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Razmig Keucheyan (1975-...) , Auteur
Mention d'édition : Disponible également sur Zones.fr; cf. hyperlien Editeur : Paris : Zones, un label des éditions La Découverte Année de publication : 2014 Importance : 203 p. Présentation : couv. ill. Format : 21 x 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35522-058-6 Prix : 16 € Note générale : 4e de couv. : "«branchés» sur la nature. Faute de s'attaquer à la racine du problème, la stratégie néolibérale choisit de financiariser l'assurance des risques climatiques. C'est l'essor de la «finance environnementale» comme réponse capitaliste à la crise. Surcroît de catastrophes naturelles, raréfaction de certaines ressources, crises alimentaires, déstabilisation des pôles et des océans, «réfugiés climatiques» par dizaine de millions à l'horizon 2050... Autant de facteurs qui annoncent des conflits armés d'un nouveau genre, auxquels se préparent aujourd'hui les militaires occidentaux. Fini la guerre froide, bienvenue aux «guerres vertes». De La Nouvelle-Orléans au glacier Siachen en passant par la banquise de l'Arctique, l'auteur explore les lieux marquants de cette nouvelle «géostratégie du climat». Cet essai novateur de théorie politique fournit une grille de lecture originale et critique, indispensable pour saisir les enjeux de la crise écologique actuelle. À travers l'exposition édifiante des scénarios capitalistes face au désastre
environnemental, il fait oeuvre - salutaire - de futurologie critique."Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Politique et administration publique / Sciences politiques / Idéologies Idéologies politiques environnementalistes Écologie -- Aspect politique écologie, politique gouvernementale racisme environnemental catastrophe écologique classes sociales inégalités environnementales Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : Remise en question l'idée selon laquelle l'humanité s'unirait autour d'un pacte écologique. La crise écologique n'efface pas les antagonismes et il n'y a pas de consensus environnemental possible. Il existe des situations inégales voire un racisme environnemental. Les millions de réfugiés climatiques d'ici 2050 annoncent des conflits armés d'un nouveau genre. Note de contenu : Sommaire
INTRODUCTION
I. RACISME ENVIRONNEMENTAL
II. FINANCIARISER LA NATURE : L’ASSURANCE DES RISQUES CLIMATIQUES
III. LES GUERRES VERTES, OU LA MILITARISATION DE L’ÉCOLOGIE
CONCLUSION : FIN DE PARTIE ?En ligne : https://www.editions-zones.fr/lyber?la-nature-est-un-champ-de-bataille Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=140081 La nature est un champ de bataille : essai d'écologie politique [texte imprimé] / Razmig Keucheyan (1975-...), Auteur . - Disponible également sur Zones.fr; cf. hyperlien . - Paris : Zones, un label des éditions La Découverte, 2014 . - 203 p. : couv. ill. ; 21 x 15 cm.
ISBN : 978-2-35522-058-6 : 16 €
4e de couv. : "«branchés» sur la nature. Faute de s'attaquer à la racine du problème, la stratégie néolibérale choisit de financiariser l'assurance des risques climatiques. C'est l'essor de la «finance environnementale» comme réponse capitaliste à la crise. Surcroît de catastrophes naturelles, raréfaction de certaines ressources, crises alimentaires, déstabilisation des pôles et des océans, «réfugiés climatiques» par dizaine de millions à l'horizon 2050... Autant de facteurs qui annoncent des conflits armés d'un nouveau genre, auxquels se préparent aujourd'hui les militaires occidentaux. Fini la guerre froide, bienvenue aux «guerres vertes». De La Nouvelle-Orléans au glacier Siachen en passant par la banquise de l'Arctique, l'auteur explore les lieux marquants de cette nouvelle «géostratégie du climat». Cet essai novateur de théorie politique fournit une grille de lecture originale et critique, indispensable pour saisir les enjeux de la crise écologique actuelle. À travers l'exposition édifiante des scénarios capitalistes face au désastre
environnemental, il fait oeuvre - salutaire - de futurologie critique."
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Politique et administration publique / Sciences politiques / Idéologies Idéologies politiques environnementalistes Écologie -- Aspect politique écologie, politique gouvernementale racisme environnemental catastrophe écologique classes sociales inégalités environnementales Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : Remise en question l'idée selon laquelle l'humanité s'unirait autour d'un pacte écologique. La crise écologique n'efface pas les antagonismes et il n'y a pas de consensus environnemental possible. Il existe des situations inégales voire un racisme environnemental. Les millions de réfugiés climatiques d'ici 2050 annoncent des conflits armés d'un nouveau genre. Note de contenu : Sommaire
INTRODUCTION
I. RACISME ENVIRONNEMENTAL
II. FINANCIARISER LA NATURE : L’ASSURANCE DES RISQUES CLIMATIQUES
III. LES GUERRES VERTES, OU LA MILITARISATION DE L’ÉCOLOGIE
CONCLUSION : FIN DE PARTIE ?En ligne : https://www.editions-zones.fr/lyber?la-nature-est-un-champ-de-bataille Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=140081 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1117 S-40 KEU Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Médiation scientifique Disponible Documents numériques
La fin d'un grand partage : nature et société, de Durkheim à Descola / SUDOC et Dawsonera / Pierre Charbonnier
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Titre : La fin d'un grand partage : nature et société, de Durkheim à Descola / SUDOC et Dawsonera Titre original : Les rapports collectifs à l'environnement naturel : un enjeu anthropologique et philosophique Type de document : document électronique Auteurs : Pierre Charbonnier (1983-...) , Auteur ; Stéphane Haber (1967-...), Directeur de thèse ; Thierry Martin, Directeur de thèse
Mention d'édition : Texte remanié de : Thèse de doctorat : Philosophie : Besançon : 2011 : Les rapports collectifs à l'environnement naturel : un enjeu anthropologique et philosophique Editeur : Paris : Éditions du CNRS, Centre national de la recherche scientifique Année de publication : 2015 Collection : CNRS philosophie, ISSN 1248-5284 Importance : 310 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-271-08211-4 Prix : 25 € Note générale : Ecole(s) Doctorale(s) : Ecole doctorale Langages, Espaces, Temps, Sociétés (Besançon ; 1991-2016). - Partenaire(s) de recherche : Laboratoire de recherches philosophiques sur les logiques de l'agir (Besançon) (Laboratoire), Laboratoire de Recherches philosophiques sur les Logiques de l'Agir (Laboratoire). - Autre(s) contribution(s) : Thierry Martin (Président du jury) ; Stéphane Haber, Thierry Martin, Bruno Karsenti, Catherine Larrère, Philippe Descola, Frédéric Keck (Membre(s) du jury) ; Bruno Karsenti, Catherine Larrère (Rapporteur(s))
Bibliogr. p. 295-[304]. Notes bibliogr. Index
Langues : Français (fre) Mots-clés : Philosophie de la nature --sciences sociales anthropologie sociologie histoire questions environnementales Anthropologie Naturalisme (philosophie) -- Environnement -- Thèses et écrits académiques Nature Société Culture Descola, Philippe (1949-....) économie politique Marx production sans Lévi-Strauss, Claude (1908-2009) Écologie politique Philosophie souverainisme matérialisé écologie libérale réactionniste réactionnaire héritage socialiste front social luttes populaires luttes sociales qualité environnentale Philosophie de la nature Ecologie laisser faire spontanéité Écologie humaine -- Philosophie
Épistémologie des sciences sociales
Philosophie de la nature
Philosophie de l'homme
Ecologie racisme environnemental catastrophe écologique classes sociales inégalités environnementalesRésumé : La quatrième de couverture indique : "Les relations de l'homme et de son organisation sociale au milieu naturel ont longtemps été étudiées dans le cadre d'une opposition entre nature et société. Mais la crise écologique invite à nous interroger sur ce partage, et à revenir sur le sens de ce clivage. L'objectif de ce livre est d'éclairer les ambiguïtés du rapport à la nature des modernes, en relisant du point de vue de la nature cette histoire jalonnée par trois oeuvres, Les formes élémentaires de la vie religieuse de Durkheim, La pensée sauvage de Lévi-Strauss et Par-delà nature et culture de Philippe Descola. Y a-t-il un paradoxe à parler de la nature comme d'un fait social ? Quelle signification et quelle valeur accorder aux sociétés restées indifférentes au partage entre nature et société ? Quels concepts mobiliser aujourd'hui pour faire face à la transformation de nos rapports collectifs à la nature ? Alors que la nature est de plus en plus humanisée et que les affaires humaines doivent en retour toujours plus composer avec elle, le grand partage du naturel et du social semble perdre toute pertinence." Note de contenu : Lʼanthropologie, et plus spécialement les développements quʼelle a connus en contexte francophone, possède une affinité toute particulière avec lʼinvestigation philosophique sur la notion de nature : toutes deux interrogent en effet la valeur de ce terme classique du répertoire conceptuel occidental, et plus encore le sens que lʼon peut encore donner au partage entre le naturel et le social, ou le culturel. Ce faisant, elles se heurtent à des tensions analogues, lʼanthropologie bénéficiant toutefois du privilège de la méthode comparative, quilui donne accès à des cosmologies manifestant un arrangement des êtres et des personnes différents du nôtre. Ce sont ces liens que cette thèse se propose dʼexplorer, et cela à travers lʼexamen historique et critique de quelques théories anthropologiques clés. Parmi elles notamment, lʼécole durkheimienne, lʼanthropologie structurale de Claude Lévi-Strauss et de ses successeurs, et le courant dʼanthropologie de la nature, où ces questions trouvent aujourdʼhui leur épanouissement. Lʼhypothèse centrale de ce travail est que lʼanthropologie sociale est liée à la prise de conscience du rôle que lʼidée de nature a joué et joue encore dans notre trajectoire historique, c'est-à-dire de ce que lʼon a pris lʼhabitude dʼappeler la modernité, et de ce qui la sépare dʼautres expériences collectives. Cette investigation débouche sur un examen des concepts centraux de la pensée écologique, qui donne à ces enjeux un élan nouveau : une pensée environnementale est-elle une sortie du naturalisme moderne, et si oui, à quelles conditions est-elle possible et légitime ? En ligne : http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://www-dawsonera-com.proxy.scd.uni [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=237001 La fin d'un grand partage : nature et société, de Durkheim à Descola / SUDOC et Dawsonera = Les rapports collectifs à l'environnement naturel : un enjeu anthropologique et philosophique [document électronique] / Pierre Charbonnier (1983-...), Auteur ; Stéphane Haber (1967-...), Directeur de thèse ; Thierry Martin, Directeur de thèse . - Texte remanié de : Thèse de doctorat : Philosophie : Besançon : 2011 : Les rapports collectifs à l'environnement naturel : un enjeu anthropologique et philosophique . - Paris : Éditions du CNRS, Centre national de la recherche scientifique, 2015 . - 310 p. : couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (CNRS philosophie, ISSN 1248-5284) .
ISBN : 978-2-271-08211-4 : 25 €
Ecole(s) Doctorale(s) : Ecole doctorale Langages, Espaces, Temps, Sociétés (Besançon ; 1991-2016). - Partenaire(s) de recherche : Laboratoire de recherches philosophiques sur les logiques de l'agir (Besançon) (Laboratoire), Laboratoire de Recherches philosophiques sur les Logiques de l'Agir (Laboratoire). - Autre(s) contribution(s) : Thierry Martin (Président du jury) ; Stéphane Haber, Thierry Martin, Bruno Karsenti, Catherine Larrère, Philippe Descola, Frédéric Keck (Membre(s) du jury) ; Bruno Karsenti, Catherine Larrère (Rapporteur(s))
Bibliogr. p. 295-[304]. Notes bibliogr. Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Philosophie de la nature --sciences sociales anthropologie sociologie histoire questions environnementales Anthropologie Naturalisme (philosophie) -- Environnement -- Thèses et écrits académiques Nature Société Culture Descola, Philippe (1949-....) économie politique Marx production sans Lévi-Strauss, Claude (1908-2009) Écologie politique Philosophie souverainisme matérialisé écologie libérale réactionniste réactionnaire héritage socialiste front social luttes populaires luttes sociales qualité environnentale Philosophie de la nature Ecologie laisser faire spontanéité Écologie humaine -- Philosophie
Épistémologie des sciences sociales
Philosophie de la nature
Philosophie de l'homme
Ecologie racisme environnemental catastrophe écologique classes sociales inégalités environnementalesRésumé : La quatrième de couverture indique : "Les relations de l'homme et de son organisation sociale au milieu naturel ont longtemps été étudiées dans le cadre d'une opposition entre nature et société. Mais la crise écologique invite à nous interroger sur ce partage, et à revenir sur le sens de ce clivage. L'objectif de ce livre est d'éclairer les ambiguïtés du rapport à la nature des modernes, en relisant du point de vue de la nature cette histoire jalonnée par trois oeuvres, Les formes élémentaires de la vie religieuse de Durkheim, La pensée sauvage de Lévi-Strauss et Par-delà nature et culture de Philippe Descola. Y a-t-il un paradoxe à parler de la nature comme d'un fait social ? Quelle signification et quelle valeur accorder aux sociétés restées indifférentes au partage entre nature et société ? Quels concepts mobiliser aujourd'hui pour faire face à la transformation de nos rapports collectifs à la nature ? Alors que la nature est de plus en plus humanisée et que les affaires humaines doivent en retour toujours plus composer avec elle, le grand partage du naturel et du social semble perdre toute pertinence." Note de contenu : Lʼanthropologie, et plus spécialement les développements quʼelle a connus en contexte francophone, possède une affinité toute particulière avec lʼinvestigation philosophique sur la notion de nature : toutes deux interrogent en effet la valeur de ce terme classique du répertoire conceptuel occidental, et plus encore le sens que lʼon peut encore donner au partage entre le naturel et le social, ou le culturel. Ce faisant, elles se heurtent à des tensions analogues, lʼanthropologie bénéficiant toutefois du privilège de la méthode comparative, quilui donne accès à des cosmologies manifestant un arrangement des êtres et des personnes différents du nôtre. Ce sont ces liens que cette thèse se propose dʼexplorer, et cela à travers lʼexamen historique et critique de quelques théories anthropologiques clés. Parmi elles notamment, lʼécole durkheimienne, lʼanthropologie structurale de Claude Lévi-Strauss et de ses successeurs, et le courant dʼanthropologie de la nature, où ces questions trouvent aujourdʼhui leur épanouissement. Lʼhypothèse centrale de ce travail est que lʼanthropologie sociale est liée à la prise de conscience du rôle que lʼidée de nature a joué et joue encore dans notre trajectoire historique, c'est-à-dire de ce que lʼon a pris lʼhabitude dʼappeler la modernité, et de ce qui la sépare dʼautres expériences collectives. Cette investigation débouche sur un examen des concepts centraux de la pensée écologique, qui donne à ces enjeux un élan nouveau : une pensée environnementale est-elle une sortie du naturalisme moderne, et si oui, à quelles conditions est-elle possible et légitime ? En ligne : http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://www-dawsonera-com.proxy.scd.uni [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=237001 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques