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Partager le résultat de cette recherchePuissance anaérobie des membres inférieurs chez des joueurs de tennis de deuxième et troisième série in Science & sports / ScienceDirect, Volume 24 numéro 6 (01/12/2009)
Titre : Puissance anaérobie des membres inférieurs chez des joueurs de tennis de deuxième et troisième série Type de document : texte imprimé Année de publication : 01/12/2009 Article en page(s) : pp.320-322 Langues : Français (fre) Mots-clés : tennis performance puissance membres inférieurs évaluation physique Résumé : Objectif
Estimer la puissance maximale des membres inférieurs de joueurs de tennis.
Méthodes
Seize joueurs masculins (huit de deuxième et huit de troisième série) ont réalisé un test de charge-vitesse sur ergocycle (cinq sprints successifs maximaux de huit secondes, charges croissantes de 2 à 6 kg, incrément de 1 kg, quatre minutes de récupération entre sprint). Les puissances maximales théoriques (Pmaxth) étaient extrapolées à partir de la relation entre charge de résistance et vélocité maximale.
Résultats
La Pmaxth a varié entre 8,6 et 14,9 W/kg (moyenne : 11,7 + 1,8 W/kg). L’analyse statistique n’a révélé aucune différence significative entre les joueurs de deuxième série et les joueurs de troisième série (12,2 + 1,8 W/kg vs. 11,3 + 1,9 W/kg).Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125268
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 24 numéro 6 (01/12/2009) . - pp.320-322[article] Puissance anaérobie des membres inférieurs chez des joueurs de tennis de deuxième et troisième série [texte imprimé] . - 01/12/2009 . - pp.320-322.
Langues : Français (fre)
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 24 numéro 6 (01/12/2009) . - pp.320-322
Mots-clés : tennis performance puissance membres inférieurs évaluation physique Résumé : Objectif
Estimer la puissance maximale des membres inférieurs de joueurs de tennis.
Méthodes
Seize joueurs masculins (huit de deuxième et huit de troisième série) ont réalisé un test de charge-vitesse sur ergocycle (cinq sprints successifs maximaux de huit secondes, charges croissantes de 2 à 6 kg, incrément de 1 kg, quatre minutes de récupération entre sprint). Les puissances maximales théoriques (Pmaxth) étaient extrapolées à partir de la relation entre charge de résistance et vélocité maximale.
Résultats
La Pmaxth a varié entre 8,6 et 14,9 W/kg (moyenne : 11,7 + 1,8 W/kg). L’analyse statistique n’a révélé aucune différence significative entre les joueurs de deuxième série et les joueurs de troisième série (12,2 + 1,8 W/kg vs. 11,3 + 1,9 W/kg).Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125268
Titre : Relationship between limbs anthropometrical characteristics and energy expenditure during arm cranking and leg cycling unloaded exercises Titre original : Existe-il des relations entre la dépense énergétique lors d’exercices de pédalage sans charge des membres inférieurs et supérieurs et les caractéristiques anthropométriques de ces membres ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 01/06/2008 Article en page(s) : pp.145-148 Langues : Français (fre) Mots-clés : travail interne membres supérieurs membres inférieurs longueur circonférence Résumé : Objectifs
Le but de cette expérimentation était d’étudier les relations entre la dépense énergétique lors d’exercices de pédalage des membres supérieurs et inférieurs et les caractéristiques anthropométriques de ces membres.
Méthodes
Quinze hommes ont réalisé cinq minutes de pédalage à vide sur un ergomètre à bras (60 rpm) et un cyclo-ergomètre (90 rpm). Ont été mesurées la consommation d’oxygène au cours des deux exercices (VO2sanscharge), la masse corporelle et les longueurs et circonférences des membres supérieurs et inférieurs.
Résultats
VO2sanscharge était significativement plus faible lors du pédalage membres supérieurs versus inférieurs (499,0 + 56,5 et 981,6 + 126,0 ml min−1). De plus, les VO2sanscharge obtenues avec membres inférieurs et supérieurs étaient significativement et positivement corrélées respectivement avec la circonférence et la longueur des membres inférieurs et supérieurs, les meilleures corrélations étant entre circonférences et VO2sanscharge. VO2sanscharge est donc principalement dépendant (i) de l’inertie des membres qui augmente avec leur circonférence et (ii) du bras de levier qui augmente avec leur longueur. En revanche, la masse corporelle n’est peu ou pas corrélée avec VO2sanscharge. Ce résultat peut s’expliquer par la spécificité de l’exercice de pédalage sans charge puisque seuls les membres sont activés sans besoin d’aide supplémentaire du reste du corps.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125280
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 23 numéro 3-4 (01/06/2008) . - pp.145-148[article] Relationship between limbs anthropometrical characteristics and energy expenditure during arm cranking and leg cycling unloaded exercises = Existe-il des relations entre la dépense énergétique lors d’exercices de pédalage sans charge des membres inférieurs et supérieurs et les caractéristiques anthropométriques de ces membres ? [texte imprimé] . - 01/06/2008 . - pp.145-148.
Langues : Français (fre)
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 23 numéro 3-4 (01/06/2008) . - pp.145-148
Mots-clés : travail interne membres supérieurs membres inférieurs longueur circonférence Résumé : Objectifs
Le but de cette expérimentation était d’étudier les relations entre la dépense énergétique lors d’exercices de pédalage des membres supérieurs et inférieurs et les caractéristiques anthropométriques de ces membres.
Méthodes
Quinze hommes ont réalisé cinq minutes de pédalage à vide sur un ergomètre à bras (60 rpm) et un cyclo-ergomètre (90 rpm). Ont été mesurées la consommation d’oxygène au cours des deux exercices (VO2sanscharge), la masse corporelle et les longueurs et circonférences des membres supérieurs et inférieurs.
Résultats
VO2sanscharge était significativement plus faible lors du pédalage membres supérieurs versus inférieurs (499,0 + 56,5 et 981,6 + 126,0 ml min−1). De plus, les VO2sanscharge obtenues avec membres inférieurs et supérieurs étaient significativement et positivement corrélées respectivement avec la circonférence et la longueur des membres inférieurs et supérieurs, les meilleures corrélations étant entre circonférences et VO2sanscharge. VO2sanscharge est donc principalement dépendant (i) de l’inertie des membres qui augmente avec leur circonférence et (ii) du bras de levier qui augmente avec leur longueur. En revanche, la masse corporelle n’est peu ou pas corrélée avec VO2sanscharge. Ce résultat peut s’expliquer par la spécificité de l’exercice de pédalage sans charge puisque seuls les membres sont activés sans besoin d’aide supplémentaire du reste du corps.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125280
Titre : Résultats du traitement chirurgical des syndromes de loges chroniques des membres inférieurs Type de document : texte imprimé Année de publication : 01/02/2012 Article en page(s) : pp.39-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : syndrome de loge chronique membres inférieurs résultats traitement chirurgical Résumé : Résumé
Contexte
Le traitement de référence du syndrome de loge chronique des membres inférieurs est le traitement chirurgical. Cependant, la pratique clinique révèle parfois une symptomatologie douloureuse postopératoire persistante avec une limitation du niveau d’activité.
Objectifs
Évaluer le résultat de la prise en charge chirurgicale et d’en chercher des facteurs prédictifs.
Méthode
Étude rétrospective sur une population composée de 16 sujets, d’âge moyen 27 ans trois quarts. Le délai postopératoire était compris entre trois mois et deux ans avec une médiane de dix mois. L’évaluation du résultat du traitement a été effectuée par contact téléphonique avec les patients à l’aide d’un questionnaire.
Résultats
Pamis les patients, 37,5 % ont une indolence totale et 62,5 % ont retrouvé un niveau d’activités équivalent à leur pratique antérieure. Le niveau de retour aux activités est diminué lorsque la loge postérieure est atteinte (p = 0,008) et lorsque le tableau clinique initial est atypique (p = 0,035). Un tableau clinique initial atypique est également en faveur d’une disparition incomplète des douleurs (p = 0,011).
Conclusion
Les résultats du traitement chirurgical ne sont pas uniformes, tant sur la douleur que sur le niveau de retour aux activités en fonction du type de loge atteinte et de la présentation clinique initiale. Dans ces circonstances, la recherche des diagnostics différentiels est fondamentale.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125063
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 27 numéro 1 (01/02/2012) . - pp.39-45[article] Résultats du traitement chirurgical des syndromes de loges chroniques des membres inférieurs [texte imprimé] . - 01/02/2012 . - pp.39-45.
Langues : Français (fre)
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 27 numéro 1 (01/02/2012) . - pp.39-45
Mots-clés : syndrome de loge chronique membres inférieurs résultats traitement chirurgical Résumé : Résumé
Contexte
Le traitement de référence du syndrome de loge chronique des membres inférieurs est le traitement chirurgical. Cependant, la pratique clinique révèle parfois une symptomatologie douloureuse postopératoire persistante avec une limitation du niveau d’activité.
Objectifs
Évaluer le résultat de la prise en charge chirurgicale et d’en chercher des facteurs prédictifs.
Méthode
Étude rétrospective sur une population composée de 16 sujets, d’âge moyen 27 ans trois quarts. Le délai postopératoire était compris entre trois mois et deux ans avec une médiane de dix mois. L’évaluation du résultat du traitement a été effectuée par contact téléphonique avec les patients à l’aide d’un questionnaire.
Résultats
Pamis les patients, 37,5 % ont une indolence totale et 62,5 % ont retrouvé un niveau d’activités équivalent à leur pratique antérieure. Le niveau de retour aux activités est diminué lorsque la loge postérieure est atteinte (p = 0,008) et lorsque le tableau clinique initial est atypique (p = 0,035). Un tableau clinique initial atypique est également en faveur d’une disparition incomplète des douleurs (p = 0,011).
Conclusion
Les résultats du traitement chirurgical ne sont pas uniformes, tant sur la douleur que sur le niveau de retour aux activités en fonction du type de loge atteinte et de la présentation clinique initiale. Dans ces circonstances, la recherche des diagnostics différentiels est fondamentale.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125063
