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[n° ou bulletin]
Titre : 17 - juin 2004 - Jardins & créations Type de document : document électronique Auteurs : Emmanuel Devineau, Directeur de la recherche ; Hubert Launay, Directeur de la recherche ; Philippe Sahuc (1963-...), Directeur de la recherche ; Ministère de l'Agriculture et de la Forêt. DGER. Direction Générale de l'Enseignement et de la Recherche. Paris (France), Collectivité éditrice Année de publication : 2004 Importance : 102 p. Présentation : ill. en noir, couv. ill. en coul. Format : PDF ; 30 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : jardin jardins populaire populaires Enseignement agricole -- France Art Sociologie Art des jardins -- Politique publique Note de contenu : : Robert Mondy
SUR LE SENTIMENT « HORTÉSIEN »
•Monique MOSSER, De la pulsion jardinière et du sentiment « hortésien »
•Philippe SAHUC, Jardins populaires, jardin d’art populaire ?
•Josiane UBAUD, Le jardin, reflet social, symbolique et culturel
•Michèle CONSTANS, Un jardin après la guerre
•Guillaume SONNET, Ce n’est pas Bidul’land
CRÉATIONS
•Jean-Paul DUMAS, Mais à quoi peut bien servir un « grand jardin » ?
•Hélène HINCELIN, Arnaud FLICI et Emmanuel DEVINEAU, Portrait taillé au Roc
•Stéphane BERNARD, L’Orient convoqué, l’Orient révoqué
•Sabine DEGORRE, Le jardin industriel: une conception allemande ?
•Guy TORTOSA, Espaces d’espèces
MÉDIATIONS
•Ursula KURZ, L’arboretum, un parc dans le parc
•Daniel M. JARRY, Le jardin des plantes de Montpellier
•Denise MENU, Le jardin Olivier de Serres entre mémoire et création
•Nicole PIRAS, Promenade dans quelques jardins fantastiques
•Michel BERJON, Les Jardins du Cinéma
•Gilles CLÉMENT, Où est le jardinier?
FORMATIONS
•Alain DURNERIN, De l’enseignement de l’architecture des jardins à celui de l’aménagement paysager
•Jean-Michel SAINSARD, Les jardiniers du ministère de la culture : une formation adaptée
•Nicole PIRAS, Le jardin, lieu de formation culturelle et interculturelle
•Michel RACINE, Quelles pratiques de formation pour les aménageurs de demain ?
OUVERTURES
•Bonnes adresses
•Bibliographie
ACTIONS – PASSIONS spécial Jardins !
•LEGTA de Brive : Festival de création de jardins ◦Emmanuel DEVINEAU, De l’air !
◦Emmanuel DEVINEAU, Action in situ avec Hans-Walter Müller
•ALSACE : partenariat avec le Festival des Deux Rives
•EPL de Valdoie : partenariats multiples ◦Dominique FREYMUTH,Philippe APTEL, Des cours grandeurs nature
◦Dominique FREYMUTH, Philippe APTEL et Christian PERSECHINI, Éphémères jardins à la Saline d’Arc & Senans
◦Nadine LOONES, Anita BRIGAND, La métamorphose de l’arbre
•Patrick NADEAU, Design-jardins
•Legta de Charleville-Mézières, Hélèna THÉBAUD, Des expériences artistiques dans le paysage
•LEGTA de Castelnaudary : Une ville en jardins et paysages
•Yves ABRIOUX, Gianni BURATTONI, Portraits/paysages
•Hervé PHILIPPE, Les travaux des élèves
•Alain BELLAMY, Le canal du Midi revisité par les artistes
•Hervé PHILIPPE, Au terme de cette aventure.
•LPA de Fayl-Billot, Un jardin médiéval de santé
•De Lomme à Lille 2004 : Expériences mouvementées
•Corinne ABDELJALIL-COVEZ, Jardin à thème, thème du jardin
•Olivier BRONGNIART, Isabel GONÇALVÈS, La culture en chantier
•LEGTA Tarbes : une option « art et jardin «
•Philippe BERTRAND, Dans le parc du lycée Adriana
•LEGTA de Brioude : NIS-UDO/AUVERGNE
•Colette GARRAUD, Le grand atelier
•Roland COGNET, Véronique MELOTTO et Florence PENET, Le Projet
Notes bibliogr.En ligne : http://education-socioculturelle.ensfea.fr/wp-content/uploads/sites/19/2017/08/C [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=30582 [n° ou bulletin] 17 - juin 2004 - Jardins & créations [document électronique] / Emmanuel Devineau, Directeur de la recherche ; Hubert Launay, Directeur de la recherche ; Philippe Sahuc (1963-...), Directeur de la recherche ; Ministère de l'Agriculture et de la Forêt. DGER. Direction Générale de l'Enseignement et de la Recherche. Paris (France), Collectivité éditrice . - 2004 . - 102 p. : ill. en noir, couv. ill. en coul. ; PDF ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : jardin jardins populaire populaires Enseignement agricole -- France Art Sociologie Art des jardins -- Politique publique Note de contenu : : Robert Mondy
SUR LE SENTIMENT « HORTÉSIEN »
•Monique MOSSER, De la pulsion jardinière et du sentiment « hortésien »
•Philippe SAHUC, Jardins populaires, jardin d’art populaire ?
•Josiane UBAUD, Le jardin, reflet social, symbolique et culturel
•Michèle CONSTANS, Un jardin après la guerre
•Guillaume SONNET, Ce n’est pas Bidul’land
CRÉATIONS
•Jean-Paul DUMAS, Mais à quoi peut bien servir un « grand jardin » ?
•Hélène HINCELIN, Arnaud FLICI et Emmanuel DEVINEAU, Portrait taillé au Roc
•Stéphane BERNARD, L’Orient convoqué, l’Orient révoqué
•Sabine DEGORRE, Le jardin industriel: une conception allemande ?
•Guy TORTOSA, Espaces d’espèces
MÉDIATIONS
•Ursula KURZ, L’arboretum, un parc dans le parc
•Daniel M. JARRY, Le jardin des plantes de Montpellier
•Denise MENU, Le jardin Olivier de Serres entre mémoire et création
•Nicole PIRAS, Promenade dans quelques jardins fantastiques
•Michel BERJON, Les Jardins du Cinéma
•Gilles CLÉMENT, Où est le jardinier?
FORMATIONS
•Alain DURNERIN, De l’enseignement de l’architecture des jardins à celui de l’aménagement paysager
•Jean-Michel SAINSARD, Les jardiniers du ministère de la culture : une formation adaptée
•Nicole PIRAS, Le jardin, lieu de formation culturelle et interculturelle
•Michel RACINE, Quelles pratiques de formation pour les aménageurs de demain ?
OUVERTURES
•Bonnes adresses
•Bibliographie
ACTIONS – PASSIONS spécial Jardins !
•LEGTA de Brive : Festival de création de jardins ◦Emmanuel DEVINEAU, De l’air !
◦Emmanuel DEVINEAU, Action in situ avec Hans-Walter Müller
•ALSACE : partenariat avec le Festival des Deux Rives
•EPL de Valdoie : partenariats multiples ◦Dominique FREYMUTH,Philippe APTEL, Des cours grandeurs nature
◦Dominique FREYMUTH, Philippe APTEL et Christian PERSECHINI, Éphémères jardins à la Saline d’Arc & Senans
◦Nadine LOONES, Anita BRIGAND, La métamorphose de l’arbre
•Patrick NADEAU, Design-jardins
•Legta de Charleville-Mézières, Hélèna THÉBAUD, Des expériences artistiques dans le paysage
•LEGTA de Castelnaudary : Une ville en jardins et paysages
•Yves ABRIOUX, Gianni BURATTONI, Portraits/paysages
•Hervé PHILIPPE, Les travaux des élèves
•Alain BELLAMY, Le canal du Midi revisité par les artistes
•Hervé PHILIPPE, Au terme de cette aventure.
•LPA de Fayl-Billot, Un jardin médiéval de santé
•De Lomme à Lille 2004 : Expériences mouvementées
•Corinne ABDELJALIL-COVEZ, Jardin à thème, thème du jardin
•Olivier BRONGNIART, Isabel GONÇALVÈS, La culture en chantier
•LEGTA Tarbes : une option « art et jardin «
•Philippe BERTRAND, Dans le parc du lycée Adriana
•LEGTA de Brioude : NIS-UDO/AUVERGNE
•Colette GARRAUD, Le grand atelier
•Roland COGNET, Véronique MELOTTO et Florence PENET, Le Projet
Notes bibliogr.En ligne : http://education-socioculturelle.ensfea.fr/wp-content/uploads/sites/19/2017/08/C [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=30582 Contient
- De l'enseignement de l'architecture des jardins à celui de l'aménagement paysager / Alain Durnerin in Champs culturels, 17 (juin 2004)
- Dossier : actions-passions spécial jardins in Champs culturels, 17 (juin 2004)
- Jardins populaires, jardin d'art populaire ? / Philippe Sahuc in Champs culturels, 17 (juin 2004)
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire « Déjà nous ». Un sentiment d’appartenance sélectif en milieu populaire / Benoît Coquard in Politix, revue des sciences sociales du politique / Cairn et Persée, 122 (décembre 2018 - 2018/2)
[article]
Titre : « Déjà nous ». Un sentiment d’appartenance sélectif en milieu populaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Benoît Coquard , Auteur
Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 57-78 Langues : Français (fre) Mots-clés : eux nous classe populaire classes populaires extrême droite monde rural mondes ruraux amitié Résumé : Cet article analyse le contexte et les portées d’une expression de terrain, tirée d’une enquête en milieu populaire rural. Pour des ruraux d’entre 25 et 35 ans environ, « déjà nous » exprime le fait de faire passer les « vrais potes » avant les autres et de se sentir solidaires de ses amis dans des oppositions communes. Cette expression est valorisante, car elle marque l’appartenance à un collectif durable. Elle est plutôt typique des fractions stables des jeunes de classes populaires enquêtés et exprime le fait que le groupe amical est clairement restreint par rapport à l’interconnaissance locale, qu’un tri est nécessaire dans la solidarité. Ainsi, le « déjà nous » témoigne d’une conscience aiguë des antagonismes et concurrences (notamment sur le marché du travail) qui traversent les classes populaires dans des contextes où l’on observe également de fortes affinités avec l’extrême droite. L’article propose alors d’examiner ces correspondances entre une conscience commune d’intérêt restreinte à quelques individus et le fait d’être en accord avec ce type de pensée politique. Note de contenu : Plan :
Du « eux/nous » au « déjà nous »
La logique concurrentielle des clans dans un contexte post-désindustrialisation
La persistance d’une conscience commune
Le « déjà nous » d’une affinité politique
« Lui, il est comme nous » : la tension autour du racisme
La permanence d’une vision conflictuelle du monde socialPermalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=232136
in Politix, revue des sciences sociales du politique / Cairn et Persée > 122 (décembre 2018 - 2018/2) . - pp. 57-78[article] « Déjà nous ». Un sentiment d’appartenance sélectif en milieu populaire [texte imprimé] / Benoît Coquard, Auteur . - 2018 . - pp. 57-78.
Langues : Français (fre)
in Politix, revue des sciences sociales du politique / Cairn et Persée > 122 (décembre 2018 - 2018/2) . - pp. 57-78
Mots-clés : eux nous classe populaire classes populaires extrême droite monde rural mondes ruraux amitié Résumé : Cet article analyse le contexte et les portées d’une expression de terrain, tirée d’une enquête en milieu populaire rural. Pour des ruraux d’entre 25 et 35 ans environ, « déjà nous » exprime le fait de faire passer les « vrais potes » avant les autres et de se sentir solidaires de ses amis dans des oppositions communes. Cette expression est valorisante, car elle marque l’appartenance à un collectif durable. Elle est plutôt typique des fractions stables des jeunes de classes populaires enquêtés et exprime le fait que le groupe amical est clairement restreint par rapport à l’interconnaissance locale, qu’un tri est nécessaire dans la solidarité. Ainsi, le « déjà nous » témoigne d’une conscience aiguë des antagonismes et concurrences (notamment sur le marché du travail) qui traversent les classes populaires dans des contextes où l’on observe également de fortes affinités avec l’extrême droite. L’article propose alors d’examiner ces correspondances entre une conscience commune d’intérêt restreinte à quelques individus et le fait d’être en accord avec ce type de pensée politique. Note de contenu : Plan :
Du « eux/nous » au « déjà nous »
La logique concurrentielle des clans dans un contexte post-désindustrialisation
La persistance d’une conscience commune
Le « déjà nous » d’une affinité politique
« Lui, il est comme nous » : la tension autour du racisme
La permanence d’une vision conflictuelle du monde socialPermalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=232136 Le capital culturel dans tous ses états / Delphine Serre in Actes de la recherche en sciences sociales / BU de l'IUT et Cairn.info, 191-192 (mars 2012)
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[article]
Titre : Le capital culturel dans tous ses états Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine Serre, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 4-13 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hoggart, Richard (1918-2014) capital culturel populaire populaires classes populaires classe populaire Résumé : Le capital culturel est, de façon routinisée, souvent réduit au diplôme le plus élevé possédé et, parfois, au niveau d’études atteint. Il est pensé selon une échelle unilinéaire conforme à la nomenclature statistique qui classe les diplômes par ordre décroissant en six niveaux. Cette conception ordonnée, ancrée dans les esprits et les institutions, trouve sa validité dans le rôle de plus en plus discriminant que joue le titre scolaire dans l’accès à l’emploi, aux postes de cadre [1]
[1]
Thomas Amossé, « Cadres/non-cadres : une frontière toujours… mais également, on l’oublie trop souvent, aux postes qualifiés en milieu ouvrier [2]
[2]
Ce qui se traduit notamment par une « confrontation » entre…. Assimiler le capital culturel au diplôme conduit pourtant aussi paradoxalement à minimiser son rôle dans la structuration de l’espace social et sa division en classes. Les débats exclusivement centrés sur le degré d’adéquation entre niveaux de formation et structure des emplois tendent à faire oublier les autres mécanismes par lesquels le capital culturel peut fonctionner comme une ressource socialement avantageuse. Interroger le pouvoir classant et symbolique du capital culturel suppose de sortir de cette vision restrictive pour l’appréhender au pluriel, c’est-à-dire dans tous ses états, institutionnalisé et incorporé [3]
[3]
Pierre Bourdieu, « Les trois états du capital culturel », Actes…, mais aussi dans ses composantes multiples (scolaire, linguistique, morale, etc.). L’objectif du numéro est d’interroger les conditions d’efficacité du capital culturel en partant de l’examen de sa diversité interne pour comprendre comment, selon les formes qu’il prend, il structure des pratiques et des représentations distinctes et légitime certains modes de domination.
La réflexion engagée ici s’appuie sur des enquêtes récentes qui cherchent à identifier des différences de positions sociales et à déterminer leurs fondements. Ces travaux montrent comment, dans des milieux professionnels et institutionnels divers et à tous les niveaux de l’échelle sociale, se jouent des luttes autour de la légitimité du capital culturel qui ont des effets majeurs dans des domaines variés (stratégies scolaires, comportements domestiques, compétition électorale locale, conditions et pratiques de travail). Tous privilégient l’enquête ethnographique car, plus facilement que l’outil statistique, elle donne accès au capital culturel incorporé et à ses contenus socialement différenciés. Elle s’avère en outre particulièrement féconde pour rompre avec une vision substantialiste de la valeur du titre scolaire et interroger les conditions d’efficacité du capital culturel en contextualisant ses usages.Note de contenu : Plan :
Le niveau de diplôme
Domination et autonomie au travail
Rapport au travail, capital économique et autochtonie
Rapport au travail, capital culturel et mobilitéEn ligne : https://www.cairn.info/revue-actes-de-la-recherche-en-sciences-sociales-2012-1-p [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=242029
in Actes de la recherche en sciences sociales / BU de l'IUT et Cairn.info > 191-192 (mars 2012) . - pp. 4-13[article] Le capital culturel dans tous ses états [texte imprimé] / Delphine Serre, Auteur . - 2012 . - pp. 4-13.
Langues : Français (fre)
in Actes de la recherche en sciences sociales / BU de l'IUT et Cairn.info > 191-192 (mars 2012) . - pp. 4-13
Mots-clés : Hoggart, Richard (1918-2014) capital culturel populaire populaires classes populaires classe populaire Résumé : Le capital culturel est, de façon routinisée, souvent réduit au diplôme le plus élevé possédé et, parfois, au niveau d’études atteint. Il est pensé selon une échelle unilinéaire conforme à la nomenclature statistique qui classe les diplômes par ordre décroissant en six niveaux. Cette conception ordonnée, ancrée dans les esprits et les institutions, trouve sa validité dans le rôle de plus en plus discriminant que joue le titre scolaire dans l’accès à l’emploi, aux postes de cadre [1]
[1]
Thomas Amossé, « Cadres/non-cadres : une frontière toujours… mais également, on l’oublie trop souvent, aux postes qualifiés en milieu ouvrier [2]
[2]
Ce qui se traduit notamment par une « confrontation » entre…. Assimiler le capital culturel au diplôme conduit pourtant aussi paradoxalement à minimiser son rôle dans la structuration de l’espace social et sa division en classes. Les débats exclusivement centrés sur le degré d’adéquation entre niveaux de formation et structure des emplois tendent à faire oublier les autres mécanismes par lesquels le capital culturel peut fonctionner comme une ressource socialement avantageuse. Interroger le pouvoir classant et symbolique du capital culturel suppose de sortir de cette vision restrictive pour l’appréhender au pluriel, c’est-à-dire dans tous ses états, institutionnalisé et incorporé [3]
[3]
Pierre Bourdieu, « Les trois états du capital culturel », Actes…, mais aussi dans ses composantes multiples (scolaire, linguistique, morale, etc.). L’objectif du numéro est d’interroger les conditions d’efficacité du capital culturel en partant de l’examen de sa diversité interne pour comprendre comment, selon les formes qu’il prend, il structure des pratiques et des représentations distinctes et légitime certains modes de domination.
La réflexion engagée ici s’appuie sur des enquêtes récentes qui cherchent à identifier des différences de positions sociales et à déterminer leurs fondements. Ces travaux montrent comment, dans des milieux professionnels et institutionnels divers et à tous les niveaux de l’échelle sociale, se jouent des luttes autour de la légitimité du capital culturel qui ont des effets majeurs dans des domaines variés (stratégies scolaires, comportements domestiques, compétition électorale locale, conditions et pratiques de travail). Tous privilégient l’enquête ethnographique car, plus facilement que l’outil statistique, elle donne accès au capital culturel incorporé et à ses contenus socialement différenciés. Elle s’avère en outre particulièrement féconde pour rompre avec une vision substantialiste de la valeur du titre scolaire et interroger les conditions d’efficacité du capital culturel en contextualisant ses usages.Note de contenu : Plan :
Le niveau de diplôme
Domination et autonomie au travail
Rapport au travail, capital économique et autochtonie
Rapport au travail, capital culturel et mobilitéEn ligne : https://www.cairn.info/revue-actes-de-la-recherche-en-sciences-sociales-2012-1-p [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=242029
Titre : L’expérience culturelle, affects, catégories et effets des œuvres culturelles Type de document : texte imprimé Auteurs : Hervé Glévarec (1969-...), Auteur Editeur : Latresne (Gironde) : BDL, Le Bord de L'eau Editions Année de publication : 2021 Collection : Documents (Latresne), ISSN 1778-7483 Importance : 209 p. Présentation : illustrations en noir et blanc, couv. ill. en coul. Format : 23 x 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35687-798-7 Prix : 22 € Note générale : « J'ai tout appris par la littérature. » Voilà bien une affirmation qui suppose de considérer les usages de la culture sur les plans de son expérience et de ses effets mais qui mérite aussi d'être évaluée quant à la question du savoir.
Conséquence de la diffusion et de la densité de l'offre culturelle qui caractérisent les sociétés contemporaines, le rapport aux oeuvres culturelles s'est progressivement transformé en un rapport expérientiel. L'expérience culture relie est à la fois sous-étudiée, éclipsée par la critique des fonctions sociales de la culture, et sous-évaluée comme paradigme du rapport contemporain à la culture, rapport moins déférent, moins distancié et moins institutionnel. Écoute quotidienne de la musique, visionnage vespéral des séries, lecture immersive, évasive ou édifiante, sociabilité amicale de la sortie au cinéma, pratique familiale de la visite muséale, visites patrimoniales en vacances, moments festivaliers, etc, sont autant d'expériences culturelles retirées de la fréquentation des oeuvres culturelles par les individus. Au point de donner lieu à ce qu'on peut appeler un « paradigme de l'expérience » dans la culture.
Adossé à une enquête de terrain auprès de Français, l'ouvrage examine les dimensions de cette expérience en termes d'attachement, d'intérêt et de savoir. Il traite des conditions et de la différenciation sociale des expériences culturelles, mais aussi de leurs effets sur la connaissance et la transformation de soi et du rapport au monde. Que ce soit en mode mineur de la pratique quotidienne ou en mode majeur de la pratique rare et intense, l'expérience permise par la multiplication de l'offre culturelle et des dispositifs qui n'ont plus le Lieu culturel (avec une majuscule) comme leur lieu de réalisation privilégié (espace dédié, rendez-vous fixe, présence d'autrui, format prédéfini), est l'objet de cet ouvrage.Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Culture et médias / Culture / Sociologie de la culture SHS Aspects particuliers de la culture Sociologie de la culture -- France -- 2000-... culture, pratique culturelle, sociologie de la culture expérience socialisation pratiques culturelles distinction différenciation culturelle distinctive Bourdieu catégories classes légitime légitimité valeur valeurs populaires supérieures plaisir cognitive Cinéma genres genre culturel culturels disjonction goût goûts reconnaissance sociale médiation épreuve jugement hiérarchie hiérachies qualité effet mineur majeur humeur mode actif solitaire autre norme pilotage sujet émotion regard repli transformation domestication individualisation ennui séries série compagnonnage Index. décimale : J-02 Pratiques culturelles Résumé : « J’ai tout appris par la littérature. » Voilà bien une affirmation qui suppose de considérer les usages de la culture sur les plans de son expérience et de ses effets mais qui mérite aussi d’être évaluée quant à la question du savoir.
Conséquence de la diffusion et de la densité de l’offre culturelle qui caractérisent les sociétés contemporaines, le rapport aux œuvres culturelles s’est progressivement transformé en un rapport expérientiel. L’expérience culturelle est à la fois sous-étudiée, éclipsée par la critique des fonctions sociales de la culture, et sous-évaluée comme paradigme du rapport contemporain à la culture, rapport moins déférent, moins distancié et moins institutionnel. Écoute quotidienne de la musique, visionnage vespéral des séries, lecture immersive, évasive ou édifiante, sociabilité amicale de la sortie au cinéma, pratique familiale de la visite muséale, visites patrimoniales en vacances, moments festivaliers, etc. sont autant d’expériences culturelles retirées de la fréquentation des œuvres culturelles par les individus. Au point de donner lieu à ce qu’on peut appeler un « paradigme de l’expérience » dans la culture.
Adossé à une enquête de terrain auprès de Français, l’ouvrage examine les dimensions de cette expérience en termes d’attachement, d’intérêt et de savoir. Il traite des conditions et de la différenciation sociale des expériences culturelles, mais aussi de leurs effets sur la connaissance et la transformation de soi et du rapport au monde. Que ce soit en mode mineur de la pratique quotidienne ou en mode majeur de la pratique rare et intense, l’expérience permise par la multiplication de l’offre culturelle et des dispositifs qui n’ont plus le Lieu culturel (avec une majuscule) comme leur lieu de réalisation privilégié (espace dédié, rendez-vous fixe, présence d’autrui, format prédéfini), est l’objet de cet ouvrage.Note de contenu : Bibliogr. En ligne : https://www.franceculture.fr/oeuvre/lexperience-culturelle-affects-categories-et [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=275648 L’expérience culturelle, affects, catégories et effets des œuvres culturelles [texte imprimé] / Hervé Glévarec (1969-...), Auteur . - Latresne (Gironde) : BDL, Le Bord de L'eau Editions, 2021 . - 209 p. : illustrations en noir et blanc, couv. ill. en coul. ; 23 x 17 cm. - (Documents (Latresne), ISSN 1778-7483) .
ISBN : 978-2-35687-798-7 : 22 €
« J'ai tout appris par la littérature. » Voilà bien une affirmation qui suppose de considérer les usages de la culture sur les plans de son expérience et de ses effets mais qui mérite aussi d'être évaluée quant à la question du savoir.
Conséquence de la diffusion et de la densité de l'offre culturelle qui caractérisent les sociétés contemporaines, le rapport aux oeuvres culturelles s'est progressivement transformé en un rapport expérientiel. L'expérience culture relie est à la fois sous-étudiée, éclipsée par la critique des fonctions sociales de la culture, et sous-évaluée comme paradigme du rapport contemporain à la culture, rapport moins déférent, moins distancié et moins institutionnel. Écoute quotidienne de la musique, visionnage vespéral des séries, lecture immersive, évasive ou édifiante, sociabilité amicale de la sortie au cinéma, pratique familiale de la visite muséale, visites patrimoniales en vacances, moments festivaliers, etc, sont autant d'expériences culturelles retirées de la fréquentation des oeuvres culturelles par les individus. Au point de donner lieu à ce qu'on peut appeler un « paradigme de l'expérience » dans la culture.
Adossé à une enquête de terrain auprès de Français, l'ouvrage examine les dimensions de cette expérience en termes d'attachement, d'intérêt et de savoir. Il traite des conditions et de la différenciation sociale des expériences culturelles, mais aussi de leurs effets sur la connaissance et la transformation de soi et du rapport au monde. Que ce soit en mode mineur de la pratique quotidienne ou en mode majeur de la pratique rare et intense, l'expérience permise par la multiplication de l'offre culturelle et des dispositifs qui n'ont plus le Lieu culturel (avec une majuscule) comme leur lieu de réalisation privilégié (espace dédié, rendez-vous fixe, présence d'autrui, format prédéfini), est l'objet de cet ouvrage.
Langues : Français (fre)
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Culture et médias / Culture / Sociologie de la culture SHS Aspects particuliers de la culture Sociologie de la culture -- France -- 2000-... culture, pratique culturelle, sociologie de la culture expérience socialisation pratiques culturelles distinction différenciation culturelle distinctive Bourdieu catégories classes légitime légitimité valeur valeurs populaires supérieures plaisir cognitive Cinéma genres genre culturel culturels disjonction goût goûts reconnaissance sociale médiation épreuve jugement hiérarchie hiérachies qualité effet mineur majeur humeur mode actif solitaire autre norme pilotage sujet émotion regard repli transformation domestication individualisation ennui séries série compagnonnage Index. décimale : J-02 Pratiques culturelles Résumé : « J’ai tout appris par la littérature. » Voilà bien une affirmation qui suppose de considérer les usages de la culture sur les plans de son expérience et de ses effets mais qui mérite aussi d’être évaluée quant à la question du savoir.
Conséquence de la diffusion et de la densité de l’offre culturelle qui caractérisent les sociétés contemporaines, le rapport aux œuvres culturelles s’est progressivement transformé en un rapport expérientiel. L’expérience culturelle est à la fois sous-étudiée, éclipsée par la critique des fonctions sociales de la culture, et sous-évaluée comme paradigme du rapport contemporain à la culture, rapport moins déférent, moins distancié et moins institutionnel. Écoute quotidienne de la musique, visionnage vespéral des séries, lecture immersive, évasive ou édifiante, sociabilité amicale de la sortie au cinéma, pratique familiale de la visite muséale, visites patrimoniales en vacances, moments festivaliers, etc. sont autant d’expériences culturelles retirées de la fréquentation des œuvres culturelles par les individus. Au point de donner lieu à ce qu’on peut appeler un « paradigme de l’expérience » dans la culture.
Adossé à une enquête de terrain auprès de Français, l’ouvrage examine les dimensions de cette expérience en termes d’attachement, d’intérêt et de savoir. Il traite des conditions et de la différenciation sociale des expériences culturelles, mais aussi de leurs effets sur la connaissance et la transformation de soi et du rapport au monde. Que ce soit en mode mineur de la pratique quotidienne ou en mode majeur de la pratique rare et intense, l’expérience permise par la multiplication de l’offre culturelle et des dispositifs qui n’ont plus le Lieu culturel (avec une majuscule) comme leur lieu de réalisation privilégié (espace dédié, rendez-vous fixe, présence d’autrui, format prédéfini), est l’objet de cet ouvrage.Note de contenu : Bibliogr. En ligne : https://www.franceculture.fr/oeuvre/lexperience-culturelle-affects-categories-et [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=275648 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6227 J-02 GLE Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Art / Culture Disponible Répertoire d'action et travail collectif dans l'activité des brigades de police-secours / Loriol, Marc in Les Mondes du Travail / SUDOC, n° 11 (Février 2012)
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