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Partager le résultat de cette recherchePenser avec le punk / SUDOC / Catherine Guesde ; Louise Barrière ; Nicolas Delon ; Jeanne Guien ; Fabien Hein
Titre : Penser avec le punk / SUDOC Type de document : document électronique Auteurs : Catherine Guesde (1984-....) Editeur : Paris : Presses universitaires de France, PUF Année de publication : 2022 Collection : La vie des idées, ISSN 2265-5077 Importance : 112 p. Présentation : tabl. Format : 12.5 x 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-083388-8 Prix : 9.50 € Note générale : Peut-on chercher à intellectualiser le punk ? Catherine Guesde, philosophe et critique musicale nous invite à revisiter le mouvement punk comme une manière spirituelle d'être au monde grâce à son ouvrage "Penser avec le punk".-
Ont contribué à cet ouvrage Louise Barrière, Nicolas Delon, Catherine Guesde, Jeanne Guien et Fabien Hein.Langues : Français (fre) Mots-clés : Punk (mouvement) -- Philosophie Aspect politique punk Résumé : Dès ses débuts, le punk feint la bêtise et revendique un certain « analphabétisme culturel », à l’opposé de la puissance d’agir qu’il recèle. Identifié dans l’imaginaire collectif à une esthétique et à un genre musical, le punk est aussi un mouvement contestataire, porteur de valeurs politiques et sociales, allant de l’anti-autoritarisme au Do-It-Yourself – une manière d’être au monde. Loin de chercher à convertir une subculture subversive en système philosophique, cet ouvrage stimulant propose d’étendre le champ d’action du punk au domaine de la pensée. Il met ainsi au jour entre autres les liens féconds du punk avec l’éthique animale, l’écologie profonde, le féminisme ou, de manière plus inattendue, la spiritualité. Note de contenu : Sommaire :
Jeanne Guien, « Sales punks. Usages de la saleté dans les pratiques et l’esthétique punks »
Fabien Hein, « Vivre éveillé. La pratique punk et la pensée écologique comme expériences philosophiques »
Nicolas Delon, « Libération animale et punk rock »
Catherine Guesde, « Destroy All Suffering. Sur le rapprochement entre punk et bouddhisme dans Dharma Punx »
Louise Barrière, « Construire des « savoirs situés » punk-féministes dans les Ladyfests allemandes »
Notes bibliogr. Bibliogr. p. [107]-108En ligne : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/affaire-en-cours/les-nouvelles [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287160 Penser avec le punk / SUDOC [document électronique] / Catherine Guesde (1984-....)
ISBN : 978-2-13-083388-8 : 9.50 €
Peut-on chercher à intellectualiser le punk ? Catherine Guesde, philosophe et critique musicale nous invite à revisiter le mouvement punk comme une manière spirituelle d'être au monde grâce à son ouvrage "Penser avec le punk".-
Ont contribué à cet ouvrage Louise Barrière, Nicolas Delon, Catherine Guesde, Jeanne Guien et Fabien Hein.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Punk (mouvement) -- Philosophie Aspect politique punk Résumé : Dès ses débuts, le punk feint la bêtise et revendique un certain « analphabétisme culturel », à l’opposé de la puissance d’agir qu’il recèle. Identifié dans l’imaginaire collectif à une esthétique et à un genre musical, le punk est aussi un mouvement contestataire, porteur de valeurs politiques et sociales, allant de l’anti-autoritarisme au Do-It-Yourself – une manière d’être au monde. Loin de chercher à convertir une subculture subversive en système philosophique, cet ouvrage stimulant propose d’étendre le champ d’action du punk au domaine de la pensée. Il met ainsi au jour entre autres les liens féconds du punk avec l’éthique animale, l’écologie profonde, le féminisme ou, de manière plus inattendue, la spiritualité. Note de contenu : Sommaire :
Jeanne Guien, « Sales punks. Usages de la saleté dans les pratiques et l’esthétique punks »
Fabien Hein, « Vivre éveillé. La pratique punk et la pensée écologique comme expériences philosophiques »
Nicolas Delon, « Libération animale et punk rock »
Catherine Guesde, « Destroy All Suffering. Sur le rapprochement entre punk et bouddhisme dans Dharma Punx »
Louise Barrière, « Construire des « savoirs situés » punk-féministes dans les Ladyfests allemandes »
Notes bibliogr. Bibliogr. p. [107]-108En ligne : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/affaire-en-cours/les-nouvelles [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287160 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
40 ans après qu’en reste t il ? Le mouvement punk est-il muséifié ? En France, une exposition lui a été consacrée, et l’appartement des Sex Pistols vient d’être classé au patrimoine historique anglais... L’esprit punk souffle-t-il encore ? Le vainqueur deURL
Catherine Guesde, « Penser avec le punk », La Vie des idées , 31 août 2022. ISSN : 2105-3030. Sans chercher à convertir une subculture subversive en système philosophique, ce nouveau livre de la collection Puf/Vie des idées propose d’étendre le champ d’acURL
Rien ne semble plus contre-intuitif que de « penser avec le punk » lorsqu’on tend une oreille à ce courant musical de la fin des années 1970, magistralement conté par des critiques comme Greil Marcus (Lipstick Traces, Allia) ou Jon Savage (England’s DreamURLvol. 13-1 - 1er décembre 2016 - La scène punk en France : 1976-2016 (Bulletin de Volume ! La revue des musiques populaires / Cairn.info et revues.org) / Luc Robène
est un bulletin de Volume ! La revue des musiques populaires / Cairn.info et revues.org / Raphaël Brunel
Titre : vol. 13-1 - 1er décembre 2016 - La scène punk en France : 1976-2016 Type de document : document électronique Auteurs : Luc Robène (1962-...) Année de publication : 2016 Importance : 208 p. Présentation : ill. en n. et b., couv. ill. en coul. Format : 21 x 21 cm Prix : 19 € Note générale : Le dynamisme des études sur le punk n’a que très faiblement touché la France, alors même que dans un grand nombre de pays a été produit, plus ou moins récemment, un travail scientifique considérable qui démontre ce qu’il a pu apporter aux sociétés contemporaines du point de vue historique et social. Tirant partie des possibilités offertes par le prisme d’analyse qu’est la notion de scène, ce dossier, divisé en quatre grandes parties (Émergence de la scène punk en France/Groupes et trajectoires/Le corps punk et sa vulnérabilité/Héritage et mémoire) auquel viennent s’ajouter deux témoignages, offre un premier regard croisé sur un phénomène encore assez largement méconnu et faiblement investi de reconnaissance dans le champ académique. Langues : Français (fre) Mots-clés : Musique et spectacles musicaux / Musique populaire moderne / Pop rock Rock (rock'n'roll) punk rock alternatif Punk (mouvement) -- France -- 1970-... Résumé : Quatre grandes parties pour ce dossier : émergence de la scène punk en France ; groupes et trajectoires ; le corps punk et sa vulnérabilité ; héritage et mémoire. Note de contenu : Sommaire :
• Introduction
« On veut plus des Beatles et d’leur musique de merde ! »
• Émergences
Au tout début du punk parisien : du lycée Charlemagne au Club 100
La première scène punk en Normandie (1976-1980)
L’émergence du punk en France : entre dandys et autonomes (1976-1981) 76-1981)
• Groupes et trajectoires
Bérurier Noir. Sociogenèse culturelle et itinéraire personnel
Territorialité et publicité : la trajectoire multiscalaire d’OTH (1978-1991)
• Pas de futur mais un corps
La scène punk en France et la « défonce » (1976-1984)
Le corps punk, de la transgression à l’innovation (1976-2016) )
• Héritage et mémoire
Punkitude et vie quotidienne dans le Paris de la fin des années 1970
Le cadavre est-il encore chaud ?
• Tribunes
Des ondes radioélectriques
Des origines de la grotte punk, de la conservation de l’os à l’errance des sentiments
• Compte-rendu de conférence
“Keep it Simple, Make it Fast (KISMIF). Crossing Borders of Underground Music Scenes”, 13-17 July 2015
• Notes de lecture
Tōru Mitsui (ed.), Made in Japan: Studies in Popular Music
Amber Clifford-Napoleone, Queerness in heavy metal music: metal bent
Dominique Caubet, Shouf Shouf Hollanda: succesvol en Marokkaan
Michel Delville, Radiohead OK Computer
Bibliogr. en fin d'articlesEn ligne : https://www.cairn.info/revue-volume-2016-2.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=47333 [n° ou bulletin]vol. 13-1 - 1er décembre 2016 - La scène punk en France : 1976-2016 [document électronique] / Luc Robène (1962-...)
est un bulletin de Volume ! La revue des musiques populaires / Cairn.info et revues.org / Raphaël Brunel
19 €
Le dynamisme des études sur le punk n’a que très faiblement touché la France, alors même que dans un grand nombre de pays a été produit, plus ou moins récemment, un travail scientifique considérable qui démontre ce qu’il a pu apporter aux sociétés contemporaines du point de vue historique et social. Tirant partie des possibilités offertes par le prisme d’analyse qu’est la notion de scène, ce dossier, divisé en quatre grandes parties (Émergence de la scène punk en France/Groupes et trajectoires/Le corps punk et sa vulnérabilité/Héritage et mémoire) auquel viennent s’ajouter deux témoignages, offre un premier regard croisé sur un phénomène encore assez largement méconnu et faiblement investi de reconnaissance dans le champ académique.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Musique et spectacles musicaux / Musique populaire moderne / Pop rock Rock (rock'n'roll) punk rock alternatif Punk (mouvement) -- France -- 1970-... Résumé : Quatre grandes parties pour ce dossier : émergence de la scène punk en France ; groupes et trajectoires ; le corps punk et sa vulnérabilité ; héritage et mémoire. Note de contenu : Sommaire :
• Introduction
« On veut plus des Beatles et d’leur musique de merde ! »
• Émergences
Au tout début du punk parisien : du lycée Charlemagne au Club 100
La première scène punk en Normandie (1976-1980)
L’émergence du punk en France : entre dandys et autonomes (1976-1981) 76-1981)
• Groupes et trajectoires
Bérurier Noir. Sociogenèse culturelle et itinéraire personnel
Territorialité et publicité : la trajectoire multiscalaire d’OTH (1978-1991)
• Pas de futur mais un corps
La scène punk en France et la « défonce » (1976-1984)
Le corps punk, de la transgression à l’innovation (1976-2016) )
• Héritage et mémoire
Punkitude et vie quotidienne dans le Paris de la fin des années 1970
Le cadavre est-il encore chaud ?
• Tribunes
Des ondes radioélectriques
Des origines de la grotte punk, de la conservation de l’os à l’errance des sentiments
• Compte-rendu de conférence
“Keep it Simple, Make it Fast (KISMIF). Crossing Borders of Underground Music Scenes”, 13-17 July 2015
• Notes de lecture
Tōru Mitsui (ed.), Made in Japan: Studies in Popular Music
Amber Clifford-Napoleone, Queerness in heavy metal music: metal bent
Dominique Caubet, Shouf Shouf Hollanda: succesvol en Marokkaan
Michel Delville, Radiohead OK Computer
Bibliogr. en fin d'articlesEn ligne : https://www.cairn.info/revue-volume-2016-2.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=47333 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Solveig Serre, chercheur au CNRS (CESR/CMBV) et Luc Robène, professeur à l’université de Bordeaux, guitariste (Noir Désir, Strychnine, Arno Futur), co-porteurs du projet de recherche PIND (Punk is not dead. Une histoire de la scène punk en France, 1976-20URLFilles, garçons et musique punk / ERIC BRUN in Agora Débats / Jeunesses : le laboratoire d'idées au service des acteurs de la jeunesse / Cairn.info, 41 (3e trimestre 2006)
Titre : Filles, garçons et musique punk Type de document : texte imprimé Auteurs : ERIC BRUN, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : pp. 50-64 Note générale : Voir aussi, en hyperlien, la note de lecture de Xavier Molénat, Mis à jour le 15/06/2011 : "Le punk constitue un milieu musical « marginal » et peu professionnalisé. Lieu d’expression des luttes antifascistes, antiétatiques, anticapitalistes ou encore antispécistes, il est même investi par certains groupes dits « féministes radicaux ». Le caractère antisexiste du punk semble également faire consensus parmi ces membres. Pourtant, l’observation des modalités d’entrée dans le punk et de la constitution des groupes met en évidence « des dynamiques de différenciation sexuées jouant en faveur des garçons ». Dans un milieu largement masculin (groupes et public), on constate par exemple, comme ailleurs, une sexuation des instruments, basse et chant étant plutôt pratiqués par les filles, guitare et batterie par les garçons. Mais l’on assiste aussi à une spécialisation des tâches, les garçons s’arrogeant les aspects techniques (sonorisation, lumières…), les filles se cantonnant davantage à l’accueil et à l’organisation. Mélanie, qui « gère » un groupe punk, se voit ainsi en « éponge à stress ». Déchargeant les musiciens des tâches organisationnelles, elle assume un rôle « silencieux » en faisant face aux aléas et en rappelant les contraintes (horaires à respecter) pour « que le spectacle se passe bien ». Plus généralement, les filles tendent à avoir un investissement moins spécifique que les garçons dans le punk. Comme le dit un garçon à propos des « copines des potes » : « Pour elles, c’était… un truc, quoi, c’était pas le truc. » Semble jouer ici un rapport différencié au temps, les garçons semblant plus prompts à adopter des modes de vie « hors temps social » typique des bohèmes artistiques – consommation de drogues et d’alcool, abandon de la scolarité au profit de la musique, éloignement de la sphère du travail « légitime »…, les filles étant, elles, moins enclines à de telles ruptures (certaines ont de très bons résultats scolaires). Le temps joue aussi d’une autre manière : simples auditrices ou spectatrices de concerts au départ, les filles du milieu punk rencontrent souvent leur petit ami dans ce même milieu alors qu’il y est déjà investi musicalement. Ce décalage temporel peut être significatif socialement, car le garçon bénéficie alors « d’un savoir-faire et parfois d’une certaine visibilité sociale dans la scène», ce qui l’incite à prendre l’initiative de la création musicale tandis que la fille se cantonne à un rôle d’accompagnement." Langues : Français (fre) Mots-clés : punk jeunes jeunesse fille garçon filles garçons Résumé : Cet article analyse la production des rapports sociaux de sexe parmi des jeunes hommes et jeunes filles qui s’investissent dans un univers artistique «marginal», la musique punk. La focale d’observation se porte sur les logiques de socialisation et sur les processus de divisions sexuées du «travail», des rapports au temps et des modes d’investissement dans cette pratique considérée comme «masculine», dans cet univers social spécifique tendant à fonctionner en «hors temps social» et investi de valeurs contestataires et «antisexistes». Note de contenu : Plan de l'article :
Des différenciations sexuées au sein d’un univers «antisexiste»La persistance de divisions sociales sexuées
Contextes de socialisation juvénile et modes d’accès au groupeTrajectoires juvéniles masculines de socialisation
Trajectoires juvéniles féminines de socialisation
[Bibliographie]En ligne : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/agora_1268-5666_2006_num_ [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=96416
in Agora Débats / Jeunesses : le laboratoire d'idées au service des acteurs de la jeunesse / Cairn.info > 41 (3e trimestre 2006) . - pp. 50-64[article] Filles, garçons et musique punk [texte imprimé] / ERIC BRUN, Auteur . - 2006 . - pp. 50-64.
Voir aussi, en hyperlien, la note de lecture de Xavier Molénat, Mis à jour le 15/06/2011 : "Le punk constitue un milieu musical « marginal » et peu professionnalisé. Lieu d’expression des luttes antifascistes, antiétatiques, anticapitalistes ou encore antispécistes, il est même investi par certains groupes dits « féministes radicaux ». Le caractère antisexiste du punk semble également faire consensus parmi ces membres. Pourtant, l’observation des modalités d’entrée dans le punk et de la constitution des groupes met en évidence « des dynamiques de différenciation sexuées jouant en faveur des garçons ». Dans un milieu largement masculin (groupes et public), on constate par exemple, comme ailleurs, une sexuation des instruments, basse et chant étant plutôt pratiqués par les filles, guitare et batterie par les garçons. Mais l’on assiste aussi à une spécialisation des tâches, les garçons s’arrogeant les aspects techniques (sonorisation, lumières…), les filles se cantonnant davantage à l’accueil et à l’organisation. Mélanie, qui « gère » un groupe punk, se voit ainsi en « éponge à stress ». Déchargeant les musiciens des tâches organisationnelles, elle assume un rôle « silencieux » en faisant face aux aléas et en rappelant les contraintes (horaires à respecter) pour « que le spectacle se passe bien ». Plus généralement, les filles tendent à avoir un investissement moins spécifique que les garçons dans le punk. Comme le dit un garçon à propos des « copines des potes » : « Pour elles, c’était… un truc, quoi, c’était pas le truc. » Semble jouer ici un rapport différencié au temps, les garçons semblant plus prompts à adopter des modes de vie « hors temps social » typique des bohèmes artistiques – consommation de drogues et d’alcool, abandon de la scolarité au profit de la musique, éloignement de la sphère du travail « légitime »…, les filles étant, elles, moins enclines à de telles ruptures (certaines ont de très bons résultats scolaires). Le temps joue aussi d’une autre manière : simples auditrices ou spectatrices de concerts au départ, les filles du milieu punk rencontrent souvent leur petit ami dans ce même milieu alors qu’il y est déjà investi musicalement. Ce décalage temporel peut être significatif socialement, car le garçon bénéficie alors « d’un savoir-faire et parfois d’une certaine visibilité sociale dans la scène», ce qui l’incite à prendre l’initiative de la création musicale tandis que la fille se cantonne à un rôle d’accompagnement."
Langues : Français (fre)
in Agora Débats / Jeunesses : le laboratoire d'idées au service des acteurs de la jeunesse / Cairn.info > 41 (3e trimestre 2006) . - pp. 50-64
Mots-clés : punk jeunes jeunesse fille garçon filles garçons Résumé : Cet article analyse la production des rapports sociaux de sexe parmi des jeunes hommes et jeunes filles qui s’investissent dans un univers artistique «marginal», la musique punk. La focale d’observation se porte sur les logiques de socialisation et sur les processus de divisions sexuées du «travail», des rapports au temps et des modes d’investissement dans cette pratique considérée comme «masculine», dans cet univers social spécifique tendant à fonctionner en «hors temps social» et investi de valeurs contestataires et «antisexistes». Note de contenu : Plan de l'article :
Des différenciations sexuées au sein d’un univers «antisexiste»La persistance de divisions sociales sexuées
Contextes de socialisation juvénile et modes d’accès au groupeTrajectoires juvéniles masculines de socialisation
Trajectoires juvéniles féminines de socialisation
[Bibliographie]En ligne : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/agora_1268-5666_2006_num_ [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=96416
Titre : Figures urbaines du quotidien Type de document : texte imprimé Auteurs : MAURICE Francois; MIGNON Patrick; CAROUX Jacques Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Culture:Culture Use more specific descriptor.Mots-clés : MUSIQUE PUNK ROCK SKATE BOARD Résumé : MUSIQUE, PUNK, ROCK,SKATE BOARD Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=15189
in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor > Esprit, 10, oct. 1978, p. 27-35 [00/00/0000][article] Figures urbaines du quotidien [texte imprimé] / MAURICE Francois; MIGNON Patrick; CAROUX Jacques.
in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor > Esprit, 10, oct. 1978, p. 27-35 [00/00/0000]
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Culture:Culture Use more specific descriptor.Mots-clés : MUSIQUE PUNK ROCK SKATE BOARD Résumé : MUSIQUE, PUNK, ROCK,SKATE BOARD Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=15189 PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkUne génération sacrifiée ? : jeunes des classes populaires dans la France désindustrialisée / Stéphane Beaud
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