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L'invention des "quartiers sensibles" / Sylvie Tissot in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : journal des cercles diplomatiques et des grandes organisations internationales / Europresse et Cairn.info, 643 (octobre 2007)
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[article]
Titre : L'invention des "quartiers sensibles" Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Tissot (1971-...) , Auteur
Editeur : Paris : Le Monde diplomatique Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 6 Note générale : Bibliographie.
[1] Loïc Wacquant, Parias urbains, Ghetto. Banlieues. Etat, La Découverte, Paris, 2006
[2] Voir pour cela l’enquête menée dans L’Etat et les quartiers. Genèse d’une catégorie d’action publique, Seuil, Paris, 2007.
[3] Sylvie Tissot, Christophe Gaubert et Marie-Hélène Lechien, Reconversions militantes, PULIM, Limoges, 2006
[4] Yasmine Siblot, Faire valoir ses droits au quotidien : Les services publics dans les quartiers populaires, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, 2006
[5] François Dubet et Didier Lapeyronnie, Les quartiers d’exil, Seuil, Paris, 1992.
[6] Olivier Masclet, La gauche et les cités, un rendez-vous manqué, La Dispute, Paris, 2003.
[7] Sylvie Tissot et Franck Poupeau, « La spatialisation des problèmes sociaux », Actes de la recherche en sciences sociales, septembre 2005, n° 159, pp. 5-9.
[8] Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, Grandes fortunes : dynasties familiales et formes de richesse en France, Payot, Paris, 2006 ; Stéphane Beaud et Michel Pialoux, Retour sur la condition ouvrière : enquête aux usines Peugeot de Sochaux, Fayard, Paris, 2005.Langues : Français (fre) Mots-clés : politique de la ville ghetto 1980-... quartiers sensibles quartier sensible Résumé : Point de vue d'une spécialiste en sciences sociales sur la pauvreté urbaine avec l'émergence dans les années 1985-1995 des catégories territoriales : les "cités-ghettos" ou autres "quartiers d'exil". Histoire d'une dépolitisation des problèmes urbains. Note de contenu : La dégradation du quotidien des « cités » suscite toutes sortes d’initiatives de « terrain » et de discours politiques. Mais la réalité des faits en masque une autre, celle des mots par lesquels on la désigne. Et ceux-ci sont loin d’être neutres. Ainsi, la rhétorique des « quartiers sensibles », dominante depuis vingt ans, a une histoire, celle d’une vision du monde où s’effacent les rapports de domination et la question sociale, au profit d’une idéologie de la « proximité » conservatrice de l’ordre établi.
Cités-ghettos », « quartiers sensibles » ou autres « quartiers d’exil » sont, depuis une vingtaine d’années, l’objet de reportages dramatisants, parfois sensationnalistes. Mais est-ce la seule chose qui doive nous interroger ou nous inquiéter ? Car ces catégories territoriales, qui émergent en France dans les années 1985-1995, ne sont pas un simple « reflet », même déformé, de la réalité sociale ; il ne s’agit pas seulement d’exagérations ou de mensonges. Ce qui se joue est aussi et surtout une nouvelle manière de regarder la pauvreté urbaine et d’y réfléchir, qui, paradoxalement, tout en insistant sur la gravité du « problème », a pour caractéristique principale de laisser dans l’ombre l’origine de la domination sociale, économique ou encore raciste.
Comment en est-on arrivé là ? Pour le comprendre, il convient de détourner le regard – au moins un instant – de ces éternels objets d’investigation, les « quartiers sensibles » et leurs habitants, pour s’intéresser à la manière dont le « problème des banlieues » a été défini dans les années 1985-1995. C’est à cette époque en effet qu’une nouvelle politique publique s’est mise en place dans cinq cents quartiers d’habitat social. Cette focalisation a eu un double effet. Les dispositifs de la politique dite « de la ville » ont permis de rénover de nombreuses cités, tout en offrant un accompagnement mis en place localement par des professionnels du développement social. En même temps, les financements supplémentaires obtenus et dépensés n’ont jamais pris la forme d’une redistribution sociale et spatiale des richesses, susceptible d’endiguer le creusement des inégalités économiques. Malgré les nombreux appels aux « plans Marshall pour les banlieues », ils ont été limités. D’autre part, des coupes sévères étaient dans le même temps infligées aux politiques de droit commun, en matière d’éducation ou de santé, dans ces mêmes quartiers populaires.
Des analyses dépolitisées
En outre, la focalisation sur les « quartiers sensibles » ne concerne que certains aspects. Le diagnostic (...)En ligne : https://lmsi.net/L-invention-des-quartiers Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68999
in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : journal des cercles diplomatiques et des grandes organisations internationales / Europresse et Cairn.info > 643 (octobre 2007) . - p. 6[article] L'invention des "quartiers sensibles" [texte imprimé] / Sylvie Tissot (1971-...), Auteur . - Paris : Le Monde diplomatique, 2007 . - p. 6.
Bibliographie.
[1] Loïc Wacquant, Parias urbains, Ghetto. Banlieues. Etat, La Découverte, Paris, 2006
[2] Voir pour cela l’enquête menée dans L’Etat et les quartiers. Genèse d’une catégorie d’action publique, Seuil, Paris, 2007.
[3] Sylvie Tissot, Christophe Gaubert et Marie-Hélène Lechien, Reconversions militantes, PULIM, Limoges, 2006
[4] Yasmine Siblot, Faire valoir ses droits au quotidien : Les services publics dans les quartiers populaires, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, 2006
[5] François Dubet et Didier Lapeyronnie, Les quartiers d’exil, Seuil, Paris, 1992.
[6] Olivier Masclet, La gauche et les cités, un rendez-vous manqué, La Dispute, Paris, 2003.
[7] Sylvie Tissot et Franck Poupeau, « La spatialisation des problèmes sociaux », Actes de la recherche en sciences sociales, septembre 2005, n° 159, pp. 5-9.
[8] Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, Grandes fortunes : dynasties familiales et formes de richesse en France, Payot, Paris, 2006 ; Stéphane Beaud et Michel Pialoux, Retour sur la condition ouvrière : enquête aux usines Peugeot de Sochaux, Fayard, Paris, 2005.
Langues : Français (fre)
in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : journal des cercles diplomatiques et des grandes organisations internationales / Europresse et Cairn.info > 643 (octobre 2007) . - p. 6
Mots-clés : politique de la ville ghetto 1980-... quartiers sensibles quartier sensible Résumé : Point de vue d'une spécialiste en sciences sociales sur la pauvreté urbaine avec l'émergence dans les années 1985-1995 des catégories territoriales : les "cités-ghettos" ou autres "quartiers d'exil". Histoire d'une dépolitisation des problèmes urbains. Note de contenu : La dégradation du quotidien des « cités » suscite toutes sortes d’initiatives de « terrain » et de discours politiques. Mais la réalité des faits en masque une autre, celle des mots par lesquels on la désigne. Et ceux-ci sont loin d’être neutres. Ainsi, la rhétorique des « quartiers sensibles », dominante depuis vingt ans, a une histoire, celle d’une vision du monde où s’effacent les rapports de domination et la question sociale, au profit d’une idéologie de la « proximité » conservatrice de l’ordre établi.
Cités-ghettos », « quartiers sensibles » ou autres « quartiers d’exil » sont, depuis une vingtaine d’années, l’objet de reportages dramatisants, parfois sensationnalistes. Mais est-ce la seule chose qui doive nous interroger ou nous inquiéter ? Car ces catégories territoriales, qui émergent en France dans les années 1985-1995, ne sont pas un simple « reflet », même déformé, de la réalité sociale ; il ne s’agit pas seulement d’exagérations ou de mensonges. Ce qui se joue est aussi et surtout une nouvelle manière de regarder la pauvreté urbaine et d’y réfléchir, qui, paradoxalement, tout en insistant sur la gravité du « problème », a pour caractéristique principale de laisser dans l’ombre l’origine de la domination sociale, économique ou encore raciste.
Comment en est-on arrivé là ? Pour le comprendre, il convient de détourner le regard – au moins un instant – de ces éternels objets d’investigation, les « quartiers sensibles » et leurs habitants, pour s’intéresser à la manière dont le « problème des banlieues » a été défini dans les années 1985-1995. C’est à cette époque en effet qu’une nouvelle politique publique s’est mise en place dans cinq cents quartiers d’habitat social. Cette focalisation a eu un double effet. Les dispositifs de la politique dite « de la ville » ont permis de rénover de nombreuses cités, tout en offrant un accompagnement mis en place localement par des professionnels du développement social. En même temps, les financements supplémentaires obtenus et dépensés n’ont jamais pris la forme d’une redistribution sociale et spatiale des richesses, susceptible d’endiguer le creusement des inégalités économiques. Malgré les nombreux appels aux « plans Marshall pour les banlieues », ils ont été limités. D’autre part, des coupes sévères étaient dans le même temps infligées aux politiques de droit commun, en matière d’éducation ou de santé, dans ces mêmes quartiers populaires.
Des analyses dépolitisées
En outre, la focalisation sur les « quartiers sensibles » ne concerne que certains aspects. Le diagnostic (...)En ligne : https://lmsi.net/L-invention-des-quartiers Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68999 Le travail social dans les quartiers « sensibles » : un rendez-vous manqué / Bénédicte Madelin in Informations sociales : revue de réflexion et d'information pour les praticiens et les chercheurs du social, 152 (mars-avril 2009)
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[article]
Titre : Le travail social dans les quartiers « sensibles » : un rendez-vous manqué Type de document : texte imprimé Auteurs : Bénédicte Madelin, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 82-90 Langues : Français (fre) Mots-clés : rénovation urbaine territoire territoires quartier quartier sensible quartiers sensibles travail social Résumé : Les relations entre la politique de la ville et le travail social ont toujours été complexes, malgré une évidente proximité de leurs objectifs respectifs. Dès sa création et partant d’une critique des politiques sectorielles, la politique de la ville affirme l’approche territoriale comme mode de réponse à la complexité des questions sociales et s’appuie sur l’innovation dans les pratiques sociales pour transformer les politiques publiques de droit commun (politiques sociales, du logement, de l’éducatif, etc.). Pourtant, la rencontre entre ces deux politiques ne progresse que lentement : avec les « nouveaux acteurs » sociaux, les projets sociaux de territoire ou encore les projets de rénovation urbaine, la politique de la ville a du mal à mobiliser le droit commun des politiques sociales. Cette difficulté explique-t-elle aujourd’hui le retour vers une forme de culpabilisation des familles et de la pauvreté ? Note de contenu : PLAN DE L'ARTICLE
•Le contexte d’évolution du travail social et la « construction » des quartiers sensibles
•La difficile rencontre avec les chefs de projet et l’émergence des nouveaux métiers
•Les projets sociaux de territoire : une volonté de rapprochement
•La rénovation urbaine : un nouveau rendez-vous manqué ?
•Vers la culpabilisation de la pauvreté…En ligne : www.cairn.info/revue-informations-sociales-2009-2-page-82.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=71921
in Informations sociales : revue de réflexion et d'information pour les praticiens et les chercheurs du social > 152 (mars-avril 2009) . - pp. 82-90[article] Le travail social dans les quartiers « sensibles » : un rendez-vous manqué [texte imprimé] / Bénédicte Madelin, Auteur . - 2009 . - pp. 82-90.
Langues : Français (fre)
in Informations sociales : revue de réflexion et d'information pour les praticiens et les chercheurs du social > 152 (mars-avril 2009) . - pp. 82-90
Mots-clés : rénovation urbaine territoire territoires quartier quartier sensible quartiers sensibles travail social Résumé : Les relations entre la politique de la ville et le travail social ont toujours été complexes, malgré une évidente proximité de leurs objectifs respectifs. Dès sa création et partant d’une critique des politiques sectorielles, la politique de la ville affirme l’approche territoriale comme mode de réponse à la complexité des questions sociales et s’appuie sur l’innovation dans les pratiques sociales pour transformer les politiques publiques de droit commun (politiques sociales, du logement, de l’éducatif, etc.). Pourtant, la rencontre entre ces deux politiques ne progresse que lentement : avec les « nouveaux acteurs » sociaux, les projets sociaux de territoire ou encore les projets de rénovation urbaine, la politique de la ville a du mal à mobiliser le droit commun des politiques sociales. Cette difficulté explique-t-elle aujourd’hui le retour vers une forme de culpabilisation des familles et de la pauvreté ? Note de contenu : PLAN DE L'ARTICLE
•Le contexte d’évolution du travail social et la « construction » des quartiers sensibles
•La difficile rencontre avec les chefs de projet et l’émergence des nouveaux métiers
•Les projets sociaux de territoire : une volonté de rapprochement
•La rénovation urbaine : un nouveau rendez-vous manqué ?
•Vers la culpabilisation de la pauvreté…En ligne : www.cairn.info/revue-informations-sociales-2009-2-page-82.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=71921 Les jeunes des quartiers en prison : "Même pas mal !" / Claire van den Bogaard in Le Passe-Murailles, 62 (septembre-octobre 2016)
[article]
Titre : Les jeunes des quartiers en prison : "Même pas mal !" Type de document : texte imprimé Auteurs : Claire van den Bogaard, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 52 à 55 Langues : Français (fre) Mots-clés : PRISON MILIEU CARCERAL / PRISON / MILIEU PENITENTIAIRE QUARTIERS PRIORITAIRES quartiers sensibles Quartiers populaires Banlieues petite délinquance DELINQUANCE DELINQUANCE JUVENILE CANNABIS appartenance territoriale institution carcérale insertion carcérale rapports de dominations DETENTION familles de détenus famille de détenu perméabilisation informationnelle bourgeois BOURGEOISIE choc carcéral surveillants pénitentiaires habitus social EXCLUSION SOCIALE Résumé : Il semblerait que les phénomènes discriminants soient plutôt à l'œuvre avant et après la détention, sous la forme de biais qui amplifient le risque de se voir contrôlé par la police et condamné à une peine de prison ferme d'une part, et le risque de moins bénéficier d'un aménagement de peine d'autre part. Certes, la prison est connue pour être un lieu fortement dérogatoire à la loi, mais qu'en est-il donc de la discrimination lors de la vie quotidienne dans les murs ? Sommes-nous tous égaux devant les conditions de détention ? Paradoxalement, les personnes qui présentent le plus de risques sociaux de se retrouver derrière les barreaux sont aussi celles qui possèdent le plus de ressources pour affronter cette épreuve le moins mal possible. Nous verrons donc principalement comme l'apprentissage préalable des codes de la détention contribue à atténuer le choc carcéral. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=218446
in Le Passe-Murailles > 62 (septembre-octobre 2016) . - p. 52 à 55[article] Les jeunes des quartiers en prison : "Même pas mal !" [texte imprimé] / Claire van den Bogaard, Auteur . - 2016 . - p. 52 à 55.
Langues : Français (fre)
in Le Passe-Murailles > 62 (septembre-octobre 2016) . - p. 52 à 55
Mots-clés : PRISON MILIEU CARCERAL / PRISON / MILIEU PENITENTIAIRE QUARTIERS PRIORITAIRES quartiers sensibles Quartiers populaires Banlieues petite délinquance DELINQUANCE DELINQUANCE JUVENILE CANNABIS appartenance territoriale institution carcérale insertion carcérale rapports de dominations DETENTION familles de détenus famille de détenu perméabilisation informationnelle bourgeois BOURGEOISIE choc carcéral surveillants pénitentiaires habitus social EXCLUSION SOCIALE Résumé : Il semblerait que les phénomènes discriminants soient plutôt à l'œuvre avant et après la détention, sous la forme de biais qui amplifient le risque de se voir contrôlé par la police et condamné à une peine de prison ferme d'une part, et le risque de moins bénéficier d'un aménagement de peine d'autre part. Certes, la prison est connue pour être un lieu fortement dérogatoire à la loi, mais qu'en est-il donc de la discrimination lors de la vie quotidienne dans les murs ? Sommes-nous tous égaux devant les conditions de détention ? Paradoxalement, les personnes qui présentent le plus de risques sociaux de se retrouver derrière les barreaux sont aussi celles qui possèdent le plus de ressources pour affronter cette épreuve le moins mal possible. Nous verrons donc principalement comme l'apprentissage préalable des codes de la détention contribue à atténuer le choc carcéral. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=218446 La participation des habitants, un enjeu majeur de la Politique de la Ville / Karim Boudeghdegh in SpécifiCITéS : La revue des terrains sensibles / Cairn.info, 5 (2012/1)
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Titre : La participation des habitants, un enjeu majeur de la Politique de la Ville Type de document : document électronique Auteurs : Karim Boudeghdegh, Auteur ; Amélie Le Dû, Auteur ; Sébastien Valbon, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp. 99-112 Langues : Français (fre) Mots-clés : Association contrats urbains cohésion sociale démocratie locale quartiers sensibles CUCS politique de la ville participation quartier sensible association centre social Résumé : À travers l’étude d’une association locale, en l’occurrence un centre social, de son histoire et difficultés notamment dans les relations que ce dernier entretient avec les institutions, les auteurs s’interrogent sur la capacité des politiques publiques et de ses dispositifs, en particulier le contrat urbain de cohésion sociale, à promouvoir une citoyenneté active aux bénéfices des quartiers dits sensibles. Note de contenu : Plan de l'article :
Les municipalités, pilote local des politiques publiques impulsées par l’État
Le cas du centre social et culturel les Acacias situé à Nanterre
Comment corriger ?En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=SPEC_005_0099 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=168994
in SpécifiCITéS : La revue des terrains sensibles / Cairn.info > 5 (2012/1) . - pp. 99-112[article] La participation des habitants, un enjeu majeur de la Politique de la Ville [document électronique] / Karim Boudeghdegh, Auteur ; Amélie Le Dû, Auteur ; Sébastien Valbon, Auteur . - 2013 . - pp. 99-112.
Langues : Français (fre)
in SpécifiCITéS : La revue des terrains sensibles / Cairn.info > 5 (2012/1) . - pp. 99-112
Mots-clés : Association contrats urbains cohésion sociale démocratie locale quartiers sensibles CUCS politique de la ville participation quartier sensible association centre social Résumé : À travers l’étude d’une association locale, en l’occurrence un centre social, de son histoire et difficultés notamment dans les relations que ce dernier entretient avec les institutions, les auteurs s’interrogent sur la capacité des politiques publiques et de ses dispositifs, en particulier le contrat urbain de cohésion sociale, à promouvoir une citoyenneté active aux bénéfices des quartiers dits sensibles. Note de contenu : Plan de l'article :
Les municipalités, pilote local des politiques publiques impulsées par l’État
Le cas du centre social et culturel les Acacias situé à Nanterre
Comment corriger ?En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=SPEC_005_0099 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=168994 "Il faut dépoussiérer les appréhensions réciproques" / Daniel BOITIER in HL, Hommes & Libertés : La revue de la LDH / BM de Tours, 176 (décembre 2016)
[article]
Titre : "Il faut dépoussiérer les appréhensions réciproques" Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel BOITIER, Personne interviewée ; Laurence De Cock (1972-...) , Auteur ; Nathalie Coste, Auteur
Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 14 à 16 Langues : Français (fre) Mots-clés : Quartiers populaires quartiers sensibles QUARTIERS PRIORITAIRES JEUNES Stereotypes ENSEIGNANTS ENSEIGNANTS DU PRIMAIRE ENSEIGNANTS DU SECONDAIRE ADOLESCENTS Résumé :
Comment les enseignants peuvent-ils, dans leur travail quotidien, passer outre certains stéréotypes touchant les jeunes des quartiers populaires ? C'est une des thématiques débattues au sein du collectif d'enseignants "Aggiornamento histoire géographie", espace de réflexion auquel participent Laurence De Cock (cofondatrice) et Nathalie Coste. Entretien.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=220772
in HL, Hommes & Libertés : La revue de la LDH / BM de Tours > 176 (décembre 2016) . - p. 14 à 16[article] "Il faut dépoussiérer les appréhensions réciproques" [texte imprimé] / Daniel BOITIER, Personne interviewée ; Laurence De Cock (1972-...), Auteur ; Nathalie Coste, Auteur . - 2016 . - p. 14 à 16.
Langues : Français (fre)
in HL, Hommes & Libertés : La revue de la LDH / BM de Tours > 176 (décembre 2016) . - p. 14 à 16
Mots-clés : Quartiers populaires quartiers sensibles QUARTIERS PRIORITAIRES JEUNES Stereotypes ENSEIGNANTS ENSEIGNANTS DU PRIMAIRE ENSEIGNANTS DU SECONDAIRE ADOLESCENTS Résumé :
Comment les enseignants peuvent-ils, dans leur travail quotidien, passer outre certains stéréotypes touchant les jeunes des quartiers populaires ? C'est une des thématiques débattues au sein du collectif d'enseignants "Aggiornamento histoire géographie", espace de réflexion auquel participent Laurence De Cock (cofondatrice) et Nathalie Coste. Entretien.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=220772 Contribution à l'analyse de la "violence des mineurs". Les affaires traitées par les juges des enfants / Véronique Le Goaziou in Adolescence : revue trimestrielle de psychanalyse, psychopathologie et sciences humaines / Cairn.info et ITS, N°68- Eté 2009 (2009)
PermalinkPermalinkPermalinkVue du quartier : la prison omniprésente / Amid Khallouf in Dedans dehors / OIP section française, 92 (Juillet 2016)
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