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Opéra monde / exposition, Metz, Centre Pompidou-Metz, Galerie 3, du 22 juin 2019 au 27 janvier 2020 / Stéphane Ghislain Roussel
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Titre : Opéra monde / exposition, Metz, Centre Pompidou-Metz, Galerie 3, du 22 juin 2019 au 27 janvier 2020 Type de document : document électronique Auteurs : Stéphane Ghislain Roussel (1974-...), Commissaire d'exposition ; Denis Guéguin, Auteur Editeur : Réunion des Musées Nationaux Année de publication : 2019 Collection : Rmn musique exp Importance : 320 p. Format : 22 x 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7118-7439-2 Prix : 49 € Note générale : Introduction :
Exposer aujourd’hui l’opéra a plus d’un sens. C’en est fini avec le mythe du « dernier opéra ». « Il faut faire sauter les maisons d’opéra », déclarait Pierre Boulez en 1967. Si la sentence semblait tomber comme un verdict fatal et définitif, on peut constater que le genre a, au contraire, donné lieu tout au long du XXe siècle et précisément ces dernières décennies, à d’importantes et remarquables créations. La spectacularisation dénoncée alors a amplement touché les autres domaines artistiques. L’opéra comme lieu du spectaculaire permet, dès lors, d’explorer sous un angle nouveau cette théâtralité innervant de plus en plus, après des années d’un art plus conceptuel, le champ de l’art contemporain.
Présentant des maquettes, costumes, éléments de scénographie, autant que d’imposantes installations et de nouvelles créations, le parcours, qui mêle images et sons, montre comment l’opéra est la fois une manufacture de désirs artistiques partagés autant qu’un symbole de liberté. Des expériences scéniques des premières avant-gardes, telles que La Main heureuse (1910-1913) d’Arnold Schönberg, aux partitions durablement inscrites au programme des grandes salles comme Saint François d’Assise (1983) d’Olivier Messiaen, en passant par des formes plus expérimentales, mais emblématiques, comme Einstein on the Beach (1976) de Philip Glass et Bob Wilson, Opéra Monde esquisse une cartographie différente de l’interdisciplinarité.
Se déployant en différentes sections thématiques, allant de la scène comme peinture en mouvement, aux productions politiques et parfois utopiques, de formes plus radicales et de nouveaux lieux d’opéra, à la féérie ou encore la fureur des mythes, le projet prend essentiellement pour focus une sélection de créations représentatives de ces relations fructueuses scèneartiste. Certains grands classiques – La Flûte enchantée, ou Norma – sont également exposés, soulignant comment le répertoire manié avec audace, a servi à la fois de lieu de transgression, de transformation, tout en garantissant une certaine pérennité du genre.
L’exposition questionne la capacité même d’une exposition, sinon à restituer, du moins à évoquer le pouvoir sensoriel de l’opéra et son caractère envoûtant. Un important travail de réactivation de certaines créations du passé, de même que certaines commandes passées à des artistes contemporains, permettent de montrer la passion que suscite encore le genre aujourd’hui, et de plonger le visiteur dans la magie singulière du spectacle lyrique.
Prolongeant la réflexion sur les affinités électives entre le spectacle et les arts visuels – portée par de précédents projets, parmi lesquels Musisircus ou Oskar Schlemmer. L’homme qui danse, l’exposition Opéra Monde questionne la théâtralité qui innerve les champs de l’art moderne et contemporain, avec une résonance d’autant plus forte qu’elle s’inscrit dans le cadre du 350e anniversaire de l’Opéra national de Paris, berceau de gestes artistiques novateurs – ceux de Bill Viola, Romeo Castellucci ou Clément Cogitore, pour ne citer qu’eux.
Parcours :
Scénographe et costumière, collaboratrice de longue date du metteur en scène Krzysztof Warlikowski, Małgorzata Szczęśniak (née en 1954) développe un travail qui ne se plie en rien au conformisme de certaines traditions théâtrales. Remettant en question le potentiel expressif de la scène, à travers une recherche sur le pouvoir symbolique des lieux et la transformation du réel, son travail – reconnaissable notamment par son architectonique – oscille entre une sobriété étincelante et une forme de baroquisme contemporain. Nourri de nombreuses sources d’inspiration, allant des arts visuels au grand écran, il rejette tout caractère illustratif, pour faire de la scénographie un élément charnière de la dramaturgie.
À l’invitation du commissaire de l’exposition et en étroit dialogue avec l’équipe artistique, la créatrice polonaise réalise la scénographie de l’exposition.
Elle propose un labyrinthe, se déployant de part en part de la galerie, telle une métaphore de la traversée à la fois sensorielle et dramaturgique du déroulé du parcours, pensé lui-même comme un opéra structuré en actes, scènes et sensations. Suivant cette quête qui propose autant de réponses que d’invitations à la découverte, la déambulation permet une véritable rythmique, provoquant des effets de surprise, des moments de pause ou encore des espaces plus vastes de contemplation. D’un point de vue symbolique, la forme labyrinthique convoque et met en résonance des récits tels que celui d’Ariane ou encore d’Orphée, figures mythiques fondatrices ou tutélaires de l’histoire de l’opéra et d’un désir passionné sans limite. Enfin, à l’opposé d’une vision homogène et globalisante, cette architecture met en avant la richesse protéiforme des nations, des histoires et des rêves, que peut constituer le genre lyrique comme miroir du monde.Mots-clés : Cinéma musique Art Beaux arts Histoire l'art opéra catharsis scénographe scénographie expérience scénique avant-garde Arnold Schönberg Olivier Messiaen Einstein on the Beach (1976) Philip Glass Bob Wilson Opéra Monde cartographie interdisciplinarité plasticien vidéaste artistes résidences scène nouvelles technologies chanteur Résumé : Le catalogue Opéra Monde. La quête d’un art total sous la direction du commissaire de l’exposition, Stéphane Ghislain Roussel, dresse un ambitieux panorama des rapports entre le genre lyrique et les arts visuels, de Wagner à nos jours. Richement illustré, cet ouvrage de référence en explore les multiples facettes en abordant plus d’une cinquantaine d’œuvres clés. Il réunit une trentaine de spécialistes qui, à travers des essais et des entretiens inédits, complétés par un important corpus scientifique, analysent les enjeux esthétiques et politiques soulevés par l’opéra et l’idéal d’une œuvre d’art totale. Note de contenu : L'Opéra est une forme qui convoque toutes les disciplines, il y a deux niveaux de l'art total, dont une dimension politique, engagée, quelque chose de sensoriel qui invite à repenser le monde. Stéphane Ghislain Roussel
L'exposition est pensée comme un spectacle, elle commence par une ouverture, on a choisi une oeuvre monumentale, King Kong qui mesure 11 mètres. Stéphane Ghislain Roussel
A partir du moment où un plasticien intervient, il vient avec un univers qui lui est propre, et je pense que les grands scénographes sont des artistes à part entière. C'est un signifié qui se rajoute, il y a une polyphonie de formes qui se rencontrent, créant une méta-forme. Stéphane Ghislain Roussel
Quand un plasticien arrive dans une production d'opéra, il déstabilise. Stéphane Ghislain Roussel
Il faut ouvrir les yeux, ouvrir la sensibilité, évacuer la peur. C'est tellement difficile pour les jeunes chanteurs d'avoir le sens du théâtre. Denis Guéguin, vidéasteEn ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-culture/lopera-art-total Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=226489 Opéra monde / exposition, Metz, Centre Pompidou-Metz, Galerie 3, du 22 juin 2019 au 27 janvier 2020 [document électronique] / Stéphane Ghislain Roussel (1974-...), Commissaire d'exposition ; Denis Guéguin, Auteur . - [S.l.] : Réunion des Musées Nationaux, 2019 . - 320 p. ; 22 x 28 cm. - (Rmn musique exp) .
ISBN : 978-2-7118-7439-2 : 49 €
Introduction :
Exposer aujourd’hui l’opéra a plus d’un sens. C’en est fini avec le mythe du « dernier opéra ». « Il faut faire sauter les maisons d’opéra », déclarait Pierre Boulez en 1967. Si la sentence semblait tomber comme un verdict fatal et définitif, on peut constater que le genre a, au contraire, donné lieu tout au long du XXe siècle et précisément ces dernières décennies, à d’importantes et remarquables créations. La spectacularisation dénoncée alors a amplement touché les autres domaines artistiques. L’opéra comme lieu du spectaculaire permet, dès lors, d’explorer sous un angle nouveau cette théâtralité innervant de plus en plus, après des années d’un art plus conceptuel, le champ de l’art contemporain.
Présentant des maquettes, costumes, éléments de scénographie, autant que d’imposantes installations et de nouvelles créations, le parcours, qui mêle images et sons, montre comment l’opéra est la fois une manufacture de désirs artistiques partagés autant qu’un symbole de liberté. Des expériences scéniques des premières avant-gardes, telles que La Main heureuse (1910-1913) d’Arnold Schönberg, aux partitions durablement inscrites au programme des grandes salles comme Saint François d’Assise (1983) d’Olivier Messiaen, en passant par des formes plus expérimentales, mais emblématiques, comme Einstein on the Beach (1976) de Philip Glass et Bob Wilson, Opéra Monde esquisse une cartographie différente de l’interdisciplinarité.
Se déployant en différentes sections thématiques, allant de la scène comme peinture en mouvement, aux productions politiques et parfois utopiques, de formes plus radicales et de nouveaux lieux d’opéra, à la féérie ou encore la fureur des mythes, le projet prend essentiellement pour focus une sélection de créations représentatives de ces relations fructueuses scèneartiste. Certains grands classiques – La Flûte enchantée, ou Norma – sont également exposés, soulignant comment le répertoire manié avec audace, a servi à la fois de lieu de transgression, de transformation, tout en garantissant une certaine pérennité du genre.
L’exposition questionne la capacité même d’une exposition, sinon à restituer, du moins à évoquer le pouvoir sensoriel de l’opéra et son caractère envoûtant. Un important travail de réactivation de certaines créations du passé, de même que certaines commandes passées à des artistes contemporains, permettent de montrer la passion que suscite encore le genre aujourd’hui, et de plonger le visiteur dans la magie singulière du spectacle lyrique.
Prolongeant la réflexion sur les affinités électives entre le spectacle et les arts visuels – portée par de précédents projets, parmi lesquels Musisircus ou Oskar Schlemmer. L’homme qui danse, l’exposition Opéra Monde questionne la théâtralité qui innerve les champs de l’art moderne et contemporain, avec une résonance d’autant plus forte qu’elle s’inscrit dans le cadre du 350e anniversaire de l’Opéra national de Paris, berceau de gestes artistiques novateurs – ceux de Bill Viola, Romeo Castellucci ou Clément Cogitore, pour ne citer qu’eux.
Parcours :
Scénographe et costumière, collaboratrice de longue date du metteur en scène Krzysztof Warlikowski, Małgorzata Szczęśniak (née en 1954) développe un travail qui ne se plie en rien au conformisme de certaines traditions théâtrales. Remettant en question le potentiel expressif de la scène, à travers une recherche sur le pouvoir symbolique des lieux et la transformation du réel, son travail – reconnaissable notamment par son architectonique – oscille entre une sobriété étincelante et une forme de baroquisme contemporain. Nourri de nombreuses sources d’inspiration, allant des arts visuels au grand écran, il rejette tout caractère illustratif, pour faire de la scénographie un élément charnière de la dramaturgie.
À l’invitation du commissaire de l’exposition et en étroit dialogue avec l’équipe artistique, la créatrice polonaise réalise la scénographie de l’exposition.
Elle propose un labyrinthe, se déployant de part en part de la galerie, telle une métaphore de la traversée à la fois sensorielle et dramaturgique du déroulé du parcours, pensé lui-même comme un opéra structuré en actes, scènes et sensations. Suivant cette quête qui propose autant de réponses que d’invitations à la découverte, la déambulation permet une véritable rythmique, provoquant des effets de surprise, des moments de pause ou encore des espaces plus vastes de contemplation. D’un point de vue symbolique, la forme labyrinthique convoque et met en résonance des récits tels que celui d’Ariane ou encore d’Orphée, figures mythiques fondatrices ou tutélaires de l’histoire de l’opéra et d’un désir passionné sans limite. Enfin, à l’opposé d’une vision homogène et globalisante, cette architecture met en avant la richesse protéiforme des nations, des histoires et des rêves, que peut constituer le genre lyrique comme miroir du monde.
Mots-clés : Cinéma musique Art Beaux arts Histoire l'art opéra catharsis scénographe scénographie expérience scénique avant-garde Arnold Schönberg Olivier Messiaen Einstein on the Beach (1976) Philip Glass Bob Wilson Opéra Monde cartographie interdisciplinarité plasticien vidéaste artistes résidences scène nouvelles technologies chanteur Résumé : Le catalogue Opéra Monde. La quête d’un art total sous la direction du commissaire de l’exposition, Stéphane Ghislain Roussel, dresse un ambitieux panorama des rapports entre le genre lyrique et les arts visuels, de Wagner à nos jours. Richement illustré, cet ouvrage de référence en explore les multiples facettes en abordant plus d’une cinquantaine d’œuvres clés. Il réunit une trentaine de spécialistes qui, à travers des essais et des entretiens inédits, complétés par un important corpus scientifique, analysent les enjeux esthétiques et politiques soulevés par l’opéra et l’idéal d’une œuvre d’art totale. Note de contenu : L'Opéra est une forme qui convoque toutes les disciplines, il y a deux niveaux de l'art total, dont une dimension politique, engagée, quelque chose de sensoriel qui invite à repenser le monde. Stéphane Ghislain Roussel
L'exposition est pensée comme un spectacle, elle commence par une ouverture, on a choisi une oeuvre monumentale, King Kong qui mesure 11 mètres. Stéphane Ghislain Roussel
A partir du moment où un plasticien intervient, il vient avec un univers qui lui est propre, et je pense que les grands scénographes sont des artistes à part entière. C'est un signifié qui se rajoute, il y a une polyphonie de formes qui se rencontrent, créant une méta-forme. Stéphane Ghislain Roussel
Quand un plasticien arrive dans une production d'opéra, il déstabilise. Stéphane Ghislain Roussel
Il faut ouvrir les yeux, ouvrir la sensibilité, évacuer la peur. C'est tellement difficile pour les jeunes chanteurs d'avoir le sens du théâtre. Denis Guéguin, vidéasteEn ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-culture/lopera-art-total Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=226489 Exemplaires
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Musées et droits culturels [Rennes, les Champs Libres - musée de Bretagne, 8 février 2019] / Juliette Raoul-Duval
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Titre : Musées et droits culturels [Rennes, les Champs Libres - musée de Bretagne, 8 février 2019] Type de document : document électronique Auteurs : Juliette Raoul-Duval, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : ICOM France Année de publication : 2019 Importance : 90 p. Format : ISBN/ISSN/EAN : 978-2-95644563-6-0 Note générale : Un enjeu de réflexion pour le secteur muséal françaisLa thématique des droits culturels trouve largement écho au sein des principes fondateurs de l’ICOM. Dès l’origine, sa mission a été définie dans une perspective de promotion du patrimoine naturel et culturel dans un cadre universel, au service de la société et de son développement. Son code de déontologie en est le reflet.L’année européenne du patrimoine culturel en 2018 a constitué une occasion d’actualiser les exigences des droits culturels avec les enjeux de diversité culturelle et de dialogue interculturel ; cette thématique questionne également la notion de patrimoine comme ressource à connaitre, à s’approprier et à partager.Les droits culturels font aussi écho à d’autres démarches engagées de longue date dans le champ des musées, à la Convention de Faro sur la valeur du patrimoine culturel pour la société du Conseil de l’Europe (2005) ou à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel adoptée par l’Unesco en 2003 et figurent explici-tement dans la loi française (loi NoTRE).À Rennes, la journée d’étude co-organisée par ICOM France et les Champs Libres - musée de Bretagne visera à donner des clés de lecture théorique de cette notion encore trop méconnue des profes-sionnels, puis à engager l’échange sur les pratiques de chacun. De manière concrète, il s’agit aussi de relire ensemble notre code de déontologie par le prisme des droits culturels.Cette thématique des droits culturels permet de questionner l’éco-système muséal, depuis le processus d’acquisition jusqu’à la gouver-nance en passant par l’implication des publics.Lors de notre journée du 8 février 2019, il sera question de « biens communs » appliqués aux contextes muséaux : cette approche est-elle partagée par l’ensemble de la communauté muséale ? Comment se constitue le patrimoine muséal ? Comment le diffuser, le valoriser ? Un enjeu de réflexion pour le territoire : l’adéquation du thème proposé avec les politiques culturelles métropolitaines et régionalesLe thème proposé entre également en résonance avec l’ambition de Rennes et de la Bretagne de décliner dans leurs propres politiques culturelles ce principe de droits culturels. L’enjeu pour la ville de Rennes et la métropole est d’accompagner une meilleure appréhen-sion des droits culturels pour leur mise en œuvre. Partenaires publics et acteurs du territoire ont la volonté́ de développer une gouvernance en phase avec les droits culturels.Cette journée pourra ainsi nourrir le cycle de formation et de recherche-action développé par la région Bretagne, le département d’Ille-et-Vilaine, Rennes Métropole, la Ville de Rennes et le CNFPT avec la participation du Réseau culture 21. Mots-clés : Musées démocratie culturelle méthodologie déconstruction droits culturels musée libertés culturelles responsabilités culturelles communs accès à la culture patrimoine naturel matériel culturel humain relation participation communauté d'oeuvres égalité réciprocité publics cultures savoirs accompagnement parcours mathière forme réseau d'approvisionnement collection intérêt national hyper-lieu,third-place acteur acteurs biens communs enjeu enjeux responsabilisation citoyen citoyens muséal terminologie Métropole partenaires citoyenne Transdisciplinarité critères gratuité collections permanentes expositions temporaires discriminations communauté culturelle communautés culturelles frontière frontières vie culturelle invariantsinvariant concertation visite droit au travail droits résistance changement alimentation management fait culturel total café débit débits boisson marin marins bistrot bistrots embarquement femme bristrotière muséologie invlusion inclusif bénévole bénévoles enquête enquêtes enquêteurs association associations collectif inclusive formation ethnologie ethnologues transgénérationnel échanges réciproques projet vidéaste session sessions équipe équipes accompagnant démarche horizontale rencontre-débat rencontres-débats intimé intimité question sociale tabou ramifications imaginaire imagination expérience personne personnes recopié transmission story-scape Résumé : Le 8 février 2019, Icom France et les Champs Libres - musée de Bretagne, ont co-organisé à Rennes une journée d'étude qui visait à donner des clés de lecture théorique de la notion de droits culturels, puis à engager l'échange sur les pratiques de chacun. De manière concrète, il s'agissait de relire le Code de déontologie de l’Icom par le prisme des droits culturels et de questionner l’écosystème muséal qui en découle, depuis le processus d’acquisition jusqu’à la gouvernance en passant par l’implication des publics. Le présent ouvrage propose une synthèse de cette rencontre qui a réuni des experts des droits culturels, des professionnels de musées français et des acteurs du champ muséal international. Note de contenu : Sommaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .PROPOS DE LA JOURNÉE...................p.7OUVERTURES OFFICIELLES.................p.13Céline Chanas, directrice du musée de BretagneBenoît Careil, adjoint délégué à la culture de la Ville de RennesJuliette Raoul-Duval, présidente d’ICOM FranceSESSION 1 - COMMENT DÉFINIR LES DROITS CULTURELS ? .................p.23Le droit au patrimoine, une obligation communePatrice Meyer-Bisch, philosophe, président de l’Observatoire de la diversité et des droits culturels, coordinateur de la chaire Unesco pour les droits de l’Homme et la Démocratie, Fribourg (Suisse)Droits de l’Homme et droits de l’œuvre – L’espace de portée sociale des musées et des objets de collectionGabi Dolff-Bonekämper, historienne de l’art, ancienne conservatrice du Mur de Berlin, titulaire de la chaire d’études de Conservation et de patrimoine urbain à l’Institut de planification urbaine et régionale de l’Université Technique de Berlin
MUSÉES ET DROITS CULTURELSSESSION 2 – LES DROITS CULTURELS DANS LES PROJETS DES MUSÉES ............p.41Table rondeavec Léna Boisard Le Coat, doctorante à l’Université de Nantes, en convention CIFRE avec la Région Bretagne Candice Runderkamp, chargée des collections du Musée alsacien de Strasbourg Mathilde Schneider, directrice des musées Beauvoisine (musée des Antiquités et Muséum d’histoire naturelle) Simon Gauchet, artiste, École parallèle imaginaire (Rennes) Kelig-Yann Cotto, directeur du Port-Musée de DouarnenezModératrices : Céline Chanas, directrice du musée de Bretagne, et Gabi Dolff-Bonekämper, historienne de l’art.SESSION 3 – LE CODE DE DÉONTOLOGIE DE LICOM : UNE APPROCHE INTERNATIONALE DES DROITS CULTURELS ? .................p.63Le rôle des institutions muséales dans l’émergence et la reconnaissance des droits culturels : théorie, pratique et perspectivesIsabelle Anatole-Gabriel, cheffe de l’unité Europe et Amérique du Nord au Centre du patrimoine mondial de l’Unesco.Le Code de Déontologie de l’ICOM, culture commune des professionnels de muséeJohannes Beltz, membre d’ETHCOM, directeur adjoint du musée Rietberg, ZürichEn ligne : https://www.icom-musees.fr/ressources/musees-et-droits-culturels-0 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=244698 Musées et droits culturels [Rennes, les Champs Libres - musée de Bretagne, 8 février 2019] [document électronique] / Juliette Raoul-Duval, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : ICOM France, 2019 . - 90 p. ; PDF.
ISSN : 978-2-95644563-6-0
Un enjeu de réflexion pour le secteur muséal françaisLa thématique des droits culturels trouve largement écho au sein des principes fondateurs de l’ICOM. Dès l’origine, sa mission a été définie dans une perspective de promotion du patrimoine naturel et culturel dans un cadre universel, au service de la société et de son développement. Son code de déontologie en est le reflet.L’année européenne du patrimoine culturel en 2018 a constitué une occasion d’actualiser les exigences des droits culturels avec les enjeux de diversité culturelle et de dialogue interculturel ; cette thématique questionne également la notion de patrimoine comme ressource à connaitre, à s’approprier et à partager.Les droits culturels font aussi écho à d’autres démarches engagées de longue date dans le champ des musées, à la Convention de Faro sur la valeur du patrimoine culturel pour la société du Conseil de l’Europe (2005) ou à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel adoptée par l’Unesco en 2003 et figurent explici-tement dans la loi française (loi NoTRE).À Rennes, la journée d’étude co-organisée par ICOM France et les Champs Libres - musée de Bretagne visera à donner des clés de lecture théorique de cette notion encore trop méconnue des profes-sionnels, puis à engager l’échange sur les pratiques de chacun. De manière concrète, il s’agit aussi de relire ensemble notre code de déontologie par le prisme des droits culturels.Cette thématique des droits culturels permet de questionner l’éco-système muséal, depuis le processus d’acquisition jusqu’à la gouver-nance en passant par l’implication des publics.Lors de notre journée du 8 février 2019, il sera question de « biens communs » appliqués aux contextes muséaux : cette approche est-elle partagée par l’ensemble de la communauté muséale ? Comment se constitue le patrimoine muséal ? Comment le diffuser, le valoriser ? Un enjeu de réflexion pour le territoire : l’adéquation du thème proposé avec les politiques culturelles métropolitaines et régionalesLe thème proposé entre également en résonance avec l’ambition de Rennes et de la Bretagne de décliner dans leurs propres politiques culturelles ce principe de droits culturels. L’enjeu pour la ville de Rennes et la métropole est d’accompagner une meilleure appréhen-sion des droits culturels pour leur mise en œuvre. Partenaires publics et acteurs du territoire ont la volonté́ de développer une gouvernance en phase avec les droits culturels.Cette journée pourra ainsi nourrir le cycle de formation et de recherche-action développé par la région Bretagne, le département d’Ille-et-Vilaine, Rennes Métropole, la Ville de Rennes et le CNFPT avec la participation du Réseau culture 21.
Mots-clés : Musées démocratie culturelle méthodologie déconstruction droits culturels musée libertés culturelles responsabilités culturelles communs accès à la culture patrimoine naturel matériel culturel humain relation participation communauté d'oeuvres égalité réciprocité publics cultures savoirs accompagnement parcours mathière forme réseau d'approvisionnement collection intérêt national hyper-lieu,third-place acteur acteurs biens communs enjeu enjeux responsabilisation citoyen citoyens muséal terminologie Métropole partenaires citoyenne Transdisciplinarité critères gratuité collections permanentes expositions temporaires discriminations communauté culturelle communautés culturelles frontière frontières vie culturelle invariantsinvariant concertation visite droit au travail droits résistance changement alimentation management fait culturel total café débit débits boisson marin marins bistrot bistrots embarquement femme bristrotière muséologie invlusion inclusif bénévole bénévoles enquête enquêtes enquêteurs association associations collectif inclusive formation ethnologie ethnologues transgénérationnel échanges réciproques projet vidéaste session sessions équipe équipes accompagnant démarche horizontale rencontre-débat rencontres-débats intimé intimité question sociale tabou ramifications imaginaire imagination expérience personne personnes recopié transmission story-scape Résumé : Le 8 février 2019, Icom France et les Champs Libres - musée de Bretagne, ont co-organisé à Rennes une journée d'étude qui visait à donner des clés de lecture théorique de la notion de droits culturels, puis à engager l'échange sur les pratiques de chacun. De manière concrète, il s'agissait de relire le Code de déontologie de l’Icom par le prisme des droits culturels et de questionner l’écosystème muséal qui en découle, depuis le processus d’acquisition jusqu’à la gouvernance en passant par l’implication des publics. Le présent ouvrage propose une synthèse de cette rencontre qui a réuni des experts des droits culturels, des professionnels de musées français et des acteurs du champ muséal international. Note de contenu : Sommaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .PROPOS DE LA JOURNÉE...................p.7OUVERTURES OFFICIELLES.................p.13Céline Chanas, directrice du musée de BretagneBenoît Careil, adjoint délégué à la culture de la Ville de RennesJuliette Raoul-Duval, présidente d’ICOM FranceSESSION 1 - COMMENT DÉFINIR LES DROITS CULTURELS ? .................p.23Le droit au patrimoine, une obligation communePatrice Meyer-Bisch, philosophe, président de l’Observatoire de la diversité et des droits culturels, coordinateur de la chaire Unesco pour les droits de l’Homme et la Démocratie, Fribourg (Suisse)Droits de l’Homme et droits de l’œuvre – L’espace de portée sociale des musées et des objets de collectionGabi Dolff-Bonekämper, historienne de l’art, ancienne conservatrice du Mur de Berlin, titulaire de la chaire d’études de Conservation et de patrimoine urbain à l’Institut de planification urbaine et régionale de l’Université Technique de Berlin
MUSÉES ET DROITS CULTURELSSESSION 2 – LES DROITS CULTURELS DANS LES PROJETS DES MUSÉES ............p.41Table rondeavec Léna Boisard Le Coat, doctorante à l’Université de Nantes, en convention CIFRE avec la Région Bretagne Candice Runderkamp, chargée des collections du Musée alsacien de Strasbourg Mathilde Schneider, directrice des musées Beauvoisine (musée des Antiquités et Muséum d’histoire naturelle) Simon Gauchet, artiste, École parallèle imaginaire (Rennes) Kelig-Yann Cotto, directeur du Port-Musée de DouarnenezModératrices : Céline Chanas, directrice du musée de Bretagne, et Gabi Dolff-Bonekämper, historienne de l’art.SESSION 3 – LE CODE DE DÉONTOLOGIE DE LICOM : UNE APPROCHE INTERNATIONALE DES DROITS CULTURELS ? .................p.63Le rôle des institutions muséales dans l’émergence et la reconnaissance des droits culturels : théorie, pratique et perspectivesIsabelle Anatole-Gabriel, cheffe de l’unité Europe et Amérique du Nord au Centre du patrimoine mondial de l’Unesco.Le Code de Déontologie de l’ICOM, culture commune des professionnels de muséeJohannes Beltz, membre d’ETHCOM, directeur adjoint du musée Rietberg, ZürichEn ligne : https://www.icom-musees.fr/ressources/musees-et-droits-culturels-0 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=244698 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques