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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 02341 F-10 RON Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Famille Disponible
Titre : Violences conjugales et parentalité : protéger la mère, c'est protéger l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Édouard Durand (1975-...) , Auteur ; Ernestine Ronai (1947-...), Préfacier, etc.
Editeur : Paris : Éditions L'Harmattan Année de publication : 2013 Collection : Sciences criminelles - Controverses (Paris. 2004) Sous-collection : Controverses (Paris. 2004) Importance : 107 p. Format : 22 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-343-02012-9 Prix : 12 € Note générale : Voir aussi la présentation vidéo de l'auteur, en hyperlien (9',29") et la note de lecture de Caroline Helfter, ASH n°2846, p. 23 Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : Violences conjugales Parentalité Traumatismes Exercice de l'autorité parentale Protection de l'enfance Santé publique et action sociale Services sociaux privés ou publics SHS Enfants victimes de mauvais traitements Enfants maltraités Enfants Protection assistance Violence envers les enfants enfant droits de l'enfant enfant maltraité Violence familiale Femmes victimes de violence Violence domestique Maltraitance des enfants Enfants et violence -- France Enfants -- Protection, assistance, etc. Index. décimale : F-10 Famille - Vie familiale Résumé : Dans cette approche judicaire de l'enfant victime des violences conjugales, l'auteure fait le point sur ce que dit la loi, avant d'esquisser des pistes de réflexion pour la pratique des juges et des travailleurs sociaux. Note de contenu : Notes bibliogr. Bibliogr. p. [101]-104. 4e de couv. : "Cet ouvrage aborde le problème des violences conjugales à partir de la parentalité, c'est-à-dire de la capacité des parents à répondre aux besoins fondamentaux de leur enfant. Par l'étude de la législation et la référence à une pratique juridictionnelle, son ambition est de montrer que la protection de l'enfant n'est pas dissociable de la protection de la mère qui se montre sécurisante dès lors qu'elle est en sécurité. Les violences conjugales mettent-elles l'enfant en danger même s'il n'est pas lui-même directement victime de coups ? Le bien-être et le développement d'un nourrisson sont-ils perturbés par les violences conjugales qui ont lieu dans sa famille ? Les passages à l'acte dangereux d'un adolescent contre lui-même ou contre autrui peuvent-ils être liés aux violences conjugales survenues pendant son enfance ? Comment assurer la protection d'un enfant victime des violences conjugales ? Toutes ces questions sont analysées dans l’ouvrage intitulé « Violences conjugales et parentalité : Protéger la mère c’est protéger l’enfant », publié début novembre 2013 aux éditions l’Harmattan. A travers ce livre, son auteur, Edouard Durand, coordonnateur de formation à l’ENM, s’efforce de montrer que « la protection de l’enfant n’est pas dissociable de la protection de la mère qui se montre sécurisante dès lors qu’elle est en sécurité ». Ce livre se propose d’aborder le problème des violences conjugales sous l’angle de la parentalité, c’est-à-dire de la capacité des parents à répondre aux besoins fondamentaux de leur enfant. Magistrat ayant exercé les fonctions de juge aux affaires familiales et de juge des enfants de 2004 à 2012 dans les Bouches-du-Rhône, Edouard Durand a développé une expertise dans le domaine des violences conjugales. Il a publié plusieurs articles sur ce thème dans les revues Dalloz Actualité juridique famille, Connexions, Justice actualités (ENM) et Esprit. En parallèle, il a dispensé différents types d’enseignements en lien avec cette thématique : dans le cadre du diplôme universitaire « Adolescents difficiles » de la faculté de médecine de Marseille (2009-2013) et de Paris ; à l’Institut méditerranéen de formation des travailleurs sociaux (IMF) sur l’assistance éducative, le droit pénal des mineurs, l’autorité parentale et le droit de l’enfant ou encore en psychiatrie légale, sur le thème de « la protection de l’enfance et la délinquance des mineurs ». Il a par ailleurs animé de nombreuses conférences, relatives à la résidence alternée, la maltraitance des enfants, le placement des enfants, les violences faites aux femmes ou encore sur la place du père, organisées par la World association for infant mental health, l’INSET d’Angers, l’association Louis Chatin, l’association nationale des intervenants sociaux en police et gendarmerie ainsi que dans le cadre de l’Observatoire des violences faites aux femmes. Coordonnateur de formation à l’ENM depuis janvier 2012, Edouard Durand s’est appuyé sur l’étude de la législation et la référence à sa pratique juridictionnelle pour construire son propos : « les magistrats sont fréquemment confrontés à des situations de violences conjugales », rappelle-t-il. « Ce livre permet de mieux comprendre les mécanismes à l’œuvre et les conséquences de ces violences sur la victime et sur l’enfant. »" En ligne : http://www.youtube.com/watch?v=Lbk5dGdzV6s Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=95593 Violences conjugales et parentalité : protéger la mère, c'est protéger l'enfant [texte imprimé] / Édouard Durand (1975-...), Auteur ; Ernestine Ronai (1947-...), Préfacier, etc. . - Paris : Éditions L'Harmattan, 2013 . - 107 p. ; 22 x 14 cm. - (Sciences criminelles - Controverses (Paris. 2004). Controverses (Paris. 2004), ISSN 1767-2147) .
ISBN : 978-2-343-02012-9 : 12 €
Voir aussi la présentation vidéo de l'auteur, en hyperlien (9',29") et la note de lecture de Caroline Helfter, ASH n°2846, p. 23
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : Violences conjugales Parentalité Traumatismes Exercice de l'autorité parentale Protection de l'enfance Santé publique et action sociale Services sociaux privés ou publics SHS Enfants victimes de mauvais traitements Enfants maltraités Enfants Protection assistance Violence envers les enfants enfant droits de l'enfant enfant maltraité Violence familiale Femmes victimes de violence Violence domestique Maltraitance des enfants Enfants et violence -- France Enfants -- Protection, assistance, etc. Index. décimale : F-10 Famille - Vie familiale Résumé : Dans cette approche judicaire de l'enfant victime des violences conjugales, l'auteure fait le point sur ce que dit la loi, avant d'esquisser des pistes de réflexion pour la pratique des juges et des travailleurs sociaux. Note de contenu : Notes bibliogr. Bibliogr. p. [101]-104. 4e de couv. : "Cet ouvrage aborde le problème des violences conjugales à partir de la parentalité, c'est-à-dire de la capacité des parents à répondre aux besoins fondamentaux de leur enfant. Par l'étude de la législation et la référence à une pratique juridictionnelle, son ambition est de montrer que la protection de l'enfant n'est pas dissociable de la protection de la mère qui se montre sécurisante dès lors qu'elle est en sécurité. Les violences conjugales mettent-elles l'enfant en danger même s'il n'est pas lui-même directement victime de coups ? Le bien-être et le développement d'un nourrisson sont-ils perturbés par les violences conjugales qui ont lieu dans sa famille ? Les passages à l'acte dangereux d'un adolescent contre lui-même ou contre autrui peuvent-ils être liés aux violences conjugales survenues pendant son enfance ? Comment assurer la protection d'un enfant victime des violences conjugales ? Toutes ces questions sont analysées dans l’ouvrage intitulé « Violences conjugales et parentalité : Protéger la mère c’est protéger l’enfant », publié début novembre 2013 aux éditions l’Harmattan. A travers ce livre, son auteur, Edouard Durand, coordonnateur de formation à l’ENM, s’efforce de montrer que « la protection de l’enfant n’est pas dissociable de la protection de la mère qui se montre sécurisante dès lors qu’elle est en sécurité ». Ce livre se propose d’aborder le problème des violences conjugales sous l’angle de la parentalité, c’est-à-dire de la capacité des parents à répondre aux besoins fondamentaux de leur enfant. Magistrat ayant exercé les fonctions de juge aux affaires familiales et de juge des enfants de 2004 à 2012 dans les Bouches-du-Rhône, Edouard Durand a développé une expertise dans le domaine des violences conjugales. Il a publié plusieurs articles sur ce thème dans les revues Dalloz Actualité juridique famille, Connexions, Justice actualités (ENM) et Esprit. En parallèle, il a dispensé différents types d’enseignements en lien avec cette thématique : dans le cadre du diplôme universitaire « Adolescents difficiles » de la faculté de médecine de Marseille (2009-2013) et de Paris ; à l’Institut méditerranéen de formation des travailleurs sociaux (IMF) sur l’assistance éducative, le droit pénal des mineurs, l’autorité parentale et le droit de l’enfant ou encore en psychiatrie légale, sur le thème de « la protection de l’enfance et la délinquance des mineurs ». Il a par ailleurs animé de nombreuses conférences, relatives à la résidence alternée, la maltraitance des enfants, le placement des enfants, les violences faites aux femmes ou encore sur la place du père, organisées par la World association for infant mental health, l’INSET d’Angers, l’association Louis Chatin, l’association nationale des intervenants sociaux en police et gendarmerie ainsi que dans le cadre de l’Observatoire des violences faites aux femmes. Coordonnateur de formation à l’ENM depuis janvier 2012, Edouard Durand s’est appuyé sur l’étude de la législation et la référence à sa pratique juridictionnelle pour construire son propos : « les magistrats sont fréquemment confrontés à des situations de violences conjugales », rappelle-t-il. « Ce livre permet de mieux comprendre les mécanismes à l’œuvre et les conséquences de ces violences sur la victime et sur l’enfant. »" En ligne : http://www.youtube.com/watch?v=Lbk5dGdzV6s Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=95593 Réservation
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Nous nous sentons encore trop illégitimes à regarder, à nous sentir responsables de la sécurité des personnes qui vivent à l'intérieur d'une maison. Cela a été très lent, très progressif dans notre histoire. La protection de l'enfance a d'abord été, pendaURL
Titre : Faire Face : Histoires de violences conjugales Type de document : texte imprimé Auteurs : Camille Gharbi (1984-...) , Auteur
Editeur : Eyes publishing Année de publication : 2022 Importance : 196 p. Présentation : photographies couleur Format : 21 x 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-92727-49-4 Prix : 35 € Note générale : Textes & entretiens : Raphaële Bertho, Ivan Jablonka, Lorraine de Foucher, Carole Groulet.- Pour élargir la réflexion, nous invitons 4 personnalités sensibilisées, expertes ou concernées, à partager leur analyse sur le sujet et le travail de Camille Gharbi.
Raphaële Bertho, maîtresse de conférences en art, décrypte la démarche artistique de Camille Gharbi tout en nous livrant de façon implicite sa propre expérience de violences conjugales.
Ivan Jablonka, auteur de l’essai Laetitia, et de l’essai Des hommes justes apporte son point de vue d’historien et d’homme féministe qui cherche à redéfinir les codes du masculin.
Lorraine de Foucher, journaliste au Monde et
co-réalisatrice du documentaire diffusé sur France 2
Féminicides, l’Affaire de tous.
Carole Groulet, psychologue clinicienne au SPIP de La Rochelle.Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : violences conjugales Photographies Index. décimale : J-13 Photographie Résumé : Faire face. Histoires de violences conjugales est un projet photographique réalisé entre 2017 et 2022, sur la question des violences faites aux femmes et des violences au sein du couple.
Cette 1ère monographie de Camille Gharbi rassemble trois séries de photographies qui posent le constat des violences conjugales « Preuves d’amour », interrogent les parcours de reconstruction des anciennes victimes « Une chambre à soi », ainsi que les possibilités de deconstruction du rapport à la violence chez leurs auteurs « Les monstres n’existent pas ».
Chacune de ces séries évoque à sa manière la réalité de ces violences, leur intensité, leur banalité.
A travers ces histoires individuelles et singulières, racontées en images et en mots, c’est la société tout entière qui doit «faire face», pour déconstruire les systèmes de pensées, encourager la recherche de solutions constructives, faire différemment.
Le projet développé avec les éditions The Eyes rassemble ces différents travaux, ainsi que des textes de personnalités engagées et concernées sur cette thématique.Note de contenu : PREUVES D’AMOUR
Le premier volet de ce travail, intitulé « Preuves d’amour », aborde la problématique des féminicides conjugaux, par le biais des objets du quotidien qui se voient détournés en armes de crime.
Cette première série met en lumière un phénomène si récurrent qu’il en parait presque endémique. Face à cette inertie, Camille Gharbi cherche en réaction à provoquer un élécro-choc sensible.
Ces artefacts familiers, issus pour la plupart de son propre domicile ne permettent pas de saisir de prime abord la violence des faits auxquels ils sont associés. La banalité des images disent bien la banalité de ce mal que sont les violences faites aux femmes, doublement invisibles socialement.
LES MONSTRES N’EXISTENT PAS
« Les monstres n’existent pas » s’intéresse à un sujet peu traité, celui de la prévention de la récidive du point de vue d’auteur.rice.s de violences au sein du couple.
Des diptyques portraits / témoignages réalisés en prison mettent en lumière des détenus qui se sont engagés dans un processus de responsabilisation par rapport à leurs actes.
Ce travail cherche à déconstruire la figure du « monstre », non pas pour l’excuser mais pour permettre une meilleure compréhension du cycle de la violence.
UNE CHAMBRE À SOI
La série « Une chambre à soi », réalisée entre 2019 et 2020, s’intéresse au processus de reconstruction des victimes de violences au sein du couple.
Pendant plusieurs semaines, la photographe est allée à la rencontre de jeunes femmes hébergées par l’association « FIT, Une Femme Un Toit », à Paris, la seule structure en France dédiée à l’hébergement et la prise en charge de jeunes femmes âgées de 18 à 25 ans, victimes de violences sexuelles, conjugales, ou intra-familiales.
Cette série raconte les parcours des résidentes et leurs efforts pour aller de l’avant, à travers leurs témoignage et les portraits les portraits photographiques des chambres qu’elles occupent.
Des portraits en creux, qui ne montrent pas directement les jeunes femmes mais l’univers qu’elles se sont créé dans le foyer d’hébergement. Les chambre sont à leur image. touchantes, abimées parfois, pleines d’espoir, souvent.En ligne : https://www.youtube.com/watch?v=c7SDQLQp32Y Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=286997 Faire Face : Histoires de violences conjugales [texte imprimé] / Camille Gharbi (1984-...), Auteur . - [S.l.] : Eyes publishing, 2022 . - 196 p. : photographies couleur ; 21 x 29 cm.
ISBN : 979-10-92727-49-4 : 35 €
Textes & entretiens : Raphaële Bertho, Ivan Jablonka, Lorraine de Foucher, Carole Groulet.- Pour élargir la réflexion, nous invitons 4 personnalités sensibilisées, expertes ou concernées, à partager leur analyse sur le sujet et le travail de Camille Gharbi.
Raphaële Bertho, maîtresse de conférences en art, décrypte la démarche artistique de Camille Gharbi tout en nous livrant de façon implicite sa propre expérience de violences conjugales.
Ivan Jablonka, auteur de l’essai Laetitia, et de l’essai Des hommes justes apporte son point de vue d’historien et d’homme féministe qui cherche à redéfinir les codes du masculin.
Lorraine de Foucher, journaliste au Monde et
co-réalisatrice du documentaire diffusé sur France 2
Féminicides, l’Affaire de tous.
Carole Groulet, psychologue clinicienne au SPIP de La Rochelle.
Langues : Français (fre)
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : violences conjugales Photographies Index. décimale : J-13 Photographie Résumé : Faire face. Histoires de violences conjugales est un projet photographique réalisé entre 2017 et 2022, sur la question des violences faites aux femmes et des violences au sein du couple.
Cette 1ère monographie de Camille Gharbi rassemble trois séries de photographies qui posent le constat des violences conjugales « Preuves d’amour », interrogent les parcours de reconstruction des anciennes victimes « Une chambre à soi », ainsi que les possibilités de deconstruction du rapport à la violence chez leurs auteurs « Les monstres n’existent pas ».
Chacune de ces séries évoque à sa manière la réalité de ces violences, leur intensité, leur banalité.
A travers ces histoires individuelles et singulières, racontées en images et en mots, c’est la société tout entière qui doit «faire face», pour déconstruire les systèmes de pensées, encourager la recherche de solutions constructives, faire différemment.
Le projet développé avec les éditions The Eyes rassemble ces différents travaux, ainsi que des textes de personnalités engagées et concernées sur cette thématique.Note de contenu : PREUVES D’AMOUR
Le premier volet de ce travail, intitulé « Preuves d’amour », aborde la problématique des féminicides conjugaux, par le biais des objets du quotidien qui se voient détournés en armes de crime.
Cette première série met en lumière un phénomène si récurrent qu’il en parait presque endémique. Face à cette inertie, Camille Gharbi cherche en réaction à provoquer un élécro-choc sensible.
Ces artefacts familiers, issus pour la plupart de son propre domicile ne permettent pas de saisir de prime abord la violence des faits auxquels ils sont associés. La banalité des images disent bien la banalité de ce mal que sont les violences faites aux femmes, doublement invisibles socialement.
LES MONSTRES N’EXISTENT PAS
« Les monstres n’existent pas » s’intéresse à un sujet peu traité, celui de la prévention de la récidive du point de vue d’auteur.rice.s de violences au sein du couple.
Des diptyques portraits / témoignages réalisés en prison mettent en lumière des détenus qui se sont engagés dans un processus de responsabilisation par rapport à leurs actes.
Ce travail cherche à déconstruire la figure du « monstre », non pas pour l’excuser mais pour permettre une meilleure compréhension du cycle de la violence.
UNE CHAMBRE À SOI
La série « Une chambre à soi », réalisée entre 2019 et 2020, s’intéresse au processus de reconstruction des victimes de violences au sein du couple.
Pendant plusieurs semaines, la photographe est allée à la rencontre de jeunes femmes hébergées par l’association « FIT, Une Femme Un Toit », à Paris, la seule structure en France dédiée à l’hébergement et la prise en charge de jeunes femmes âgées de 18 à 25 ans, victimes de violences sexuelles, conjugales, ou intra-familiales.
Cette série raconte les parcours des résidentes et leurs efforts pour aller de l’avant, à travers leurs témoignage et les portraits les portraits photographiques des chambres qu’elles occupent.
Des portraits en creux, qui ne montrent pas directement les jeunes femmes mais l’univers qu’elles se sont créé dans le foyer d’hébergement. Les chambre sont à leur image. touchantes, abimées parfois, pleines d’espoir, souvent.En ligne : https://www.youtube.com/watch?v=c7SDQLQp32Y Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=286997 Exemplaires
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C’est à nous de changer les choses. Des jeunes du lycée Jean-Jacques Rousseau de Sarcelles se retrouvent chaque semaine au sein de la Brigade égalité Filles/Garçons pour se questionner, partager et témoigner autour de l'égalité et de leurs rapports au corURL![]()
Faire face. Histoires de violences conjugales est la première monographie de la photographe Camille Gharbi, qui depuis 2017 enquête sur les violences conjugale et tente de sensibiliser par son travail au fléau culturel et social que sont les féminicides.URL![]()
festival Visa pour l'Image, pour son travail sur l'enquête : "Féminicides : mécaniques d'un crime annoncé", menée par le journal Le Monde en 19-20. « Une chambre à soi » évoque le processus de reconstruction des victimes. La photographe est allée àURL![]()
LA PRESSE EN PARLE TV5MONDE L’OBS TV5MONDE Fisheye Midi Libre Women Today Brigitte Patient La Croix L’Humanité Profession Culture 9 Lives Magazine UPP Usbek & Rica LibérationURL![]()
Les mots s’égrènent sur les briques rouges. «Suicide forcé», «violence physique», «dévalorisation», «humiliation». Cinq lettres, un prénom : Karel. En cettenuit d’août, Julia, 37 ans, virevolte avec une amie d’un bout à l’autre de la médiathèque de Noisy-URL![]()
« Faire face. Histoires de violences conjugales » est un projet mené par Camille Gharbi sur la question des violences faites aux femmes et des violences au sein du couple, abordé sous trois angles. « Preuves d'amour » questionne la problématique des fe&#URLIdéal féministe et injonction à l'autonomie économique. Le travail social des associations luttant contre les violences conjugales / Elisa Herman in Pensée plurielle : Parole, Pratiques & réflexions du social / Cairn.info, 26 (2011-1)
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[article]
Titre : Idéal féministe et injonction à l'autonomie économique. Le travail social des associations luttant contre les violences conjugales Type de document : document électronique Auteurs : Elisa Herman , Auteur
Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 81-92 Langues : Français (fre) Catégories : PER Mots-clés : féminisme violences conjugales travail social autonomie associations économie Résumé : Les associations luttant contre les violences sont prises dans une ambivalence : malgré l’idéal féministe de l’émancipation et de la prise de conscience des rapports de force hiérarchisés, la « réinsertion » par l’économie prévaut. Sous la pression de leurs financeurs demandant une « rotation » des personnes hébergées, les travailleuses sociales sont contraintes de céder aux sirènes de l’autonomie économique, amenant les femmes hébergées à chercher un emploi parmi les plus précarisés et les plus pénibles. Celles-ci étant souvent seules avec leurs enfants, elles doivent trouver un mode de garde et ainsi alimenter la chaîne de la délégation marchande du travail de care. C’est alors que se trouve renforcée la division sexuelle du travail professionnel et domestique, malgré l’ambition féministe d’un changement social, quand le travail social ne peut apporter qu’une aide individualisée sans maîtriser l’ensemble des rouages dans lesquels il est pris. Note de contenu : Plan de l'article :
•1 - Introduction
•2 - Le passage d’une action militante à une activité institutionnalisée
•3 - Les ambivalences de la notion d’autonomie : entre militantisme féministe et travail social institutionnalisé◦3.1 - L’autonomie administrative
◦3.2 - L’autonomie psychique
◦3.3 - L’autonomie économique
•4 - Valoriser à contrecœur l’économique : indice de la force de l’institutionnalisation ?En ligne : http://www.cairn.info/revue-pensee-plurielle-2011-1-page-81.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=37656
in Pensée plurielle : Parole, Pratiques & réflexions du social / Cairn.info > 26 (2011-1) . - p. 81-92[article] Idéal féministe et injonction à l'autonomie économique. Le travail social des associations luttant contre les violences conjugales [document électronique] / Elisa Herman, Auteur . - 2011 . - p. 81-92.
Langues : Français (fre)
in Pensée plurielle : Parole, Pratiques & réflexions du social / Cairn.info > 26 (2011-1) . - p. 81-92
Catégories : PER Mots-clés : féminisme violences conjugales travail social autonomie associations économie Résumé : Les associations luttant contre les violences sont prises dans une ambivalence : malgré l’idéal féministe de l’émancipation et de la prise de conscience des rapports de force hiérarchisés, la « réinsertion » par l’économie prévaut. Sous la pression de leurs financeurs demandant une « rotation » des personnes hébergées, les travailleuses sociales sont contraintes de céder aux sirènes de l’autonomie économique, amenant les femmes hébergées à chercher un emploi parmi les plus précarisés et les plus pénibles. Celles-ci étant souvent seules avec leurs enfants, elles doivent trouver un mode de garde et ainsi alimenter la chaîne de la délégation marchande du travail de care. C’est alors que se trouve renforcée la division sexuelle du travail professionnel et domestique, malgré l’ambition féministe d’un changement social, quand le travail social ne peut apporter qu’une aide individualisée sans maîtriser l’ensemble des rouages dans lesquels il est pris. Note de contenu : Plan de l'article :
•1 - Introduction
•2 - Le passage d’une action militante à une activité institutionnalisée
•3 - Les ambivalences de la notion d’autonomie : entre militantisme féministe et travail social institutionnalisé◦3.1 - L’autonomie administrative
◦3.2 - L’autonomie psychique
◦3.3 - L’autonomie économique
•4 - Valoriser à contrecœur l’économique : indice de la force de l’institutionnalisation ?En ligne : http://www.cairn.info/revue-pensee-plurielle-2011-1-page-81.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=37656 Jeunes enfants exposés aux violences conjugales : une réalité méconnue / Hélène Romano in Métiers de la petite enfance : éveil et développement de l'enfant / ITS et EmConsulte via l'ENT, 215 (novembre 2014)
[article]
Titre : Jeunes enfants exposés aux violences conjugales : une réalité méconnue Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Romano (1969-...), Auteur Année de publication : Novembre 2014 Article en page(s) : p.27-28 Langues : Français (fre) Mots-clés : bébé fratrie prise en charge troubles post-traumatiques violences conjugales Résumé : Dans un contexte de violences conjugales, il existe une pluralité de situations auxquelles les enfants peuvent être exposées. Les plus jeunes enfants peuvent manifester des troubles immédiats, à court terme ou en différé. Des perspectives de prises en charge sont à envisager pour éviter que d’autres violences ne s’imposent à ces tout jeunes enfants. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=124189
in Métiers de la petite enfance : éveil et développement de l'enfant / ITS et EmConsulte via l'ENT > 215 (novembre 2014) . - p.27-28[article] Jeunes enfants exposés aux violences conjugales : une réalité méconnue [texte imprimé] / Hélène Romano (1969-...), Auteur . - Novembre 2014 . - p.27-28.
Langues : Français (fre)
in Métiers de la petite enfance : éveil et développement de l'enfant / ITS et EmConsulte via l'ENT > 215 (novembre 2014) . - p.27-28
Mots-clés : bébé fratrie prise en charge troubles post-traumatiques violences conjugales Résumé : Dans un contexte de violences conjugales, il existe une pluralité de situations auxquelles les enfants peuvent être exposées. Les plus jeunes enfants peuvent manifester des troubles immédiats, à court terme ou en différé. Des perspectives de prises en charge sont à envisager pour éviter que d’autres violences ne s’imposent à ces tout jeunes enfants. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=124189 Maison plurielle, porte ouverte aux personnes victimes de violences conjugales / Manon Legrand in Alter Echos : pour décoder l'info sociale / Alter.be, 441-442 (10 avril 2017)
PermalinkPermalinkEN PRISES - Témoignages de femmes autour des violences conjugales ; un webdoc et une expo contre ces violence / ervice Développement Social Communauté d'Agglomération du Choletais
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PermalinkDossier : femmes : violences, inégalités / Nadja Djerrah in Droits & Libertés : La revue de la LDH / BM de Tours, 177 (janvier/février/mars 2017)
PermalinkPermalinkViolence et défaut de rêverie dans le couple / Alexandra Bernard in Le Divan Familial : REVUE DE THERAPIE FAMILIALE PSYCHANALYTIQUE / Cairn, n°45 (Automne 2020)
PermalinkPermalinkPermalinkLa paix règne. Violence et politique aujourd’hui / Guillermo Kozlowski in La Revue Nouvelle / Cairn.info, 3 (Mars 2018)
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