[article]
Titre : |
Réponses cardiovasculaires et ventilatoires lors de l’expression de la force et de la fatigue musculaire isocinétique |
Type de document : |
enregistrement sonore non musical |
Auteurs : |
F. DEGACHE ; P. CALMELS ; P. EDOUARD |
Année de publication : |
juin 2013 |
Article en page(s) : |
p. 59-63 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
S SCIENCES ET TECHNIQUES:Approche scientifique:Méthode scientifique:Évaluation Appraising or judging persons, organizations or things in relation to stated objectives, standards or criteria. Use more specific descriptor where appropriate.
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Mots-clés : |
Force musculaire Contraction musculaire isocinétique Appareil cardiovasculaire Fatigue Techniques d'exercices physiques |
Résumé : |
Dans un contexte d’évaluation de la force musculaire maximale, il convient aujourd’hui de prendre en considération différents facteurs permettant la lecture et l’analyse critique des résultats de ces mesures. En effet, lors d’une évaluation de la force maximale en mode isocinétique, il semble indispensable d’obtenir des résultats qui ne soient pas modifiés par de potentielles limitations cardiaques ou respiratoires. La littérature renseigne bien le fait qu’une contraction musculaire dynamique entraîne des réponses cardiovasculaires et ventilatoires non négligeables. C’est d’autant plus vrai que cette contraction a une durée relativement longue (grand nombre de répétitions), mais qu’elle est concentrique (plutôt qu’excentrique) et qu’elle est appliquée sur une articulation mettant en jeu une grosse masse musculaire (les muscles du rachis). Nonobstant le fait que la mesure de force et de la fatigue musculaire concerne essentiellement des articulations « périphériques », il s’avère tout de même que les valeurs de certains paramètres cardiovasculaires (i.e.: la fréquence cardiaque) soient proches des valeurs maximums théoriques. Cela pose la question du risque cardiaque de ces évaluations chez certains patients. La littérature n’a rapporté aujourd’hui aucun accident cardiovasculaire lors de ces épreuves. Cependant, il convient tout de même de monitorer de manière précise l’évolution de ces paramètres physiologiques durant chaque phase de mesure, et ce, d’autant plus dans les populations à risque cardiovasculaire. |
En ligne : |
http://dx.doi.org/10.1007/s11659-013-0349-4 |
Format de la ressource électronique : |
DOI |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=108119 |
in La lettre de Médecine Physique et de Réadaptation / Springer > vol. 29/2 (juin 2013) . - p. 59-63
[article] Réponses cardiovasculaires et ventilatoires lors de l’expression de la force et de la fatigue musculaire isocinétique [enregistrement sonore non musical] / F. DEGACHE ; P. CALMELS ; P. EDOUARD . - juin 2013 . - p. 59-63. Langues : Français ( fre) in La lettre de Médecine Physique et de Réadaptation / Springer > vol. 29/2 (juin 2013) . - p. 59-63
Catégories : |
S SCIENCES ET TECHNIQUES:Approche scientifique:Méthode scientifique:Évaluation Appraising or judging persons, organizations or things in relation to stated objectives, standards or criteria. Use more specific descriptor where appropriate.
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Mots-clés : |
Force musculaire Contraction musculaire isocinétique Appareil cardiovasculaire Fatigue Techniques d'exercices physiques |
Résumé : |
Dans un contexte d’évaluation de la force musculaire maximale, il convient aujourd’hui de prendre en considération différents facteurs permettant la lecture et l’analyse critique des résultats de ces mesures. En effet, lors d’une évaluation de la force maximale en mode isocinétique, il semble indispensable d’obtenir des résultats qui ne soient pas modifiés par de potentielles limitations cardiaques ou respiratoires. La littérature renseigne bien le fait qu’une contraction musculaire dynamique entraîne des réponses cardiovasculaires et ventilatoires non négligeables. C’est d’autant plus vrai que cette contraction a une durée relativement longue (grand nombre de répétitions), mais qu’elle est concentrique (plutôt qu’excentrique) et qu’elle est appliquée sur une articulation mettant en jeu une grosse masse musculaire (les muscles du rachis). Nonobstant le fait que la mesure de force et de la fatigue musculaire concerne essentiellement des articulations « périphériques », il s’avère tout de même que les valeurs de certains paramètres cardiovasculaires (i.e.: la fréquence cardiaque) soient proches des valeurs maximums théoriques. Cela pose la question du risque cardiaque de ces évaluations chez certains patients. La littérature n’a rapporté aujourd’hui aucun accident cardiovasculaire lors de ces épreuves. Cependant, il convient tout de même de monitorer de manière précise l’évolution de ces paramètres physiologiques durant chaque phase de mesure, et ce, d’autant plus dans les populations à risque cardiovasculaire. |
En ligne : |
http://dx.doi.org/10.1007/s11659-013-0349-4 |
Format de la ressource électronique : |
DOI |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=108119 |
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