[article]
Titre : |
L’embarras face aux mouvements psychotiques en institutions éducatives |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Frédérique Marchand, Auteur |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
pp43-54 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
PSYCHOSE PUBERTAIRE REALITE INTERSUBJECTIVITE |
Résumé : |
Aux heures sombres où notre société polémique sur la question : « Pouvons-nous rire de tout ? », la sphère médicosociale s’embarrasse des questions diagnostiques de psychose, bute quant à la prise en compte des sujets à risque psychotique ou dont la dangerosité ressentie ou supposée interroge les limites de la prise en charge éducative des adolescents. Ce malaise nosographique se dit de manière défensive par le recours à l’humour entre collègues ; un humour qui relativise, un humour qui dédramatise. Max Jacob disait de l’humour qu’il ne blessait pas et qu’il amusait. Nous interrogeons ici l’impact d’un diagnostic non établi mais subjectivé à partir de manifestations comportementales objectives ou tout du moins observées sur la construction du sujet. Le diagnostic de psychose peut-il blesser ? Est-il nécessaire à la prise en charge éducative des adolescents ? |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=170576 |
in Cahiers de l'enfance et de l'adolescence / RAFEF-GRAPE > n°92 (décembre 2015) . - pp43-54
[article] L’embarras face aux mouvements psychotiques en institutions éducatives [texte imprimé] / Frédérique Marchand, Auteur . - 2016 . - pp43-54. Langues : Français ( fre) in Cahiers de l'enfance et de l'adolescence / RAFEF-GRAPE > n°92 (décembre 2015) . - pp43-54
Mots-clés : |
PSYCHOSE PUBERTAIRE REALITE INTERSUBJECTIVITE |
Résumé : |
Aux heures sombres où notre société polémique sur la question : « Pouvons-nous rire de tout ? », la sphère médicosociale s’embarrasse des questions diagnostiques de psychose, bute quant à la prise en compte des sujets à risque psychotique ou dont la dangerosité ressentie ou supposée interroge les limites de la prise en charge éducative des adolescents. Ce malaise nosographique se dit de manière défensive par le recours à l’humour entre collègues ; un humour qui relativise, un humour qui dédramatise. Max Jacob disait de l’humour qu’il ne blessait pas et qu’il amusait. Nous interrogeons ici l’impact d’un diagnostic non établi mais subjectivé à partir de manifestations comportementales objectives ou tout du moins observées sur la construction du sujet. Le diagnostic de psychose peut-il blesser ? Est-il nécessaire à la prise en charge éducative des adolescents ? |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=170576 |
|