Résumé : |
Le vieillissement actif, promu depuis la fin des années 1990 par les instances européennes, conduit à inciter les individus à rester actifs le plus longtemps possible. Nous examinons la manière dont ce référentiel se diffuse dans deux contextes nationaux, le Royaume-Uni et la France. À partir de l’analyse d’une cinquantaine d’entretiens menés auprès de chômeurs, nous montrons que ce référentiel ne trouve pas le même écho selon les pays et les milieux sociaux. |