[article] 
inNeuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence / ScienceDirect > n°3 (Mai 2021) . - p. 138-141

Titre :	Deuxième vague : quid des patients atteints d'anorexie mentale hospitalisés en pédopsychiatrie ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	B. Olliac, Auteur
Année de publication :	2021
Article en page(s) :	p. 138-141
Langues :	Français (fre)
Catégories :	F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Adolescents
Mots-clés :	hospitalisation  Troubles des comportements alimentaires  Anorexie mentale  COVID-19
Résumé :	Dans les services de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, le nombre d’hospitalisations pour anorexie mentale (AM) est en augmentation ces dernières années. En état de dénutrition sévère, ces patients peuvent présenter des perturbations de leurs fonctions immunitaires. Forts de ce constat, beaucoup de praticiens avaient fait le choix d’éviter les hospitalisations longues lors de la première vague de COVID-19, par peur de contages et de probable risque augmenté de forme grave chez ces patients. Est-ce que cette stratégie est toujours d’actualité pour la seconde vague ? Un risque majoré de forme grave a-t-il été identifié chez le patient adolescent AM ?
Permalink :	https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=266394

[article] Deuxième vague : quid des patients atteints d'anorexie mentale hospitalisés en pédopsychiatrie ? [texte imprimé] / B. Olliac, Auteur . - 2021 . - p. 138-141.
Langues : Français (fre)
in Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence / ScienceDirect > n°3 (Mai 2021) . - p. 138-141

Catégories :	F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Adolescents
Mots-clés :	hospitalisation  Troubles des comportements alimentaires  Anorexie mentale  COVID-19
Résumé :	Dans les services de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, le nombre d’hospitalisations pour anorexie mentale (AM) est en augmentation ces dernières années. En état de dénutrition sévère, ces patients peuvent présenter des perturbations de leurs fonctions immunitaires. Forts de ce constat, beaucoup de praticiens avaient fait le choix d’éviter les hospitalisations longues lors de la première vague de COVID-19, par peur de contages et de probable risque augmenté de forme grave chez ces patients. Est-ce que cette stratégie est toujours d’actualité pour la seconde vague ? Un risque majoré de forme grave a-t-il été identifié chez le patient adolescent AM ?
Permalink :	https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=266394