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Titre : Astro boy : coeur de fer / SUDOC et ScholarVox (Cyberlibris) Type de document : document électronique Auteurs : Nicolas Tellop (198.?-...) , Auteur
Editeur : Bruxelles : les Impressions nouvelles Année de publication : 2020 Collection : La Fabrique des héros Importance : 126 p. Format : 13 x 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87449-742-1 Prix : 12 € Langues : Français (fre) Mots-clés : Astro boy (personnage fictif) Histoire de la bande dessinée / théorie de la BD / critique de la BD Résumé : Lorsque le maître du manga, Osamu Tezuka, donne naissance au personnage d’Astro en 1952, il s’inspire, entre autres, du célèbre roman de Collodi, Les Aventures de Pinocchio. Mais le destin du petit robot est bien différent du pantin de bois, le merveilleux s’étant mué en science-fiction pour explorer d’autres horizons. Rejeté par son géniteur (le Dr. Tenma, chef du Ministère de la Science), vendu à un cirque, il est sauvé par un vieux scientifique idéaliste qui l’élève en champion de justice, garant de l’harmonie entre les hommes et les machines. Mais, pris entre deux mondes, Astro ne peut trouver le sien. Simulacre d’humain plus vrai que nature, créature néanmoins incomplète, orphelin ultime condamné au syndrome de Peter Pan, le petit Astro, l’éternel enfant au cœur de fer ne serait-il pas le dernier des Garçons Perdus ? En ligne : http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://univ.scholarvox.com/book/888785 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=258191 Astro boy : coeur de fer / SUDOC et ScholarVox (Cyberlibris) [document électronique] / Nicolas Tellop (198.?-...), Auteur . - Bruxelles : les Impressions nouvelles, 2020 . - 126 p. ; 13 x 19 cm. - (La Fabrique des héros) .
ISBN : 978-2-87449-742-1 : 12 €
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Astro boy (personnage fictif) Histoire de la bande dessinée / théorie de la BD / critique de la BD Résumé : Lorsque le maître du manga, Osamu Tezuka, donne naissance au personnage d’Astro en 1952, il s’inspire, entre autres, du célèbre roman de Collodi, Les Aventures de Pinocchio. Mais le destin du petit robot est bien différent du pantin de bois, le merveilleux s’étant mué en science-fiction pour explorer d’autres horizons. Rejeté par son géniteur (le Dr. Tenma, chef du Ministère de la Science), vendu à un cirque, il est sauvé par un vieux scientifique idéaliste qui l’élève en champion de justice, garant de l’harmonie entre les hommes et les machines. Mais, pris entre deux mondes, Astro ne peut trouver le sien. Simulacre d’humain plus vrai que nature, créature néanmoins incomplète, orphelin ultime condamné au syndrome de Peter Pan, le petit Astro, l’éternel enfant au cœur de fer ne serait-il pas le dernier des Garçons Perdus ? En ligne : http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://univ.scholarvox.com/book/888785 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=258191 Exemplaires
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Titre : Chris Ware : la bande dessinée réinventée / BU de Lettres Type de document : document électronique Auteurs : Benoît Peeters (1956-...), Intervieweur ; Jacques Samson, Intervieweur ; Chris Ware (1967-...) , Personne interviewée ; Fanny Soubiran, Traducteur
Editeur : Bruxelles : les Impressions nouvelles Année de publication : 2010 Collection : Réflexions faites (Bruxelles), ISSN 1783-0966 Importance : 157 p. Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87449-085-9 Prix : 22 € Note générale : Contient un entretien de Chris Ware avec Jacques Samson et Benoît Peeters réalisé à Chicago le 19 juillet 2003 et traduit de l'anglais par Fanny
Et, en hyperlien, Côme Martin, « Chris Ware, une œuvre entre segmentation et agrégation », Cahiers de Narratologie [En ligne], 34 | 2018, mis en ligne le 21 décembre 2018 : L’œuvre de Chris Ware affiche un goût pour la fragmentation narrative et chapitrale tout en se concevant comme un tout esthétique et formel, notamment au sein des volumes de l’Acme Novelty Library. Il est néanmoins possible de considérer chacun d’entre eux selon sa place dans une série qui réfléchit sa cohérence et peut sans doute se lire à travers la figure du chapitre. D’autre part, il me semble nécessaire de m’interroger ce que le chapitrage fait à la lecture des récits denses de l’auteur par rapport à une publication par livraisons, qui ménage des espaces de respiration au cours de la lecture, tout comme cela peut être le cas dans le radical Building Stories. C’est la tension entre fragmentation et agrégation dans l’œuvre de Chris Ware que j’entends explorer ici, tant elle me paraît proposer, de façon quasi-exhaustive, l’éventail des possibilités qu’offre le chapitrage en bande dessinée.Langues : Français (fre) Mots-clés : Ware, Chris (1967-....) -- Critique et interprétation Bandes dessinées -- États-Unis -- 1990-... Résumé : "Monographie consacrée au dessinateur de bande dessinée Chris Ware. Une biographie enrichie de nombreux propos de l’auteur, la version intégrale d’un long entretien diffusé par Arte en 2004, ainsi que des reproductions de planches rares ou d’inédits, permettent d’appréhender le travail singulier de cet auteur, grand connaisseur de la bande dessinée. Le dispositif narratif, qui repose sur des dessins, proches du pictogramme, s’inscrit dans la tradition du comic strip, tout en déjouant les mécanismes de l’illusion référentielle. Un traitement des planches, fondé sur la répétition de détails architecturaux ou d’attitudes adoptées par les personnages, rend palpable l’écoulement temporel et son emprise sur l’individu." Note de contenu : Bibliogr. p. 35-37. Notes bibliogr.. En ligne : https://journals.openedition.org/narratologie/8805 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=241073 Chris Ware : la bande dessinée réinventée / BU de Lettres [document électronique] / Benoît Peeters (1956-...), Intervieweur ; Jacques Samson, Intervieweur ; Chris Ware (1967-...), Personne interviewée ; Fanny Soubiran, Traducteur . - Bruxelles : les Impressions nouvelles, 2010 . - 157 p. : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 25 cm. - (Réflexions faites (Bruxelles), ISSN 1783-0966) .
ISBN : 978-2-87449-085-9 : 22 €
Contient un entretien de Chris Ware avec Jacques Samson et Benoît Peeters réalisé à Chicago le 19 juillet 2003 et traduit de l'anglais par Fanny
Et, en hyperlien, Côme Martin, « Chris Ware, une œuvre entre segmentation et agrégation », Cahiers de Narratologie [En ligne], 34 | 2018, mis en ligne le 21 décembre 2018 : L’œuvre de Chris Ware affiche un goût pour la fragmentation narrative et chapitrale tout en se concevant comme un tout esthétique et formel, notamment au sein des volumes de l’Acme Novelty Library. Il est néanmoins possible de considérer chacun d’entre eux selon sa place dans une série qui réfléchit sa cohérence et peut sans doute se lire à travers la figure du chapitre. D’autre part, il me semble nécessaire de m’interroger ce que le chapitrage fait à la lecture des récits denses de l’auteur par rapport à une publication par livraisons, qui ménage des espaces de respiration au cours de la lecture, tout comme cela peut être le cas dans le radical Building Stories. C’est la tension entre fragmentation et agrégation dans l’œuvre de Chris Ware que j’entends explorer ici, tant elle me paraît proposer, de façon quasi-exhaustive, l’éventail des possibilités qu’offre le chapitrage en bande dessinée.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Ware, Chris (1967-....) -- Critique et interprétation Bandes dessinées -- États-Unis -- 1990-... Résumé : "Monographie consacrée au dessinateur de bande dessinée Chris Ware. Une biographie enrichie de nombreux propos de l’auteur, la version intégrale d’un long entretien diffusé par Arte en 2004, ainsi que des reproductions de planches rares ou d’inédits, permettent d’appréhender le travail singulier de cet auteur, grand connaisseur de la bande dessinée. Le dispositif narratif, qui repose sur des dessins, proches du pictogramme, s’inscrit dans la tradition du comic strip, tout en déjouant les mécanismes de l’illusion référentielle. Un traitement des planches, fondé sur la répétition de détails architecturaux ou d’attitudes adoptées par les personnages, rend palpable l’écoulement temporel et son emprise sur l’individu." Note de contenu : Bibliogr. p. 35-37. Notes bibliogr.. En ligne : https://journals.openedition.org/narratologie/8805 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=241073 Exemplaires
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Titre : Disney ou l'avenir en couleur / BU de Lettres Type de document : document électronique Auteurs : Christian Chelebourg (1958-..) , Auteur
Editeur : Bruxelles : les Impressions nouvelles Année de publication : 2018 Importance : 317 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul Format : 21 x 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87449-636-3 Prix : 22 € Note générale : Professeur de littérature française et littérature jeunesse, Christian Chelebourg enseigne les Études culturelles à l’Université de Lorraine où il dirige le laboratoire Littérature, Imaginaire, société. Dans un portrait qui lui est consacré sur le site The Conversation, on apprend qu’il dirige des thèses sur la représentation de la famille dans Batman, sur le « girl power », un mouvement qui transforma réellement le féminisme dès 1995, et trouve sa substance dans… les Spice Girls. On est dans la continuité de notre première partie.
Christian Chelebourg tient aussi Walt Disney pour l’un des plus grands artistes du XXe siècle. Dans son dernier ouvrage dont il nous a semblé, noël oblige, qu’on ne pouvait passer à côté… il nous permet de nous pencher sur l’un des acteurs les plus décisifs justement dans la construction de l’imaginaire de cette fête. Alors qu’on adore détester l’usine à rêve installée à Burbank, l’auteur s’emploie ici à travers l’étude de plus de 500 titres de dessins animés, de films, de séries télévisées, d’attractions, de comédies musicales, de comics ou de jeux vidéo à montrer qu’en réalité il s’agit d’un des chantres les plus important du progressisme. Loin du conservatisme qu’on leur prête volontiers, Mickey, Minie et tous leurs amis – qui sont légions quand on contemple l’intégralité de l’univers Disney – sont selon Chelebourg à la pointe du féminisme, de l’inclusivité, des nouveaux modèles familiaux et du multiculturalisme.
Contre la vision d’une Walt Disney company politiquement correct pour ne perdre aucun marché… on ressort de la lecture de ce livre avec l’idée que Disney va sauver la démocratie en maintenant vivante, en renouvelant, en distillant l’idée d’émancipation.
C'est un livre assez solide avec beaucoup de données et une thèse (celle que vous avez dite Raphaël) on peut toujours ne pas partager les rêves nourris par les productions de la firme Disney mais les dénoncer comme conservatrices voire rétrogrades c'est à coup sûr commettre un contre sens (...) Ce qui fait sa force mais ce par quoi il pêche : Christian Chelebourg se noie dans son érudition, il hiérarchise mal les choses. (Joseph Confavreux)
Le livre est à la fois impressionnant par sa capacité à prendre en écharpe énormément de productions, d'objets, il y a donc un effet de synthèse en surplomb qui produit l'idée forte du livre... Mais sa faiblesse on arrive pas à aller dans les détails de chacun (...) Il semble que la firme Disney défende aujourd'hui une vision libérale et progressiste du monde (...) Mais ses valeurs défendues sont-elles fondatrices du groupe lui-même ou de la société américaine ? (Jean-Marie Durand)Langues : Français (fre) Mots-clés : Industrie du spectacle Films d'animation 1970-... Walt Disney Company -- Et la culture Films d'animation -- Histoire et critique Valeurs (philosophie) Progrès États-Unis
Film d'animation Cinéma / Economie du cinéma / Production et financement Dessins animés -- culture BDRésumé : L'évolution de la Walt Disney Company, depuis sa création en 1987, notamment depuis l'arrivée de Robert Iger comme PDG en 2005. La production cinématographique actuelle privilégie des thèmes d'actualité tels que le féminisme, l'inclusivité et le multiculturalisme, dépassant ainsi un présent déceptif.
Note de contenu : Bibliogr. p. 302-311. Index. La 4ème de couverture indique : Quoi de neuf chez Disney ? Quel avenir nous prépare le géant de Burbank ? Balayant les clichés sur l'usine à rêves, Christian Chelebourg nous invite à plonger dans l'ensemble des spectacles récents produits par les multiples filiales de la Walt Disney Company pour comprendre les valeurs et les causes qu'elle défend dans un monde en pleine mutation. À travers plus de 500 titres de dessins animés, de films, de séries télévisées, d'attractions, de comédies musicales, de comics ou de jeux vidéo, il nous fait découvrir comment les productions Disney encouragent les jeunes et les moins jeunes à retrouver la foi dans le progrès. Loin du conservatisme qu'on leur reproche si souvent, les studios soutiennent les courants les plus en pointe de l'opinion publique sur les questions du féminisme, de l'inclusivité, du multiculturalisme. Ils profilent une société respectueuse de toutes les identités, afin que chacun puisse avoir l'opportunité de s'épanouir en réalisant ses vœux. Face aux dangers qui menacent la démocratie, ils en appellent à un sursaut citoyen digne des superhéros pour rétablir le pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple, prôné par les Pères Fondateurs de l'Amérique. Le Disneyverse - l'univers que forge la marque Disney - n'occulte pas la réalité de notre époque. Il n'ignore ni les inégalités, ni le terrorisme, ni la crise écologique, il compose avec la mondialisation, mais il se refuse au ressassement des drames pour poser les bases d'un nouvel optimisme. La place qu'il occupe dans l'économie du divertissement exige qu'on y soit attentif si l'on veut comprendre les enjeux du contemporain. En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/avis-critique/esthetique-des-cultures-pop [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=210180 Disney ou l'avenir en couleur / BU de Lettres [document électronique] / Christian Chelebourg (1958-..), Auteur . - Bruxelles : les Impressions nouvelles, 2018 . - 317 p. : ill., couv. ill. en coul ; 21 x 25 cm.
ISBN : 978-2-87449-636-3 : 22 €
Professeur de littérature française et littérature jeunesse, Christian Chelebourg enseigne les Études culturelles à l’Université de Lorraine où il dirige le laboratoire Littérature, Imaginaire, société. Dans un portrait qui lui est consacré sur le site The Conversation, on apprend qu’il dirige des thèses sur la représentation de la famille dans Batman, sur le « girl power », un mouvement qui transforma réellement le féminisme dès 1995, et trouve sa substance dans… les Spice Girls. On est dans la continuité de notre première partie.
Christian Chelebourg tient aussi Walt Disney pour l’un des plus grands artistes du XXe siècle. Dans son dernier ouvrage dont il nous a semblé, noël oblige, qu’on ne pouvait passer à côté… il nous permet de nous pencher sur l’un des acteurs les plus décisifs justement dans la construction de l’imaginaire de cette fête. Alors qu’on adore détester l’usine à rêve installée à Burbank, l’auteur s’emploie ici à travers l’étude de plus de 500 titres de dessins animés, de films, de séries télévisées, d’attractions, de comédies musicales, de comics ou de jeux vidéo à montrer qu’en réalité il s’agit d’un des chantres les plus important du progressisme. Loin du conservatisme qu’on leur prête volontiers, Mickey, Minie et tous leurs amis – qui sont légions quand on contemple l’intégralité de l’univers Disney – sont selon Chelebourg à la pointe du féminisme, de l’inclusivité, des nouveaux modèles familiaux et du multiculturalisme.
Contre la vision d’une Walt Disney company politiquement correct pour ne perdre aucun marché… on ressort de la lecture de ce livre avec l’idée que Disney va sauver la démocratie en maintenant vivante, en renouvelant, en distillant l’idée d’émancipation.
C'est un livre assez solide avec beaucoup de données et une thèse (celle que vous avez dite Raphaël) on peut toujours ne pas partager les rêves nourris par les productions de la firme Disney mais les dénoncer comme conservatrices voire rétrogrades c'est à coup sûr commettre un contre sens (...) Ce qui fait sa force mais ce par quoi il pêche : Christian Chelebourg se noie dans son érudition, il hiérarchise mal les choses. (Joseph Confavreux)
Le livre est à la fois impressionnant par sa capacité à prendre en écharpe énormément de productions, d'objets, il y a donc un effet de synthèse en surplomb qui produit l'idée forte du livre... Mais sa faiblesse on arrive pas à aller dans les détails de chacun (...) Il semble que la firme Disney défende aujourd'hui une vision libérale et progressiste du monde (...) Mais ses valeurs défendues sont-elles fondatrices du groupe lui-même ou de la société américaine ? (Jean-Marie Durand)
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Industrie du spectacle Films d'animation 1970-... Walt Disney Company -- Et la culture Films d'animation -- Histoire et critique Valeurs (philosophie) Progrès États-Unis
Film d'animation Cinéma / Economie du cinéma / Production et financement Dessins animés -- culture BDRésumé : L'évolution de la Walt Disney Company, depuis sa création en 1987, notamment depuis l'arrivée de Robert Iger comme PDG en 2005. La production cinématographique actuelle privilégie des thèmes d'actualité tels que le féminisme, l'inclusivité et le multiculturalisme, dépassant ainsi un présent déceptif.
Note de contenu : Bibliogr. p. 302-311. Index. La 4ème de couverture indique : Quoi de neuf chez Disney ? Quel avenir nous prépare le géant de Burbank ? Balayant les clichés sur l'usine à rêves, Christian Chelebourg nous invite à plonger dans l'ensemble des spectacles récents produits par les multiples filiales de la Walt Disney Company pour comprendre les valeurs et les causes qu'elle défend dans un monde en pleine mutation. À travers plus de 500 titres de dessins animés, de films, de séries télévisées, d'attractions, de comédies musicales, de comics ou de jeux vidéo, il nous fait découvrir comment les productions Disney encouragent les jeunes et les moins jeunes à retrouver la foi dans le progrès. Loin du conservatisme qu'on leur reproche si souvent, les studios soutiennent les courants les plus en pointe de l'opinion publique sur les questions du féminisme, de l'inclusivité, du multiculturalisme. Ils profilent une société respectueuse de toutes les identités, afin que chacun puisse avoir l'opportunité de s'épanouir en réalisant ses vœux. Face aux dangers qui menacent la démocratie, ils en appellent à un sursaut citoyen digne des superhéros pour rétablir le pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple, prôné par les Pères Fondateurs de l'Amérique. Le Disneyverse - l'univers que forge la marque Disney - n'occulte pas la réalité de notre époque. Il n'ignore ni les inégalités, ni le terrorisme, ni la crise écologique, il compose avec la mondialisation, mais il se refuse au ressassement des drames pour poser les bases d'un nouvel optimisme. La place qu'il occupe dans l'économie du divertissement exige qu'on y soit attentif si l'on veut comprendre les enjeux du contemporain. En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/avis-critique/esthetique-des-cultures-pop [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=210180 Exemplaires
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Titre : Martine : une aventurière du quotidien / SUDOC Type de document : document électronique Auteurs : Laurence Boudart, Auteur Editeur : Bruxelles : les Impressions nouvelles Année de publication : 2021 Collection : La Fabrique des héros Importance : 124 p. Format : 19 x 13 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87449-858-9 Prix : 12 € Note générale : Martine remonte le fleuve aux crocodiles, Martine marche sur la Lune, Martine fait du kung-fu ou Martine trouve un vaccin sont autant d'albums que l'on ne lira jamais. Car Martine n'est pas ce genre d'aventurière. Dans son monde, il n'existe que peu, voire pas du tout, de problèmes, ni de dangers, ni de misère. Seule la face la plus aimable du monde se fait jour, au grand bonheur des satiristes des réseaux sociaux qui ne cessent de détourner les célèbres couvertures de ses récits pour s'amuser des folies du monde contemporain.
Cette éternelle petite fille sage, âgée pour toujours d'une dizaine d'années, inventée pour les éditions Casterman en 1954 par l'auteur Gilbert Delahaye et le dessinateur Marcel Marlier, au coup de crayon si souvent imité mais si rarement égalé, s'est posée en véritable phénomène de l'édition sans jamais avoir accompli d'exploit héroïque, si ce n'est de perdurer et même d'évoluer au fil des époques sans se faire remarquer. À moins cependant que l'on ne regarde sous une autre échelle la notion d'épopée ou, mieux encore, que l'on ose considérer à nouveau, comme un enfant, les domaines de l'anodin, du banal et du quotidien pour ce qu'ils sont : des terrains de jeux où surgissent sans cesse d'infinies et authentiques aventures.Langues : Français (fre) Mots-clés : Littérature pour la jeunesse, histoire et critique Enfants -- Livres et lecture Marcel Marlier Delahaye, Gilbert (1923-1997) Martine Résumé : Décrivant avec humour les caractéristiques de l'univers idéal et aseptisé dans lequel Martine évolue, l'auteure analyse les détournements et les satires dont le personnage fait régulièrement l'objet sur les réseaux sociaux. S'interrogeant sur les notions d'aventure et de banalité, elle invite le lecteur à porter un regard d'enfant sur le quotidien. Note de contenu : Notes bibliogr. En ligne : https://lesimpressionsnouvelles.com/catalogue/martine/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=263717 Martine : une aventurière du quotidien / SUDOC [document électronique] / Laurence Boudart, Auteur . - Bruxelles : les Impressions nouvelles, 2021 . - 124 p. ; 19 x 13 cm. - (La Fabrique des héros) .
ISBN : 978-2-87449-858-9 : 12 €
Martine remonte le fleuve aux crocodiles, Martine marche sur la Lune, Martine fait du kung-fu ou Martine trouve un vaccin sont autant d'albums que l'on ne lira jamais. Car Martine n'est pas ce genre d'aventurière. Dans son monde, il n'existe que peu, voire pas du tout, de problèmes, ni de dangers, ni de misère. Seule la face la plus aimable du monde se fait jour, au grand bonheur des satiristes des réseaux sociaux qui ne cessent de détourner les célèbres couvertures de ses récits pour s'amuser des folies du monde contemporain.
Cette éternelle petite fille sage, âgée pour toujours d'une dizaine d'années, inventée pour les éditions Casterman en 1954 par l'auteur Gilbert Delahaye et le dessinateur Marcel Marlier, au coup de crayon si souvent imité mais si rarement égalé, s'est posée en véritable phénomène de l'édition sans jamais avoir accompli d'exploit héroïque, si ce n'est de perdurer et même d'évoluer au fil des époques sans se faire remarquer. À moins cependant que l'on ne regarde sous une autre échelle la notion d'épopée ou, mieux encore, que l'on ose considérer à nouveau, comme un enfant, les domaines de l'anodin, du banal et du quotidien pour ce qu'ils sont : des terrains de jeux où surgissent sans cesse d'infinies et authentiques aventures.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Littérature pour la jeunesse, histoire et critique Enfants -- Livres et lecture Marcel Marlier Delahaye, Gilbert (1923-1997) Martine Résumé : Décrivant avec humour les caractéristiques de l'univers idéal et aseptisé dans lequel Martine évolue, l'auteure analyse les détournements et les satires dont le personnage fait régulièrement l'objet sur les réseaux sociaux. S'interrogeant sur les notions d'aventure et de banalité, elle invite le lecteur à porter un regard d'enfant sur le quotidien. Note de contenu : Notes bibliogr. En ligne : https://lesimpressionsnouvelles.com/catalogue/martine/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=263717 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Titre : Mondes imparfaits : autour des "Cités obscures" de Schuiten et Peeters Titre original : Mondes (im)parfaits Type de document : document électronique Auteurs : Marc Atallah, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Frédéric Jaccaud (1977-...), Editeur scientifique Mention d'édition : textes François Rosset, Marc Atallah, Benoît Peeters, François Schuiten Editeur : Bruxelles : les Impressions nouvelles Année de publication : 2019 Autre Editeur : Yverdon-les-Bains (Suisse) : Maison d'ailleurs Importance : 127 p. Présentation : illustrations en noir et en couleur Format : 33 x 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87449-730-8 Prix : 28,50 € Note générale : Publ. en accompagnement à l'exposition éponyme, organisée à la Maison d'Ailleurs, Yverdon-les-Bains (Suisse), du 17 novembre 2019 au 25 octobre 2020. Ce livre est le prolongement et l’approfondissement de l’exposition, autour des notions d’utopie et de dystopie. L’acte de naissance officiel de l’utopie est la publication en 1516 du récit Utopia de l’humaniste anglais Thomas More, qui met en scène un monde autre dans lequel les êtres humains sont postulés comme heureux. Mais la dernière phrase d’Utopia laisse entendre que cette cité devrait rester au rang de « souhait » : dès que l’on se met à raconter, de l’intérieur, ce qui se passe en utopie, la cité supposée parfaite exprime sa dimension aliénante et se transforme en dystopie. Du Meilleur des mondes et 1984 à Blade Runner, La Servante écarlate et Black Mirror, les dernières décennies ont vu se multiplier de tels récits, en littérature, au cinéma et ailleurs. « Mondes (im)parfaits » propose une synthèse solide sur le sujet, agrémentée de nombreux documents et de dessins rares ou inédits des Cités obscures de François Schuiten et Benoît Peeters. Langues : Français (fre) Mots-clés : Utopies littéraires Résumé : De 1984 à La Servante écarlate en passant par Le meilleur des mondes ou Black Mirror, une synthèse illustrée des mondes dystopiques dans la littérature, le cinéma et les séries.
La série Les Cités obscures, de François Schuiten et Benoît Peeters, est l’un des chefs-d’œuvre de la bande dessinée franco-belge contemporaine. Les dessins, poétiques et monumentaux, ainsi que les scénarios, intimes et réflexifs, font de ces volumes, selon les dires de ses auteurs, un « reflet décalé de la Terre » : il y est question d’ordre et de désordre, de normalité et de différence, d’une recherche de sens propre à notre condition.
Hormis la spécificité de chacun des albums, il est un fait notable à observer : les différentes histoires de la série tissent de nombreux parallèles – esthétiques et scénaristiques – avec les traditions de l’utopie et de la dystopie. C’est pour mieux saisir les contours et les fonctions de ces traditions que la Maison d’Ailleurs a souhaité créer des échos entre les œuvres de Schuiten et Peeters, celles de trois artistes suisses – Sébastien Mettraux, Louis Loup Collet et Thomas Crausaz –, les dispositifs technologiques imaginés par la HEIG-VD et le patrimoine historique du musée.
Note de contenu : La Maison d'Ailleurs, musée de la science-fiction, de l'utopie et des voyages extraordinaires d'Yverdon-les-Bains (Suisse), présente une grande exposition : « MONDES imPARFAITS. Autour des Cités obscures de Schuiten et Peeters », du 17 novembre 2019 au 25 octobre 2020. Ce livre en est le prolongement et l'approfondissement, autour des notions d'utopie et de dystopie.
L'acte de naissance officiel de l'utopie est la publication en 1516 du récit Utopia de l'humaniste anglais Thomas More. Il y met en scène un monde autre dans lequel les êtres humains sont postulés comme heureux, en raison d'une organisation socio-politique novatrice. Mais la dernière phrase d'Utopia laisse entendre que cette cité devrait rester au rang de « souhait », c'est-à-dire de modèle à ne surtout pas réaliser. En effet, dès que l'on se met à raconter, de l'intérieur, ce qui se passe en utopie, la cité supposée parfaite exprime sa dimension aliénante et se transforme en dystopie. Du Meilleur des mondes et 1984 à Blade Runner, La Servante écarlate et Black Mirror, les dernières décennies ont vu se multiplier de tels récits, en littérature, au cinéma et ailleurs. « MONDES imPARFAITS » propose une synthèse solide sur le sujet, agrémentée de nombreux documents et de dessins rares ou inédits des Cités obscures de François Schuiten et Benoît Peeters.En ligne : http://www.ailleurs.ch/wp-content/uploads/2019/11/presse-11-19.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=239576 Mondes imparfaits : autour des "Cités obscures" de Schuiten et Peeters = Mondes (im)parfaits [document électronique] / Marc Atallah, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Frédéric Jaccaud (1977-...), Editeur scientifique . - textes François Rosset, Marc Atallah, Benoît Peeters, François Schuiten . - Bruxelles : les Impressions nouvelles : Yverdon-les-Bains (Suisse) : Maison d'ailleurs, 2019 . - 127 p. : illustrations en noir et en couleur ; 33 x 25 cm.
ISBN : 978-2-87449-730-8 : 28,50 €
Publ. en accompagnement à l'exposition éponyme, organisée à la Maison d'Ailleurs, Yverdon-les-Bains (Suisse), du 17 novembre 2019 au 25 octobre 2020. Ce livre est le prolongement et l’approfondissement de l’exposition, autour des notions d’utopie et de dystopie. L’acte de naissance officiel de l’utopie est la publication en 1516 du récit Utopia de l’humaniste anglais Thomas More, qui met en scène un monde autre dans lequel les êtres humains sont postulés comme heureux. Mais la dernière phrase d’Utopia laisse entendre que cette cité devrait rester au rang de « souhait » : dès que l’on se met à raconter, de l’intérieur, ce qui se passe en utopie, la cité supposée parfaite exprime sa dimension aliénante et se transforme en dystopie. Du Meilleur des mondes et 1984 à Blade Runner, La Servante écarlate et Black Mirror, les dernières décennies ont vu se multiplier de tels récits, en littérature, au cinéma et ailleurs. « Mondes (im)parfaits » propose une synthèse solide sur le sujet, agrémentée de nombreux documents et de dessins rares ou inédits des Cités obscures de François Schuiten et Benoît Peeters.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Utopies littéraires Résumé : De 1984 à La Servante écarlate en passant par Le meilleur des mondes ou Black Mirror, une synthèse illustrée des mondes dystopiques dans la littérature, le cinéma et les séries.
La série Les Cités obscures, de François Schuiten et Benoît Peeters, est l’un des chefs-d’œuvre de la bande dessinée franco-belge contemporaine. Les dessins, poétiques et monumentaux, ainsi que les scénarios, intimes et réflexifs, font de ces volumes, selon les dires de ses auteurs, un « reflet décalé de la Terre » : il y est question d’ordre et de désordre, de normalité et de différence, d’une recherche de sens propre à notre condition.
Hormis la spécificité de chacun des albums, il est un fait notable à observer : les différentes histoires de la série tissent de nombreux parallèles – esthétiques et scénaristiques – avec les traditions de l’utopie et de la dystopie. C’est pour mieux saisir les contours et les fonctions de ces traditions que la Maison d’Ailleurs a souhaité créer des échos entre les œuvres de Schuiten et Peeters, celles de trois artistes suisses – Sébastien Mettraux, Louis Loup Collet et Thomas Crausaz –, les dispositifs technologiques imaginés par la HEIG-VD et le patrimoine historique du musée.
Note de contenu : La Maison d'Ailleurs, musée de la science-fiction, de l'utopie et des voyages extraordinaires d'Yverdon-les-Bains (Suisse), présente une grande exposition : « MONDES imPARFAITS. Autour des Cités obscures de Schuiten et Peeters », du 17 novembre 2019 au 25 octobre 2020. Ce livre en est le prolongement et l'approfondissement, autour des notions d'utopie et de dystopie.
L'acte de naissance officiel de l'utopie est la publication en 1516 du récit Utopia de l'humaniste anglais Thomas More. Il y met en scène un monde autre dans lequel les êtres humains sont postulés comme heureux, en raison d'une organisation socio-politique novatrice. Mais la dernière phrase d'Utopia laisse entendre que cette cité devrait rester au rang de « souhait », c'est-à-dire de modèle à ne surtout pas réaliser. En effet, dès que l'on se met à raconter, de l'intérieur, ce qui se passe en utopie, la cité supposée parfaite exprime sa dimension aliénante et se transforme en dystopie. Du Meilleur des mondes et 1984 à Blade Runner, La Servante écarlate et Black Mirror, les dernières décennies ont vu se multiplier de tels récits, en littérature, au cinéma et ailleurs. « MONDES imPARFAITS » propose une synthèse solide sur le sujet, agrémentée de nombreux documents et de dessins rares ou inédits des Cités obscures de François Schuiten et Benoît Peeters.En ligne : http://www.ailleurs.ch/wp-content/uploads/2019/11/presse-11-19.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=239576 Exemplaires
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Naissances de la bande dessinée : de William Hogarth à Winsor McCay / BU de Lettres / Thierry Smolderen
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