Titre : |
Le bien-être de l’enfant à l’école: faisons nos devoirs : rapport |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Carole Couture, Editeur scientifique |
Editeur : |
Québec : Conseil supérieur de l'éducation |
Année de publication : |
2020 |
Importance : |
192 p. |
Format : |
PDF |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-550-86749-4 |
Note générale : |
Le Conseil supérieur de l’éducation a confié la production de cet avis à la Commission de l’éducation préscolaire et de l’enseignement primaire (CEPEP), dont la liste des membres figure à la fin du document. |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
performances relations sociales santé mentale école bien-être care bienveillance éducation réussite éducative développment enfants jeunes psychologie psychologique enfant |
Résumé : |
Dans la société québécoise, comme ailleurs dans le monde, on observe une évolution vers des valeurs liées à la bienveillance, au bien-être et à l’épanouissement des individus. La préoccupation pour le mieux-être des individus est prise en considération dans les politiques gouvernementales, dans les milieux de travail ainsi qu’aux différents paliers du système éducatif. Paradoxalement, les adultes, les adolescents et les enfants sont très souvent confrontés à un rythme de vie effréné et à des attentes axées sur la performance à tout prix. La société a évolué, la famille s’est transformée, les enfants ont changé, le contexte scolaire s’est complexifié, les technologies ont transformé les relations sociales. En appui aux inquiétudes exprimées par les médecins de famille, les psychiatres, les psychologues et autres experts de la santé et de l’éducation, un consensus social s’installe autour de la nécessité d’agir pour prévenir les problèmes de santé mentale et, en particulier, l’anxiété, pour mieux soutenir les personnes qui en sont atteintes et pour promouvoir le développement et le maintien d’une bonne santé mentale pour tous. Dès qu’il est question des enfants d’âge scolaire, l’école devient un point central à considérer. Pour sa part, le Conseil supérieur de l’éducation (CSE) soutient, depuis plusieurs années, une position en faveur de valeurs, d’orientations et d’actions qui contribuent au bien‑être des enfants à l’école. Plusieurs de ses avis et de ses rapports sur l’état et les besoins de l’éducation témoignent de la position du Conseil en faveur du développement global et harmonieux des enfants et des jeunes, de leurs besoins sociaux et affectifs, de leur sécurité et de leur réussite éducative (CSE, 2012, 2016, 2017, 2018). Ce sont des orientations ou des valeurs qui transcendent les différentes productions du Conseil. Traiter de la thématique du bien‑être comme objet principal d’un avis constitue toutefois une première. |
Note de contenu : |
Recherche et collaboration à la rédaction
Caroline Gaudreault, agente de recherche
Marina St‑Louis, agente de recherche
Diana Vlasie, agente de recherche et de transfert
Collaboration
Hugo Couture, agent de recherche
Hermann Enomana, agent de recherche
Josianne Parent, doctorante
Le présent avis comprend cinq parties. D’abord un portrait qui, après avoir illustré le
quotidien des enfants du préscolaire et du primaire, rassemble un certain nombre
de données descriptives sur les enfants qui fréquentent l’école primaire. Combien
sont‑ils? Qui sont‑ils? Quels sont leurs besoins particuliers? Comment perçoivent‑ils
leur bien‑être à l’école? Des statistiques sur la santé mentale des enfants viennent
compléter ce portrait.
La deuxième partie traite de la définition des concepts clés retenus pour cet avis.
On y distingue, notamment, le bien‑être et la bienveillance de même que le stress,
les comportements anxieux et le trouble d’anxiété. L’apport des neurosciences est
aussi abordé.
Dans la troisième partie, le Conseil a voulu énoncer les trois principes qui ont servi
de points d’ancrage pour la réflexion, les délibérations des membres et les recom‑
mandations qui en découlent.
Le bien-être de l’enfant à l’école: faisons nos devoirs
Le bien‑être de l’enfant ne dépend pas uniquement de lui‑même ou de l’école, bien
évidemment! C’est pourquoi la quatrième partie s’attarde aux facteurs de protection
à partir d’une vision écosystémique de la situation. À partir des caractéristiques
personnelles de l’enfant, des environnements scolaire et pédagogique, professionnel,
communautaire et familial, l’avis met en lumière les leviers du système et dresse le
portrait de ce que l’on trouve sur le terrain. Parmi ces leviers, les compétences sociales
et émotionnelles des enfants et des adultes se sont révélées prioritaires pour le bien‑être
et la santé mentale des enfants; cet avis s’y attarde donc plus particulièrement. Cette
section est aussi l’occasion de décrire les actions en cours au Québec et de s’interroger
sur leur mise en œuvre et leur fonctionnement.
Enfin, la dernière partie énonce des constats et des enjeux prioritaires auxquels sont
rattachées des recommandations. Des conditions de mise en œuvre accompagnent
les recommandations. |
En ligne : |
https://www.cse.gouv.qc.ca/wp-content/uploads/2020/06/50-0524-AV-bien-etre-enfan [...] |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=245188 |
Le bien-être de l’enfant à l’école: faisons nos devoirs : rapport [document électronique] / Carole Couture, Editeur scientifique . - Québec : Conseil supérieur de l'éducation, 2020 . - 192 p. ; PDF. ISBN : 978-2-550-86749-4 Le Conseil supérieur de l’éducation a confié la production de cet avis à la Commission de l’éducation préscolaire et de l’enseignement primaire (CEPEP), dont la liste des membres figure à la fin du document. Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
performances relations sociales santé mentale école bien-être care bienveillance éducation réussite éducative développment enfants jeunes psychologie psychologique enfant |
Résumé : |
Dans la société québécoise, comme ailleurs dans le monde, on observe une évolution vers des valeurs liées à la bienveillance, au bien-être et à l’épanouissement des individus. La préoccupation pour le mieux-être des individus est prise en considération dans les politiques gouvernementales, dans les milieux de travail ainsi qu’aux différents paliers du système éducatif. Paradoxalement, les adultes, les adolescents et les enfants sont très souvent confrontés à un rythme de vie effréné et à des attentes axées sur la performance à tout prix. La société a évolué, la famille s’est transformée, les enfants ont changé, le contexte scolaire s’est complexifié, les technologies ont transformé les relations sociales. En appui aux inquiétudes exprimées par les médecins de famille, les psychiatres, les psychologues et autres experts de la santé et de l’éducation, un consensus social s’installe autour de la nécessité d’agir pour prévenir les problèmes de santé mentale et, en particulier, l’anxiété, pour mieux soutenir les personnes qui en sont atteintes et pour promouvoir le développement et le maintien d’une bonne santé mentale pour tous. Dès qu’il est question des enfants d’âge scolaire, l’école devient un point central à considérer. Pour sa part, le Conseil supérieur de l’éducation (CSE) soutient, depuis plusieurs années, une position en faveur de valeurs, d’orientations et d’actions qui contribuent au bien‑être des enfants à l’école. Plusieurs de ses avis et de ses rapports sur l’état et les besoins de l’éducation témoignent de la position du Conseil en faveur du développement global et harmonieux des enfants et des jeunes, de leurs besoins sociaux et affectifs, de leur sécurité et de leur réussite éducative (CSE, 2012, 2016, 2017, 2018). Ce sont des orientations ou des valeurs qui transcendent les différentes productions du Conseil. Traiter de la thématique du bien‑être comme objet principal d’un avis constitue toutefois une première. |
Note de contenu : |
Recherche et collaboration à la rédaction
Caroline Gaudreault, agente de recherche
Marina St‑Louis, agente de recherche
Diana Vlasie, agente de recherche et de transfert
Collaboration
Hugo Couture, agent de recherche
Hermann Enomana, agent de recherche
Josianne Parent, doctorante
Le présent avis comprend cinq parties. D’abord un portrait qui, après avoir illustré le
quotidien des enfants du préscolaire et du primaire, rassemble un certain nombre
de données descriptives sur les enfants qui fréquentent l’école primaire. Combien
sont‑ils? Qui sont‑ils? Quels sont leurs besoins particuliers? Comment perçoivent‑ils
leur bien‑être à l’école? Des statistiques sur la santé mentale des enfants viennent
compléter ce portrait.
La deuxième partie traite de la définition des concepts clés retenus pour cet avis.
On y distingue, notamment, le bien‑être et la bienveillance de même que le stress,
les comportements anxieux et le trouble d’anxiété. L’apport des neurosciences est
aussi abordé.
Dans la troisième partie, le Conseil a voulu énoncer les trois principes qui ont servi
de points d’ancrage pour la réflexion, les délibérations des membres et les recom‑
mandations qui en découlent.
Le bien-être de l’enfant à l’école: faisons nos devoirs
Le bien‑être de l’enfant ne dépend pas uniquement de lui‑même ou de l’école, bien
évidemment! C’est pourquoi la quatrième partie s’attarde aux facteurs de protection
à partir d’une vision écosystémique de la situation. À partir des caractéristiques
personnelles de l’enfant, des environnements scolaire et pédagogique, professionnel,
communautaire et familial, l’avis met en lumière les leviers du système et dresse le
portrait de ce que l’on trouve sur le terrain. Parmi ces leviers, les compétences sociales
et émotionnelles des enfants et des adultes se sont révélées prioritaires pour le bien‑être
et la santé mentale des enfants; cet avis s’y attarde donc plus particulièrement. Cette
section est aussi l’occasion de décrire les actions en cours au Québec et de s’interroger
sur leur mise en œuvre et leur fonctionnement.
Enfin, la dernière partie énonce des constats et des enjeux prioritaires auxquels sont
rattachées des recommandations. Des conditions de mise en œuvre accompagnent
les recommandations. |
En ligne : |
https://www.cse.gouv.qc.ca/wp-content/uploads/2020/06/50-0524-AV-bien-etre-enfan [...] |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=245188 |
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Créé en 1964, le Conseil supérieur de l’éducation du Québec est un organisme
gouvernemental autonome, composé de vingt‑deux membres issus du monde de
l’éducation et d’autres secteurs d’activité de la société québécoise. Institué en tant que
lieu privilégié de réflexion en vue du développement d’une vision globale de l’éducation,
il a pour mandat de conseiller le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur
sur toute question relative à l’éducation.
Le Conseil compte cinq commissions correspondant à un ordre ou à un secteur
d’enseignement : éducation préscolaire et enseignement primaire; enseignement
secondaire; enseignement et recherche au collégial; enseignement et recherche
universitaires; éducation des adultes et formation continue. À cela s’ajoute un comité dont
le mandat est d’élaborer un rapport systémique sur l’état et les besoins de l’éducation,
rapport adopté par le Conseil et déposé tous les deux ans à l’Assemblée nationale.
La réflexion du Conseil supérieur de l’éducation est le fruit de délibérations entre les
membres de ses instances, lesquelles sont alimentées par des études documentaires,
des résultats de recherche et des consultations menées auprès d’experts et d’acteurs
de l’éducation.
Ce sont près de cent personnes qui, par leur engagement citoyen et à titre bénévole,
contribuent aux travaux du Conseil.