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Titre : La stratégie du choc : la montée d'un capitalisme du désastre / SCD Titre original : The shock doctrine : the rise of disaster capitalism. - cop. 2007 Type de document : document électronique Auteurs : Naomi Klein (1970-....) , Auteur ; Lori Saint-Martin, Traducteur ; Paul Gagné, Traducteur
Mention d'édition : Autres tirages : 2012, 2013, 2015 Editeur : Arles Cedex (Bouches-du-Rhône) : Éditions Actes-Sud Année de publication : 2010, cop. 2008 Collection : Babel (Arles), ISSN 1140-3853 num. 1030 Importance : 861 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7427-9306-8 Prix : 13.50 € Note générale : Voir la recension, en hyperlien, de : Stéphane Callens, « Naomi Klein, 2008, La stratégie du choc. La montée d’un capitalisme du désastre, Toronto : Léméac/Actes Sud, 668 p. », Développement durable et territoires [En ligne], Lectures (2002-2010), Publications de 2008, mis en ligne le 09 janvier 2009 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : Économie politique et politique
Libéralisme économique
Capitalisme
Crises politiques
Crises économiques
Économie de marchéRésumé : Qu’y a-t-il de commun entre le coup d’Etat de Pinochet au Chili en 1973, le massacre de la place Tiananmen en 1989, l’effondrement de l’Union soviétique, le naufrage de l’épopée Solidarnosc en Pologne, les difficultés rencontrées par Mandela dans l’Afrique du Sud post-apartheid, les attentats du 11 septembre, la guerre en Irak, le tsunami qui dévasta les côtes du Sri Lanka en 2004, le cyclone Katrina, l’année suivante, la pratique de la torture partout et en tous lieux – Abou Ghraïb ou Guantánamo – aujourd’hui ?
Tous ces moments de notre histoire récente, répond Naomi Klein, ont partie liée avec l’avènement d’un “capitalisme du désastre”.
Approfondissant la réflexion militante entamée avec son bestseller No Logo, Naomi Klein dénonce, dans La stratégie du choc, l’existence d’opérations concertées dans le but d’assurer la prise de contrôle de la planète par les tenants d’un ultralibéralisme toutpuissant. Ce dernier met sciemment à contribution crises et désastres pour substituer aux valeurs démocratiques, auxquelles les sociétés aspirent, la seule loi du marché et la barbarie de la spéculation.
Remarquablement conduite et documentée, cette histoire secrète du libre marché, qui dessine une nouvelle éthique de l’investigation journalistique, s’affirme comme une lecture indispensable pour réévaluer les enjeux des temps présent et à venir, vis-à-vis desquels les citoyens du monde portent, ensemble, une responsabilité impossible à déléguerNote de contenu : Notes bibliographiques. Index En ligne : http://journals.openedition.org/developpementdurable/7533 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=241628 La stratégie du choc : la montée d'un capitalisme du désastre / SCD = The shock doctrine : the rise of disaster capitalism. - cop. 2007 [document électronique] / Naomi Klein (1970-....), Auteur ; Lori Saint-Martin, Traducteur ; Paul Gagné, Traducteur . - Autres tirages : 2012, 2013, 2015 . - Arles Cedex (Bouches-du-Rhône) (Direction générale, Place Nina-Berberova, 13633) : Éditions Actes-Sud, 2010, cop. 2008 . - 861 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Babel (Arles), ISSN 1140-3853; 1030) .
ISBN : 978-2-7427-9306-8 : 13.50 €
Voir la recension, en hyperlien, de : Stéphane Callens, « Naomi Klein, 2008, La stratégie du choc. La montée d’un capitalisme du désastre, Toronto : Léméac/Actes Sud, 668 p. », Développement durable et territoires [En ligne], Lectures (2002-2010), Publications de 2008, mis en ligne le 09 janvier 2009
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : Économie politique et politique
Libéralisme économique
Capitalisme
Crises politiques
Crises économiques
Économie de marchéRésumé : Qu’y a-t-il de commun entre le coup d’Etat de Pinochet au Chili en 1973, le massacre de la place Tiananmen en 1989, l’effondrement de l’Union soviétique, le naufrage de l’épopée Solidarnosc en Pologne, les difficultés rencontrées par Mandela dans l’Afrique du Sud post-apartheid, les attentats du 11 septembre, la guerre en Irak, le tsunami qui dévasta les côtes du Sri Lanka en 2004, le cyclone Katrina, l’année suivante, la pratique de la torture partout et en tous lieux – Abou Ghraïb ou Guantánamo – aujourd’hui ?
Tous ces moments de notre histoire récente, répond Naomi Klein, ont partie liée avec l’avènement d’un “capitalisme du désastre”.
Approfondissant la réflexion militante entamée avec son bestseller No Logo, Naomi Klein dénonce, dans La stratégie du choc, l’existence d’opérations concertées dans le but d’assurer la prise de contrôle de la planète par les tenants d’un ultralibéralisme toutpuissant. Ce dernier met sciemment à contribution crises et désastres pour substituer aux valeurs démocratiques, auxquelles les sociétés aspirent, la seule loi du marché et la barbarie de la spéculation.
Remarquablement conduite et documentée, cette histoire secrète du libre marché, qui dessine une nouvelle éthique de l’investigation journalistique, s’affirme comme une lecture indispensable pour réévaluer les enjeux des temps présent et à venir, vis-à-vis desquels les citoyens du monde portent, ensemble, une responsabilité impossible à déléguerNote de contenu : Notes bibliographiques. Index En ligne : http://journals.openedition.org/developpementdurable/7533 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=241628 Exemplaires
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Titre : Sur la piste animale Type de document : texte imprimé Auteurs : Baptiste Morizot (1983-...) , Auteur ; Vinciane Despret (1959-...)
, Préfacier, etc.
Editeur : Arles Cedex (Bouches-du-Rhône) : Éditions Actes-Sud Année de publication : 2018 Collection : Mondes sauvages, pour une nouvelle alliance, ISSN 2558-2682 Importance : 200 p. Présentation : couv. ill. Format : 22 x 12 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-09251-1 Prix : 20 € Note générale : "Les chasseurs appellent cela une « laissée ». Une trace posée délibérément par un vivant sur une piste, afin de signaler sa présence, son identité ou son humeur, à qui veut bien se donner les clés pour déchiffrer le message. Baptiste Morizot, spécialiste des relations entre humains et animaux, a publié voici un an un volume remarqué (Les Diplomates. Cohabiter avec les loups sur une autre carte du vivant, Wildproject, 2017), dans lequel il plaidait pour l’instauration de protocoles de cohabitation avec les animaux sauvages. Ce bref recueil est une « laissée », qui reprend et développe des textes antérieurs, fournissant une introduction concise à la pensée de ce philosophe de l’altérité. On y apprendra certes pourquoi certains grizzlis peuvent attaquer des humains, et comment il convient de réagir en pareil cas. Ce savoir-là restant inutile à la majorité d’entre nous, l’important est à déchiffrer entre les lignes : il faut apprendre à raisonner comme un animal sauvage, c’est-à-dire un « invisible » ; il ne laisse pour trace de son existence que des indices ténus, car sa survie dépend à la fois de son aptitude à communiquer avec le reste de la biosphère et à disparaître simultanément des écrans mentaux de l’humanité. Pour le renard qui rôde, il faut marquer son territoire, séduire une femelle tout en s’accommodant du stress lié à notre présence et échapper à la détection qui entraînera piégeage ou empoisonnement. À qui picore entre les lignes, ce petit livre offre matière à réflexion. Il n’hésite pas à mêler cosmologie, lombricompostage et chamanisme, comme à spéculer sur la possibilité que la cognition humaine ait été développée sous la pression adaptative du pistage. En chaque humain sommeillerait donc encore un chasseur, prêt à interpréter les traces pour mieux voir l'invisible" Laurent Testot, SH n°308, p. 63 Langues : Français (fre) Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Sciences et découverte de l'Univers et de la nature / Le monde animal (faune sauvage) Animaux Traces animales Animalité (philosophie) Index. décimale : S-51 Animal - Psychologie - Sociologie - Ecologie Résumé : Recueil d'articles remaniés publiés dans différentes revues entre 2015 et 2017 augmenté d'un préambule et du chapitre intitulé "Cosmologie du lombric"
A travers différents récits de pistage d'ours, de loup ou de panthère des neiges, des forêts de Yellowstone aux crêtes du Kirghizistan, l'auteur invite à porter son attention sur le vivant simultanément autour de soi et en soi et apprendre à cohabiter avec lui.
Nul n'existe sans laisser de traces. Pister, alors, est une manière très sûre pour apprendre à connaître quelqu'un : de l'ours du Yellowstone aux loups du Var, de la panthère des neiges du Kirghizistan aux lombrics de nos composts d'appartement. À travers les récits de ses expériences de pistage, Baptiste Morizot nous invite à voir par les yeux des grands prédateurs qu'il rencontre. Pister, c'est décrypter indices et empreintes à la manière d'un détective sauvage pour demander : qui habite ici ? Comment vivent-ils ? Et surtout, comment faire monde commun avec eux ? À partir du terrain, le pistage devient philosophique : il se transforme en une pratique de la sensibilité, en la recherche d'une autre qualité d'attention. C'est une expédition vers des contrées inexplorées : nos relations au vivant et à nos animalités intérieures.Note de contenu : Sommaire :
P. 8. Préface par Vinciane Despret
P. 18. Préambule, S'enforester
P. 30. Chapitre 1, Les signes du loup
P. 52. Chapitre 2, Un seul ours debout
P. 74. Chapitre 3, La patience de la panthère
P. 114. Chapitre 4, L'art discret du pistage
P. 148. Chapitre 5, Cosmologie du lombric
P. 162. Chapitre 6, L'origine de l'enquête
P. 194. Notes
P 202. Remerciements
Bibliogr. p. 195-[201]En ligne : https://www.scienceshumaines.com/sur-la-piste-animale_fr_40055.html Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=205606 Sur la piste animale [texte imprimé] / Baptiste Morizot (1983-...), Auteur ; Vinciane Despret (1959-...)
, Préfacier, etc. . - Arles Cedex (Bouches-du-Rhône) (Direction générale, Place Nina-Berberova, 13633) : Éditions Actes-Sud, 2018 . - 200 p. : couv. ill. ; 22 x 12 cm. - (Mondes sauvages, pour une nouvelle alliance, ISSN 2558-2682) .
ISBN : 978-2-330-09251-1 : 20 €
"Les chasseurs appellent cela une « laissée ». Une trace posée délibérément par un vivant sur une piste, afin de signaler sa présence, son identité ou son humeur, à qui veut bien se donner les clés pour déchiffrer le message. Baptiste Morizot, spécialiste des relations entre humains et animaux, a publié voici un an un volume remarqué (Les Diplomates. Cohabiter avec les loups sur une autre carte du vivant, Wildproject, 2017), dans lequel il plaidait pour l’instauration de protocoles de cohabitation avec les animaux sauvages. Ce bref recueil est une « laissée », qui reprend et développe des textes antérieurs, fournissant une introduction concise à la pensée de ce philosophe de l’altérité. On y apprendra certes pourquoi certains grizzlis peuvent attaquer des humains, et comment il convient de réagir en pareil cas. Ce savoir-là restant inutile à la majorité d’entre nous, l’important est à déchiffrer entre les lignes : il faut apprendre à raisonner comme un animal sauvage, c’est-à-dire un « invisible » ; il ne laisse pour trace de son existence que des indices ténus, car sa survie dépend à la fois de son aptitude à communiquer avec le reste de la biosphère et à disparaître simultanément des écrans mentaux de l’humanité. Pour le renard qui rôde, il faut marquer son territoire, séduire une femelle tout en s’accommodant du stress lié à notre présence et échapper à la détection qui entraînera piégeage ou empoisonnement. À qui picore entre les lignes, ce petit livre offre matière à réflexion. Il n’hésite pas à mêler cosmologie, lombricompostage et chamanisme, comme à spéculer sur la possibilité que la cognition humaine ait été développée sous la pression adaptative du pistage. En chaque humain sommeillerait donc encore un chasseur, prêt à interpréter les traces pour mieux voir l'invisible" Laurent Testot, SH n°308, p. 63
Langues : Français (fre)
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Sciences et découverte de l'Univers et de la nature / Le monde animal (faune sauvage) Animaux Traces animales Animalité (philosophie) Index. décimale : S-51 Animal - Psychologie - Sociologie - Ecologie Résumé : Recueil d'articles remaniés publiés dans différentes revues entre 2015 et 2017 augmenté d'un préambule et du chapitre intitulé "Cosmologie du lombric"
A travers différents récits de pistage d'ours, de loup ou de panthère des neiges, des forêts de Yellowstone aux crêtes du Kirghizistan, l'auteur invite à porter son attention sur le vivant simultanément autour de soi et en soi et apprendre à cohabiter avec lui.
Nul n'existe sans laisser de traces. Pister, alors, est une manière très sûre pour apprendre à connaître quelqu'un : de l'ours du Yellowstone aux loups du Var, de la panthère des neiges du Kirghizistan aux lombrics de nos composts d'appartement. À travers les récits de ses expériences de pistage, Baptiste Morizot nous invite à voir par les yeux des grands prédateurs qu'il rencontre. Pister, c'est décrypter indices et empreintes à la manière d'un détective sauvage pour demander : qui habite ici ? Comment vivent-ils ? Et surtout, comment faire monde commun avec eux ? À partir du terrain, le pistage devient philosophique : il se transforme en une pratique de la sensibilité, en la recherche d'une autre qualité d'attention. C'est une expédition vers des contrées inexplorées : nos relations au vivant et à nos animalités intérieures.Note de contenu : Sommaire :
P. 8. Préface par Vinciane Despret
P. 18. Préambule, S'enforester
P. 30. Chapitre 1, Les signes du loup
P. 52. Chapitre 2, Un seul ours debout
P. 74. Chapitre 3, La patience de la panthère
P. 114. Chapitre 4, L'art discret du pistage
P. 148. Chapitre 5, Cosmologie du lombric
P. 162. Chapitre 6, L'origine de l'enquête
P. 194. Notes
P 202. Remerciements
Bibliogr. p. 195-[201]En ligne : https://www.scienceshumaines.com/sur-la-piste-animale_fr_40055.html Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=205606 Réservation
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Le syndrome de l'autruche : pourquoi notre cerveau veut ignorer le changement climatique / George Marshall
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Titre : Le syndrome de l'autruche : pourquoi notre cerveau veut ignorer le changement climatique Titre original : Don't even think about it, cop. 2014 (Bloomsbury Publishing Inc.) Type de document : texte imprimé Auteurs : George Marshall, Auteur ; Jacques Mirenowicz, Auteur ; Cyril Dion (1978-...), Auteur Mention d'édition : Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Amanda Prat-Giral Editeur : Arles Cedex (Bouches-du-Rhône) : Éditions Actes-Sud Année de publication : 2017 Collection : Domaine du possible, ISSN 2119-3312 Importance : 384 p Format : 19 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-08029-7 Prix : 24 € Note générale : Dans cet essai, le sociologue et philosophe américain George Marshall propose une nouvelle approche à l'une des plus épineuses questions de notre temps : alors que le réchauffement climatique se manifeste par un nombre croissant de signaux, comment se fait-il que nous puissions encore ignorer son impact sur notre planète ' Il a découvert que nos valeurs, nos opinions, nos préjugés ont leur vie propre. Par le biais d'histoires vécues et sur la base de longues années de recherches, Marshall soutient que ce qui nous amène à nier notre responsabilité dans les changements climatiques repose sur la manière dont nos cerveaux sont formatés. Après avoir assimilé ce qui stimule et menace notre intellect et nos motivations, l'auteur nous amène à envisager le changement climatique comme un problème soluble Catégories : E PSYCHOLOGIE - PHILOSOPHIE Mots-clés : Sciences humaines Loisirs / Tourisme Actualité et politique Actualités, Témoignages Socio-Éco Essais Art / Histoire Sciences humaines / Essais / Religion Nature/Environnement philosophie et politique Sciences Écologie Sciences Humaines et Essais Médecine Géographie Environnement / L'environnement et l'activité humaine Exploitation abusive de l'environnement Climatoscepticisme Climat -- Changements -- Psychologie Aspect social changement climatique, psychologie, société question climatique écologie réponse politique pensée climatique Index. décimale : E-20 Psychologie sociale et environnementale Résumé : Le sociologue et philosophe américain s'interroge sur les mécanismes psychologiques pouvant expliquer les positions des climato-sceptiques mais aussi le fait que la prise de conscience du changement climatique ne soit pas suivie d'effets. Il propose de déconstruire les opinions et les préjugés pour agir en faveur de l'environnement.
Engagé dans les mouvements écologistes, il propose, de trouver les explications de ce syndrome : pourquoi y a-t-il une telle ignorance du réchauffement climatique alors même que nous en avons connaissance et que nous pouvons même l’observer ? Est-ce un problème de temps (les conséquences nous paraissent encore lointaines), est-ce un problème de communication, ou pire, un problème cognitif, de cerveau ?Note de contenu : 4e de couv. : "Alors que le réchauffement climatique se manifeste par un nombre croissant de signaux, comment se fait-il que nous puissions encore ignorer son impact sur notre planète ? Puisque la plupart d’entre nous reconnaissent la réalité du changement climatique sans rien faire pour le ralentir, il est intéressant de se demander par quels leviers psychologiques on parvient à admettre une réalité, sans agir.
Pour répondre à cette question, le sociologue et philosophe américain George Marshall est allé à la rencontre de personnalités de tous horizons : psychologues célèbres, militants du Tea Party texan, scientifiques reconnus, climato-sceptiques, écologistes progressistes et conservateurs. Il a découvert que nos valeurs, nos idées, nos préjugés ont leur vie propre, et qu’ils gagnent toujours plus de pouvoir par leur diffusion, divisant les opinions dans leur sillage. Par le biais d’histoires vécues et sur la base de longues années de recherches, Marshall soutient que ce qui nous amène à nier notre responsabilité dans les changements climatiques repose sur la manière dont notre cerveau est formaté par nos origines, notre perception des menaces, les points aveugles de notre psyché et nos instincts défensifs.
Après avoir assimilé ce qui stimule et défie notre intellect et nos motivations, nous pouvons envisager le changement climatique comme un problème soluble. Pour comprendre le rapport de nos sociétés occidentales au plus grand défi du siècle, ce livre apporte des clefs essentielles aux acteurs de demain.
Alors que le réchauffement climatique se manifeste par un nombre croissant de signaux, comment se fait-il que nous puissions encore ignorer son impact sur notre planète ? Puisque la plupart d’entre nous reconnaissent la réalité du changement climatique sans rien faire pour le ralentir, il est intéressant de se demander par quels leviers psychologiques on parvient à admettre une réalité, sans agir.
Pour répondre à cette question, le sociologue et philosophe américain George Marshall est allé à la rencontre de personnalités de tous horizons : psychologues célèbres, militants du Tea Party texan, scientifiques reconnus, climato-sceptiques, écologistes progressistes et conservateurs. Il a découvert que nos valeurs, nos idées, nos préjugés ont leur vie propre, et qu’ils gagnent toujours plus de pouvoir par leur diffusion, divisant les opinions dans leur sillage. Par le biais d’histoires vécues et sur la base de longues années de recherches, Marshall soutient que ce qui nous amène à nier notre responsabilité dans les changements climatiques repose sur la manière dont notre cerveau est formaté par nos origines, notre perception des menaces, les points aveugles de notre psyché et nos instincts défensifs."
Après avoir assimilé ce qui stimule et défie notre intellect et nos motivations, nous pouvons envisager le changement climatique comme un problème soluble. Pour comprendre le rapport de nos sociétés occidentales au plus grand défi du siècle, ce livre apporte des clefs essentielles aux acteurs de demain.En ligne : https://issuu.com/actes_sud/docs/le_syndrome_de_l_autruche_extrait_a Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186664 Le syndrome de l'autruche : pourquoi notre cerveau veut ignorer le changement climatique = Don't even think about it, cop. 2014 (Bloomsbury Publishing Inc.) [texte imprimé] / George Marshall, Auteur ; Jacques Mirenowicz, Auteur ; Cyril Dion (1978-...), Auteur . - Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Amanda Prat-Giral . - Arles Cedex (Bouches-du-Rhône) (Direction générale, Place Nina-Berberova, 13633) : Éditions Actes-Sud, 2017 . - 384 p ; 19 x 14 cm. - (Domaine du possible, ISSN 2119-3312) .
ISBN : 978-2-330-08029-7 : 24 €
Dans cet essai, le sociologue et philosophe américain George Marshall propose une nouvelle approche à l'une des plus épineuses questions de notre temps : alors que le réchauffement climatique se manifeste par un nombre croissant de signaux, comment se fait-il que nous puissions encore ignorer son impact sur notre planète ' Il a découvert que nos valeurs, nos opinions, nos préjugés ont leur vie propre. Par le biais d'histoires vécues et sur la base de longues années de recherches, Marshall soutient que ce qui nous amène à nier notre responsabilité dans les changements climatiques repose sur la manière dont nos cerveaux sont formatés. Après avoir assimilé ce qui stimule et menace notre intellect et nos motivations, l'auteur nous amène à envisager le changement climatique comme un problème soluble
Catégories : E PSYCHOLOGIE - PHILOSOPHIE Mots-clés : Sciences humaines Loisirs / Tourisme Actualité et politique Actualités, Témoignages Socio-Éco Essais Art / Histoire Sciences humaines / Essais / Religion Nature/Environnement philosophie et politique Sciences Écologie Sciences Humaines et Essais Médecine Géographie Environnement / L'environnement et l'activité humaine Exploitation abusive de l'environnement Climatoscepticisme Climat -- Changements -- Psychologie Aspect social changement climatique, psychologie, société question climatique écologie réponse politique pensée climatique Index. décimale : E-20 Psychologie sociale et environnementale Résumé : Le sociologue et philosophe américain s'interroge sur les mécanismes psychologiques pouvant expliquer les positions des climato-sceptiques mais aussi le fait que la prise de conscience du changement climatique ne soit pas suivie d'effets. Il propose de déconstruire les opinions et les préjugés pour agir en faveur de l'environnement.
Engagé dans les mouvements écologistes, il propose, de trouver les explications de ce syndrome : pourquoi y a-t-il une telle ignorance du réchauffement climatique alors même que nous en avons connaissance et que nous pouvons même l’observer ? Est-ce un problème de temps (les conséquences nous paraissent encore lointaines), est-ce un problème de communication, ou pire, un problème cognitif, de cerveau ?Note de contenu : 4e de couv. : "Alors que le réchauffement climatique se manifeste par un nombre croissant de signaux, comment se fait-il que nous puissions encore ignorer son impact sur notre planète ? Puisque la plupart d’entre nous reconnaissent la réalité du changement climatique sans rien faire pour le ralentir, il est intéressant de se demander par quels leviers psychologiques on parvient à admettre une réalité, sans agir.
Pour répondre à cette question, le sociologue et philosophe américain George Marshall est allé à la rencontre de personnalités de tous horizons : psychologues célèbres, militants du Tea Party texan, scientifiques reconnus, climato-sceptiques, écologistes progressistes et conservateurs. Il a découvert que nos valeurs, nos idées, nos préjugés ont leur vie propre, et qu’ils gagnent toujours plus de pouvoir par leur diffusion, divisant les opinions dans leur sillage. Par le biais d’histoires vécues et sur la base de longues années de recherches, Marshall soutient que ce qui nous amène à nier notre responsabilité dans les changements climatiques repose sur la manière dont notre cerveau est formaté par nos origines, notre perception des menaces, les points aveugles de notre psyché et nos instincts défensifs.
Après avoir assimilé ce qui stimule et défie notre intellect et nos motivations, nous pouvons envisager le changement climatique comme un problème soluble. Pour comprendre le rapport de nos sociétés occidentales au plus grand défi du siècle, ce livre apporte des clefs essentielles aux acteurs de demain.
Alors que le réchauffement climatique se manifeste par un nombre croissant de signaux, comment se fait-il que nous puissions encore ignorer son impact sur notre planète ? Puisque la plupart d’entre nous reconnaissent la réalité du changement climatique sans rien faire pour le ralentir, il est intéressant de se demander par quels leviers psychologiques on parvient à admettre une réalité, sans agir.
Pour répondre à cette question, le sociologue et philosophe américain George Marshall est allé à la rencontre de personnalités de tous horizons : psychologues célèbres, militants du Tea Party texan, scientifiques reconnus, climato-sceptiques, écologistes progressistes et conservateurs. Il a découvert que nos valeurs, nos idées, nos préjugés ont leur vie propre, et qu’ils gagnent toujours plus de pouvoir par leur diffusion, divisant les opinions dans leur sillage. Par le biais d’histoires vécues et sur la base de longues années de recherches, Marshall soutient que ce qui nous amène à nier notre responsabilité dans les changements climatiques repose sur la manière dont notre cerveau est formaté par nos origines, notre perception des menaces, les points aveugles de notre psyché et nos instincts défensifs."
Après avoir assimilé ce qui stimule et défie notre intellect et nos motivations, nous pouvons envisager le changement climatique comme un problème soluble. Pour comprendre le rapport de nos sociétés occidentales au plus grand défi du siècle, ce livre apporte des clefs essentielles aux acteurs de demain.En ligne : https://issuu.com/actes_sud/docs/le_syndrome_de_l_autruche_extrait_a Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186664 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3116 E-20 MAR Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Psychologie sociale et environnementale Disponible Documents numériques
Tendance floue, douze pour un : Pascal Aimar, Thierry Ardouin, Denis Bourges, Gilles Coulon, Olivier Culmann, Mat Jacob, Caty Jan, Philippe Lopparelli, Bertrand Meunier, Meyer, Flore-Aël Surun, Patrick Tourneboef / BU de Lettres / Cécile Cazenave
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Titre : Tendance floue, douze pour un : Pascal Aimar, Thierry Ardouin, Denis Bourges, Gilles Coulon, Olivier Culmann, Mat Jacob, Caty Jan, Philippe Lopparelli, Bertrand Meunier, Meyer, Flore-Aël Surun, Patrick Tourneboef / BU de Lettres Type de document : document électronique Auteurs : Cécile Cazenave (1976-...), Auteur ; Tendance Floue (1991-...) , Collectivité éditrice ; Christian Caujolle (1953-...), Préfacier, etc. ; Mat Jacob (1966-...), Postfacier, auteur du colophon, etc. ; Justine Fournier, Illustrateur
Editeur : Arles Cedex (Bouches-du-Rhône) : Éditions Actes-Sud Année de publication : 2011 Collection : Photo poche, ISSN 0986-4962 num. 29 Importance : 1 vol. (non paginé [144] p.) Présentation : llustrations en noir et en couleur Format : 19 x 13 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7427-9607-6 Prix : 13 € Note générale : LE I d’AZIMUT TENDANCE FLOUE
Débutée le 1er mars 2017 et clôturée le 19 octobre 2017, AZIMUT est une marche photographique de 8 mois à travers le territoire français, menée en relais par trente photographes. L’itinéraire de chacun est libre. Chemins creux ou routes goudronnées, lignes droites ou sinueuses, les marcheurs-photographes n’ont qu’un horaire à respecter : être à l’heure au rendez-vous fixé à celui ou celle qui lui succède.
AU I d’AZIMUT TENDANCE FLOUE, le sujet de ce troisième opus est en quelques points ce I, vice ou vertu, le I est rouge selon Rimbaud, le I de l’Oulipo, petites mathématiques du hasard… mais surtout I de MagIes.
il faudrait voir et entendre le I d’ivresse, d’Ire, d’Ironie, d’Idylle, d’Igné digne, d’Ils, d’Image, d’Illusion, d’Ilote, d’Imagination, d’Imager, d’Immense et Imparfait Impatient, Impérial I Impie, voué à l’ Impossible Imprévu, Impertinent, Imprudent Imprimeur des rêves impulsifs, etc… d’y relever le i final de Cri, d ‘Ici, ou des 15339 (ou 49939 selon) mots de la langue française se terminant par I. ( en comptant tout de même tous les verbes conjugués )…et approcher les 13453 mots dont il est la première lettre. Mille et une rimes en I.
Ce travail sur la langue me fait penser depuis le A à l’Oulipo et ses oulipiens, une parenté s’affirme au fil des numéros avec les azimutés, du fait que tout un territoire est parcouru, vécu, éprouvé, poétisé, donné en partage, ouvert à la création, à l’image, à l’imagination, aux écritures sur au moins trois niveaux, scriptural et photographique, puis avec l’édition, graphique et, fin de la faim, lancé poétiquement avec joies et provocations à la rubiconde attention des vivants…
L’esprit voyageur a donc ici un corps qui pense et qui marche, qui s’épuise et se trouve, parcourt le pays. Dans ce numéro I, de Guéret à Livinhac-le-Haut, soit, du km 1413 au km 1926, 513 kms parcourus de la Creuse à l’Aveyron, de la Nouvelle Aquitaine à l’Occitanie, du 20 Mai au 28 Juin, par cinq photographes dont on retrouve ici les traces enchantées .
Tout ce I, O(h), U(Hue) là – Molière et monsieur Jourdain dans le Bourgeois gentilhomme, questions de poésie, de langues et de langages – est une interjection, un démarrage, une mise en bouche, une mise en Jambe . Patrick Tourneboeuf a passé le témoin à Flore-Aël-Surun sur le plateau de Millevaches, celle ci s’avance dans la forêt magique de son enfance, celle des contes et des farfadets. elle écrit: » Je me sens au bout du monde, avec moi même, cherchant mon chemin. » et d’évoquer les esprits invisibles qui peuplent les forêts de pins Douglas, de dialoguer avec la vie secrète des arbres et de photographier les esprits nocturnes pris aux branches, devant le miroir d’une rivière. Ainsi paraissent les formes mugissantes et silencieuses des corps fait de branchages, aux longs bras noueux, semblant marcher à la recherche de leur ombre, dans une solitude d’avant le temps, miracles issus des contes fantastiques, un corps à corps invisible. Certains yeux scrutent la voyageuse, un tumulus de pierre, tombeau « d’un gisant de l’ordre de Jérusalem » la retient malgré elle. Un dialogue se fait dans l’Immémorial présence des habitants de la forêt. Ne sommes nous pas au coeur d’un vrai conte, une saveur en émane, l’interrogation en profondeur de cette part d’enfance lue par la nuit en chacun, fait oeuvre, et si l’esprit poétique de cet onirisme métaphysique n’était que propensions aux rêves de soi, anthropologiques, une lumière antique en nous, flamme vacillante des ancêtres et chamans. Ici le songe double la nuit. Christian Bobin cité écrit « … et la beauté parfois nous brûle comme une branche basse giflant notre visage. » Pour répondre à cette forêt habitée, Flore ouvre en elle la part mystérieuse qui éveille, gifle et caresse, morsure et baiser, une conscience ignée s’éprend du marcheur par l’initiatique chemin qu’il ouvre en lui, au delà de la « persona », dans sa contribution avérée et sue, bue à pleine respiration par le corps, tout entier voué à cette lecture enchanteresse et fantastique.
Mais voilà que le relais est passé aux grévistes Mat Jacob et José Chidlovsky, célébrations de 68, nous sommes le 31 Mai, c’est la grève , l’insurrection, les communiqués, le décret, l’arrêt de la marche est voté à l’unanimité, s’ensuit un rituel tout païen et drôle, une mise en scène. L’abécédaire qui suit pourrait s’accorder a l’oulipienne tradition, l’insurrection visuelle établit des barricades de bois, regarde un champ de bataille dans une forêt rasée, tout cela est propice aux dé-lectures, à l’insurrection de la langue, l’abécédaire de l’OUPAS devient une mécanique, une rhétorique insistante et nerveuse, le Oupas s’inscrit dans le voyage par la volonté du peuple, Gavroche s’empare de la marche statique, cette marche inerte en forme de Voyage Immobile. L’OUPAS se source à Rimbaud et Bartleby, Deleuze et se termine en Z comme Zéro. Il y a zéro pas-de- porte dans une habitation à OUPAS pour l’unique raison que leur domicile n’a pas de porte, comme sur terre il y a, tout compte fait zéro étranger « . Halte, camarade, on ne passe pas, on trépasse, Oupas. To be or to be pas clôt la cession du témoin qui passe à brûle pourpoint chez Kourtney Roy.
Le I de Merci donne à ce troisième chapitre une correspondance certaine, troisième voyelle de l’alphabet, écrit le I de photographie, d’ I-Mage et de Mage-I-e, inversions de la langue toujours trop sollicitée, mais qui prend ici un relief particulier. La Belle Kourtney Roy sera la princesse évanouie au regret de Pascal Dolémieux, inspiratrice et manquante, présence espérée pendant les 9 jours. Il se fera mordre par la canicule – retournement, la petite chienne littéralement « canicula » est devenue une maîtresse douloureuse – la chaleur jovienne s’accompagne d’orages, Pascal Dolémieux photographie un cercle issu du goudron des routes, roue de la fortune, petite lune abstraite et pleine, soleil clair de la mélancolie, comme autant de solitudes, espérant qu’apparaisse une silhouette identique à la belle disparue, là, à la croisée des chemins, fantasme solaire ou lunaire…
...et si Kourtney après tout était double, une pointe d’imagination façonne cette question, rétrospectivement introduite au moins sur deux des chapitres, présence rémanente au corps désirant du photographe, présence tutélaire et fantasmée de la belle photographe au double changeant… elle qui se met en scène dans une « geste » très hitchkockienne, jeux des apparences, personnages muets mimant une histoire dans l’ histoire, changement de caractères, de personnages, historiettes mues par le seul plaisir de se saisir dans ce reflet, épreuves du miroir féminin.
De l’autre côté du miroir photographique se met en place une auto-fiction charmante, marque de légèreté, image démultipliée de femmes, différentes et semblables. Kourtney y interprète différents personnages imaginaires. Photographie trop polie pout être honnête, le charmant visage lisse qui se donne au regard, un poil mode, est une question où une forme de nonsense britannique organise une déréalisation, un jeu. Voilà Kourtney, rousse, blonde platine, petite robe années 60, très sage, empruntant son décor au village traversé; sortir d’ un trou creusé dans la chaussée par les services communaux pour reprendre des canalisations, se hisser sur un mur, fumer une cigarette devant un arbuste au sortir d’un parking qu’on devine, prendre la pose des starlettes de TV à L.A. dans un coin de jardin très « in » et en contrepoint, se saisir d’un polaroïd, brandi, face caméra, bras nus, intensité de la pose, construction d’une attitude et d’une attente, Kourtney joue le fantôme de la liberté et la résurgence polie de personnages issus de sa fantasmatique. Rêves en actes.
Qui ou que photographie t-elle hors champ, délicieusement, comme si le spectateur se trouvait pris au piège d’un miroir sans tain, devant elle, sur cette route, dans l’été meurtrier et puissant, amoureuse de la beauté rouge, comme un I ….une érotique traverse la Semblance et le jeu des expositions de soi comme personnages, du miroir qui bascule un aveu s’écrit sur la surface sensible.
Quant à Michel Bousquet, le soleil de Georges Braque accompagne sa marche et nous plonge dans une délicieuse tension intellectuelle .. » il n’y a que celui qui sait ce qu’il veut qui se trompe…..c’est le détail qui fait vivre et qui distrait…… Le vase donne une forme au vide comme la musique au silence… » et enfin, ce qui constitue une pensée « … il faut choisir: une chose ne peut être à la fois vraie et vraisemblable. » de l’ordre du choix et du deuil. Un marcheur se lit au fil du pas, il sait qu’en lui remonte le flux de ce qui l’inspire, de ce qui le lit, le lie à lui même, de ce qui parle en son silence profond. Plus que voir, le I programme l’écoute des échos de la profondeur et le sonde. C’est en soi un autre voyage qui commence….
Il faut absolument découvrir par vous même la suite de cette aventure, faite de chapitres ou chacun, dans sa juste pratique évoque les rencontres, les « bugs » du hasard et le hasard lui même, le temps, tout élément qui entre dans la composition du pays voyagé pour aborder sur la rive marquante, que sera le prochain M d Azimut. La série qui s’est construite est assez poignante pour faire que le lecteur désire toujours l’apparition d’une suite, aux salves du pas des marcheurs, dans la scansion du chemin et l’aplat du temps. Azimut, azimut, azimut, pour les azimut-és, tout est azimut, enfin tout de même, de quoi être assez fier….une harmonie s’est construite à travers chaque contribution, étonnante dans ses diversités, enrichissante pour toute une communauté. Il ne vous appartient que d’y entrer, une porte s’est ouverte par le I…
Cette publication retrace la route de cinq photographes dans le cadre du projet Azimut – Flore-Aël Surun, Mat Jacob accompagné de José Chidlovsky, Kourtney Roy, Pascal Dolémieux et Michel Bousquet – de Guéret à Livinhac-Le-Haut.
Les photographes du projet : Pascal Aimar ; Thierry Ardouin ; Denis Bourges ; Antoine Bruy ; Michel Bousquet ; Guillaume Chauvin ; Gilles Coulon ; Olivier Culmann ; Pascal Dolémieux ; Bertrand Desprez ; Gabrielle Duplantier ; Grégoire Eloy ; Laure Flammarion ; Léa Habourdin ; Mat Jacob ; Marine Lanier ; Stéphane Lavoué ; Julien Magre ; Bertrand Meunier ; Yann Merlin ; Meyer ; Julien Mignot ; Marion Poussier ; Kourtney Roy ; Mouna Saboni ; Clémentine Schneidermann ; Frédéric Stucin ; Flore-Aël Surun ; Patrick Tourneboeuf ; Alain Willaume
http://tendancefloue.net/actualite/azimut-i/
http://www.kourtneyroy.com/ https://www.pascaldolemieux.com/
http://tendancefloue.net/floreaelsurun/ http://tendancefloue.net/matjacob/
http://www.michelbousquet.com/
http://oulipo.net/
Publié dans l’Autre Quotidien du 12 Janvier
http://www.lautrequotidien.fr/abonnes/2018/1/12/faire-le-point-sur-le-i-dazimut-chez-tendance-floue
Publié le 16 Janvier 2018 dans MOWWGLIMots-clés : Photographie Photographies Tendance floue (France) Photographie documentaire -- 1990-... Images photographiques Résumé : Présente des oeuvres des douze photographes composant ce collectif, créé en 1991, qui réalisent des projets communs en défendant l'idée de disposer d'un espace de liberté sans concession, et de conserver leur indépendance.
Note de contenu : Depuis sa création en France en 1991, le collectif de photographes Tendance Floue propose par son dynamisme, sa capacité d'innovation et l'originalité de son fonctionnement une alternative nouvelle à la notion d'agence photographique. La dimension collective de l'aventure, dans laquelle le "nous" perceptif résulte de la somme des "je" sensibles, s'affirme notamment dans les fameux Mad in, modèles de reportages inédits, nerveux et incisifs, où les compétences et sensibilités de chaque membre s'expriment dans une grande liberté formelle et conceptuelle. Utopique, transgressive, Tendance Floue oppose à la standardisation croissante des pratiques de diffusion et de médiatisation du photoreportage une forme de résistance généreuse, et invente, au fil de ses défis, une nouvelle manière de "vivre la photographie". En ligne : http://pascaltherme.com/i-dazimut-tendance-floue/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=10520 Tendance floue, douze pour un : Pascal Aimar, Thierry Ardouin, Denis Bourges, Gilles Coulon, Olivier Culmann, Mat Jacob, Caty Jan, Philippe Lopparelli, Bertrand Meunier, Meyer, Flore-Aël Surun, Patrick Tourneboef / BU de Lettres [document électronique] / Cécile Cazenave (1976-...), Auteur ; Tendance Floue (1991-...), Collectivité éditrice ; Christian Caujolle (1953-...), Préfacier, etc. ; Mat Jacob (1966-...), Postfacier, auteur du colophon, etc. ; Justine Fournier, Illustrateur . - Arles Cedex (Bouches-du-Rhône) (Direction générale, Place Nina-Berberova, 13633) : Éditions Actes-Sud, 2011 . - 1 vol. (non paginé [144] p.) : llustrations en noir et en couleur ; 19 x 13 cm. - (Photo poche, ISSN 0986-4962; 29) .
ISBN : 978-2-7427-9607-6 : 13 €
LE I d’AZIMUT TENDANCE FLOUE
Débutée le 1er mars 2017 et clôturée le 19 octobre 2017, AZIMUT est une marche photographique de 8 mois à travers le territoire français, menée en relais par trente photographes. L’itinéraire de chacun est libre. Chemins creux ou routes goudronnées, lignes droites ou sinueuses, les marcheurs-photographes n’ont qu’un horaire à respecter : être à l’heure au rendez-vous fixé à celui ou celle qui lui succède.
AU I d’AZIMUT TENDANCE FLOUE, le sujet de ce troisième opus est en quelques points ce I, vice ou vertu, le I est rouge selon Rimbaud, le I de l’Oulipo, petites mathématiques du hasard… mais surtout I de MagIes.
il faudrait voir et entendre le I d’ivresse, d’Ire, d’Ironie, d’Idylle, d’Igné digne, d’Ils, d’Image, d’Illusion, d’Ilote, d’Imagination, d’Imager, d’Immense et Imparfait Impatient, Impérial I Impie, voué à l’ Impossible Imprévu, Impertinent, Imprudent Imprimeur des rêves impulsifs, etc… d’y relever le i final de Cri, d ‘Ici, ou des 15339 (ou 49939 selon) mots de la langue française se terminant par I. ( en comptant tout de même tous les verbes conjugués )…et approcher les 13453 mots dont il est la première lettre. Mille et une rimes en I.
Ce travail sur la langue me fait penser depuis le A à l’Oulipo et ses oulipiens, une parenté s’affirme au fil des numéros avec les azimutés, du fait que tout un territoire est parcouru, vécu, éprouvé, poétisé, donné en partage, ouvert à la création, à l’image, à l’imagination, aux écritures sur au moins trois niveaux, scriptural et photographique, puis avec l’édition, graphique et, fin de la faim, lancé poétiquement avec joies et provocations à la rubiconde attention des vivants…
L’esprit voyageur a donc ici un corps qui pense et qui marche, qui s’épuise et se trouve, parcourt le pays. Dans ce numéro I, de Guéret à Livinhac-le-Haut, soit, du km 1413 au km 1926, 513 kms parcourus de la Creuse à l’Aveyron, de la Nouvelle Aquitaine à l’Occitanie, du 20 Mai au 28 Juin, par cinq photographes dont on retrouve ici les traces enchantées .
Tout ce I, O(h), U(Hue) là – Molière et monsieur Jourdain dans le Bourgeois gentilhomme, questions de poésie, de langues et de langages – est une interjection, un démarrage, une mise en bouche, une mise en Jambe . Patrick Tourneboeuf a passé le témoin à Flore-Aël-Surun sur le plateau de Millevaches, celle ci s’avance dans la forêt magique de son enfance, celle des contes et des farfadets. elle écrit: » Je me sens au bout du monde, avec moi même, cherchant mon chemin. » et d’évoquer les esprits invisibles qui peuplent les forêts de pins Douglas, de dialoguer avec la vie secrète des arbres et de photographier les esprits nocturnes pris aux branches, devant le miroir d’une rivière. Ainsi paraissent les formes mugissantes et silencieuses des corps fait de branchages, aux longs bras noueux, semblant marcher à la recherche de leur ombre, dans une solitude d’avant le temps, miracles issus des contes fantastiques, un corps à corps invisible. Certains yeux scrutent la voyageuse, un tumulus de pierre, tombeau « d’un gisant de l’ordre de Jérusalem » la retient malgré elle. Un dialogue se fait dans l’Immémorial présence des habitants de la forêt. Ne sommes nous pas au coeur d’un vrai conte, une saveur en émane, l’interrogation en profondeur de cette part d’enfance lue par la nuit en chacun, fait oeuvre, et si l’esprit poétique de cet onirisme métaphysique n’était que propensions aux rêves de soi, anthropologiques, une lumière antique en nous, flamme vacillante des ancêtres et chamans. Ici le songe double la nuit. Christian Bobin cité écrit « … et la beauté parfois nous brûle comme une branche basse giflant notre visage. » Pour répondre à cette forêt habitée, Flore ouvre en elle la part mystérieuse qui éveille, gifle et caresse, morsure et baiser, une conscience ignée s’éprend du marcheur par l’initiatique chemin qu’il ouvre en lui, au delà de la « persona », dans sa contribution avérée et sue, bue à pleine respiration par le corps, tout entier voué à cette lecture enchanteresse et fantastique.
Mais voilà que le relais est passé aux grévistes Mat Jacob et José Chidlovsky, célébrations de 68, nous sommes le 31 Mai, c’est la grève , l’insurrection, les communiqués, le décret, l’arrêt de la marche est voté à l’unanimité, s’ensuit un rituel tout païen et drôle, une mise en scène. L’abécédaire qui suit pourrait s’accorder a l’oulipienne tradition, l’insurrection visuelle établit des barricades de bois, regarde un champ de bataille dans une forêt rasée, tout cela est propice aux dé-lectures, à l’insurrection de la langue, l’abécédaire de l’OUPAS devient une mécanique, une rhétorique insistante et nerveuse, le Oupas s’inscrit dans le voyage par la volonté du peuple, Gavroche s’empare de la marche statique, cette marche inerte en forme de Voyage Immobile. L’OUPAS se source à Rimbaud et Bartleby, Deleuze et se termine en Z comme Zéro. Il y a zéro pas-de- porte dans une habitation à OUPAS pour l’unique raison que leur domicile n’a pas de porte, comme sur terre il y a, tout compte fait zéro étranger « . Halte, camarade, on ne passe pas, on trépasse, Oupas. To be or to be pas clôt la cession du témoin qui passe à brûle pourpoint chez Kourtney Roy.
Le I de Merci donne à ce troisième chapitre une correspondance certaine, troisième voyelle de l’alphabet, écrit le I de photographie, d’ I-Mage et de Mage-I-e, inversions de la langue toujours trop sollicitée, mais qui prend ici un relief particulier. La Belle Kourtney Roy sera la princesse évanouie au regret de Pascal Dolémieux, inspiratrice et manquante, présence espérée pendant les 9 jours. Il se fera mordre par la canicule – retournement, la petite chienne littéralement « canicula » est devenue une maîtresse douloureuse – la chaleur jovienne s’accompagne d’orages, Pascal Dolémieux photographie un cercle issu du goudron des routes, roue de la fortune, petite lune abstraite et pleine, soleil clair de la mélancolie, comme autant de solitudes, espérant qu’apparaisse une silhouette identique à la belle disparue, là, à la croisée des chemins, fantasme solaire ou lunaire…
...et si Kourtney après tout était double, une pointe d’imagination façonne cette question, rétrospectivement introduite au moins sur deux des chapitres, présence rémanente au corps désirant du photographe, présence tutélaire et fantasmée de la belle photographe au double changeant… elle qui se met en scène dans une « geste » très hitchkockienne, jeux des apparences, personnages muets mimant une histoire dans l’ histoire, changement de caractères, de personnages, historiettes mues par le seul plaisir de se saisir dans ce reflet, épreuves du miroir féminin.
De l’autre côté du miroir photographique se met en place une auto-fiction charmante, marque de légèreté, image démultipliée de femmes, différentes et semblables. Kourtney y interprète différents personnages imaginaires. Photographie trop polie pout être honnête, le charmant visage lisse qui se donne au regard, un poil mode, est une question où une forme de nonsense britannique organise une déréalisation, un jeu. Voilà Kourtney, rousse, blonde platine, petite robe années 60, très sage, empruntant son décor au village traversé; sortir d’ un trou creusé dans la chaussée par les services communaux pour reprendre des canalisations, se hisser sur un mur, fumer une cigarette devant un arbuste au sortir d’un parking qu’on devine, prendre la pose des starlettes de TV à L.A. dans un coin de jardin très « in » et en contrepoint, se saisir d’un polaroïd, brandi, face caméra, bras nus, intensité de la pose, construction d’une attitude et d’une attente, Kourtney joue le fantôme de la liberté et la résurgence polie de personnages issus de sa fantasmatique. Rêves en actes.
Qui ou que photographie t-elle hors champ, délicieusement, comme si le spectateur se trouvait pris au piège d’un miroir sans tain, devant elle, sur cette route, dans l’été meurtrier et puissant, amoureuse de la beauté rouge, comme un I ….une érotique traverse la Semblance et le jeu des expositions de soi comme personnages, du miroir qui bascule un aveu s’écrit sur la surface sensible.
Quant à Michel Bousquet, le soleil de Georges Braque accompagne sa marche et nous plonge dans une délicieuse tension intellectuelle .. » il n’y a que celui qui sait ce qu’il veut qui se trompe…..c’est le détail qui fait vivre et qui distrait…… Le vase donne une forme au vide comme la musique au silence… » et enfin, ce qui constitue une pensée « … il faut choisir: une chose ne peut être à la fois vraie et vraisemblable. » de l’ordre du choix et du deuil. Un marcheur se lit au fil du pas, il sait qu’en lui remonte le flux de ce qui l’inspire, de ce qui le lit, le lie à lui même, de ce qui parle en son silence profond. Plus que voir, le I programme l’écoute des échos de la profondeur et le sonde. C’est en soi un autre voyage qui commence….
Il faut absolument découvrir par vous même la suite de cette aventure, faite de chapitres ou chacun, dans sa juste pratique évoque les rencontres, les « bugs » du hasard et le hasard lui même, le temps, tout élément qui entre dans la composition du pays voyagé pour aborder sur la rive marquante, que sera le prochain M d Azimut. La série qui s’est construite est assez poignante pour faire que le lecteur désire toujours l’apparition d’une suite, aux salves du pas des marcheurs, dans la scansion du chemin et l’aplat du temps. Azimut, azimut, azimut, pour les azimut-és, tout est azimut, enfin tout de même, de quoi être assez fier….une harmonie s’est construite à travers chaque contribution, étonnante dans ses diversités, enrichissante pour toute une communauté. Il ne vous appartient que d’y entrer, une porte s’est ouverte par le I…
Cette publication retrace la route de cinq photographes dans le cadre du projet Azimut – Flore-Aël Surun, Mat Jacob accompagné de José Chidlovsky, Kourtney Roy, Pascal Dolémieux et Michel Bousquet – de Guéret à Livinhac-Le-Haut.
Les photographes du projet : Pascal Aimar ; Thierry Ardouin ; Denis Bourges ; Antoine Bruy ; Michel Bousquet ; Guillaume Chauvin ; Gilles Coulon ; Olivier Culmann ; Pascal Dolémieux ; Bertrand Desprez ; Gabrielle Duplantier ; Grégoire Eloy ; Laure Flammarion ; Léa Habourdin ; Mat Jacob ; Marine Lanier ; Stéphane Lavoué ; Julien Magre ; Bertrand Meunier ; Yann Merlin ; Meyer ; Julien Mignot ; Marion Poussier ; Kourtney Roy ; Mouna Saboni ; Clémentine Schneidermann ; Frédéric Stucin ; Flore-Aël Surun ; Patrick Tourneboeuf ; Alain Willaume
http://tendancefloue.net/actualite/azimut-i/
http://www.kourtneyroy.com/ https://www.pascaldolemieux.com/
http://tendancefloue.net/floreaelsurun/ http://tendancefloue.net/matjacob/
http://www.michelbousquet.com/
http://oulipo.net/
Publié dans l’Autre Quotidien du 12 Janvier
http://www.lautrequotidien.fr/abonnes/2018/1/12/faire-le-point-sur-le-i-dazimut-chez-tendance-floue
Publié le 16 Janvier 2018 dans MOWWGLI
Mots-clés : Photographie Photographies Tendance floue (France) Photographie documentaire -- 1990-... Images photographiques Résumé : Présente des oeuvres des douze photographes composant ce collectif, créé en 1991, qui réalisent des projets communs en défendant l'idée de disposer d'un espace de liberté sans concession, et de conserver leur indépendance.
Note de contenu : Depuis sa création en France en 1991, le collectif de photographes Tendance Floue propose par son dynamisme, sa capacité d'innovation et l'originalité de son fonctionnement une alternative nouvelle à la notion d'agence photographique. La dimension collective de l'aventure, dans laquelle le "nous" perceptif résulte de la somme des "je" sensibles, s'affirme notamment dans les fameux Mad in, modèles de reportages inédits, nerveux et incisifs, où les compétences et sensibilités de chaque membre s'expriment dans une grande liberté formelle et conceptuelle. Utopique, transgressive, Tendance Floue oppose à la standardisation croissante des pratiques de diffusion et de médiatisation du photoreportage une forme de résistance généreuse, et invente, au fil de ses défis, une nouvelle manière de "vivre la photographie". En ligne : http://pascaltherme.com/i-dazimut-tendance-floue/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=10520 Exemplaires
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Titre : The transition starts here, now and together : interviews Type de document : document électronique Auteurs : Rob Hopkins (1968-...) , Intervieweur ; Lionel Astruc (1974-...), Intervieweur ; Lisa Davidson, Traducteur
Editeur : Arles Cedex (Bouches-du-Rhône) : Éditions Actes-Sud Année de publication : 2017 Collection : Tomorrow Importance : 138 p. Format : 14 x 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-08125-6 Prix : 17 € Note générale : One day in 2005, Rob Hopkins, an ordinary British citizen, started knocking on his neighbors’ doors in the small town of Totnes, where he had just settled in. He was proposing that they come together to organize nothing less than a new, locally based economy. A new model, the Transition Town, harnessing resources at hand: no longer expect food to arrive from the other side of the planet at great fuel costs, but instead create short food supply chains and cultivate all the available land (gardens, rooftops, municipal parks); no longer complain about pollution, but bring federate fellow citizens around a project of local renewable energy cooperatives; no longer rail against the banks and the stock markets, but adopt a local currency that enriches the community. His experience has not only been successful in Totnes; it has spread to 1,200 cities in 47 countries. Each of the Transition Towns are transforming their communities, without fanfare, without outside funding, making them more autonomous and more resilient to the crises looming ahead—a network of oases offering a wealth of solutions.
Rob Hopkins’s charisma and his story spur us all to become the best we can be. He has revived a sense of hope, buried under years of resignation and the disillusionment of “economic realism.” The saga of the Transition Towns inspires us all to take action and tap into the unimagined capacities we all have to promote change.
Lionel Astruc has written several books exploring the raw materials sector in France and worldwide, and highlighting the pioneers of the ecological transition. He is also the author of Vandana Shiva Creative Civil Disobedience, published in 2017. - Présentation de l'éditeur -Langues : Anglais (eng) Langues originales : Français (fre) Mots-clés : Transition écologique Mode de vie durable AUTONOMIES
CAPITALISME ET SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION
CHANGEMENT CLIMATIQUE
EMPREINTE ÉCOLOGIQUE
ÉNERGIESRésumé : « Lorsque j'ai véritablement pris conscience du changement climatique et des problèmes liés à la nécessité de se passer du pétrole, j'ai étudié les réponses que les gens y apportaient dans le monde et qui me semblaient compassionnelles. Et je n'ai rien trouvé qui me donne de l'énergie. Les Américains qui écrivaient sur le «peak oil» parlaient de se retirer dans les montagnes du Nebraska avec quatre ans de papier-toilette, des boîtes de haricots et des armes à feu. a ne me paraissait pas la meilleure solution' » Rob Hopkins a alors cherché comment tous ces enjeux pourraient rapprocher les gens plutôt que les séparer, comment ils pourraient stimuler leur créativité et leur capacité à innover. Note de contenu : Bibliogr., 2 p. En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/grand-reportage/totnes-en-grande-bretagne [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=228943 The transition starts here, now and together : interviews [document électronique] / Rob Hopkins (1968-...), Intervieweur ; Lionel Astruc (1974-...), Intervieweur ; Lisa Davidson, Traducteur . - Arles Cedex (Bouches-du-Rhône) (Direction générale, Place Nina-Berberova, 13633) : Éditions Actes-Sud, 2017 . - 138 p. ; 14 x 19 cm. - (Tomorrow) .
ISBN : 978-2-330-08125-6 : 17 €
One day in 2005, Rob Hopkins, an ordinary British citizen, started knocking on his neighbors’ doors in the small town of Totnes, where he had just settled in. He was proposing that they come together to organize nothing less than a new, locally based economy. A new model, the Transition Town, harnessing resources at hand: no longer expect food to arrive from the other side of the planet at great fuel costs, but instead create short food supply chains and cultivate all the available land (gardens, rooftops, municipal parks); no longer complain about pollution, but bring federate fellow citizens around a project of local renewable energy cooperatives; no longer rail against the banks and the stock markets, but adopt a local currency that enriches the community. His experience has not only been successful in Totnes; it has spread to 1,200 cities in 47 countries. Each of the Transition Towns are transforming their communities, without fanfare, without outside funding, making them more autonomous and more resilient to the crises looming ahead—a network of oases offering a wealth of solutions.
Rob Hopkins’s charisma and his story spur us all to become the best we can be. He has revived a sense of hope, buried under years of resignation and the disillusionment of “economic realism.” The saga of the Transition Towns inspires us all to take action and tap into the unimagined capacities we all have to promote change.
Lionel Astruc has written several books exploring the raw materials sector in France and worldwide, and highlighting the pioneers of the ecological transition. He is also the author of Vandana Shiva Creative Civil Disobedience, published in 2017. - Présentation de l'éditeur -
Langues : Anglais (eng) Langues originales : Français (fre)
Mots-clés : Transition écologique Mode de vie durable AUTONOMIES
CAPITALISME ET SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION
CHANGEMENT CLIMATIQUE
EMPREINTE ÉCOLOGIQUE
ÉNERGIESRésumé : « Lorsque j'ai véritablement pris conscience du changement climatique et des problèmes liés à la nécessité de se passer du pétrole, j'ai étudié les réponses que les gens y apportaient dans le monde et qui me semblaient compassionnelles. Et je n'ai rien trouvé qui me donne de l'énergie. Les Américains qui écrivaient sur le «peak oil» parlaient de se retirer dans les montagnes du Nebraska avec quatre ans de papier-toilette, des boîtes de haricots et des armes à feu. a ne me paraissait pas la meilleure solution' » Rob Hopkins a alors cherché comment tous ces enjeux pourraient rapprocher les gens plutôt que les séparer, comment ils pourraient stimuler leur créativité et leur capacité à innover. Note de contenu : Bibliogr., 2 p. En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/grand-reportage/totnes-en-grande-bretagne [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=228943 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Théâtre/Education, Cahiers n°1. Le théâtre et les jeunes publics (Avignon, 20 ans après) / Association nationale de recherche et d'action théâtrale, ANRAT
PermalinkThéâtre/Education, Cahiers n°2. L'enfant, le jeu, le théâtre : autour des pratiques dramatiques de l'école élémentaire / Association nationale de recherche et d'action théâtrale, ANRAT
PermalinkThéâtre/Education, Cahiers n°3. Théâtre, éducation et société / Association nationale de recherche et d'action théâtrale, ANRAT
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkVivre avec la terre : manuel des jardiniers-maraîchers : permaculture, écoculture, microfermes / SUDOC / Perrine Hervé-Gruyer
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PermalinkPermalinkVoyage au pays de l'utopie rustique ; suivi de Retouches à mon voyage au pays de l'utopie rustique / SCD / Henri Mendras
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